Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 8601 à 8610.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(24/03/2010 17:13:23)

Adobe unifie ses outils Flash pour aider les développeurs

« Avec ce lancement, Adobe souhaite des développements d'applications plus visuelles et plus interactives, ainsi qu'une personnalisation des interfaces utilisateurs » explique Dave Gruber, responsable produit pour la plateforme Flash. Les outils proposés doivent aider les développeurs à imaginer, coder, tester et déboguer plus rapidement.

La plupart des évolutions concernent Flash Builder 4, anciennement connu sous le nom de Flex Builder. « Nous avons changé de nom, car la nouvelle solution englobe plus de fonctionnalités que dans le cadre unique de Flex » souligne le responsable produit et d'ajouter que « les personnes utilisaient déjà Flex Builder pour développer en ActionScript en dehors du cadre Flex ». Les outils supportent le développement en Flash et Flex (version 3 et 4). Flash Builder 4 améliore le codage et le test en assurant une plus grande intégration au sein des logiciels de Creative Suite. Les développeurs pourront travailler sur l'architecture « Spark » pour créer de nouveaux habillages et des compositions à destination des entreprises.

 

[[page]]

La version 4 assurera également une interaction avec la prochaine évolution de Flash Catalyst. Côté tarif, l'édition standard de Flash Builder coûte 249 dollars et 699 dollars en version premium. Cette dernière comprend des éléments de tests et une licence pour ColdFusion Builder IDE. Ce produit qui coûte 299 dollars est basé sur Eclipse. Il s'adresse au monde de l'entreprise qui ne disposait auparavant que des outils de Dreamweaver pour réaliser des développements sur la plateforme Coldfusion.

En complément de ces annonces, Adobe propose également la plateforme Flash Service Social à destination des développeurs qui souhaitent intégrer des applications Flash au sein de 14 réseaux sociaux, dont Facebook Connect, MySpace ID, Google, LinkedIn et Sign-In avec Twitter. En disposant d'un codage unique et une interface commune aux différents réseaux, il ne sera plus nécessaire de disposer d'API des différents réseaux sociaux.

(...)

(24/03/2010 17:10:13)

Mozilla étend son outil de sécurité aux navigateurs concurrents

Selon un calendrier publié la semaine dernière, l'outil web de Mozilla sera opérationnel dès aujourd'hui sur les navigateurs concurrents. Mardi, Mozilla avait activé le plug-in sur une version préliminaire de son outil, mais pas sur le module définitif. Intégré au mécanisme de contrôle de Firefox 3.6.2, il permet aux utilisateurs de Chrome 4, d'Opera 10.5 et de Safari 4 de vérifier la validité de plug-ins comme Flash d'Adobe et QuickTime d'Apple, souvent pris pour cible par les pirates. Le support pour Internet Explorer de Microsoft est limité à IE7 et IE8 et au contrôle d'un plus petit nombre de plug-ins. Les plug-ins obsolètes sont marqués d'une étiquette « Mettre à jour »  qui les identifie comme potentiellement vulnérables, tandis que les autres sont marqués comme étant «A jour», ou si leur état est inconnu, avec la mention « Recherche ». D'autres tags comme «Peut-être obsolète », « Peut-être vulnérable » seront ajoutés.
[[page]]
L'année dernière, Mozilla avait lancé son outil de contrôle pour vérifier exclusivement le module Flash d'Adobe, que l'éditeur jugeait particulièrement en vu des attaquants du fait de sa grande popularité. Mozilla a ensuite ajouté d'autres plug-ins à sa liste, et intégré l'outil dans la version 3.6 de Firefox lancée en janvier dernier. L'idée est d'indiquer aux utilisateurs quels plug-ins peuvent être vulnérables aux attaques s'ils ne sont pas mis à jour. L'outil fonctionne en exécutant une commande ping sur les serveurs de Mozilla, qui comparent la version du plug-in résidant sur la machine à la version la plus récente disponible. Des liens pour les modules marqués « Mettre à jour » dirigent directement vers les pages de téléchargement des vendeurs, où les utilisateurs peuvent downloader la dernière version du plug-in.

Firefox 3.6.2 dispose de différentes alertes, y compris lorsqu'une page web tente de charger un plug-in obsolète. Cette fonctionnalité n'existe pas dans l'outil web offert aux autres navigateurs. Mozilla a également indiqué qu'il intégrera un plug-in de mise à jour, semblable à celui utilisé pour les extensions du navigateur, dans Firefox puisque à l'heure actuelle, la dernière version (3.6.2) dirige toujours les utilisateurs vers la page de contrôle des plug-ins lorsqu'on clique sur le bouton « Vérifier la Mise à jour » dans la section «Plug-ins» de l'outil «Add-ons ». (...)

(24/03/2010 16:43:46)

Top 10 des villes visées par la cybercriminalité aux Etats-Unis

S'appuyant sur des critères qui tiennent compte du nombre d'ordinateurs par habitant et de la taille de la population, l'étude a placé Seattle en tête de ce palmarès des villes les plus visées par la cybercriminalité, notamment pour ce qui est des cyber attaques, du phishing et des menaces liées aux logiciels malveillants. Viennent ensuite Boston, Washington (DC), San Francisco, Raleigh (NC), Atlanta, Minneapolis, Denver, Austin, Texas, et Portland (Oregon).

« Les facteurs qui font qu'une ville est fière de son administration et de son mode de vie sont les mêmes que ceux qui en font une ville à risque en matière de cybercriminalité», a déclaré Marian Merritt, conseiller à la sécurité Internet chez Norton. Les villes les plus risquées sont celles où les habitants possèdent de nombreux ordinateurs individuels, où la population affiche un de niveau de vie élevé, et dans laquelle un grand nombre de personnes font des achats en ligne, consultent les services bancaires via Internet, consomment de la bande passante et disposent de nombreux hot spots Wifi. Ce mode de vie s'accorde typiquement avec des niveaux élevés d'infection par les logiciels malveillants, le phishing et autres types de cyberattaque.

C'est la raison pour laquelle de grandes villes comme New York ou Chicago ne figurent pas au Top 10 des villes les plus risquées. En effet, malgré la taille de leur population, ces villes n'ont pas un niveau d'ordinateurs par habitant ou d'usage de l'Internet équivalent. Si bien que New York n'arrive qu'à la 24ème place de ce classement et Chicago à la 35ème parmi les 50 villes auditées par l'étude de Symantec et BestPlaces Sperling.

[[page]]

Certains peuvent sans doute trouver ça inutile de savoir que certaines villes sont plus risquées que d'autres en matière d'Internet. Mais Marian Merritt a indiqué que Symantec s'était intéressé à ce sujet après avoir analysé les sources provenant d'une vaste compilation de données récoltées par le réseau de la société qui répertorie les intrusions et surveille les cyber attaques localisées en fonction des adresses IP. « De plus, Sperling's BestPlaces, partenaire de Symantec sur le projet, disposait déjà d'une montagne d'informations sur la démographie, y compris des informations sur le nombre de hot spots disponibles, » fait remarquer Marian Merritt. Les hotspots sans fil sont considérés comme à risque parce qu'il est relativement facile d'espionner quelqu'un sur ce type de réseau, et Symantec conseille de ne jamais entrer de données sensibles lors de la navigation sur un Wifi public.

Des attaques très ciblées

Bien que la plupart des gens supposent que la cybercriminalité résulte toujours d'une série d'attaques menées au hasard, comme le phishing ou les tentatives d'effraction dans les systèmes, mettant ainsi tout le monde sur un pied d'égalité, la réalité est que la cybercriminalité « n'est pas menée de manière large et qu'elle est souvent le fait d'attaques ciblées », affirme Marian Merritt. Elle précise même que le genre d'individus en particulier que visent les criminels sont des personnes fortunées, qui passent beaucoup de temps en ligne, que ce soit pour le travail, le shopping ou le divertissement, et dont le comportement en matière de sécurité peut-être parfois négligent. Selon Symantec, il faut au minimum « s'assurer que son ordinateur est toujours protégé par un logiciel de sécurité, mis à jour avec les derniers correctifs. »

 



(...)

(24/03/2010 16:10:30)

iGroups : un réseau social original pour iPhone et iPad

Selon les informations du blog, Patently Apple, spécialisé dans les brevets déposés par Apple Basé sur un système spécifique de cryptage des données permettant de sécuriser les informations privées, iGroups permettrait à Apple de développer un système de réseau social exclusif aux utilisateurs d'iPhone en premier lieu, puis étendu à d'autres terminaux par la suite. Avec ce service, il suffit de créer un groupe et d'y inviter des participants. Les utilisateurs peuvent détecter un groupe lorsqu'ils sont physiquement proches de son créateur. Paramétrés pour être effectifs un certain laps de temps, les iGroups permettent à un membre de communiquer à tous les autres en simultané, par sms ou e-mail. Le scénario mis en avant est celui d'un concert de rock, où les possesseurs d'iphone peuvent constituer pendant l'événement un groupe éphémère et s'échanger des commentaires.

Un service  qui va au-delà des produits Apple

Si d'autres options comme le partage de fichiers et de calendriers sont évoquées, la véritable révolution d'iGroup consiste dans la possibilité d'inclure d'autres participants non-détenteurs d'un iPhone, le bluetooth ou le wifi étant suffisant pour les ajouter à la liste des membres et leur envoyer des messages. Plus encore, iGroups permettrait, via un système de mini-routeur, d'agglomérer une multitude d'appareils ne disposant pas d'une balise GPS en utilisant les connexions des autres terminaux. Ainsi, si un téléphone détecte dix autres appareils grâce au bluetooth, l'iPhone qui héberge le groupe pourra également les inclure dans son réseau.

iGroups serait donc un créateur de réseau social ponctuel n'impliquant ni web, ni création de compte. Prévu pour arriver avec iPhone OS 4.0, l'utilisation d'une telle fonctionnalité impliquerait donc une mise à jour du système d'exploitation des précédentes générations de smartphones.

 

Crédit Photo: Patently Apple

(...)

(24/03/2010 12:41:52)

Apec : chute de 26% des offres IT par rapport à février 2009

En février dernier, l'Apec a reçu 6 960 offres d'emploi de cadres destinées aux professionnels de l'informatique, soit une baisse de 26 % par rapport à l'an dernier. La fonction IT fait ainsi partie, avec les services techniques et la R & D, de celles qui affichent un recul plus important que la moyenne.  Au total, l'informatique a tout de même représenté un total de 63 253 offres en cumul sur douze mois, entre mars 2009 et février 2010. Les métiers du secteur ayant subi une baisse du nombre d'offres sont ceux liés à la maîtrise d'ouvrage (- 38%), à l'informatique de gestion (-31%), à l'informatique industrielle (-28%) à l'exploitation et à la maintenance (-27%) aux systèmes réseaux et données (-26%). A l'inverse la demande autour des métiers du Web, des sites et des portails Internet a bondi de 266%, sur la période de mars 2009 à février 2010, par rapport à celle de mars 2008 à février 2009, soit  3 383 offres supplémentaires déposées au cours de cette période. (...)

(24/03/2010 11:33:59)

Siemens externalise sa branche informatique SIS

Siemens va supprimer des emplois dans ses activités de services informatiques (SIS) et restructurer cette branche, en vue d'engranger 500 M€ d'investissements additionnels d'ici à 2012. Ce plan prévoit la suppression de 4 200 emplois dans le monde, dont 2 200 en Allemagne, sur un effectif total de 35 000 salariés. Cette réduction d'effectifs touchera en premier lieu les salariés travaillant sur les principaux sites allemands. Concernant les 2 200 réductions d'emplois hors Allemagne, la plupart - environ 1 700 - auront lieu en Europe. La France n'est pas épargnée, l'équipementier télécoms ayant annoncé le 9 mars, en Comité central d'entreprise (CCE), l'externalisation de sa branche informatique SIS basée à St-Denis (Seine-St-Denis), selon la CFTC. Le syndicat souhaite le report de ce projet et considère que ce dernier ne garantit en rien l'activité en France mais qu'au contraire elle organise la délocalisation vers SIS Italie, Belgique et Espagne. Le syndicat exprime également ses craintes sur les risques d'un passage à la convention collective Syntec qui pourrait avoir pour conséquence une baisse importante des avantages pour les salariés et notamment des indemnités de licenciements en cas de plan social.
(...)

(24/03/2010 11:09:37)

Après Areva, Benoit Tiers devient CTO de Sanofi-Aventis

Sanofi-Aventis a annoncé dans un communiqué de presse que Benoît Tiers a été nommé Chief Technology Officer (CTO) de Sanofi-Aventis avec effet au 22 mars 2010.
Il rapportera à Bruno Ménard, vice-président systèmes d'information de Sanofi-Aventis, qui a un profil plutôt financier. Rappelons que ce dernier est l'actuel président du Cigref (Club Informatique des Grandes Entreprises Françaises). Benoît Tiers est, quant à lui, président de l'EOA (European Outsourcing Association) et représentait déjà Areva au Cigref.

A 46 ans, Benoît Tiers quitte le poste de DSI du groupe Areva, poste qu'il occupait depuis 2005. En tant que DSI d'Areva, il avait fait obtenir une triple certification à sa direction : ISO 9001, 14001 et 27001 (voir son interview dans « En savoir plus »). Il était auparavant PDG du prestataire de services informatiques Euriware, filiale du groupe Areva.

Cette double expérience de DSI et d'ancien patron de société de service sera mise à profit pour mettre en place au sein de Sanofi-Aventis une entité interne visant à délivrer aux métiers des services opérationnels et d'infrastructures informatiques. Cette démarche est proche de celle de nombreux groupes du CAC 40, notamment Axa (lauréat 2009 du Trophée Entreprises et Société de l'Information de la conduite du changement pour cette mise en oeuvre). (...)

(24/03/2010 11:09:12)

Mise en rayon optimisée chez les distributeurs de Yoplait

Yoplait France doit adapter ses plans de distribution en fonction des spécificités de chaque magasin et de ventes très variables en fonction d'un grand nombre de paramètres, notamment météorologiques. Le spécialiste des produits laitiers frais ne peut en effet pas sur-alimenter ses distributeurs qui ne peuvent pas conserver de stocks trop longtemps et il devait subir des ruptures de stock préjudiciable au chiffre d'affaires. Les chefs de secteur de Yoplait ont notamment pour mission d'inciter les distributeurs à commander des produits de leur marque afin d'éviter à la fois les sur-stocks et les ruptures de stocks. Ce travail se faisait beaucoup manuellement. Le marché étant très concurrentiel, Yoplait a décidé d'optimiser cette mission des chefs de secteurs en recourant aux services de la solution d'automatisation de plans de merchandising Apollo de l'éditeur Aldata. Les plans de merchandising ont intégrés aux outils informatiques habituels des chefs de secteur. L'éditeur a mis en relation la marque avec les distributeurs acceptant d'être partenaires de l'opération afin que les plans de merchandising soient adaptés aux configurations de leurs magasins. (...)

(24/03/2010 11:16:53)

Annuels Osiatis : rentabilité préservée

Comme toute société de service, Osiatis a subi la crise économique. Son chiffre d'affaires 2009 se monte à  232,8 millions d'euros (ME) contre 239,5 un an auparavant, soit une baisse de 2,8%. La France est en net repli, avec -4,7% pour un CA de198,9 ME, alors que l'international (15% de l'activité) progresse de 10,1% avec 33,9 ME.

Le CA annuel précédent, celui de 2008, était en progression de 1,4% par rapport à l'exercice précédent. Osiatis reste sur des progressions de CA faibles : 213,8 ME de CA en 2004, 220,2 en 2005, 223,9 en 2006, 236,2 en 2007. En revanche, tous les chiffres 2009 concernant la rentabilité sont au vert : la marge opérationnelle progresse de 6,2% à 12,7 ME, le résultat net augmente de 68,5% à 7,9 ME, le résultat opérationnel de 19,6% à 10,5 ME. Le résultat net part du groupe se situe à 7,8 ME en hausse de 68,9%.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >