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(18/03/2010 09:42:05)

Annuels ITS Group : Une année dopée par la vente d'Athéos

Pour le compte de son exercice 2009, ITS Group a enregistré un résultat net en hausse de 161% à 6,4 M€. Cette croissance notable résulte en bonne partie de la revente en juin dernier de 70% du capital de la société d'Athéos que détenait la SSII. Elle en a retiré un résultat de cession de 4,4 M€. Le chiffre d'affaires d'ITS Group a tiré profit, quant à lui, du rachat de Prisme (septembre 2009) dont la consolidation dans le bilan de la SSII depuis octobre a permis de faire ressortir ses revenus en hausse de 13% à 6,4 M€. La croissance organique de l'activité atteint 10%. Représentant 8,8% (1,4 point comparé à 2008) du chiffre d'affaires consolidé d'ITS Group, sa marge opérationnelle est en hausse de 35% à 4,8 M€. Une progression rendue possible par la hausse du taux d'activité des ingénieurs et consultants du groupe, passé de 86% en 2009 contre 83% en 2008, et le maintient de ses prix de vente. Forte de ces bons résultats obtenus dans un contexte de marché difficile et des investissements qu'elle a réalisé en 2009 (Acquisition de Prisme et d'Axialog), ITS Group maintient son objectif de 10 M€ de chiffre d'affaires en 2011. (...)

(18/03/2010 09:39:47)

Avenir Telecom conclut les négociations de son plan social

Le groupe spécialisé dans la distribution de produits de téléphonie mobile va supprimer 69 postes sur un effectif total de 792 personnes en France. Ce PSE (Plan de Sauvegarde de l'Emploi) concerne principalement des collaborateurs basés à son siège de Marseille. Les suppressions d'emploi toucheront les services administratifs et des postes d'encadrement des activités de vente directe et indirecte. De fait, aucun des employés animant l'un des 160 points de ventes de l'enseigne Internity (l'activité vente directe du groupe Avenir Telecom) n'est concerné. En toile de fond de cette mesure, on trouve évidemment des difficultés économiques. La conjoncture économique n'explique pas tout Sur les 9 premiers mois de son exercice 2009-2010, le groupe Avenir Telecom avu son chiffre d'affaires baisser de 18,8% à 453,2 M€. Si la conjoncture économique des mois passés explique en partie la baisse des ventes, l'entreprise ne cache pas qu'il ne s'agit pas de la raison principale de ses difficultés. « En France, le marché de la téléphonie est devenu un marché de renouvellement alors que nous avons basé notre croissance sur la conquête d'abonnés. Or, la reconduction d'un abonnement est beaucoup moins rémunératrice qu'une ouverture de ligne », explique Philippe Gimié, le DRH d'Avenir Telecom. S'ajoute à cette évolution du marché celle de la politique des opérateurs qui privilégient de plus en plus leur propre réseau de boutiques et la vente directe en ligne au détriment des distributeurs indépendants. Enfin, Avenir Telecom invoque le fait qu'il n'a pas profité comme il se doit de la déferlante de l'iPhone sur le marché français. Comme l'explique son DRH, « nos négociations avec Apple ne nous ont pas permis de distribuer ce produit dans plus de 50 de nos magasins, sur 160 au total, avant les fêtes. Il nous a donc été impossible de développer une véritable communication autour de ce produit et de profiter à plein de l'effet qu'il a créé sur le marché de la téléphonie ». Aujourd'hui revenu sur une structure de coûts qui garantit sa compétitivité, Avenir Telecom se doit de jouer sur de nouveaux leviers de croissance. L'entreprise mise notamment sur l'accroissement de son activité de vente d'accessoires en Europe. Elle espère également voir les revenus de son site web marchand progresser d'avantage tout en reconnaissant que son décollage se fait en douceur. (...)

(18/03/2010 09:42:45)

Saas : attention aux engagements des prestataires

Dans le Saas coexistent une relation visible et une relation plus cachée. Dans la première, le client contractualise avec un couple éditeur-intégrateur, dans la seconde le même contrat est répercuté sur plusieurs acteurs : hébergeurs, opérateurs de télécoms, fournisseurs de hard, fournisseurs de solutions de back up. Le risque est relativement bien identifié sur la première relation, il est minoré car plus complexe sur la seconde. C'est pourtant dans cette seconde phase que se trouvent les risques juridiques les plus élevés. « Les sinistres et les risques viennent de cette chaîne d'acteurs qui n'est pas bien contractualisée » souligne François-Pierre Lani qui met le doigt sur les risques engendrés par la cascade de sous traitants qui assurent les services en Saas. Après plus de dix ans d'existence des formules en Saas, et auparavant en ASP, les juristes disposent de conclusions sur les risques juridiques entraînés par ces formules. François-Pierre Lani les classe en deux grandes catégories : les risques liés à l'externe, ceux liés à la mutualisation. Les risques liés à l'externe sont des problèmes sécuritaires classiques liés à la pollution de données ou à la non atteinte des niveaux de services promis. Le client n'a pas toujours de recours, mais le prestataire principal n'a pas toujours d'emprise sur l'accès aux données et aux services. Les problèmes sont extrêmement divers : connexion, fonctionnement des systèmes électriques, mauvaise conservation des données, risques en cas de sinistre chez l'hébergeur physique. [[page]] Les risques liés à la mutualisation, au partage de ressources, sont d'un autre ordre. Par exemple, la divulgation détaillée d'informations du client, l'absence de partitionnement des disques durs contenant les données de plusieurs clients, ou même le fait qu'un client emporte son disque d'accès, même de façon involontaire. Un risque particulier avec les prestataires américains François-Pierre Lani relève également des cas particuliers, comme la divulgation volontaire de données. Si le prestataire est américain, il peut être obligé de divulguer des informations sur injonction des agences gouvernementales, et ce, même si l'entreprise cliente est étrangère. Un tel cas de figure, doit être prévu dans le contrat. La question de la défaillance d'un prestataire en sous-traitance est une autre question cruciale. Le prestataire principal servant de guichet unique sera-t-il en mesure d'assurer la défaillance d'un de ses sous-traitants ? Bien souvent lui-même a tendance à mal respecter ses sous traitants. On arrive là au coeur des risques juridiques en Saas. « La responsabilité contractuelle du prestataire peut être engagée non seulement en cas de dysfonctionnement de lui-même, mais aussi au titre des défaillances des autres intervenants » relève François-Pierre Lani. Le cabinet Derriennic associés a d'ailleurs élaboré une matrice des risques liés au Saas et préconise la mise en place de contrats miroirs pour répercuter le contrat signé par le client sur tous les sous-traitants de la chaîne et la souscription d'une assurance adaptée au risque. (*) Il s'exprimait lors d'un séminaire tenu par le Syntec Informatique mardi 16 mars (...)

(18/03/2010 09:39:25)

John Chambers : Cisco n'a pas voulu concurrencer IBM et HP

Votre objectif de devenir la compagnie numéro un dans l'IT entraîne une présence sur des marchés très différents. Les gens vous connaissent comme société dans les réseaux, mais vous avez également une ambition qui va à l'encontre d'acteurs comme HP et IBM. Ce sont des choses très différentes non ? Nous sommes un des acteurs les plus importants aussi bien sur le plan de l'architecture réseau, que dans le domaine de la communication au sens large. Et sur ces points, nous travaillons concomitamment sur la technologie et le commercial. La position de leader a été acquise en enregistrant des très bons résultats sur des marchés en phase de croissance. Même les critiques les plus acerbes, peuvent le reconnaître. Il faut également constater que la première génération de nos concurrents comme SynOptics, Wellfleet, 3Com, Cabletron, n'existent plus et la même chose pourrait nous arriver si nous ne nous adaptons pas aux évolutions du marché. De plus, nous sommes des paranoïaques en imaginant que nous pourrions être à la traîne. Enfin, quand nous avons commencé dans le marché des fournisseurs de services, plusieurs personnes nous ont indiqué notre absence de compréhension des acteurs. La légitimité était du côté de nos concurrents, Nortel, Lucent, Alcatel, Siemens, Ericsson. Nous avons donc pensé comment devenir numéro un sur ce marché et maintenant, nous le sommes. Pour ce faire, la direction prise reposait sur l'architecture à la différence de nos concurrents. Lors du dernier Mobile World Congress à Barcelone, si vous posiez la question quel est votre partenaire le plus efficace en matière d'architecture et pour la distribution des services, nous sommes cités dans la majorité des cas. Une chose impensable il y a encore 5 ou 6 ans. Dans le domaine des datacenters, je n'ai pas voulu entrer en concurrence avec IBM et HP. J'aurais préféré établir un partenariat avec les deux. Mais nous avons décidé, il y a 5 ans maintenant, d'aller vers la virtualisation, et les partenariats envisagés, entraînaient un trop grand partage de notre technologie. Cela revêtait une importance stratégique pour nous, car la question n'est pas de transformer le marché. Je ne m'intéresse pas aux serveurs, je regarde la virtualisation, où vous devez savoir où sont les processeurs, où les informations sont stockées et où résident les applications. Le réseau devient une commodité. Nous avons donc suivi les attentes du marché en nous concentrant sur cette transition et non sur nos concurrents. [[page]] Quel est votre position sur le cloud et pourquoi certaines grandes compagnies n'y vont pas ? Il ne s'agit pas simplement de la question d'y aller. La problématique repose sur la virtualisation et sur le rôle que va jouer le réseau dans tout cela. Nous pensons que le réseau est une pièce centrale et non le datacenter ou le terminal de l'utilisateur final. Il existe plusieurs dispositifs pour recevoir tout type de contenu aussi bien à travers des réseaux sans fils ou filaires à la maison, sur un smartphone Apple, Microsoft ou IBM. De plus, le marché ne se fait plus sur la voix, ni sur la donnée, mais sur la vidéo. Maintenant, nous pouvons dire que c'est une grande période. Mais souvenez-vous, nous avions expliqué il y a quelque temps que la vision devait être globale, voix, vidéo et données. Cette décision a été prise il y a 15 ans et nous avons commencé à construire nos architectures dans cette optique. Comment voyez-vous le déploiement des offres de clouds publics et privés au sein des entreprises ? Peut-on les fédérer ? La perspective sur les clouds privés et publics au sein de l'entreprise doit aboutir in fine à un système de confédération, complétement transparent pour les utilisateurs finaux, les responsables informatiques et autres. Le réseau est au coeur de tout cela. C'est notre démarche quand nous développons des partenariats avec VMware ou EMC et encore plus récemment avec NetApp, en réfléchissant sur des standards ouverts sur ce type de sujet. Nos meilleurs partenaires dans le cloud seront les fournisseurs de services, car ils devront faire vivre leurs tuyaux et éviter que leur réseau ne soit qu'une commodité. La valeur reviendrait alors aux sociétés périphériques ou aux créateurs de contenus. Il me semble que nous avons une opportunité commune. [[page]] Quel sera le plus grand marché au sein des clouds ? Dans un premier temps le marché le plus important sera représenté par le cloud public. Sur le long terme, le privé et la combinaison de ce que l'on appelle la fédération des clouds. Nonobstant, nous développons nos propres clouds et nous nous interfacerons avec d'autres. Vos concurrents mettent en avant que vos solutions sont propriétaires, que répondez-vous ? Les premiers contrats contenaient beaucoup de technologies propriétaires. Nous sommes maintenant devenus une société avec des standards ouverts. Internet est ouvert à tous les terminaux et contenus. Quand nous avons intégré le marché de la téléprésence, nous disposions d'une forte part de marché sur le haut de gamme (64%). Nous avons proposé une norme ouverte et disponible pour l'ensemble des concurrents. A ce que je sache, nous n'avons pas de système d'exploitation propriétaire qui fonctionne sur nos produits. Internet doit être l'interface unique sur des différents terminaux. Cela nous permet d'aller plus vite sur le marché et de protèger nos clients qui ne seront pas bloqués par un OS, un terminal ou un datacenter. Quelle est votre réaction à la critique de l'existence d'une Cisco Tax ? Ce n'est pas très honnête de dire cela. Les clients n'ont pas de problème avec notre politique premium, car si vous ne faites pas ce type de produit, vous ne développez pas de nouveaux produits et ne protégez donc pas les investissements. Est-ce que je crois à la mise en place d'une consolidation industrielle rapide ? Absolument. Est-ce que je crois qu'une part de vos prises de décisions décisives est basée sur notre capacité à innover, à nous adapter au sein d'un marché en pleine évolution à travers des produits qui travaillent ensemble, dans une architecture ouverte ? Oui. Est-ce que les clients doivent payer un tarif premium pour cela ? Oui. Même si je soutiens qu'il ne s'agit pas d'une tarification premium. (...)

(17/03/2010 16:54:59)

Failles de sécurité et bug pour les sites de la SNCF

L'information a été relayée par le Canard Enchaîné et concerne les données non protégées des clients du site. Garantissant que les coordonnées bancaires n'étaient pas concernées par le problème, l'hebdomadaire a affirmé que les données personnelles de tous les détenteurs de cartes de fidélité SNCF (12-25, escapade, famille nombreuse ...) pouvaient facilement être détournées à partir d'un simple numéro de carte et « un peu d'astuce ». Ainsi jusqu'à lundi dernier, jour où l'entreprise de transport ferroviaire a dit avoir corrigé ces erreurs, les noms, prénoms, adresses, dates de naissance et numéros de téléphones de tous les inscrits étaient accessibles aux pirates du mailing. Le Canard enchaîné a rappelé que l'entreprise était pourtant consciente de de ces risques depuis longtemps, elle en avait déjà fait part en juin 2008. Un exercice de communication qui tourne mal « Une explosion d'origine inconnue s'est produite aujourd'hui vers 8 heures à bord du TGV 1234, à proximité de Mâcon ». Voilà ce qu'ont lus les internautes qui se sont connectés au site de la SNCF hier , un peu après 11 heures. "Les premières estimations des pompiers feraient état de 102 morts et 380 blessés. Toutes les victimes ont été évacuées vers les hôpitaux de Mâcon. Les secours sont toujours sur place, ainsi qu'une cellule d'urgence médico-psychologique". Corrigée après 10 minutes, cette annonce a directement été qualifiée d'erreur par la société de transport ferroviare qui s'est empressée de publier un communiqué simple : « vous avez vu apparaître sur ce site une page relayant des informations sur un accident: celui-ci n'a jamais eu lieu ». La compagnie a ensuite expliqué qu'elle pratiquait couramment ce genre d'exercices, environs 10 fois par ans, mais qu'elle était peut être allée un peu trop loin cette fois-ci. (...)

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