Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 8671 à 8680.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(18/03/2010 16:49:14)
Un cloud public pour le développement chez IBM
Pour les départements informatiques, développer et tester sur une plate-forme « élastique » dans une infrastructure de cloud constitue une bonne manière d'optimiser leurs développements. En outre, l'utilisation d'une plate-forme cloud peut les aider à travailler plus rapidement, car les ressources peuvent être fournies à la demande, sans les blocages inhérents à la réservation préalable de temps et d'espace sur les systèmes internes, expliquent les promoteurs de cette solution. Big Blue a aussi publié une liste de partenaires pour son cloud : RightScale et Kaavo, qui proposent des programmes de supervision des clouds; Navajo Systems spécialisé dans la sécurité; AppFirst qui apporte des logiciels d'optimisation de la performance ; enfin Aviarc, Corent et Wavemaker qui fournissent des outils de développement. Le cloud public dédié au développement d'IBM exploitera également la technologie de virtualisation de Red Hat et supporte les systèmes Red Hat Enterprise Linux, Novell SUSE Linux et Java. Cette plate-forme sera disponible au deuxième trimestre de l'année aux États-Unis et au Canada, et dans le reste du monde par la suite. Parmi les concurrents de cette infrastructure, citons Amazon Web Services et Rackspace, qui ont, tous deux, établi des partenariats similaires. IBM pourrait toutefois avoir un avantage concurrentiel sur ces fournisseurs, étant donné sa longue expérience dans les entreprises et l'utilisation répandue de ses outils de développement Rational. IBM a d'ailleurs récemment annoncé la disponibilité de sa plateforme Rational Software Delivery Services v1.0 pour le cloud computing. (...)
(18/03/2010 13:08:04)Microsoft ne fait toujours pas l'unanimité sur le salon Linux
Dans une ambiance très potache, les membres du GCU ont gentiment chahuté Microsoft sur le salon Solutions Linux le mercredi 17 mars en milieu d'après midi. Alors que le stand était complétement fermé par un grand ruban rouge pour éviter la contamination et qu'une inscription rouge sang « MS m'a tuer » était gribouillée sur les murs du pavillon, le personnel de Microsoft - toujours très professionnel - tentait de travailler comme si de rien n'était. Une mission impossible tant la cacophonie était grande. 
Ce n'était toutefois pas vraiment une surprise pour les employés de Microsoft car la rumeur de cette opération a couru toute la matinée sur le salon. Certains exposants étaient toutefois agacés par les manifestations quotidiennes de cette joyeuse bande. Le signe que le monde de l'Open Source est devenu un business comme les autres ?
(...)
Google simplifie la migration d'Exchange vers Apps
Disponible gratuitement pour les entreprises qui s'inscrivent aux programmes Premier ou Educations de Apps, l'outil Migration for Microsoft Exchange automatise la migration des emails, de l'agenda et des contacts d'Exchange vers la suite collaborative Google Apps. « Jusqu'à présent, nous n'avions pas de solution idéale pour extraire les données d'Exchange, » a déclaré Chris Vander Mey, chef de produit senior bureautique chez Google. Cet outil fonctionne aussi bien avec les serveurs Exchange résidant chez le client qu'avec ceux hébergés en mode cloud. Google disposait déjà d'un outil similaire pour réaliser la migration de données depuis Lotus Notes/Domino d'IBM vers Google Apps. Bien que Google Apps dispose d'une grande variété de composants, y compris la suite bureautique Google Documents, c'est la partie Gmail basée sur le cloud maison qui fait son principal attrait et représente une alternative avantageuse pour remplacer Exchange et Notes / Domino. Dans le cas d'Exchange, la meilleure option de migration que Google pouvait préalablement offrir aux administrateurs devait se faire via le plug-in Apps Sync for Microsoft Outlook, qui obligeait les utilisateurs à déclencher individuellement le transfert de données depuis leur compte. Ce nouvel outil place désormais le processus dans les mains de l'administrateur et lui offre les moyens de migrer les données des comptes de centaines d'utilisateurs simultanément. Il leurs laisse aussi la possibilité de continuer à utiliser Exchange et de réaliser, s'ils le souhaitent, une migration par étape. «Cet outil donne aux administrateurs Google Apps plus de contrôle, plus de rapidité et apporte plus de confort à leurs utilisateurs finaux, » explique Vander Mey. A noter toutefois que l'outil de Google ne sait pas transférer toutes les données Exchange. Ainsi, il ne peut pas migrer les listes de tâches et les entrées de journal. (...)
(18/03/2010 12:29:08)Une start-up migre les données stockées sur Centera
Interlock Technology, jeune société américaine, offre un service d'évaluation des données hébergées sur Centera (baie d'archivage d'EMC), pour ensuite pouvoir les transférer au sein d'autres réseaux de stockage. Ce service utilise un logiciel exploitant des API standards, qui respectent l'intégrité des données. Elle utilise notamment l'API nommée, XAM (Extensible Access Method) qui facilite l'échange entre les topologies de réseaux de stockage, NAS et SAN. Cette API n'est pas propriétaire et a été développée au sein de l'association des industriels du stockage. Le PDG de la jeune pousse, Gary Liebermann explique « les produits Centera peuvent atteindre certaines limites en cas de catastrophes ou de continuité d'activité, car les sociétés ne peuvent pas s'en offrir plusieurs et vous ne pouvez répliquer les données sur un seul Centera » Interlock Technology a passé des accords avec Netapp pour intégrer sa solution au sein de SnapLock Application et avec IBM pour son service cloud de stockage. Le tarif du service de migration proposé par Interlock est de 5000 dollars par To, mais baisse en fonction du volume de données migrées. (...)
(18/03/2010 09:42:09)la centrale nationale de Système-U repense ses processus métiers critiques (MAJ)
Quatrième distributeur alimentaire et généraliste français, Système U est une union de coopératives de commerçants indépendants, organisée avec une centrale nationale et quatre centrales régionales.
Sa structure historiquement très décentralisée et la culture orale aboutissaient à une fragilité des processus métier, sans oublier des difficultés de langage commun au sein de l'ensemble de la centrale nationale. Il arrivait encore que certains processus ne soient pas documentés ou ne soient connus que de trop peu de personnes.
La Centrale Nationale a décidé en 2008 de lancer le projet Atlas, un chantier de modélisation de ses processus métier en attendant de pouvoir ensuite les optimiser. Elle désirait ainsi sécuriser ses processus métier critiques ayant un impact sur sa viabilité opérationnelle, mettre en place un langage unique dans une culture des process et disposer des bases nécessaires à l'optimisation des processus.
Après appel d'offre, la centrale nationale a choisi d'utiliser Corporate Modeler de l'éditeur Casewise. Le produit a été choisi parce qu'il est facile à utiliser, accessible par le web, au reporting simple à comprendre et, enfin, parce que les modifications portées à un endroit se propagent aisément dans tous les processus.
Les bases du projet ont été mises en place en 2008. En 2009, les processus métiers ont été modélisés en se basant sur des interviews des opérationnels. 150 processus ont été modélisés et décrits avec une accessibilité en 4 niveaux successifs de la globalité au détail opérationnel. L'outil de recherche d'incohérences et de mises en cohérence a été, à ce moment, très apprécié.
En 2010, la centrale nationale va publier les processus critiques tout en construisant l'Intranet afin d'améliorer la publication des informations internes. Enfin, à partir de 2011, il y aura un bilan de ce qui a été fait.
Quelques difficultés ont bien sûr été rencontrées au cours du projet...
[[page]]
Quelques difficultés ont bien sûr été rencontrées au cours du projet. La première a été de rendre des processus détaillés lisibles sur une seule page. De plus, les règles fixées pour la description des processus se sont révélées parfois trop rigides dès lors que l'outil et les méthodes étaient maîtrisés.
Cependant, la direction de l'organisation a été très satisfaite de pouvoir enfin décrire les processus critiques de l'entreprise, cette description entrainant une réelle satisfaction des utilisateurs métier. Les schémas ainsi établis permettront à certains services de former plus aisément les nouveaux salariés et, par exemple, la DRH bénéficie d'éléments complémentaires sur les contenus des métiers.
Plusieurs facteurs clés de succès ont été identifiés : le fort sponsoring de la direction générale, les nécessaires relais au sein des directions métier, et, enfin, la définition des règles de modélisation précises sans s'interdire de les modifier si cela se révèle utile.
Des serveurs pour créer un routeur 80 Gbit/s
Intel a présenté un routeur d'une capacité de 80 Gbit/s réalisé à partir de serveurs standards et d'interfaces réseaux classiques, élaboré avec des étudiants de l'université de Berkeley (Californie). "Plus simple, moins coûteux, et plus facile à reprogrammer" ce routeur serait utilisable aussi bien par les opérateurs télécoms que par les entreprises. (...)
(18/03/2010 09:39:40)Huawei s'inquièterait des possibles obstacles politiques au LTE en Europe
(Source EuroTMT ) Après des débuts tonitruants en Europe en 2008 et 2009, l'équipementier chinois Huawei semble être en panne dans le LTE. Au point que les dirigeants du groupe s'interrogeraient sur la réelle volonté des opérateurs occidentaux de faire de l'équipementier l'un de leurs fournisseurs de référence. "Si Huawei participe à quasiment tous les tests LTE menés par les opérateurs européens, il n'a plus gagné de contrat depuis celui conclu avec Telenor", raconte un spécialiste. "Et ils se demandent si les opérateurs n'ont pas déjà décidé se fournir auprès d'équipementiers européens, notamment pour des raisons politiques. " Photo : D.R. (...)
(18/03/2010 09:39:29)Octa France s'implante à Vannes
Bien que basé en région parisienne (Conflans-Sainte-Honorine / 78), l'intégrateur de l'ERP Divalto Octa France n'est pas un nouveau venu dans l'Ouest. Toutefois, sa présence y restait relativement limitée avec un portefeuille de clients locaux ne comptant jusqu'ici que cinq entreprises. La situation vient de changer radicalement suite à l'acquisition de l'activité de son homologue Vannetais Isatech autour de la vente et du déploiement de Divalto. Conséquence directe de l'opération, Octa France enrichit son portefeuille de clients locaux de 25 entreprises et récupère une équipe de consultants confirmés autour de l'ERP pour PME-PMI. « Nous avons profité d'une opportunité, indique Pierre Proton, le PDG d'Octa France. Isatech s'est progressivement spécialisé dans l'intégration de Microsoft Dynamics NAV et mettait de moins en moins l'accent sur son activité autour de Divalto, au point de vouloir la céder ». Force est de constater qu'avec 400 K€ de chiffre d'affaires générés autour de Divalto, comparé aux millions d'euros issus du reste de son activité, Isatech avait effectivement « mis de côté » cet ERP. Objectif : 1,2 M€ de CA d'ici trois ans dans l'Ouest Pour autant, Octa France ne doute pas que son acquisition ait un fort potentiel de croissance. D'ici trois ans, il compte réaliser un chiffre d'affaires de 1,2 M€ dans l'Ouest et avoir formé alors une équipe de 10 personnes. Il continuera de disposer d'une agence à Vannes et pourrait également en ouvrir une seconde à Nantes. « Cet objectif est réalisable, notamment parce que nous avons le soutient de Divalto dont nous sommes le troisième revendeur en France, explique Pierre Proton. Nous pensons notamment que Divalto va nous communiquer des projets clients». L'éditeur a notamment coutume de renvoyer des clients vers Octa France lorsque ceux-ci recherchent une solution métier pour sociétés de services dont l'intégrateur est éditeur et que Divalto met en avant sur son site. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |