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(19/03/2010 10:54:41)
Des actionnaires-salariés dénoncent un dividende trop élevé chez France Télécom
Elle n'est pas connue du grand public, mais cette association peut émettre des jugements qui intéresseront au-delà du seul cas de France Télécom. Son raisonnement ? Une politique de dividende élevé est « court termiste ». Pour appuyer ce jugement, l'ADEAS explique que le dividende de France Télécom (servi au titre de l'exercice 2009) est trop élevé et dépasse le résultat net par action. Ce dividende par action 2009 se monte en effet à 1,4 euro, et dépasse le résultat net par action qui est de 1,13 euros. En 2008, le dividende était de 1,4 euro pour 1,56 euro de résultat net par action, le dividende était donc inférieur au résultat net par action. C'était également le cas les années précédentes. En 2007 : 1,3 euro de dividende par action pour 2,42 euros de bénéfice net par action, 1,2 pour 1,59 en 2006, 1 pour 2,28 en 2005, 0,48 pour 1,14 en 2004. Bref, 2009 marque un renversement historique dans la distribution du dividende de France Télécom. L'ADEAS demande le retour à un dividende de 0,50 euro « qui permettrait de revenir au ratio de distribution de 2004, qui apparaissait beaucoup plus raisonnable ». 2004 est d'ailleurs l'année, où « le durcissement des règles de management de l'entreprise, a débouché sur la terrible crise sociale ». L'ADEAS non seulement porte un jugement technique sur le montant du dividende mais relie ce montant à une politique globale, délibéré, de vision à court terme de l'entreprise et de mise sous tensions dangereuse pour sa pérennité. Des dividendes supérieurs aux bénéfices De plus, les dividendes versés au titre de l'exercice 2009, avec un dividende à 1,40 euro par action, représentent une facture totale de 3,65 milliards d'euros remarque l'ADEAS. Et comme le résultat net part du groupe s'élève à 2,997 milliards d'euros et le résultat net consolidé à 3,47,« France Télécom va donc verser des dividendes supérieurs aux bénéfices ». « Cette décision choquante et surréaliste, appelle plusieurs niveaux d'analyse », note encore l'ADEAS. Et de citer : « un dévoiement des règles du capitalisme, qui pour autant ne bénéficie pas au cours de l'action de France Télécom ; une politique à contre-courant des leaders mondiaux des nouvelles technologies ; une lourde hypothèque sur le futur de l'entreprise ». « Last but not least », l'ADEAS demande à l'Etat actionnaire (avec 27% du capital) de prendre toutes ses responsabilités, « il a tous les moyens d'infléchir cette politique irresponsable pour la pérennité de l'entreprise ». Au fait, qu'en pense Stéphane Richard ? (...)
(19/03/2010 10:44:39)Haut débit mobile : Investissements mesurés pour éviter la saturation
(Source EuroTMT ) Exane BNP Paribas et Arthur D. Little viennent de publier leur étude annuelle sur les télécoms. Ils estiment que les opérateurs mobiles ne seront pas contraints de réinvestir massivement dans les réseaux pour soutenir la croissance du trafic de données. Certes ce trafic va être multiplié par 32 entre 2009 et 2015, mais le taux d'investissement des opérateurs mobiles ne devrait passer que de 10 à 12 % en 2015. L'essentiel du trafic s'écoule en effet dans les grands centres urbains, où les opérateurs peuvent l'évacuer directement sur les réseaux fixes. De plus, le standard de réseau 3G HSPA+ va diviser le coût du Go transporté par 5 par rapport à l'actuelle norme HSPA. (...)
(19/03/2010 10:08:54)Recherche en temps réel avec Google
Cette fonctionnalité de recherche en temps réel repose sur l'intégration dans la page des résultats des informations créées par les blogs ou les membres de sites tels que Twitter, Facebook, MySpace ou FriendFeed. Par exemple, en entrant le nom d'une célébrité dans Google, les internautes peuvent désormais voir apparaître les derniers messages publiés par cette personne sur son compte Twitter ou les informations la concernant issues d'un site d'actualités. Les utilisateurs peuvent choisir d'afficher uniquement les derniers résultats (en cliquant sur "Latest results" dans le menu des options), ou sélectionner "Latest" pour afficher une page complète des messages Twitter, de blogs, d'actualité ou de pages de résultats Google. Cette fonctionnalité est également disponible depuis le site mobile de Google, aussi bien sur iPhone qu'Android. (...)
(19/03/2010 09:32:00)Après Twitter, Digg abandonne MySQL au profit de Cassandra
L'équipe de développement du site de partage de contenus Digg a arrêté d'utiliser la base de données MySQL. Il emboîte ainsi le pas à Twitter qui vient de prendre une orientation similaire. Dans un billet de blog, John Quinn, le vice-président du développement de Digg explique l'abandon de la base Open Source en faveur d'un environnement 'NoSQL', Cassandra en l'occurrence, en raison des difficultés croissantes à construire une application exigeante en ressources (écriture intensive) sur un volume de données qui grossit rapidement, à l'infini. Digg procède à plusieurs autres changements et refond le code de son application en s'éloignant du modèle Open Source LAMP (Linux, Apache, MySQL, PHP, Python et Perl).
Mais c'est l'abandon de MySQL qui constitue le revirement le plus significatif. « Pour quelqu'un qui, comme moi, a travaillé quasiment exclusivement sur des bases de données relationnelles depuis près de vingt ans, c'est une démarche plutôt audacieuse », concède John Quinn. [[page]]MySQL est passé sous le contrôle d'Oracle, depuis que ce dernier a été autorisé à racheter Sun, ce qui soulève un certain nombre d'inquiétudes. Le créateur de la base Open Source, Michael Widenius, s'en est particulièrement ému, parmi d'autres. Toutefois, cet état de fait n'a pas été mentionné par John Quinn comme un facteur déterminant dans la décision de Digg.
Cassandra, créée par Facebook et versée dans l'Open Source
Le site communautaire a donc jeté son dévolu sur Cassandra, un SGBD distribué, originellement mis au point par Facebook, qui l'a versé dans l'Open Source en 2008, et désormais développé par la communauté Apache. Dès à présent, Digg a redéveloppé la plupart de ses fonctionnalités avec Cassandra, tout en procédant à ses propres améliorations sur la base de données, explique John Quinn. « Digg s'est engagé dans l'utilisation et le développement d'outils Open Source et nous préférons éviter d'investir dans les coûteuses solutions propriétaires capables de supporter de gros volumes.
Cassandra est orientée colonnes et permet de stocker des données relativement structurées. Elle propose un modèle entièrement décentralisé et présente une forte tolérance aux pannes. Les données sont répliquées sur de multiples noeuds et entre les datacenters. Elle est également très flexible, ses capacités de lecture/écriture augmentent linéairement au fur et à mesure de l'ajout de nouveaux serveurs. » Digg se focalise désormais sur la finalisation de sa prochaine version.
(...)(19/03/2010 09:32:11)Microsoft fait la chasse aux iPhone
Si les employés de Microsoft sont majoritairement des passionnés de technologie, il reste un objet impossible à évoquer au sein de leur compagnie : l'iPhone. Représentant le rival le plus agressif de la firme de Redmond, le téléphone d'Apple est pourtant possédé par 10 000 de ses employés, soit environ 10% de la force de travail de l'entreprise. Ce succès n'est pas sans irriter le PDG Steve Ballmer qui a même été surpris, lors d'une conférence Microsoft, en train de simuler le piétinement de l'iPhone d'un de ses employés. Provenant d'une source anonyme qui l'aurait entendue de la bouche d'un responsable, cette statistique coïncide avec la décision du leader des logiciels de supprimer l'indemnisation téléphonique pour ses employés n'utilisant pas un appareil fonctionnant avec Windows Mobile, le système d'exploitation pour smartphones de l'entreprise. Parallèlement, les employés de la firme à la pomme s'avèrent plus « dévoués » : de nombreux collaborateurs d'Apple ont en effet révélé qu'ils ne connaissaient personne sans iPhone chez Apple. Il est vrai qu'Apple avait offert un iPhone v1 (Edge donc) à ses employés, il y a deux ans. [[page]] Que ce soit sur les systèmes d'exploitation ou les baladeurs de musique, les deux titans de l'informatique sont aujourd'hui concurrents dans de nombreux secteurs. Pour un responsable de Redmond, voir quelqu'un utiliser un iPhone au sein de son entreprise équivaudrait à la réaction qu'aurait un responsable Coca Cola devant un de ses subalternes buvant du Pepsi. Plus encore depuis la sortie de Windows Mobile 6.5, la firme de Steve Ballmer est constamment questionnée sur l'usage de l'appareil d'Apple en son sein. Robbie Bach, le président du développement de Windows Phone s'est un jour défendu en affirmant que si les chercheurs de Microsoft utilisaient souvent des produits de leurs concurrents, c'était pour mieux cerner les enjeux de la compétition. Microsoft n'est pourtant pas prêt d'interdire l'usage de produits Apple à ses employés, les Macintoshs sont en effet légion chez les designers produits et dans la section Mac de leur équipe de développement. Il est vrai qu'il est également possible d'installer Windows sur un Mac pour rester « corporate ». Il n'y a guère que le sujet des smartphones qui fâche et cela pour une bonne raison : entre novembre 2009 et janvier 2010, l'iPhone représentait 25,1% des ventes de smartphones aux États-Unis, contre 15,7% pour les appareils fonctionnant avec Windows Mobile. (...)
(19/03/2010 09:32:05)SFR recycle à son tour les téléphones portables
Après d'autres, SFR permet aux détenteurs de mobiles usagés, quel que soit l'opérateur, de les faire valoriser contre une compensation financière se présentant sous la forme d'un bon d'achat. Les clients SFR, ou non, peuvent connaître la valeur de rachat de leur mobile usagé sur Sfr.fr, ou directement en boutique. Cet argus, remis à jour tous les mois, permet de reprendre l'appareil contre 200 euros maximum, offerts en bons d'achat à valoir le jour même dans le point de vente SFR concerné. Pour chaque mobile valorisé, SFR reversera 4 euros à des associations partenaires comme La Voix de l'Enfant ou Fondaterra. Les portables réutilisables seront, eux, remis en état par l'entreprise Anovo pour être redistribués dans les pays en voie de développement, ou par les Ateliers du Bocage pour être remis à Emmaüs France. Les mobiles en fin de vie seront recyclés "dans le respect de l'environnement", promet l'opérateur de téléphonie mobile. SFR emboîte ainsi le pas à d'autres acteurs qui eux aussi ont annoncé le même type de service en début d'année. Bouygues Telecom, La Poste, ou encore plus récemment Mobilorama.com proposent de racheter les portables usagés. Dans le cas de La Poste, le propriétaire se voit remettre un chèque au montant du rachat. Dans le cas de Bouygues, il peut opter pour un don, déductible des impôts, à Surfrider Foundation ou pour un avoir à valoir en boutique ou sur sa facture, s'il est client de l'opérateur. Mobilorama.com rachète également les mobiles inutilités. Le montant du rachat peut aussi être reversé à Médecins du monde. (...)
(19/03/2010 09:32:03)Numéricâble doit s'attendre à une année 2010 difficile
(Source EuroTMT ) Si discret d'habitude sur ses chiffres financiers et commerciaux, Numéricâble a profité, lundi 15 mars, de la publication par l'Arcep de son observatoire du haut et très haut débit pour le quatrième trimestre 2009 pour s'auto-congratuler. La cause ? Le câblo-opérateur revendique une part de marché de 75,9 % dans le très haut débit avec quelque 220 000 abonnés, sur un total de 290 000 recensés en France à la fin de 2009. Une situation rien de plus normale puisque l'opérateur, qui a fortement investi dans les années passées pour rénover son réseau et implanter la fibre optique jusqu'en pieds d'immeubles (FTTB), était quasiment le seul sur ce marché. Les autres opérateurs télécoms, qui ont largement déployé l'infrastructure horizontale, attendaient en effet que l'Arcep publie le cadre définissant précisément les modalités de déploiement de la fibre dans les immeubles (au moins pour les zones très denses) pour commencer à raccorder les foyers situés dans les immeubles déjà connectés à leurs réseaux en FTTH (fibre jusqu'à l'abonné). Et les quelque 70 000 abonnés au très haut débit enregistrés par ces opérateurs correspondent pour l'essentiel aux clients participant aux tests menés depuis plusieurs mois. Mais cette communication triomphale de Numéricâble n'est pas sans risque. Tout d'abord, comme le précise le câblo-opérateur, les 220 000 abonnés ne lui appartiennent pas en totalité. Une partie est à mettre au crédit des opérateurs, tels que Darty qui utilisent ses infrastructures. De plus, le taux de conversion des abonnés de Numéricâble se révèle être assez faible. Au 30 septembre 2009, l'opérateur comptait donc 3,2 millions de prises "actives" sur un total de 4,2 millions prises reliées à son réseau FTTB (fibre optique jusqu'à l'immeuble). Cela correspondrait à un taux de conversion de l'ordre de 5,3 %. Photo : Pierre Danon, PDG de Numéricâble a fort à faire pour renforcer l'opérateur (D.R.) [[page]] En un an, malgré le réel effort commercial réalisé par la société et une amélioration significative de sa qualité de service, le nombre d'abonnés FTTB n'a cru que de 100 000. Ce qui constitue une performance plutôt décevante, compte tenu des avantages réels procurés par le très haut débit. Deuxième risque pour Numéricâble : maintenant que le cadre réglementaire est connu, les autres opérateurs télécoms annoncent la reprise des investissements dans le FTTH et comptent bien commercialiser massivement le service, au plus tard durant le second semestre. Or, selon l'Arcep, quelque 4,5 millions de foyers sont situés dans des zones où les réseaux FTTH sont déjà déployés, dont 800 000 foyers seraient d'ores et déjà éligibles au très haut débit ce qui est un quasi doublement en un an. Les opérateurs alternatifs ont tout intérêt à basculer très vite leurs abonnés DSL sur les réseaux FTTH parce qu'ils économiseront ainsi le tarif du dégroupage payé à France Télécom. Le rééquilibrage du marché pourrait se faire au détriment de Numéricâble. Surtout si le câblo-opérateur n'arrive pas à augmenter ses prises d'abonnement. Une croissance toujours modeste sur le câble Car dans le haut débit, la situation de Numéricâble paraît toujours aussi précaire : les abonnés au haut débit, grâce à des technologies autres que l'ADSL (essentiellement le câble, mais aussi le satellite et le WiMax), étaient 900 000 à la fin de 2009, selon les chiffres de l'Arcep. Cela représente une hausse de seulement 51 000 abonnés par rapport à fin 2008. A comparer à la forte croissance annuelle des accès xDSL qui s'établissait à 1,7 million de clients, pour atteindre 18,5 millions d'abonnés. Si l'année 2010 devrait voir l'arrivée de Bouygues Telecom commercialiser du très haut débit via le réseau du câblo-opérateur, l'année 2009 pourrait donc bien être la dernière année durant laquelle Numéricâble pouvait encore trouver un motif de satisfaction. (...)
(19/03/2010 09:50:21)Les défis sécuritaires du cloud
« Le défi va être permanent, mais sous tension, non seulement en terme d'innovations techniques, mais aussi en matière de communication», a déclaré le PDG de Microsoft Steve Ballmer lors d'une conférence à l'université de Washington qui s'est tenu ce mois-ci. «Certains pensent que le cloud est un coffre-fort bien sécurisé, mais d'autres estiment que ce n'est pas sûr et sécurisé, sans parler de ceux qui ne pensent pas grand-chose du tout. La question est de savoir si on peut donner aux gens des outils dont ils pourront avoir le contrôle, dont ils pourront se sentir responsable? Je crois que les utilisateurs seront en mesure d'apprécier la question de la sécurité cloud quand ils en verront les effets. Le problème actuel est que les utilisateurs ne savent pas vraiment ce qui se passe ... et il est primordial de réaliser des outils et des technologies qui en facilitent la gestion. » « L'idée de « partager » des informations transforme le problème de la sécurité cloud en défi » explique Eva Chen, PDG de Trend Micro, dans l'entretien qu'elle a accordé à Network World : «Traditionnellement, les entreprises étaient propriétaires de leurs infrastructures informatiques. Avec le cloud, elles partagent la puissance de calcul, le stockage. Elles veulent donc savoir avec qui elles partagent leurs données. Quand vous louez une chambre dans un hôtel, vous ne voulez pas que votre porte soit ouverte, vous voulez qu'elle soit fermée à clef. Pour le cloud, c'est pareil : une entreprise qui loue temporairement un espace a besoin de savoir qu'il y a des verrous. » Network World a également interrogé Art Coviello, président de la division RSA de EMC et vice-président exécutif chez EMC. " Sur la question de la sécurité du cloud, je pense honnêtement qu'elle réside au niveau du microprocesseur, car avoir confiance en ce socle matériel est essentiel. C'est même selon moi la condition sine qua non du processus, » a t-il déclaré. « L'autre grand enjeu, c'est la gestion. Afin de disposer de tous les contrôles, il faut unifier la politique de sécurité avec la politique commerciale de l'entreprise et coordonner les deux afin d'avoir un effet de levier. Les sociétés abonnées au service cloud doivent être en mesure de dicter et de déléguer cette politique aux prestataires, seuls à pouvoir appliquer les décisions. » [[page]] Education et interopérabilité Dave DeWalt, président et CEO de McAfee, a déclaré à Network World que l'éducation était pour lui le plus grand défi: «Beaucoup d'entreprises sont aujourd'hui inquiètes car depuis 20 ou 30 ans, elles avaient le contrôle totale sur leur activité. Mais dans l'approche cloud, elles doivent parfois faire appel à plusieurs fournisseurs pour gérer leurs applications et donnent à chaque prestataire un contrôle sur leurs données. En premier lieu, elles sont préoccupées par cette perte de contrôle sur leurs actifs sensibles. Et il n'existe aucun standard en matière de cloud aujourd'hui. Les applications à base de cloud en sont à leurs débuts. Des vulnérabilités existent et des erreurs sont commises. Le cloud a donc besoin d'évoluer. » Enrique Salem, Président et CEO de Symantec, a déclaré pour sa part que le cloud réclamait de nouvelles exigences en matière de sécurité. « Tout d'abord, du point de vue des infrastructures, la sécurité devra se rapprocher des applications et des données. Dans une architecture de services partagés, il ne suffit pas simplement de protéger le périmètre du cloud, le datacenter, les serveurs ou même les baies de stockage. Les sociétés doivent renforcer leur gouvernance des informations pour optimiser le contrôle de celles émanant de l'entreprise. Elles doivent définir des politiques et des procédures et se les appliquer. Il est clair que cela est plus facile à dire qu'à faire. Une autre condition essentielle est la nécessaire visibilité des outils de sécurité mis en oeuvre par les prestataires de cloud, pour être en adéquation avec le niveau formulé par les entreprises. Cette interopérabilité sera importante et permettra aux sociétés de tirer parti, ensemble, des différents modèles, et d'optimiser les avantages de chacun. » (...)
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