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(25/03/2010 13:39:55)
Econocom lance une offre de migration vers Windows 7
Windows 7 représente plus qu'un nouveau système d'exploitation. Beaucoup de clients ont laissé passer Vista et ne devraient pas délaisser un deuxième changement. Et, après la crise, les budgets repartiront, espèrent analystes et fournisseurs, permettant d'acheter Seven, en migration simple, en upgrade de postes, en changeant le parc.
Dans cette perspective, Econocom a concocté une offre de migration, nommée « 7 remote services », la cinquième au catalogue de la société. Elle passe par l'étude d'impact la communication vers les utilisateurs et l'utilisation d'outils de pilotage à distance. « Seven permet justement de travailler à distance plus facilement qu'avec d'autres systèmes d'exploitation et nous avons développé des plate-formes de services qui nous permettent d'assurer à distance certaines tâches assurées auparavant sur place», note Didier Bertho directeur général de l'activité services de Econocom.
Au total, avec cette nouvelle offre, Econocom prend sept engagements qui parlent non seulement de la phase technique de migration, mais de l'étude d'impact ou de l'exploitation à distance en passant par l'aide aux utilisateurs. Le message est clair : rationaliser la phase de migration pour éviter qu'elle pèse sur l'activité informatique de l'entreprise par une surcharge temporaire de travail. Avec cette nouvelle offre, Econocom pense faire économiser jusqu'à 30% d'un budget de migration à ses clients.
De la fibre pour réduire la latence entre les plates-formes boursières européennes
Le temps de latence a été réduit de 15% entre les plateformes boursières européennes sur le réseau de l'opérateur Interoute, à la suite de deux nouvelles extensions de son offre Fast Trade, qui connecte Lyon à Paris et Hambourg à Stockholm. Ces extensions réduisent les délais d'aller-retour entre Londres, Amsterdam et Paris, et avec les places de marchés de Scandinavie.
De plus en plus de marchés européens proposent de faire du « trading » (achat d'actions sur les marchés) algorithmique. Cela concerne un certain nombre de places de marché, et notamment le NASDAQ OMX EUROPE (NEURO). Jusqu'il y a peu « un risque et une latence élevés limitaient les échanges financiers dans les pays scandinaves. Le problème du risque s'est réglé avec l'arrivée des organismes de compensation (clearing houses) en octobre 2009 et maintenant, nous réduisons la latence entre plateformes d'échanges. Avec ces changements, le marché financier scandinave se montre très attractif pour les traders » affirme Interoute.
Illustration D.R.
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Lancé en août 2009, le service Fast Trade offre des temps de latence très faibles entre 28 pays d'Europe. De nombreuses institutions, des banques de premier plan aux plus petites, des entreprises spécialisées dans les échanges électroniques et des sociétés émergentes, spécialistes du trading haute-fréquence, en sont clientes.
Le service Fast Trade fonctionne en mode point à point et repose sur des services SDH et de longueurs d'ondes. Toute bande passante Fast Trade achetée est entièrement dédiée à l'institution financière, afin que la latence ne varie pas même pendant les échanges boursiers les plus volatiles. De même, les délais contractuels des allers-retours sur les circuits Fast Trade sont basés sur la route exacte empruntée par le circuit et ils sont calculés avant la livraison, au dixième de milliseconde près. C'est ainsi que sont définis les niveaux de service (Service Level Agreement) premium. Le client peut se désengager si le niveau de service assuré ne correspond pas au niveau garanti selon les termes du contrat.
Ciena se frotte à Huawei dans les réseaux optiques métropolitains
A l'heure de la montée en puissance d'internet comme réseau multimédia, diffusant aussi bien les centaines de milliers de vidéos de Youtube que les programmes de la télévision de rattrapage de M6 ou de TF1, les réseaux Ethernet métropolitains sur fibre optique apparaissent comme indispensables afin de délivrer la bande passante ad hoc. Sur ce marché, l'équipementier télécoms américain Ciena joue la carte de la croissance externe afin de contrer son adversaire le plus difficile, le chinois Huawei.
Son acquisition de la division de réseaux Ethernet métropolitains (MEN ou Metro Ethernet Networks) de Nortel Networks fin 2009 vient d'être finalisée. « Ciena est à présent le seul fournisseur mondial exclusivement centré sur la convergence entre l'Ethernet et l'optique en tant qu'ossature des réseaux de nouvelle génération pilotés par les services et les applications » affirme Gary Smith, PDG de Ciena.
Photo : Gary Smith, PDG de Ciena (D.R.)
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Ciena rejoint le trio de tête du marché des équipements optiques, avec Alcatel-Lucent et Huawei. Ces trois acteurs pèseraient 60% du marché. Avec cette acquisition, le chiffre d'affaires de référence de 2009 pour Ciena dépasserait 1,8 milliards de dollars. La division MEN de Nortel pesait 1,3 milliard et l'activité de Ciena représentait 0,5 milliard. L'activité MEN a été acquise pour 773,8 millions en liquide.
Pour Ciena, cette absorption de plus gros que lui dans un marché ultra concurrentiel et sous la pression de la crise nécessite un plan de marche serré. L'équipementier annonce avoir sélectionné ses dirigeants et défini leurs domaines de responsabilité dans sa nouvelle organisation. Tim Harden, président, en charge de la chaîne logistique et de l'exploitation du parc pour AT&T e t Phil Male, directeur de la stratégie chez Cable & Wireless, ont encouragé l'arrivée de ce nouvel acteur sur le marché.
Un smartphone 4G Wimax chez HTC
Baptisé Evo 4G, ce smartphone fonctionne sous Google Android. Il sera commercialisé dès l'été 2010 aux Etats-Unis chez l'opérateur Sprint qui a déployé un réseau de quatrième génération à la norme WiMax dans 27 agglomérations américaines, dont Chicago, Las Vegas, Philadelphie et Seattle. Le Wimax concurrence aux Etats-Unis les réseaux cellulaires 3G et bientôt 4G repsoant sur la technologie LTE. Sprint précise que son réseau 4G (Wimax donc) couvre actuellement 30 millions d'habitants, et promet une vitesse de téléchargement sur mobile "jusqu'à 10 fois supérieure que la 3G".
Outre le support de la 3G et du réseau WiMax, le HTC Evo se présente comme un smartphone évolué. Il est doté d'un large écran tactile 4,3 pouces, d'une puce Qualcomm Snapdragon de 1 GHz, d'une sortie HDMI, d'un capteur photo 8 mégapixels avec flash et capable d'enregistrer des vidéos en HD, et d'une caméra en façade pour les appels en visioconférence, une application que favoriseront justement les débits de la 4G.
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L'appareil est également un "Google Phone", puisqu'il exploite le système d'exploitation Android 2.1. On y retrouve les services du moteur de recherche (Google Search, Gmail, Google Maps, YouTube, etc.), la fonction multi-points (pour zoomer sur une photo ou une page Web avec les deux doigts), l'application Goggles pour la recherche par reconnaissance vocale et visuelle, et l'interface intuitive Sense de HTC, qui fait la part belle aux réseaux sociaux (Facebook, Twitter, etc.).
Autre nouveauté, le HTC Evo 4G s'équipe d'une fonction permettant d'agir comme un hotspot Wifi. Il serait ainsi possible d'utiliser le terminal pour connecter jusqu'à huit appareils (PC portables, netbooks, etc.) au réseau sans fil.
Les tarifs de l'Evo 4G ne sont pas encore connus. Son lancement en Europe est peu probable, mais une version similaire, adaptée aux normes européennes, pourrait être annoncée un peu plus tard. (...)
iPhone, Safari, IE8, Firefox : les sécurités tombent au Pwn2Own
« En moins de cinq minutes, le duo Vincenzo Iozzo et Ralf-Philipp Weinmann avait trouvé la faille de l'iPhone, » a déclaré un porte-parole de 3Com TippingPoint, une entreprise spécialisée dans la sécurité informatique qui parraine le concours. Cet exploit leur a valu de remporter le prix de 15.000 dollars en espèces, un montant record pour un tel défi dans cette manifestation dont c'est la quatrième édition cette année.
Iozzo, un étudiant italien, travaille pour Zynamics GmbH, une société dirigée par le fameux chercheur Thomas Dullien, plus connu sous le nom de Halvar Flake. Quant à Weinmann, il est chercheur post-doctorant au Laboratoire d'Algorithmes, de Cryptologie et de sécurité de l'Université de Luxembourg. Weinmann s'était déjà fait connaître en 2007 pour avoir montré avec son équipe comment casser le protocole de sécurité WEP qui protège les réseaux Wi-Fi, beaucoup plus rapidement que ce que l'on croyait possible auparavant.
10 000 dollars pour avoir réussi
à craquer MacOS X 10.6.2
C'est Charlie Miller, un analyste de Baltimore travaillant pour une entreprise indépendante spécialisée dans l'évaluation de la sécurité informatique, qui a fait tomber Safari sur un MacBook Pro tournant sous Snow Leopard (MacOS X 10.6) L'an dernier, il s'était déjà illustré en craquant Safari en 10 secondes seulement. En 2008 et 2009, Charlie Miller a également remporté des prix pour avoir réussi à pirater un Mac. Cette année, il repartira avec un ordinateur portable et 10,000 dollars en espèces. Il est aussi le premier participant à avoir gagné trois de fois de suite à ce concours !
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Peter Vreugdenhil, un chercheur hollandais en sécurité, et nouveau participant à Pwn2Own, n'est pas venu pour rien. En effet, il a réussi à exploiter une vulnérabilité de IE8 sous Windows 7 avec un code d'attaque jugé «techniquement impressionnant» par TippingPoint : « il est parvenu à contourner le mécanisme de sécurité identifié sous le nom de Data Execution Prevention ou DEP du système d'exploitation, et spécifiquement chargé d'arrêter la plupart des attaques. » Comme Charlie Miller, Peter Vreugdenhil, a gagné un prix de 10.000 dollars. Nils, étudiant allemand en informatique et ancien lauréat, a reçu cette année 10.000 dollars pour avoir réussi à pirater Firefox de Mozilla sous Windows 7. Parmi les navigateurs désignés pour cibles par le concours, seul Chrome de Google a tenu au delà de la première journée.
Un business fructueux pour l'organisateur
TippingPoint ne révèle aucun détail sur les vulnérabilités mises à jour pendant le Pwn2Own. Dans le cadre du concours, l'entreprise rachète les droits d'exploitation du code et traite ensuite avec les éditeurs concernés, qui envoient tous des représentants sur place. Souvent, les vendeurs ne tardent pas à sortir les patchs qui corrigent les vulnérabilités découvertes. En 2008 par exemple, trois semaines à peine après que Charlie Miller fasse tomber Safari, Apple livrait son correctif. Mozilla a battu ce record l'année dernière, mettant à jour Firefox une semaine seulement après la faille découverte par Nils sur son navigateur.
TippingPoint divulgue la nature de chaque faille quand le vendeur a fini de colmater ses brèches.
(...)(25/03/2010 12:43:48)
Adwords sauvé, mais Google sous surveillance des marques
Une décision de justice où toutes les parties estiment avoir gagné, c'est assez rare. L'affaire Google France Sarl contre Louis Vuitton Malletier auprès de la Cour de Justice de l'Union européenne est de celle-là. Pour mémoire, l'activité maroquinerie de luxe du groupe LVMH, ainsi que d'autres marques (Bourse des Voyages et une agence matrimoniale) ont porté plainte contre le moteur de recherche en estimant que le service d'achat de mots clés « adwords », permettant à des annonceurs d'apparaître lors de requêtes ciblées dans la rubrique « liens commerciaux ». Or les plaignants ont constaté que ces liens menaient à des sites concurrents ou de contrefaçons de leurs propres marques. Après un premier jugement favorable aux marques et un appel, la Cour de Cassation a posé à la CJUE des questions préjudicielles pour éclaircir certains éléments au regard du droit communautaire et plus particulièrement vis-à-vis des directives européennes sur le droit des marques.
Bénéfices pour les deux parties
La justice européenne rappelle au préalable la directive « marque » du 21 décembre 1988 et le règlement « marque communautaire » du 20 décembre 1993 en estimant que les titulaires d'une marque sont habilités à interdire un annonceur de faire de la publicité pour des produits ou des services identiques à ceux pour lesquels ladite marque est enregistrée. La CJUE renvoie donc aux juridictions nationales de statuer sur les plaintes déposées par les propriétaires des marques contre les annonceurs frauduleux afin de retirer leurs liens.
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Dans sa deuxième réponse, la Cour souligne qu'au regard de la directive, « le prestataire d'un service de référencement sur Internet qui stocke en tant que mot clé un signe identique à une marque et organise l'affichage d'annonces à partir de celui-ci, ne fait pas un usage de ce signe ». Cette phrase exonère le service Adwords de faciliter la contrefaçon. Cette exemption est renforcée par l'interprétation de la directive commerce électronique du 8 juin 2000, « si le prestataire n'a pas joué un rôle actif de nature à lui confier une connaissance ou un contrôle des données stockées. S'il n'a pas joué un tel rôle, ledit prestataire ne peut être tenu responsable pour les données qu'il a stockées à la demande d'un annonceur à moins que, ayant pris connaissance du caractère illicite de ces données ou d'activités de cet annonceur, il n'ait pas promptement retiré ou rendu inaccessibles lesdites données. »
Une obligation de négociations
De prime abord, chaque partie peut crier victoire. Google sauve un service qui lui apporte une ressource financière essentielle à son activité. Les titulaires de marques, eux, vont pouvoir attaquer plus rapidement les annonceurs malveillants, notamment à travers des procédures de référé, obligeant ainsi Google à surveiller ses liens commerciaux. Dans certains cas, la responsabilité civile de Google pourra être analysée par les juges et des dommages et intérêts pourront alors être prononcés. Du côté, des détenteurs de marques, le dépôt de plaintes systématique dans les 27 pays de l'Union européenne peut vite devenir fastidieux et un centre de coût. Il est donc impératif que les protagonistes de cette affaire s'entendent sur la mise en place de bonnes pratiques. Pierre Godé, vice-Président du Groupe LVMH, a déclaré à propos de la décision de la CJUE « nous voulons continuer à travailler avec tous ses acteurs, y compris Google, pour éradiquer les pratiques illicites en ligne et promouvoir la mise en place d'un cadre favorable à une croissance saine et rapide de l'économie digitale. ». De son côté, Google sur son http://googleblog.blogspot.com/2010/03/european-court-of-justice-rules-in.html>blog> affirme disposer d'une politique d'interdiction des publicités de contrefaçon et d'ajouter « nous travaillerons en collaboration avec les propriétaires des marques pour mieux identifier et éliminer les contrefacteurs ».
Au final, après 5 ans de procédure, la justice européenne a permis de clarifier le débat et de remettre les différents acteurs autour de la table pour négocier, plutôt que de s'affronter.
(...)(25/03/2010 08:56:37)Le marché des clients légers accuse une baisse de 10% en France
« La conjoncture économique explique en grande partie cette contre-performance, indique Nathaniel Martinez, le directeur des recherches Infrastrcutures et serveurs chez IDC Europe. On peut également penser que les ventes ont souffert de la concurrence des PC dont la baisse des prix a diminué l'attrait des clients légers pour les entreprises en termes de maîtrise des coûts».
Du côté des constructeurs, les positions sont restées inchangées sur l'ensemble de l'année. HP reste le numéro un en France, suivi de Wyse, de VXL Instruments, du français Impact Technologies et de Sun.
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