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(22/03/2010 16:58:29)
Salaires 2010 : peu d'espoir d'augmentation
L'enquête publiée par le cabinet de recrutement Hays le démontre : 2010 ne sera toujours pas l'année des augmentations. La conjoncture des années 2008 et 2009 a eu un impact important sur les recrutements et de fait sur les politiques de rémunération. Entre crise et restructuration, les salaires des informaticiens ont stagné en 2009. Dans les systèmes et réseaux, la pénurie des candidats constatés ces dernières années s'est réduite en particulier grâce aux licenciements en masse du secteur, principalement en SSII. Les fonctions du middle et du top management au sein des DSI ont particulièrement souffert de la situation. Ces profils ne sont pas toujours remplacés et les DSI préfèrent limiter le nombre d'intermédiaires entre les ingénieurs techniciens de production et de direction. « Désormais un profil classique d'ingénieur système et réseaux ne suffit plus, précise Anthony Collins, directeur adjoint de la division informatique et télécoms chez Hays. Il lui faut désormais disposer d'une valeur ajoutée pour négocier son salaire. »
Dans des secteurs en vogue malgré la conjoncture, tels que l'e-commerce, le web 2.0 et le multimédia les salaires sont également en berne sauf pour les experts qui peuvent les négocier à la hausse. «Ce sont des marchés porteurs, mais encore en devenir, précise Anthony Collins. Le niveau de rémunération n'a en général pas augmenté en 2009. Dans ces secteurs, il correspond plutôt à celui de 2008, et est, dans certains cas, revu à la baisse, dans les systèmes et réseaux par exemple».
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La tendance est donc à la morosité, sauf pour des profils très spécifiques. Exemple : maîtrise de Spring Struts Hibernate pour des ingénieurs Java/J2EE, maîtrise de Net 3.5 SQL Server 2005/2008 pour les spécialistes de .net.
Les métiers du conseil et de la MOA sont également en perte de vitesse, avec peu de postes ouverts en 2009. Même constat pour le secteur des ERP et du décisionnel, avec peu de recrutements et quasiment pas d'évolution salariale. E l'avenir n'augure rien de bon « Si la reprise budgétaire ne se manifeste pas rapidement, 2010 pourrait être une année difficile, tant pour les salaires que pour l'emploi », prévient le directeur adjoint d'Hays. Cependant ce marché est très cyclique et lorsque la reprise se confirme l'emploi et les salaires reprendront rapidement le bon chemin. » Il ajoute « Il faut, néanmoins, rester lucide. Le secteur de l'informatique est devenu un secteur comme les autres, qui s'est industrialisé et qui ne retrouvera jamais son essor des années 1998-2001 et de 2005-2007 ».
(...)
L'outil collaboratif Novell Pulse Enterprise 2.0 passe en bêta
« Dans les semaines à venir, nous allons procurer aux conférenciers, un compte pour entrer dans le système Pulse et offrir à chacun cinq accès pour leurs collègues, » a déclaré Ken Muir, directeur de la stratégie, en charge des technologies dans l'unité Collaboration Business de Novell. « L'idée est de donner aux clients l'opportunité d'essayer Pulse et d'avoir leur feedback sur notre produit en phase finale, avant qu'il ne soit mis à la disposition de tous, » a t-il expliqué.
Pulse permet de partager des documents en temps réel avec ses collaborateurs et de paramétrer les profils des employés, tout en laissant aux gestionnaires informatiques le contrôle administratif pour établir le cadre d'utilisation et garantir la sécurité. En plus de conserver des informations sur les domaines de compétences des salariés, les profils permettent aussi aux utilisateurs de mettre à jour les statuts et de diffuser d'autres notifications à leurs collègues de travail. Pulse sera également doté d'une boîte de réception unifiée, et bénéficiera de l'intégration à l'application Wave de Google, qui combine la fonction d'e-mail, de messagerie instantanée et la mise en commun de documents.
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A l'image d'autres produits similaires vendus par IBM, Microsoft, Socialtext, NewsGator, Jive Software et autres, Pulse s'emploie à adapter les services et les applications du Web 2.0, en particulier le microblogging et le réseautage social, et à faire coïncider le système collaboratif avec les objectifs de l'entreprise. Novell prévoit d'offrir Pulse en mode SaaS (Software-as-a-service) dans un cloud et comme solution logicielle installée sur site. L'éditeur prévoit de lancer la version définitive de sa suite au cours du second semestre 2010.
(...)(22/03/2010 15:42:21)Novell rejette l'offre de rachat d'Elliott Associates
Samedi, Ron Hovsepian, le PDG de Novell, a fait savoir à ses clients que l'entreprise avait rejeté l'offre de 2 milliards de dollars faite par Elliott Associates pour acquérir l'entreprise et ses logiciels open source. « Comme vous le savez, le 2 mars, Elliott Associates, L. P. a fait une offre non sollicitée et soumise à conditions pour l'acquisition de Novell. Aujourd'hui, après examen attentif et étude de la proposition avec les conseillers financiers et juridiques indépendants représentants Eliott Associates, nous avons fait connaître, par communiqué de presse, la décision prise par notre conseil d'administration, à savoir que l'offre d'Elliott Associates était inadéquate et qu'elle sous-évaluait l'activité de franchise et les perspectives de croissance de l'entreprise. En outre, nous avons annoncé que notre conseil avait autorisé l'examen de différentes options afin d'améliorer la valeur des actifs détenus par nos actionnaires. »
Illustration, Ron Hovsepian, PDG de Novell
(...)(22/03/2010 15:23:31)Les chercheurs de Microsoft testent un service de microblogging
Microsoft, qui a révélé peu de détails sur son futur service, a indiqué qu'elle le testait actuellement en interne. Selon le blog du site Office Labs, Microsoft veut désormais tester OfficeTalk chez quelques clients en l'associant à d'autres expériences de réseautage social. L'entreprise compte profiter de cette opportunité pour mener une étude sur la manière dont les entreprises et leurs salariés utilisent les technologies. L'entreprise fait aussi entrer son service dans le peloton des vendeurs de logiciels de réseautage au nombre desquels on compte déjà Socialtext, StatusNet, Yammer, Socialcast et Salesforce, autant de solutions de microblogging destinées à l'environnement professionnel.
OfficeTalk permettra aux utilisateurs professionnels de partager des informations courtes, à la manière de Twitter. «Ce concept applique les fonctions classiques de microblogging à un environnement d'entreprise, et permet notamment aux salariés de publier leurs réflexions, des informations concernant leur activité et des renseignements potentiellement utiles à ceux qui pourraient être intéressées par le sujet », peut-on lire dans un article paru sur le blog de l'équipe de développement. Le post indique au passage que le test d'OfficeTalk a été l'un des plus suivi en interne parmi ceux menés dans les laboratoires d'Office Labs. « C'est la preuve évidente que les gens ne limitent pas le microblogging à un aspect purement social, et que sa mise en oeuvre dans un environnement axé sur la productivité permet de propager l'information, de rationaliser la collaboration et de partager des expériences uniques rapidement à travers les réseaux informels, » ajoute t-il.
Toujours prompts à souligner qu'ils travaillent sur des projets qui peuvent ne jamais se retrouver sur le marché, les chercheurs de l'Office Labs n'ont pas failli pas à leur tradition et le blog précise que « OfficeTalk n'est pas un produit, c'est un projet de recherche qui vise à comprendre comment des individus peuvent utiliser de outils de réseautage social dans leur environnement de travail et de quelle façon les salariés et leur entreprise peuvent y trouver une plus value. »
(...)(22/03/2010 14:57:04)
Salon DEMO Spring 2010 : L'innovation à l'heure du cloud
«Le cloud est un sujet énorme - chaque élément de cette plate-forme est aujourd'hui creusée et explorée » introduit Matt Marshall, le responsable l'événement. Alors que les solutions en démonstration sont généralement axées sur les utilisateurs, il existe également de nombreux produits destinés aux systèmes d'information de l'entreprise. La start-up FathomDB dévoile, par exemple, une base de données relationnelle qui s'exécute dans un cloud avec une tarification basée sur la capacité utilisée. «Le niveau de prix devrait être vraiment très bas » assure Matt Marshall.
Une autre société dénommée Gwabbit, qui avait déjà participé à la précédente édition de DEMO avec une solution de gestion de contacts pour Microsoft Outlook, est de retour est de retour avec un service hébergé sur un cloud qui synchronise automatiquement les contacts à travers de multiples systèmes. "Non seulement il récupère tous vos contacts, mais il les répartit sur les différentes plates-formes que vous utilisez », LinkedIn ou Facebook explique le responsable du salon. "À chaque connexion, le service dialogue avec les plates-formes pour synchroniser tous les contacts et opérer les changements nécessaires. "
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Une autre société du nom de Teneros met également l'accent sur les réseaux sociaux, mais avec un angle résolument professionnel. Son logiciel, appelé Social Sentry, permet aux entreprises de surveiller l'activité des employés sur des sites comme Facebook et Twitter. Le service piste les échanges avec les postes de travail externes à l'entreprise pour s'assurer que les employés ne diffusent pas d'informations sensibles. Teneros est probablement la société la plus opérationnelle sur le salon, puisqu'elle a déjà levé près de 100 millions de dollars auprès d'investisseurs selon Matt Marshall. Ce dernier, qui est arrivé cette année aux manettes de DEMO, est naturellement très excité sur les sociétés qu'il présente. «J'étais particulièrement enthousiaste lors de la préparation de cette liste ", dit-il." Il y a vraiment des entreprises étonnantes."
Mais c'est un moment difficile pour les start-ups qui cherchent à lever des capitaux dans le cadre d'un joint venture, souligne Jeff Couronne, président de DEMO et promoteur de la société VenueGen. Cette start-up a créé une plateforme de rencontre virtuelle 3D grâce à un premier investissement de 2 millions de dollars. Elle tente aujourd'hui de réaliser un tour de table pour récupérer 5 millions de dollars qui serviront à poursuivre le développement de l'entreprise. «Il n'est jamais très facile de lancer une entreprise», explique Jeff Couronne. "À la fin de la journée, toute personne qui aura investi dans une société, aura la satisfaction de soutenir une équipe », qui aura présenté son travail sur le salon.
Ces investisseurs recherchent des sociétés qui prospectent un marché prometteur , et qui ont déjà réussi à conquérir des clients, ajoute Jeff Crown. "Les investisseurs en capital-risque veulent voir les clients, les revenus et les produits, et c'est très différent d'hier quand ils étaient disposés à financer des prototypes et des idées de recherche. »
(...)(22/03/2010 15:14:38)L'appel au boycott sur le Net condamné
Une cliente harassée des retards incessants d'un programme immobilier a créé un site web pour d'une part raconter ses malheurs et d'autre part appeler au boycott des autres programmes du même promoteur en les désignant explicitement. Le promoteur a attaqué en justice sur le fondement du dénigrement et non de la diffamation. Le tribunal de grande instance de Paris a rendu un jugement intéressant le 25 janvier dernier sur un sujet auquel peut être confrontée n'importe quelle entreprise en litige avec un client.
Tout d'abord, la diffamation a été exclue tant par le demandeur que le défendeur. En effet, la réalité des malheurs de l'internaute ne faisait aucun doute. Simplement, l'explication tenait de difficultés d'un sous-traitant important. Le tribunal a par contre relevé l'intention de nuire : « Tout tiers non concurrent de la société critiquée peut porter un jugement critique, la critique fût-elle sévère, dès lors qu’elle n’est pas inspirée par le désir de nuire, c’est à dire qu’elle ne comporte pas d’invectives ou d’appels au boycott notamment et qu’elle est objective et prudente ;(...) ». Or les appels au boycott des autres programmes étaient, en l'occurrence, sans fondement et sans prudence. L'internaute était donc bien coupable.
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Par contre, les hébergeurs n'ont pas été reconnus coupables. En effet, lorsque le véritable hébergeur au sens de la LCEN (Loi sur la Confiance dans l'Economie Numérique) a été averti, le site litigieux était déjà sans contenu et l'hébergeur n'avait donc pas à fermer un site au contenu potentiellement « manifestement illicite ». Le fournisseur des infrastructures (et notamment du serveur d'hébergement) à l'hébergeur réel était, quant à lui, d'entrée de jeu hors de cause, comme l'a rappelé le tribunal. Pour une action rapide, ce point du jugement rappelle aux entreprises qu'elles doivent saisir les hébergeurs réels des contenus, ayant le pouvoir d'agir sur les contenus, et non pas les fournisseurs d'infrastructures techniques revendues « à la découpe » par les hébergeurs, offreurs d'hébergements mutualisés.
Restait la question des dédommagements et sanctions de l'internaute. La procédure étant ici civile (et non pas pénale), le promoteur devait apporter la preuve d'un préjudice réel sur son activité. Il réclamait 150 000 euros sur la base d'une mévente dont il a été victime sur les programmes attaqués par l'internaute. Le site en cause ayant été en ligne très peu de temps et avec une audience minime, la preuve nécessaire n'a pas été rapportée. L'internaute n'a donc été condamnée qu'à un euro de dommages et intérêts. Les frais d'avocat (article 700 du code de procédure pénale) ont été laissés à la charge de chaque partie.
NTT Communication prend pied dans le cloud
Certains diront un de plus, mais les opérateurs télécoms à vocation internationale saisissent l'opportunité du cloud pour proposer des offres spécifiques sur le sujet. L'opérateur japonais NTT qui dispose d'une entité, baptisée NTT Communications, dont une unité d'affaires est dédiée aux services managés, NTT Europe Online, n'échappe pas à cette règle en proposant une solution baptisée Global Virtualization Services. Stéphane Estevez, responsable produit de NTT Europe Online explique que cette offre « s'adresse à l'activité infrastructure en mode IaaS (Infrastructure as a service) alliant puissance de calcul et machines virtuelles. Notre stratégie pour cette année est d'assister les entreprises dans leur migration vers ces nouveaux modèles, en gérant tous les types de cloud dans une vision globale ». L'avantage de la solution pour les entreprises disposant de plusieurs sites dans le monde est d'avoir un interlocuteur unique aussi bien sur le plan du support, que sur le portail d'administration, qui leur offre de nombreuses fonctionnalités de design d'architecture, d'installation et de gestion des opérations. (...)
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