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(01/04/2010 12:22:54)

Le Conseil du Val d'Oise a démarré la pose de son réseau fibre optique

Jeudi 1er avril prochain, les travaux de déploiement du très haut débit débuteront dans l'Est des départements du Val d'Oise et de la Seine St Denis. Le réseau - baptisé Debitex - sera déployé sur 27 communes dont 14 en Seine St Denis et 13 en Val d'Oise. Ce territoire abrite 650 000 habitants, 24 000 entreprises et 240 000 emplois.

Le réseau fera 400 kms. Le conseil général du Val d'Oise souhaite répondre par ce biais aux besoins en très haut débit des citoyens, des administrations publiques (hôpitaux, mairies) et des entreprises de cette partie du département. Le 1er avril sera l'occasion de présenter une chambre technique à partir de laquelle sera déployé le réseau de fibres optiques. Le montant des investissements est de 55 millions d'euros. La subvention publique pour sa part est de 15,8 millions.  La fin des travaux est prévue pour le deuxième semestre de l'année 2012.

Illustration D.R.
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(01/04/2010 12:16:04)

Plus de datacenters en France pour compenser les emplois délocalisés en Chine ?

A l'heure où la France recherche des prestations à forte valeur ajoutée, afin de contre balancer la fuite des activités à faible valeur ajoutée vers la Chine, ces entreprises proposent de couvrir l'hexagone par des DataCenters. Le Club appelle le gouvernement et les pouvoirs publics à le soutenir et à créer les conditions favorables au développement de ces « usines numériques. » Et il s'appuie également sur le développement du Cloud Computing.

Reste que dans ce domaine, ce n'est pas tant la localisation géographique des murs du DataCenter qui importe pour un centre informatique que la valeur ajoutée apportée dans le management logiciel des ressources informatiques, en offrant de la souplesse et de la réactivité. Et l'on peut disposer par exemple d'un centre informatique en Pologne, mais piloté par des équipes françaises depuis l'hexagone. C'est le savoir faire de ces équipes qui est alors important.

Le Club tient néanmoins à souligner les raisons pour lesquelles il estime que la France est bien positionnée pour héberger des DataCenters :

- une position géostratégique en Europe,
- un prix du m² foncier peu élevé,
- une infrastructure électrique de qualité, au coût peu élevé et faiblement émettrice de CO² (sous entendu : grâce au nucléaire),
-  une infrastructure télécom fiable, ouverte à la compétition et bien connectée aux pays principaux acteurs de l'économie numérique,
-  une population d'ingénieurs et de techniciens parmi les meilleurs ;

On peut également remarquer, que d'un point de vue réglementaire, l'hébergement de données personnelles est entouré d'un certain nombre de garde-fous stratégiques en France qui devraient rassurer les entreprises les plus paranoïaques (banques, établissements de santé,...). Le Club a édité un document, en anglais, afin d'aider à convaincre les investisseurs internationaux en donnant un détail exhaustif de l'attractivité de la France comme terre d'accueil des datacenters.

Le document peut être téléchargé sur : www.francefordatacenters.fr

Illustration datacenter HP, D.R.

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(01/04/2010 15:26:31)

Acer dévoile ses serveurs Opteron 12 coeurs via Gateway

Pour arriver à ses fins, Acer, via sa marque Gateway, a choisi un double challenge. Primo en relancer une marque américaine très grand public qui avait quitté l'hexagone en catimini en 2001, secundo en misant sur la gamme de processeurs AMD Opteron 6100 également connue sous le nom de code Magny-Cours. Le lancement quasi-simultanée des deux produits, processeurs Opteron 6100 et serveurs Gateway, montrent combien les deux compagnies partagent une même vision du marché : « Nos deux entreprises ont un partenariat fort depuis deux ans, et nous voulons continuer à faire beaucoup de choses ensemble » explique Pat Patla, vice-président et manager général d'AMD.

Des solutions pour les PME et les grands comptes

Pour répondre aux besoins des petites entreprises, comme à celles des grandes compagnies, Gateway propose une gamme diversifiée et facilement adaptable en fonction de leurs usages. Il y a 4 familles de produits : les tours (GT) équipés de processeurs AMD Opteron 4000 pour les PME et PMI souhaitant gérer des serveurs de sites Internet, de messagerie e-mail etc. Les racks (GR) 2U avec les processeurs AMD opteron 6100, 12 ou 8 coeurs cadencés respectivement à 2,3 ou 2,4 GHz, et avec un maximum de 512 ou de 128 Go de mémoire.  Suivent les racks Gemini (GW) qui sont similaires aux autres modèles GR mais proposent un meilleur rapport densité/consommation par Watt, grâce à une gestion parallèle permettant de cumuler 96 coeurs et 512 Go de Ram dans un seul Rack 2U. Gateway préconise ces derniers pour l'imagerie médicale et la gestion des simulations informatiques.

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Enfin la filiale propose des châssis de serveurs blade 'GB7000' ou 'GB7000 F1' pouvant contenir jusqu'à 20 lames serveur bi sockets ou 10 avec quatre voies, et pouvant ainsi atteindre 480 coeurs au total, (avec les opterons 6000). Gateway propose deux types de lame différentes : la GB2x285 F1 intégrant deux sockets dual-node, et la GB685 F1 contenant 4 processeurs. Cette configuration est destinée aux grandes entreprises ayant besoins de centres de calcul, comme pour la gestion de sites d'e-commerce, gestion de business etc. Aujourd'hui, Gateway inclut la gamme de processeurs 6100 avec la plateforme Direct Connect Architecture 2.0 du fondeur, une combinaison qui permet de cumuler jusqu'à 48 coeurs (soit 4 Opteron) et augmente la rapidité des puces entre elles de 33%, grâce aux 4 canaux de mémoire les reliant à 12 barrettes DIMMS et un unique pont entre chaque processeurs.



Avec leur lancement prévu pour le second semestre 2010, Acer entend atteindre 10% de parts de marché des serveurs d'ici fin 2011 avec Gateway, et prévoit de commencer à s'imposer comme une référence en matière de service d'ici 2 à 3 ans, que ce soit du support vente à l'assistance technique, en passant par l'évaluation des besoins d'une entreprise. La marque s'appuiera sur une distribution renforcée « Nous souhaitons atteindre 1 000 revendeurs par pays » explique l'ambitieux e vice-président de Gateway Antonio Antonion Papale. Sur un marché où Dell, HP et IBM se partagent 85% du marché , il sera toutefois difficile pour Acer de bénéficier d'un accélérateur comme le trou d'air provoqué chez les revendeurs par le rachat de Compaq par HP il y a 9 ans.  À l'époque, Acer avait habilement manoeuvré pour remplacer Compaq comme troisième fournisseur de PC chez les grossistes tout en misant sur l'essor du marché des notebooks.

Conquérir le coeur des systèmes informatiques des entreprises est une tâche beaucoup plus hardie même avec un allié de poids comme AMD. La bataille se joue en partie sur les prix mais également sur les services d'intégration qui sont devenus le point fort d'IBM avec IGS, de HP avec ES (ex EDS) et depuis peu de Dell avec le rachat récent de Perrot Systems (encore peu présent en France, il est vrai). Acer avance sur ce marché avec son cheval de Troie Gateway mais la seule association avec AMD ne sera pas suffisante pour impacter le marché. Une offre serveurs Gateway sur base Intel apparait inévitable si le taiwanais veux vraiment assoir cette marque dans le monde pro. Une possibilité que les dirigeants de Gateway n'exclue pas si le marché ne fait pas un bon accueil à cette première série de serveurs.

 

 

 

 

 

 

 

 

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(01/04/2010 08:47:03)

Un OraclePhone bientôt sur le marché [1er avril ;-)]

Le rachat de Sun n'aura finalement pas été très longtemps le seul investissement dans le matériel informatique d'Oracle. Celui-ci pourra-t-il longtemps encore être qualifié d'éditeur de logiciels ? Larry Ellison, CEO d'Oracle, vient en effet d'annoncer le lancement du premier téléphone intelligent par son entreprise lors d'une web-conférence de presse mondiale. Après Microsoft, Apple et Google, Oracle se lance donc à son tour dans la bataille dont les acteurs traditionnels -comme Nokia et Motorola- sont de plus en plus exclus. Le nom du fabriquant du matériel n'a pas été révélé bien que HTC et Samsung se soient déclarés intéressés.

« Notre produit sera bientôt en tête des listes » s'est réjoui par avance Larry Ellison, toujours très optimiste et enthousiaste. Il est vrai que le nom même du produit l'amène naturellement en début des listes alphabétiques puisqu'il s'appellera a-Phone, par abréviation de « Advanced Phone ». Les noms d'e-Phone (Enhaced Phone) et d'O'Phone (Oracle Phone), qui avaient circulé, ont été écartés, pour l'un parce que jugé trop ringard et pour l'autre à cause d'un problème de propriété intellectuelle avec une petite compagnie téléphonique provinciale irlandaise.

Après le NetPC, l'OraclePhone

Larry Ellison place dans son produit beaucoup de concepts issus de son rêve de NetPC : « le a-Phone permettra d'emmener son bureau et son domicile partout où l'on sera, avec toutes les applications nécessaires, relié par une liaison 4G nativement cryptée avec des applications placées dans le Cloud ». Une version allégée d'OpenOffice, racheté avec Sun, sera ainsi proposée avec la possibilité de gérer les mises à jour croisées avec un espace collaboratif hébergé chez l'opérateur téléphonique. Oracle proposera bien entendu également la solution de collaboratif hébergé aux opérateurs, Oracle Collaboration Center (OCC).

En réponse à une question, Larry Ellison n'a pas exclu qu'Oracle propose lui-même ce service même si ce n'est pas dans la stratégie actuelle. Des grandes entreprises pourront également le proposer à partir d'une installation interne de type « cloud privé ». Clairement, cette vision collaborative est au coeur du business modèle de l'a-Phone. La vente des produits nécessaires (avec la maintenance) semble être bien plus profitable que la vente de terminaux dont les prix devront être cassés pour s'imposer sur le marché. Rançon de l'accroissement des fonctionnalités de ces terminaux mobiles qu'il devient difficile de qualifier de « téléphones », il reste à savoir si l'on pourra téléphoner en étant avec un a-Phone.
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(31/03/2010 18:37:51)

Intel Nehalem-EX : Cap sur la performance et la haute disponibilité

Attendues depuis plusieurs semaines, les puces Intel Xeon Nehalem-EX - avec quatre, six ou huit coeurs - vont permettre aux infrastructures informatiques de passer un cap en matière de performances. Lors d'un entretien, Pascal Lassaigne, directeur du marché entreprises chez Intel France, nous a ainsi expliqué que « jamais le gap d'amélioration n'avait été aussi fort entre deux générations de processeurs. Entre le Xeon 7400, classe Dunnington, et le 7500, sur base Nehalem-EX, les performances sont multipliées en moyenne par 3. Ainsi 100 serveurs monocoeur pourraient être remplacés par 5 machines animées par des Xeon 7500 huit coeurs et dans le cas où ces solutions monocore seraient remplacées par 100 unités Nehalem-EX, les performances seraient multipliées par 20. » Un benchmark réalisé par nos confrères d'InfoWorld a ainsi mis en test un Dell R810 équipé de deux puces Intel X7560 cadencées à 2,26 GHz avec 12 Mo de mémoire cache niveau 3 face à un HP équipé de quatre processeurs X7350 à 2,93 GHz avec 4 Mo de cache. Précisons encore que les Nehalem-EX supportent l'HyperThreading et que les tests ont été réalisés plusieurs fois avec et sans cette fonction. Sans surprise, le serveur Dell a surclassé la précédente génération de puces Intel et même une machine équipée de 4 Opteron 8435 (Istanbul), soit un total de 24 coeurs à 2,6 GHz. Une confrontation avec le dernier née d'AMD, l'Opteron 6100 Magny-Cours est également prévue.

Illustration Dell R810

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Pour le lancement de cette plate-forme, Intel insiste particulièrement sur deux points : consolidation des datacenter et réduction de la consommation électrique. Destinés aux serveurs haut de gamme qui nécessitent une grande disponibilité et la capacité d'exécuter des applications critiques comme les bases de données ou des outils d'analyse décisionnelle en temps réel, les serveurs Nehalem-EX arrivent également sur le marché du calcul de haute performance avec des systèmes combinant jusqu'à 256 noeuds. Bull et SGI devraient bientôt présentés des machines de ce type.

« Les processeurs Nehalem-EX devraient aussi inclure un certain nombre de sécurité, de fonctions dédiés à la fiabilité et des améliorations dans la gestion de la mémoire par rapport à la génération précédente » poursuit Pascal Lassaigne d'Intel. Le fondeur de Santa Clara fournit sa plate-forme avec quatre canaux de mémoire pour alimenter les huit coeurs ce qui le met enfin à égalité avec l'Opteron 6100 12 coeurs d'AMD.

One Group Trading, une entreprise de négociation d'options à San Francisco, qui va bientôt recevoir des serveurs Nehalem-EX pour tests, attend un certain nombre de bénéfices avec cette plate-forme. Terence Judkins, DSI de l'entreprise a ainsi témoigné qu'il croyait ce que sera une très bonne mise à jour pour son infrastructure serveurs qui supporte une base de données, des outils d'analyse décisionnelle et des VM. « Les nouveaux serveurs nous permettront de consolider notre groupe de machines et par la même d'économiser l'énergie et les frais de maintenance. Si nous pouvons exécuter avec succès deux tâches sur un seul serveur là où auparavant nous avions besoin de deux machines alors c'est un home run », souligne Terence Judkins.

Cliquez pour agrandir le tableau

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« Les fonctionnalités améliorées de Nehalem-EX pourrait également favoriser la montée de l'architecture x86 sur un marché dominé par les puces Intel Itanium et les processeurs à jeu d'instruction RISC (IBM PowerPC et Oracle / Sun Sparc) » estime Jim McGregor, responsable de l'analyse technologique chez In-Stat. Pour sa plate-forme Nehalem-EX, Intel a adapté certaines technologies issues de l'architecture IA-64 Itanium, comme le RAS (fiabilité, disponibilité et facilité de maintenance) afin de réduire la corruption des données et d'améliorer la performance générales des systèmes. D'autres technologies comme le MCA sera capable de détecter les erreurs dans le traitement des données en provenance de la CPU ou de mémoire système et de les corriger en travaillant de concert avec le système d'exploitation. « En apportant les caractéristiques RAS sur l'architecture x86, Intel a jeté de nouvelles bases pour les clients désirant quitter les plates-formes Risc » ajoute Jim McGregor. « Les entreprises ont toujours accepté de payer beaucoup plus chers pour bénéficier des avantages des systèmes basés sur l'architecture Risc, mais l'arrivée des Nehalem-EX qui offrent ces fonctionnalités à un prix nettement inférieur va peut-être changer la donne ». Toutefois, certaines entreprises vont continuer à travailler avec leurs plates-formes Risc ou Itanium pour des raisons de rendement, de solutions logicielles et de familiarité, ajoute-il. HP, par exemple, qui propose à la fois des machines x86 Nehalem-EX et des serveurs Integrity NonStop IA-64, continuera à proposer des puces Itanium pour ceux qui veulent des solutions éprouvées. « Toutefois, l'arrivée de la plate-forme Nehalem-EX offre un véritable avantage concurrentiel en terme de prix qui pourrait accélérer la progression de l'architecture x86 dans les systèmes haut de gamme. C'est un point que nul ne contestera» poursuit Jim McGregor.

L'Intel Nehalem-EX entre également en compétition avec le 12 coeurs Opteron 6100 d'AMD, qui contient le plus grand nombre de coeurs de processeur dans un serveur x86, explique Jim McGregor. Cependant, les puces d'AMD ne sont pas encore capables d'offrir les caractéristiques du Nehalem-EX  sur le plan de la tolérance de panne. Mais pour les clients qui recherchent avant tout un bon rapport prix-performance, les Magny-Cours sont une très bonne base pour animer des serveurs classiques dans des environnements non critiques, ajoute-il.

Pour conclure signalons que les constructeurs tels que Dell, NEC, Cray, Cisco et IBM vont proposer des serveurs Nehalem-EX. Dell a déjà annoncé le PowerEdge M910, R910 et R810 serveurs, qui sont animé par des processeurs Nehalem EX. Le serveur R810 est offert à partir de 4999 $, le R910 à partir de 7799 $ et le M910 à partir de 4999 $. NEC, de son coté, commence à prendre les commandes pour l'Express5800/A1080a équipé de huit sockets. Le serveur est annoncé à un prix de 53 000 $ avec une carte mère quatre sockets et 128 Go de mémoire.

 

 

 




 

 

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(31/03/2010 17:27:52)

Le cloud source de pollution majeure selon Greenpeace

« Le cloud progresse dans une période où le climat change et la réduction des émissions de gaz sont des préoccupations essentielles » souligne le rapport « Make IT Green : Cloud Computing and its Contribution to Climate Change » de Greenpeace. Il explique que « l'accroissement de la demande en cloud provoquera aussi un grand besoin en ressources énergétiques ». A la question sur la quantification de ce besoin, Greenpeace avoue qu'il est difficile à évaluer, mais l'association estime que l'électricité consommée par les datacenters et les réseaux de télécommunications, qui sont les bases du cloud, devrait tripler entre 2007 et 2020.

l'iPad, concentré de cloud

Les grandes sociétés de l'Internet tentent d'améliorer leur efficience énergétique, leur permettant de réduire leur coût opérationnel. Mais Greenpeace souligne qu'elles privilégient le développement de datacenter, là où cela fait du sens, sans se préoccuper des questions énergétiques. Le rapport prend comme point de départ une mise à jour d'un travail sur l'iPad d'Apple, car l'association estime que ce terminal constitue un concentré des usages futurs (téléchargement de vidéos, livres, musiques) basés sur les services de type cloud.

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Plusieurs sociétés concentrent l'ire de Greenpeace. Récemment, une campagne a été menée contre Facebook, sur sa décision de construire un datacenter à Prineville dans l'Oregon, tirant son énergie d'une centrale électrique au charbon. Le réseau social considère que le climat de l'Oregon est suffisant pour permettre une climatisation naturelle de ses équipements et n'a jamais favorisé l'utilisation du charbon. Bon point par contre pour Yahoo, qui utilise l'énergie hydroélectrique pour son datacenter dans la banlieue de Buffalo dans l'état de New York. Google et Microsoft travaillent eux sur des datacenters plus respectueux de l'environnement et investissent aussi dans l'éducation des gens en la matière. En 2009, Google, qui  produit et commercialise de l'électricité, a proposé 3,7 milliards de dollars sur un plan de 20 ans pour réduire la dépendance énergétique américaine.

Vers des clouds plus vert..ueux

Néanmoins, Greenpeace souhaite que les entreprises Internet évoluent vers l'utilisation d'énergies renouvelables. « Si les fournisseurs de cloud veulent véritablement fournir un service vert, ils doivent orienter leurs investissements vers ces sources d'énergies alternatives, mais aussi s'impliquer davantage dans le débat politique sur ces sujets pour permettre le déploiement rapide de production électrique plus économique et d'accorder une place plus grande dans la R&D sur les systèmes de stockage qui délivrent de l'électricité en continu » (...)

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