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(19/03/2010 17:20:03)

Plate-forme serveur quatre sockets au prix de deux chez AMD

Pour contrer la montée en puissance de son concurrent Intel qui vient de lancer sa plateforme bi-socket Xeon 5600 Westmere 32 nm (avec 4 ou six coeurs),  AMD a décidé de se battre sur le front des prix. Le fondeur proposerait en effet sa plate-forme Opteron Maranello qui peut accueillir quatre sockets Opteron « Magny-Cours » (8 à 12 coeurs) dans la même fourchette de prix que les deux sockets d'Intel. Leslie Sobon, vice-président des produits et du marketing chez AMD a expliqué à nos confrères de CIO que les serveurs quatre sockets avaient été commercialisés à un prix injustifié, mais les systèmes utilisant l'Opteron Magny -Cours allaient changer cela. «La taxe sur les systèmes 4P (4 socket)  a arbitrairement maintenu le marché a un niveau très bas , 5% en volume » précise-elle .

Bien entendu, Intel pourrait couper l'herbe sous les pieds d'AMD en baissant ses prix, mais ce genre de pratique est moins susceptible de se produire depuis le dernier jugement de l'UE. Intel avait en effet été accusé d'utiliser des tactiques injustes afin de maintenir sa part de marché dominante.

(...)

(19/03/2010 17:06:55)

Google quitterait la Chine le 10 Avril

Le 10 avril, c'est la date de fermeture annoncée par le journal économique chinois CBN pour le site chinois du géant Google, www.google.cn. Même si elle n'est pour l'heure pas confirmée, cette annonce fait suite à une longue querelle entre le leader de la recherche internet et Pékin, le premier supportant de moins en moins les piratages et la façon dont le second filtrait ses résultats de recherche en Chine. Selon le Financial Times, Google avait  déjà décidé de quitter la Chine depuis quelques temps, déclarant que la firme était certaine «  à 99,9% » d'abandonner bientôt google.cn. De son côté, la porte-parole de Google Chine, Marsha Wang, s'est  refusée à tout commentaire.


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(19/03/2010 15:56:09)

Pour contrer VMware, Microsoft baisse le coût des licences Windows pour machines virtuelles

« Nos clients et nos partenaires nous ont fait comprendre que ce contrat était confus et complexe», a déclaré Dai Vu, directeur marketing de la virtualisation chez Microsoft. « C'est pourquoi nous avons décidé de simplifier et d'étendre les droits de ces licences. » Dans le système de tarification actuel, le VECD oblige les clients abonnés au programme d'Assurance Logicielle (Software Assurance, SA) de Microsoft à payer 23 dollars supplémentaires par an pour chaque machine cliente utilisés dans une infrastructure de bureau virtuel (VDI). Microsoft supprimera ce coût supplémentaire au 1er juillet. Cela signifie que les clients utilisant un grand nombre d'ordinateurs de bureau couvert par la Software Assurance n'auront plus besoin de payer la licence supplémentaire Windows lorsqu'ils migreront vers un système virtualisé. Et cela est indépendamment de la technologie de virtualisation choisie, que ce soit celle de Microsoft, de Citrix ou d'un concurrent comme VMware. Les clients qui n'ont pas acheté l' Assurance Logicielle devaient payer 110 dollars par appareil et par an en cas de déploiement sur une solution virtualisée. « Ce tarif, ramené à 100 dollars, ne concerne que les sociétés de petite taille et les ordinateurs utilisés par des contractants plutôt que par des salariés à plein temps, » a expliqué Dai Vu. « Pour les ordinateurs appartenant à l'entreprise, il sera généralement plus avantageux d'opter pour l'Assurance Logicielle que de payer les 100 dollars par unité en vertu du dispositif d'octroi de licences VECD, » a t-il ajouté. Microsoft est également en train de changer le nom de Virtual Enterprise Centralized Desktop (VECD) en Windows Desktop Virtual Access. « L'octroi de licences pour systèmes d'exploitation de bureau et de serveur évolue avec le temps. Historiquement liée au matériel, la virtualisation permet désormais aux bureaux d'offrir de nombreux postes de travail depuis le même serveur, » a fait remarquer Dai Vu. Le nouveau système d'autorisation de Microsoft va permettre aux utilisateurs d'accéder à leur bureau à partir de plusieurs points d'accès différents sans surcoût supplémentaire. [[page]] Bien que la virtualisation n'ait pas encore été adoptée de façon massive, l'arrivée de Windows 7 va amener de nombreux clients à revoir leur infrastructure de bureau et à envisager l'utilisation d'une plate-forme virtuel. Ce mois ci, les éditeurs ont multiplié les annonces pour capitaliser sur Windows 7. Ainsi VMware a, par exemple, a lancé une nouvelle version de son logiciel de virtualisation ThinApp, la présentant comme une alternative à la migration d'anciennes applications Windows 2000/XP vers Windows 7. Conjointement à cette petite réduction du coût de licences, Microsoft s'est associé à Citrix pour offrir une année de virtualisation gratuite aux clients qui abandonneraient VMware. Plus précisément, les clients qui feront défection à VMWare recevront Citrix XenDesktop VDI et Microsoft VDI et pourront mettre cette solution à disposition de 500 utilisateurs sans frais, pendant une année complète. Selon les vendeurs, un autre accord permettra aux clients de Microsoft qui ont acheté des licences d'accès avec l'Assurance Logicielle d'économiser plus de 50% sur un système combiné Microsoft/Citrix. Pour ceux-là, un déploiement virtuel de 250 postes de travail coûtera 7000 dollars, soit 28 dollars par poste. Microsoft et Citrix ont également déclaré qu'ils travaillaient à améliorer l'expérience utilisateur en matière de bureau virtuel, laquelle se fait dans la plupart des cas toujours derrière un ordinateur physique. Citrix, a indiqué que sa technologie HDX (affichage haute définition) sera compatible avec RemoteFX de Microsoft, une technologie d'accélération graphique pour ordinateurs de bureau virtuel acquise en 2008 lors du rachat de Calista Technologies. Citrix a également annoncé son logiciel XenDesktop 4 Feature Pack 1, qui augmente un peu plus encore l'intégration avec les produits Microsoft, y compris App-V, les outils de gestion, de communication et la VoIP. Le nouveau XenDesktop réduit aussi les temps de connexion des bureaux virtuels et de chargement des applications hébergées en achevant le processus d'ouverture de session sans attendre le login complet du profil. (...)

(19/03/2010 12:14:50)

La virtualisation renforcée dans les SP1 de Windows 7 et Server 2008 R2

Avec le SP1 de Windows Server 2008 R2, deux fonctionnalités font leur apparition Microsoft RemoteFX et Dynamic Memory, concernant la virtualisation. La première est un complément à Hyper-V, qui permet à l'administrateur de gérer dynamiquement l'allocation de ressource mémoire pour les machines virtuelles. La deuxième booste l'accélération graphique pour afficher sur des machines virtuelles, tout en intégrant les technologies rich media comme le Flash ou Silverlight. Pour Windows 7, peu d'annonces ont filtré, hormis la fonctionnalité Remote Client, qui améliore l'accès à un poste à distance. Celle-ci sera compatible avec la fonction Remote FX, citée précédemment. En parallèle à cette annonce, la firme de Redmond a fait évoluer la virtualisation du mode XP présent sur la version professionnelle de son OS. En effet, cette action nécessitait des fonctions de virtualisation au sein des processeurs, baptisées Intel VT (Virtualization Technology) ou AMD-V. Maintenant, une mise à jour, téléchargeable à cette adresse efface ce besoin matériel et permet au mode XP de fonctionner sur un nombre de processeurs plus important. Toutes ces annonces s'adressent aux entreprises qui attendent souvent les premiers « Service Pack » pour migrer leur parc informatique vers un nouvel OS. D'autres informations sur le contenu de ces packs devraient être publiées dans les prochaines semaines. (...)

(19/03/2010 11:50:36)

Ne l'appelez plus Nexus One

Google s'est vu refuser par l'Office américain de gestion des marques et des brevets (USPTO) le droit d'utiliser l'appellation "Nexus One" pour son smartphone, selon une information révélée par le Wall Street Journal. Le terme a déjà été déposé par une société américaine de télécoms, Integra Telecom, pour un service de partage de bande passante. Le géant du Web, qui commercialise cet appareil depuis janvier 2010 aux Etats-Unis, devra donc changer le nom de son terminal, contester cette décision en appel dans les six prochains mois, ou alors trouver un accord à l'amiable avec Integra Telecom, à l'image de l'arrangement conclu entre Apple et Cisco pour l'appellation "iPhone". Fabriqué par HTC mais vendu sous la marque Google, le Nexus One n'est pour l'heure pas officiellement distribué en France. On trouve toutefois dans certaines boutiques et chez certain MVNO. (...)

(22/03/2010 09:18:36)

Annuels Econocom : chiffres 2009 positifs

La surprise avec Econocom, c'est qu'il n'y a pas de surprise, malgré la crise, la société affiche un résultat opérationnel courant en hausse de 12% sur 2009 et un chiffre d'affaires de +5,9%. Des chiffres positifs, comme les années précédentes, le modèle s'avère donc pertinent et l'amène à envisager de la croissance externe et le lancement de nouvelles activités. Après son chiffre d'affaires dévoilé il y a un mois, 759 millions d'euros (ME) en hausse de 5,9%, Econocom a donné des précisions sur sa rentabilité. Elle est à deux chiffres : +12% pour le résultat opérationnel courant à 28,7 ME. Ces chiffres sont positifs depuis plusieurs années. Le CA progressait les deux années précédentes de 2,3% et de 18,8%, le résultat opérationnel courant de 4,5% et de 48,5%.

Par activités, Econocom change cette année sa manière de calculer leur évolution, en excluant les opérations entre ses divisions internes. Le financement arrive en tête, avec 420,6 ME, mais ne progresse pas (avec l'ancien calcul, il augmente de 17,7%). Les grands comptes ont bien résisté, les grosses PME beaucoup moins.

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La partie distribution baisse de 1,6%, alors que les budgets informatiques ont baissé en moyenne de 15% en Europe en 2009, plaide Jean-Philippe Roesch, le directeur général. Le secteur public progresse particulièrement, avec par exemple un contrat significatif de 27 ME auprès du Conseil général de l'Oise pour l'école numérique. Econocom a également adopté un programme de coûts variables, en recrutant des agents commerciaux, ou en laissant la logistique à des grossistes. Les services managés baissent de 6% du fait de la crise et des reports de projets. Les télécoms (gestion de flotte) progressent de 5,6% (avec les chiffres retraités).

« Nous sommes le 1er parc de lignes télécoms infogérées en France, souligne Jean-Philipe Roesch. Le groupe souligne également la solidité de sa situation financière, une trésorerie nette en augmentation (29,6 ME contre 24,2), des capitaux propres stables (84,6 contre 84,4). La société ne s'est pas endettée en 2009 et n'a pas fait d'acquisitions. Elle est prête pour de la croissance externe en 2010. Jean-Philippe Roesch cible des VARs, les dossiers portent sur des sociétés actuellement mal en point, mais gardant une capacité de croissance avec une meilleure gestion. Econocom lance également de nouvelles activités. Une dans le médical en Belgique, une dite « multimédia » en France. Ce multimédia encore embryonnaire, lancé à l'automne dernier, porte pour l'instant sur des projets de visioconférence. Econocom prépare d'autres développements.

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(19/03/2010 11:17:54)

Les Français boudent le paiement des contenus en ligne

Cette étude GfK Custom Research classe la France en dernière position, sur 17 pays, pour la propension de ses internautes à payer les informations et les contenus disponibles sur Internet. 39% des internautes français estiment que tous les contenus doivent être accessibles gratuitement sur Internet, et la moitié (50%) refuse même que les contenus gratuits en ligne soient financés par la publicité. A l'inverse, 7% des Français interrogés acceptent de payer pour des contenus mais sans publicité, et seulement 1% le ferait pour des contenus avec publicité. Les plus enclins à payer des contenus et des informations sur le Web sont les Suédois (23%), les Hollandais (20%), les Anglais (18%) et les Américains (17%). En moyenne, seulement 13% des internautes interrogés à travers le monde acceptent de payer pour du contenu en ligne. [[page]] "La France est le pays qui souffre le plus du mythe de la gratuité d'Internet", explique Alexis Helcmanocki, Directeur du pôle télécom, IT & Consumer Electronics chez GfK. "Là où d'autres pays, USA et Europe du Nord en tête, ont su expliquer à leurs opinions publiques que Internet était un nouvel accès à l'information et aux contenus, mais pas un nouvel écosystème, la France n'a pas su faire passer le message à ses internautes. Devant les échecs des offres payantes, les éditeurs ont massivement basculé sur des modèles gratuits qui restent gravés dans l'inconscient collectif Français : Internet, c'est gratuit !". Cette étude confirme par ailleurs que les Français sont parmi les plus actifs sur la Toile, que ce soit en termes de fréquence d'utilisation (seuls 25% déclarent se connecter moins d'une fois par jour, et 16% surfent plus de 3 heures par jour), ou d'usages, notamment pour les e-mails (56%), l'achat et la vente sur des sites e-commerce (14%), les finances et l'administration en ligne (14%), l'actualité sportive (12%) et les blogs (8%). Dans toutes ces catégories, les Français se situent au-dessus de la moyenne mondiale. Cette étude a été conduite par GfK fin 2009, auprès de 16.800 répondants âgés de 15 ans et plus, dans 17 pays. (...)

(19/03/2010 11:00:53)

Année rouge pour GFI Informatique en 2009

La SSII GFI Informatique publie ses résultats 2009 avec un résultat net consolidé, part du groupe, de -57,8 millions d'euros (ME). Le chiffre d'affaires étant en recul de 6,7% à 663,6 ME. Cette perte est supérieure aux prévisions mais explicable par la situation de la SSII en Italie. Après s'être désengagé de l'Allemagne en début de mois, la SSII se désengage en effet de l'Italie, ce pays lui occasionne une perte de 42 ME (sur les 57,8 de la totalité des activités). Les deux cessions sont intégrées dans les comptes 2009. L'Allemagne représente une perte de 9,3 ME, due essentiellement aux moins values de cession, cette filiale est en recul de 9,1%. L'Italie recule de 33%, le résultat des activités cédées se monte à -42 ME (-10 ME de résultat net, -20,2 ME d'écarts d'acquisition, 3,5 ME de pertes complémentaires). Le discours de la SSII est donc d'annoncer une forte perte, mais de la justifier de manière plausible, en adéquation avec son plan der redressement annoncé au mois de juillet dernier. Outre ce désengagement, ce plan doit lui permettre de s se repositionner sur des offres à plus forte valeur ajoutée. La société procède également à des économies comme le regroupement de ses sept implantations franciliennes sur un seul site à Saint-Ouen l'été prochain. (...)

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