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(17/03/2010 16:25:56)

VMware simplifie les migrations applicatives vers Windows 7

« VMware ThinApp 4.5 a été conçu pour réduire le codage et les tests nécessaires pour faire évoluer les applications vers le nouveau système d'exploitation de Microsoft tout en minimisant les risques de plantage» souligne l'éditeur. Comme la plupart des acteurs de l'industrie, VMware s'attend à ce que Windows 7 accélère la virtualisation des applications et des ordinateurs de bureau. Mais migrer le stock d'applications pour qu'il soit utilisable avec cet OS n'est pas aussi simple, et les clients « demandent ce portage via la virtualisation» a déclaré Raj Mallempati, directeur du marketing produits desktop chez VMware. Tombé en 2008 dans l'escarcelle de VMware lors de l'acquisition de Thinstall, un fournisseur d'applications de virtualisation, ThinApp englobe les applications en paquets et intègre leurs paramètres dans « un fichier exécutable unique hébergé hors du système d'exploitation » confirme VMware. Le paquet qui abrite aussi bien les clés de registre, les bibliothèques de liens dynamiques ainsi que les frameworks, est accessible en mode virtualisé pour l'utilisateur. Ces applications peuvent être déployées sur le réseau ou depuis un lecteur USB, permettant de les utiliser à partir d'ordinateurs différents. « La technologie est souvent mise en oeuvre en conjonction avec le déploiement d'un serveur de virtualisation, mais ce n'est pas nécessaire » souligne Raj Mallempati. Les nouvelles fonctionnalités de ThinApp 4.5 comprennent un meilleur partage de la mémoire entre applications, une gestion plus fine de l'allocation mémoire par Windows et un usage optimisé de la bande passante. En outre, la protection des échanges entre registres « garantit l'intégrité du fichier et évite la corruption possible des données suite à un crash ou à une défaillance système » Les plateformes logicielles ThinApp inclus 50 licences utilisateur. Son prix démarre à 5000 dollars. Chaque licence utilisateur supplémentaire coûte 39 dollars. (...)

(17/03/2010 14:12:51)

Facebook plus consulté que Google aux Etats-Unis

C'est une première aux Etats-Unis. Au cours de la semaine dernière, le site de réseau social a dépassé en termes d'audience le célèbre moteur de recherche, selon les données publiées par Hitwise, institut spécialisé dans le trafic Internet. C'est la première fois que le géant du Web est détrôné sur une semaine complète. Selon cet organisme, Facebook a représenté 7,07% du trafic Internet aux Etats-Unis entre le 6 et le 13 mars 2010, contre 7,03% pour Google. Le réseau social aux 400 millions d'amis n'avait jamais dépassé le moteur de recherche sur une si longue période, mais il l'avait déjà fait ponctuellement, le temps d'une journée (Noël et le jour de l'an) ou d'un week-end (6-7 mars). A eux deux, Facebook et Google ont donc totalisé un peu plus de 14% du trafic Internet américain la semaine dernière. Comparé à la même semaine en 2009, le premier a enregistré un bond spectaculaire de 185%, tandis que le second n'a progressé que de 9%. Toutefois, cette étude se limite aux seuls noms de domaine Facebook.com et Google.com. Elle ne prend donc pas en compte les différents sites appartenant au groupe Google, comme le service de messagerie Gmail, le portail vidéo YouTube, ou le site de cartographie virtuelle Google Maps. Facebook est récemment devenu le 5ème site le plus visité de France avec 21 millions de visiteurs uniques en décembre 2009, selon l'institut Médiamétrie. (...)

(17/03/2010 13:08:11)

Annuels Computacenter : rentabilité et CA en baisse

L'exercice fiscal 2009 de Computacenter, achevé au 31 décembre dernier, se conclut avec un chiffre d'affaires (CA) de 358,7 millions d'euros (ME) contre 388, en baisse de 7,6%. La rentabilité est également négative avec une perte d'exploitation de 3,1 ME en2009, contre 2,1 en 2008. Au niveau du groupe (chiffres exprimés en livres), Computacenter affiche un CA en baisse de 2,2% à 2,50 milliards de livres contre 2,56. Le résultat ajusté avant impôt progresse de 25,8% à 54,2 millions de livres, contre 43,1 en 2008. (...)

(17/03/2010 12:40:53)

Dell, Fujitsu, HP, IBM et SGI annoncent leurs serveurs sur base Intel Xeon 5600

Destinés au marché des serveurs lame et rack, les Xeon 5600 Westmere sont jusqu'à 60% plus rapide que leur prédécesseur, le Xeon 5500. C'est en tout cas ce que met en avant le fondeur. Pascal Lassaigne, directeur du marché entreprises chez Intel France, nous a également expliqué que ces puces offraient de meilleures performances tout en consommant moins, ce qui, selon certains analystes, devraient contribuer à réduire les factures d'électricité et les coûts d'installation. Rattraper le retard pris en 2009 "Ce n'est pas une révolution sur le marché des serveurs, c'est plutôt une évolution de la façon dont les principaux constructeurs de serveurs adressent le marché", a déclaré Dan Olds, analyste principal chez Gabriel Consulting Group. Vendre moins de serveurs, mais avec une meilleur efficience générale. Cet apport significatif en performances et les avantages en termes de consommation électrique pourraient contribuer à améliorer les ventes de serveurs, qui sont en baisse depuis début 2009, a souligné Dean McCarron, analyste chez Mercury Research. Le cycle de mise à niveau des serveurs a pris un train de retard en raison de la crise économique, mais il y a des signes d'une légère hausse des dépenses des entreprises, précise l'analyste. [[page]] Selon le cabinet d'étude Gartner, un million de serveurs qui auraient dû être remplacé en 2009 sont restés en activité. Les ventes de serveurs dans le monde ont totalisé 2,2 millions d'unités au quatrième trimestre 2009, soit plus de 4,5% par rapport au dernier trimestre 2008, selon IDC. Toutefois en valeur, le chiffre d'affaires a diminué de 3,2 % en raison de la baisse des prix, mais les recettes sur le segment des serveurs x86 - le type de machines présentées ce mardi - ont augmenté de 14,3% pour atteindre 7,6 milliards de dollars. Moins de serveurs au final dans les salles Selon Pascal Lassaigne, qui cite une étude IDC, près de 80% des serveurs pourraient être remplacés pour consolider et simplifier l'administration des parcs. « Ainsi selon nos estimations 15 serveurs Xeon monocoeur déployés en 2005 pourraient être troqués contre un seul Xeon 5600 avec un ROI inférieur à six mois et une réduction importante de la consommation énergétique même si une puce multicoeurs est plus gourmande qu'une monocoeur. » Un six coeurs Xeon 2,26GHz L5640 basse tension (60 watts) offre ainsi des performances comparables à un quatre coeurs Xeon 5570 plus âgés cadencés à 2,93 GHz et consommant 95 watts, selon Intel. Plus de machines virtuelles Les clients se tournent de plus en plus vers la virtualisation, et les améliorations matérielles dans les serveurs. Plus de coeurs, le multithreading et l'augmentation de la mémoire vive permettent d'installer plus de machines virtuelles sur les serveurs, explique Dean McCarron. Les utilisateurs seront ainsi en mesure d'empiler les charges de travail pour améliorer le taux d'utilisation des serveurs. Un phénomène qui devrait contribuer à renforcer la consolidation, en particulier dans les datacenters, où la virtualisation permet d'obtenir des taux d'utilisation particulièrement élevés confirme l'analyste. [[page]] Une fois l'embargo d'Intel levé, les principaux constructeurs de serveurs ont pu détailler les caractéristiques de leurs produits intégrant les puces Xeon 5600 du fondeur. « La consolidation de serveurs et la réduction de l'infrastructure ont un effet bénéfique sur les datacenters, en réduisant l'énergie et les besoins en refroidissement » nous a expliqué Krista Satterthwaite, directrice du marketing produit de HP. La société a en effet annoncé la commercialisation de ses serveurs ProLiant G6 sur base Xeon 5600. Une gamme qui comprend des modèles blade en rack et des tours. Dell, de son coté (voir illustration ci-dessous), renouvelle sa famille avec les serveurs lame PowerEdge (M710, M610), racks (R710, R610, R510, R410) et tours (T710, T610, T410). IBM étoffe son offre avec deux serveurs en rack (le M3 x3650 et le M3, x3550), et deux serveurs tours, (le M3 x3500 et le M3 x3400). Big Blue a également annoncé une solution de virtualisation "optimisée" avec le BladeCenter HS22V (sur base Xeon 5500), qui pourrait accueillir 30 à 50% de machines virtuelles supplémentaires sur un serveur lame. Fujitsu se distingue avec le Primergy CX1000, un serveur Xeon 5600 spécialement conçu pour répondre aux besoins des solutions de type IaaS (Infrastructure as a Service) proposées par les plates-formes cloud. Particulièrement compact, le CX1000 peut être livré dans une armoire totalisant 38 serveurs (90 000 $). Enfin SGI dévoile l'Origin 400 (voir photo ci-dessous), un serveur lame 6U (jusqu'à 72 coeurs Xeon 5600 avec un maximum de 576 Go de Ram) également conçu pour les environnements virtualisés. Dans un même châssis, l'Origin 400 intègre les lames serveur, la baie de stockage SAN et la connectique réseau. (...)

(17/03/2010 12:29:38)

Mix 2010 : Internet Explorer 9, OData et Dallas version 2

Les développeurs vont avoir du travail avec l'ensemble des annonces du géant de Redmond lors de la conférence Mix 2010. Ils devront tout d'abord se concentrer sur la plateforme préliminaire d'Internet Explorer 9. Et les évolutions sont nombreuses. En premier lieu, le navigateur bénéficiera d'une refonte complète de son moteur d'exécution en javascript (connu sous le nom de code « chakra »). L'objectif est d'améliorer l'intégration des standards de l'Internet et notamment du langage HTML 5 (encore en instance de normalisation au sein du W3C) au sein du navigateur. Il assurera une meilleure prise en charge du CSS3, du SVG et l'adoption des codecs AAC et H.264 pour l'audio et la vidéo. Il ne sera donc plus nécessaire d'ajouter des modules additionnels ou des activeX pour regarder une vidéo dans une page web. L'interopérabilité s'étend également au hardware. Microsoft souhaite tirer parti à la fois des capacités des processeurs multicoeurs, mais aussi des ressources graphiques des ordinateurs de dernière génération, pour exécuter plus facilement des vidéos en haute définition par exemple. C'est Direct 2D qui prendra en charge les questions graphiques, cela entraîne une limitation de IE9 à Windows Vista et Seven et pas XP. [[page]] Lors de la conférence de présentation, Microsoft a joué une certaine transparence en soumettant sa plateforme aux outils de benchmark communément utilisés pour tester les performances des navigateurs. Il revendique un score de 55 sur 100 sous Acid 3, alors que ses concurrents Chrome de Google ou Firefox de Mozilla atteignent le score maximal. Aucune date n'a été révélée sur la sortie définitive du prochain navigateur, mais les responsables souhaitent aller vite pour combler le retard pris face à la concurrence. Pour ceux qui s'intéressent à la question, Microsoft a mis en ligne un site de test à cette adresse http://ie.microsoft.com/testdrive/ Deux projets pour unifier et monétiser les sources de données Parallèlement à l'annonce d'IE9, Microsoft a également présenté deux évolutions dans le domaine des bases de données. La première est la mise à disposition d'un SDK pour le protocole OData (Open Data) qui repose sur le HTML et Atom, permettant d'élaborer des applications faisant appel à des bases de données codées dans des langages variés, comme PHP, .Net. Sur le lien http://www.odata.org/developers/odata-sdk. On notera que devrait les bibliothèques de développement pour Windows Mobile 7 et le langage spécifique à l'iphone (Objective C) seront prochainement disponible. L'autre annonce concerne l'évolution du projet « Dallas » qui travaille avec la plateforme cloud Azure. Ce projet doit permettre la création d'une place de marché pour les développeurs, qui souhaitent utiliser des applications dans plusieurs sources de données privées ou publiques et de les unifier dans un même endroit, avec le concours du kit de développement OData, cité ci-dessus. L'objectif de la deuxième version de Dallas est donc de monétiser le travail et les apports des développeurs dans la création de nouvelles applications. Les partenaires qui mettent à disposition leur API sont nombreux, Associated Press, Navteq, etc. (...)

(17/03/2010 11:34:20)

Damilo, holding d'ACTI, rachète Architech IS

Le holding de la SSII ACTI, Damilo, procède à une nouvelle acquisition, cette fois dans la production informatique. Il s'agit d'Architech IS, basée à la fois à Lyon et à Paris. « Un spécialiste du management de la production informatique qui a développé des méthodologies associées », souligne Marie-Mercedes Allongue directrice marketing et communication d'ACTI. La direction d'Architech IS reste en place. Cette société a réalisé 2,5 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2009 et compte passer à 2,85 en 2010, en recrutant 10 personnes de plus, elle en compte aujourd'hui 25. (...)

(17/03/2010 11:23:53)

La SSII Viveris recherche 150 informaticiens

Après avoir gelé ses recrutements en 2009, la SSII Viveris - 650 collaborateurs - prépare la reprise et annonce un plan d'embauches de 150 ingénieurs en 2010. Les postes sont à pourvoir principalement en Ile-de-France et visent l'ensemble des métiers de l'informatique : il s'agit de débutants, mais également de profils confirmés, des chefs de projet, des développeurs et des spécialistes de l'informatique de gestion, notamment. Créer le site de e-commerce d'un groupe industriel, concevoir une application améliorant la gestion de logements sociaux, réinventer un système de contrôle de gestion, réaliser des systèmes électroniques à haute technicité, sont autant d'exemples de projets sur lesquelles ces nouvelles recrues seront mobilisées. (...)

(17/03/2010 11:22:05)

Linux : Mariage de raison entre solutions propriétaires et logiciel libre

Peu de secteurs ont échappé à la crise économique. Le marché du logiciel libre fait partie de ces exceptions, remarque le cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC) en publiant une étude sur le sujet pour l'ouverture du salon Solutions Linux / Open Source. Saisis de manière brute, les chiffres impressionnent : 33% de croissance en 2009, 30% prévus pour 2010. En 2009, en France le « Libre » représentait 1,47 milliards d'euros de chiffre d'affaires, i l devrait atteindre 2 milliards cette année, et, sans doute, doubler entre 2009 et 2011 pour atteindre 3 milliards et une croissance plus stable. Mathieu Poujol, consultant chez PAC qui a dirigé l'étude apporte néanmoins quelques bémols : « le « Libre » est encore un petit marché, 4% du total des logiciels et services, mais il garde une forte capacité de progression, son arrivée à maturité annonce d'ailleurs une croissance plus modérée après 2011 ». Ce marché a bien traversé la crise économique. Le « Libre » est apparu comme une solution immédiate et intéressante en période de restriction de budget. Plus fondamentalement, et sur plusieurs années, PAC observe non pas une progression du « Libre » en tant que tel, mais du « Libre » lié à d'autres solutions. « Il existe peu de projets « full open source » dans les grands comptes, note Mathieu Poujol. C'est ainsi que Microsoft, IBM, Bull, entre autres, proposent du « Libre » en lien avec des solutions plus fermées. Mathieu Poujol relève d'ailleurs une forte présence de logiciels libres dans plusieurs grands projets récents. Et de citer les Archives Nationales, ou tout le back office est en libre, celui de la Direction des Impôts, ou encore la refonte des RH de l'Education Nationale. Les grandes SSII sont les grands acteurs de ce mouvement de mixité : Logica aux Archives Nationales ou Cap à l'Education Nationale. Le « Libre » s'intègre bien dans les projets SOA ou Cloud [[page]] Le « Libre » s'intègre bien dans les projets SOA ou Cloud Autre signe de maturité, du fait de l'ouverture de son code et du respect des standards, le « Libre » s'intègre bien dans les projets SOA ou Cloud. «Ils nécessitent beaucoup d'interopérabilité, on travaille avec des gens partout dans le monde, en réalisant beaucoup d'assemblages de composants déjà développés », une voie royale pour SOA et Cloud. Non seulement, le « Libre » gagne en maturité, mais en plus, il se professionnalise, remarque Mathieu Poujol. Dans une étude réalisée pour le Syntec Informatique, PAC remarquait le grand nombre d'autodidactes sur ce marché, la minceur des formations proposées, mais la progression des informaticiens en reconversion. Donc l'arrivée d'ingénieurs rompus à d'autres technologies et qui retrouvent du travail par le « Libre ». Plus généralement, PAC souligne évidemment la forte présence du logiciel libre en France. « La France est un bon terreau, souligne Mathieu Poujol, parce qu'en France nous aimons le spécifique, et que le « Libre » a démarré dans le monde de la recherche autour de Grenoble ou Toulouse. « Mais ceci appartient au passé, « le logiciel libre est devenu de moins en moins communautaire et de plus en plus professionnel » souligne PAC. (...)

(17/03/2010 11:09:59)

Les serveurs virtualisés ne sont pas encore assez sécurisés selon le Gartner

D'ici 2012, environ deux serveurs virtualisés sur trois seront moins sécurisés que les serveurs physiques qu'ils remplacent, estime le Gartner. Les analystes du cabinet d'études se veulent davantage optimistes à plus long terme, prévoyant que ce taux tombera à un serveur virtualisé sur trois d'ici à la fin 2015. Ceci dit, les analystes pointent du doigt le fait que beaucoup de projets de déploiement de la virtualisation sont mis en oeuvre sans l'implication des équipes en charge de la sécurité informatique lors de la définition de l'architecture initiale. La virtualisation n'est pas une technologie faillible par nature, explique Neil McDonald, le vice-président de Gartner. Mais la plupart des charges virtualisées (ou workloads, c'est à dire le couple constitué par un système d'exploitation et les applications qui s'exécutent dans cet environnement) sont déployées sans une réelle prise en compte des questions de sécurité. Cet état de fait résulte de l'immaturité des outils et des modes opératoires employés, ainsi que de la formation limitée des équipes des entreprises, des consultants et des revendeurs. Photo : Neil McDonald, vice-président de Gartner (D.R.) [[page]] Si Gartner tire la sonnette d'alarme, c'est parce qu'à la fin de l'année 2009, seules 18% des "workload" des centres informatiques qui pouvaient être virtualisées l'ont été. En 2012, cette proportion devrait atteindre 50%. Or, puisque de plus en plus de workloads sont virtualisées, et que des workloads de niveaux de fiabilité différents sont combinées, et que les workload deviennent de plus en plus mobiles, les problèmes de sécurité doivent être surveillés de bien plus près. Selon le cabinet d'études, les risques de sécurité majeurs liés à la virtualisation sont au nombre de six : - Les équipes dédiées à la sécurité informatique ne sont pas assez impliquées en amont des projets de virtualisation, - Une mise en péril de la couche de virtualisation peut aboutir à une mise en péril de toutes les "workload" hébergées, - Le manque de visibilité et de contrôle sur les réseaux virtuels internes créés pour permettre aux machines virtuelles de communiquer entre elles rend inopérant les mécanismes existants de mise en oeuvre des politiques de sécurité, - Des workloads offrant différents niveaux de confiance sont consolidées sur un seul serveur physique, - sans les contrôles adéquats sur les accès à l'hyperviseur, - Il existe une perte potentielle de séparation entre les tâches de contrôle liées à la sécurité et celles liées aux réseaux. (...)

(17/03/2010 09:30:46)

Gestion de la relation client : Pegasystems rachète Chordiant

L'Américain Pegasystems, spécialisé dans les outils de gestion des processus métier appliqué à la relation client (CRM), rachète son compatriote Chordiant, fournisseur de solutions et services de CRM. Celui-ci se voit offrir 5 dollars par action ce qui le valorise à 161,5 millions de dollars. En décembre dernier, le Californien Chordiant (la société est basée à Cupertino) avait déjà reçu une offre de rachat, d'un montant de 105,1 millions de dollars, émanant de CDC Software (qui édite notamment le logiciel de CRM Pivotal, ainsi que l'ERP Ross Enterprise). L'opération n'a pas abouti, l'offre ayant été refusée par les actionnaires. Les solutions de Chordiant permettent aux entreprises qui gèrent un important portefeuille de clients d'interagir avec chacun de façon personnalisée et « intelligente », en temps réel, au travers de l'ensemble des canaux de contacts, en particulier le centre d'appels. L'agent ou l'opérateur est guidé dans sa conversation avec le client en tenant compte des précédentes interactions, mais aussi des réactions de son interlocuteur, de ses réponses et, même, de son humeur.



Des solutions verticales dans la santé et l'assurance


Pour Ray Wang, analyste d'Altimeter, le rachat opéré par Pegasystems est pertinent puisque Chordiant vend des produits centrés sur les processus de CRM. Il souligne par ailleurs que les éditeurs ont tous les deux développé et mis l'accent sur des solutions verticales, notamment dans les secteurs de la santé et de l'assurance. « La gestion de la relation client n'obéit pas à des processus figés comme la finance. Il faut s'adapter aux besoins des interlocuteurs, rappelle l'analyste. Cela implique de déployer des processus complexes, reposant sur des règles, en particulier dans l'assurance. Si le client va au-delà de ce qui est prévu, comment faut-il réagir, que doit-on lui répondre ? » Les deux éditeurs ont déjà des comptes en commun, tels que Citibank, précise Alan Trefler, PDG de Pegasystems. Chez ce client, Chordiant est utilisé par le service client qui reçoit les appels entrants et les logiciels de Pegasystems servent à gérer les processus métier appliqués aux réclamations liées aux cartes de crédit. Pegasystems est l'un des derniers acteurs indépendants du BPM après le rachat de Savvion par Progress Software et de Lombardi par IBM. Photo : Chordiant (...)

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