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(18/01/2012 10:53:37)

La consumérisation de l'IT submerge les DSI

La vague du « Bring your own device » (« Apportez votre propre terminal ») consiste pour les salariés à utiliser leurs propres matériels et logiciels dans l'exercice de leur métier. Elle s'intègre dans le mouvement plus vaste de la consumérisation de l'IT, c'est à dire dans l'usage de produits grand public au sein des systèmes d'information des entreprises. Le cas typique est celui du smartphone et de la tablette.

L'Institute for High Performance d'Accenture a réalisé une enquête pour connaître l'état des lieux des pratiques et des attentes des collaborateurs. La vague semble irrésistible et les DSI se doivent donc de l'accompagner sous peine d'être submergé, en condamnant la sécurité des systèmes d'information. Ainsi, 45% des personnes interrogées estiment que les outils personnels sont plus efficaces que ceux fournis par la DSI de l'entreprise pour réaliser leur travail. D'ailleurs, un quart des salariés utilise de manière régulière ses propres outils, sans tenir compte des réticences des entreprises en la matière, notamment en matière de sécurité. Certains outils sont des logiciels téléchargés sur Internet sans contrôle de la DSI. Parmi les attentes, il y a la possibilité de se connecter au système d'information avec des outils comme les tablettes tactiles personnelles.

L'exemple vient d'en haut

Innovation, productivité et satisfaction personnelle dans le travail sont les trois arguments avancés. Le désir est si fort que plus d'un quart des personnes est prêt à payer lui-même les outils en question, sans aucun défraiement de son employeur. Un quart également des répondants estiment apporter des réponses aux problèmes de l'entreprise avec de tels outils personnels ou grand public.

Le phénomène est encore plus fort dans les pays nouvellement développés comme la Chine te l'Inde avec des taux pouvant dépasser les 40%. De la même façon, les cadres dirigeants sont les plus prompts à adopter de tels outils sans se préoccuper des recommandations de la DSI. Moins d'un quart d'entre eux a commencé une réflexion structurée sur le sujet, notamment pour définir ce qui doit être autorisé ou interdit. (...)

(18/01/2012 10:20:14)

La SSII Eolen acquiert la société AS+

AS+ est spécialisée dans les télécoms et l'aéronautique avec une présence de 40 ingénieurs à Toulouse. Avec le rachat par Eolen, AS+ est filialisée à 100% comme l'était Amundis, acquise en septembre dernier. D'autres opérations de croissance externe devraient suivre chez Eolen.

« C'est dans la période actuelle de crise et de nervosité, qu'il est intéressant d'apporter aux sociétés de nouvelles orientations, note Pascal Leblanc, PDG de Groupe Eolen. « Je compte bien avoir des appels de dirigeants de sociétés situées entre 50 et 200 salariés souhaitant s'adosser à un groupe qui préservera leur ADN. Je cherche avant tout des niches d'expertises, des sociétés positionnées dans le conseil et l'ingénierie ».

La société compte ainsi toujours réaliser 80 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) en 2015. Sur 2011, la croissance organique fut supérieure à 15% avec 22 ME de CA. En 2012, ce CA devrait passer à 27 ME. L'été prochain un fonds d'investissement pourrait faire son entrée au capital, mais Pascal Leblanc semble totalement allergique à l'idée d'une entrée en bourse.



(...)

(18/01/2012 10:13:29)

La SSII CIS Valley dévoile son plan d'action 2012-2014

La société de services CIS Valley travaille depuis juin dernier sur son plan d'orientation stratégique 2012-2014, qui doit l'amener à réaliser 51 millions d'euros de chiffre d'affaires d'ici trois ans contre 29,6 millions d'euros en 2011. Cet objectif chiffré était déjà connu. Michel Rouvellat, le président de cette filiale de la holding Aquitaine Valley l'avait déjà expliqué à nos confrères de Distributique. Peu disert, à l'époque, sur les détails de ce plan d'actions, l'homme est en revanche en mesure de les dévoiler aujourd'hui. On apprend ainsi que la réalisation de l'objectif de l'entreprise devra passer par la progression l'ensemble de ses pôles d'activité : Intégration, lnfogérance, Etudes et Projets. Les revenus de ce dernier pôle, qui ont atteint 2,8 millions d'euros en 2011, devraient progresser de 82% d'ici trois ans pour atteindre alors 5,1 millions d'euros. Le chiffre d'affaires tiré des prestations d'infogérance devrait passer de son côté de 4,3 M€ environ l'an dernier à 7,4 M€ en 2014, soit une hausse de 72%. Enfin, la croissance de l'activité d'intégration, la plus grosse contributrice à l'activité globale de CIS Valley, devrait s'établir à +25% pour 27,5 M€ lors de la dernière année de son plan d'orientation. « Nous devrions y parvenir aisément puisque c'était le niveau d'activité que dégageait cette branche avant la fusion entre CIS et Aquitaine Valley », précise Michel Rouvellat.

L'atteinte de ces objectifs passe notamment par une réorganisation des forces de vente de l'entreprise. La SSII a décidé de rompre avec son approche précédente qui consistait à dédier une équipe de commerciaux à chacun de ses métiers et d'opter aujourd'hui pour une force de vente capable de commercialiser l'ensemble des produits et services de son catalogue. Une approche qui évite une forte augmentation de la masse salariale mais qui n'est pas sans occasionner des coûts supplémentaires. « Nous avons prévu une hausse de notre budget formation de 5% par an jusqu'en 2014, explique Michel Rouvellat. En 2011, il atteignait déjà 150 K€. » Les recrutements de la SSII seront donc ainsi maîtrisés puisque le nombre de ses collaborateurs ne passera "que" de 118 aujourd'hui à 160 en 2014. En outre, « nous allons faire beaucoup plus appel à la sous-traitance,répond Michel Rouvellat. Sur notre seule activité Etudes et Projets, la moitié de la croissance sera assurée par ce biais cette année. »

Un développement important des offres d'infogérance et du pôle Etudes et Projets

L'élargissement de son offre et de sa clientèle est le second grand pilier sur lequel repose le plan d'orientation 2012-2014 de CIS Valley. Pour délivrer une partie de ses prestations dans le domaine de l'infogérance, la SSII dispose de son propre centre de données à Bruges (33), près de son siège de Bordeaux(*). Ce dernier va faire l'objet d'investissements qui vont améliorer son taux de disponibilité sur les moyens généraux et lui permettre ainsi d'accueillir d'avantage de clients en 2012. A termes, cela ne sera toutefois pas suffisant pour éviter la saturation annoncé du centre de données de Bruges. En prévision, CIS Valley est en passe de conclure un accord avec un groupe bancaire qui doit prochainement ouvrir son centre de données doté d'un taux de disponibilité de 99,999%, dans lequel la SSII va pouvoir louer de l'espace pour de nouveaux clients. L'offre de son pôle infogérance en matière de SaaS va également être étoffée.
[[page]]Jusqu'ici, CIS Valley ne diffuse de cette façon que son logiciel maison CAP Valley qui cible principalement les organismes consulaires en quête d'un outil de gestion de leurs relations avec leurs adhérents.
« Demain, nous nous ouvrirons aussi au monde de la santé grâce à l'agrément d'hébergeur des données santé à caractère personnel que nous a délivré le ministère de la Santé », indique Michel Rouvellat. En outre, la SSII a entamé des discussions avec des éditeurs dont il compte héberger et diffuser les offres en mode SaaS, quel que soit le type d'applications concerné.

La croissance de l'activité Etudes et projets devrait se nourrir quant à elle d'une ouverture à une cible de clientèle plus large que celle des organismes consulaires. « Notre pôle Etudes et Projets commercialise notre applications CAP Valley en mode licence et propose des développements d'applications collaborative sur le base des technologies Microsoft, principalement aux organismes consulaires. Depuis le second trimestre 2011, nous ouvrons progressivement notre catalogue à toutes les PME et PMI ». Ces dernières représentent actuellement 20% de l'activité du pôle Etudes et Projets contre 80% pour les organismes consulaires. En 2014, la part des revenus générés par ces deux types de clients devrait être équilibrée. Si CIS Valley mise en partie sur la sous-traitance pour mieux répondre aux besoins de ces entreprises et organismes consulaires, la SSII a également recruté quatre collaborateurs maîtrisant les domaines du travail collaboratif et des technologies web cet été. La SSII veut aussi développer l'activité de son pôle Etudes et Projets dans le domaines du décisionnel, sur les technologies Business Objects et SQL Server 2012 qui sera livrée dans le courant du premier semestre de cette année.

A la lecture de l'ensemble des dispositions prises par CIS Valley et des objectifs qu'elle s'est fixé, il semble évident que la SSII a bien balisé sa route. Mais, en dépit des jalons qu'elle a posés, un incident de parcours peut toujours arriver puisqu'il ne lui a pas échappé que la France, en autres, subit les effets d'une crise économique qui pourrait s'aggraver de surcroît.
« Nous avons mis en place des indicateurs que nous allons suivre tous les mois. Si un changement important du contexte économique intervenait, nous modifierons notre plan d'actions », conclut Michel Rouvellat.

(*) CIS Valley dispose également d'agences à Nantes, Orléans, Toulouse et Montpellier.

(...)

(18/01/2012 10:07:49)

Les centres de calcul scandinaves sont les plus efficients en Europe

Lors de la première édition de de l'Oracle Next Generation Data Centre Index publiée l'an dernier, la Suisse et l'Allemagne, étudiées conjointement, arrivaient au premier rang. Cette année ce sont les pays scandinaves qui décrochent la première place avec un indice de 6,51. La Suisse et l'Allemagne augmente leur indice par rapport à l'an dernier pour atteindre 6,21. Suivent ensuite les pays du Benelux, la Grande-Bretagne, la France, les pays du Moyen-Orient et la péninsule ibérique et l'Italie. L'Irlande et la Russie finissent dernier.

Pour cette étude réactualisée (voir la note 2012 de l'éditeur), ont été interrogés 949 responsables informatiques travaillant dans des entreprises dont le chiffre d'affaires est compris entre 100 millions et un milliard de dollars dans dix pays de la région EMEA. Elle  a été menée par la société Quocirca pour le compte d'Oracle.

Au niveau global, il ressort de cette étude que de nombreuses grandes entreprises ont été  surprises par l'explosion du volume de données (les « Big Data ») due à l'augmentation des interactions entre les consommateurs et les marques, les terminaux mobiles, la forte augmentation des communications entre machines ou la multiplication des informations manipulées par les processus opérationnels internes des entreprises. Pour Luigi Freguia, Senior Vice President d'Oracle, cette question va toutefois devenir un enjeu majeur pour les entreprises : « La maîtrise des Big Data va devenir le défi informatique numéro un pour les entreprises au cours des deux prochaines années. A la fin de cette période, soit elles auront su faire face, soit elles seront en total décalage par rapport à leur propre activité - sans parler des risques et des opportunités que représentent les Big Data. »

Parmi les autres résultats, on peut encore noter :


ICTJournal.ch (...)

(18/01/2012 09:56:00)

Le Syntec Numérique veut se rapprocher de l'Afdel

La France éternelle est trop souvent représentée par ses tribus gauloises habituelles, une flopée d'associations toutes plus actives les unes que les autres, mais très dispersées, s'occupe ainsi du numérique. On pense évidemment à l'Afdel, au Simavelec, au SNJV, à la Fieec, Atena et la FFT dans les télécoms et tant d'autres. La liste est non limitative. Des organismes se surajoutent comme le Conseil national du numérique, couvert de fleurs par les dirigeants du Syntec Numérique.

Guy Mamou-Mani, le président de ce syndicat invite chacune d'elles à participer, sous une forme à définir, à un front commun. A l'approche des présidentielles, se multiplient en effet les initiatives de ces différents représentants du monde numérique. Jeudi dernier, l'Afdel présentait ses propositions, ce mardi 17 c'était au tour du Syntec Numérique. D'autres devraient suivre et ces représentants vont rencontrer les candidats aux présidentielles, du moins leurs conseillers en charge du numérique. Beaucoup de propositions sont communes, du moins très proches, un front commun permettrait d'être plus crédible, et « ce n'est pas une opa » précise Guy Mamou-Mani.

10 propositions réparties en 3 chapitres

Le Syntec Numérique a pour sa part présenté ce mardi 17 ses dix propositions pour les candidats aux présidentielles. Elles s'articulent autour de trois axes : créer un éco-système social et fiscal, développer les usages, moderniser l'Etat. Sur le 1er point, le Syndicat propose de : développer une filière éducative autour du numérique, sanctuariser le CIR (Crédit impôt recherche), créer un réseau (pourquoi pas un portail) unique d'accès aux multiples aides et financements proposés aux PME, valoriser la responsabilité sociétale des entreprises du numérique.

Côté usages, le Syntec Numérique propose de les développer dans les PME  et TPE à l'aide d'un Crédit impôt numérique, leur permettant de créer des sites dans leurs entreprises, de s'équiper en CRM ou ERP. Enfin, sur l'Etat, le Syndicat veut convaincre que ses propositions sont à coût nul, donc qu'elles favorisent les économies de l'Etat tout en développant une meilleure perception du service public par les usagers. Le Syntec Numérique insiste particulièrement sur l'éducation et la santé, à la fois côté usages et côté modernisation de l'Etat.

(...)

(18/01/2012 09:42:25)

Lotusphere 2012 : accompagner les utilisateurs vers le réseau social

La qualité des outils fournis n'est pas une condition suffisante pour réussir un projet de réseau social en entreprise. L'implication des dirigeants est indispensable, ainsi qu'une équipe dédiée à ces usages. Au deuxième jour d'un Lotusphere axé sur le « Social Business », IBM a donné la parole à Wendy Arnott, responsable médias sociaux du groupe canadien TD Bank qui a déployé la plateforme de contacts Connections. Sixième banque d'Amérique du Nord, la société compte 85 000 employés. Après un projet pilote sur 500 personnes, l'application collaborative a été déployée auprès de 50 000 collaborateurs au Canada, avec un taux d'adoption multiplié par sept par rapport aux prévisions. Un succès dû à l'implication des équipes dédiées, estime la DSI du groupe, Glenda Crisp. De son côté, elle relève parmi les points sensibles la mise en place d'accès Single sign-on et l'intégration avec Microsoft SharePoint. Le groupe bancaire poursuit son déploiement sur 25 000 personnes aux Etats-Unis.

Profils, documents, communautés, wikis, microblogging

L'application Connections permet de dresser des profils de l'ensemble des collaborateurs pour faciliter les recherches de contacts et d'expertises au sein d'une entreprise. Elle propose aussi de créer des communautés internes, d'organiser ses activités, de publier et partager des documents, d'animer un blog, d'alimenter des wikis, de partager ses signets et de diffuser des informations par microblogging. La version 4 du logiciel, prévue pour le 2e trimestre, accueille les e-mails et les communautés externes, et elle déroule un flux d'activité qui peut intégrer des données venues d'autres applications. IBM Connections est un produit indépendant qui n'a pas besoin de s'utiliser avec les logiciels Notes/Domino. « 50% des ventes se font à des clients qui utilisent MS Exchange, nous n'essayons pas de leur vendre Notes », a rappelé ce matin Mike Rhodin, vice-président senior, responsable d'IBM Software Solutions Group. En revanche, IBM fournit gratuitement certaines fonctions de Connections aux utilisateurs de Notes/Domino : Profils, pour la recherche de contacts, Fichiers, pour le partage de documents, et le microblogging.

Mike Rhodin, responsable du groupe Software Solutions chez IBM
Mike Rhodin, vice-président senior, responsable d'IBM Software Solutions Group (crédit : M.G.)

Des vidéoconférences Polycom depuis Connections

L'analyste Ray Wang, PDG du cabinet Constellation Research, constate les avancées réalisées par IBM sur ces solutions de Social Business. « L'an dernier, nous avons vu beaucoup de marketing. IBM présentait sa vision et expliquait où il voulait aller. Cette année, nous voyons la réalisation de ces développements : certaines capacités à manipuler les fichiers, l'intégration, la mobilité... », énumère-t-il. « Et si l'on regarde du côté des fonctions complémentaires, ce que fait un partenaire comme Polycom est très intéressant ». Polycom présente sur Lotusphere 2012 l'association de ses solutions de vidéo avec Connections et avec Sametime. La plateforme de communication unifiée d'IBM est intégrée de façon native avec son offre RealPresence. A travers Sametime, Polycom permet aux utilisateurs du réseau social Connections de lancer une vidéo directement depuis leur interface. Il est aussi possible de rejoindre une réunion video hébergée sur RealPresence à partir d'un navigateur web sans disposer de Sametime.

Ray Wang pointe aussi tout ce qui a trait à la « gamification », démarche qui recourt aux techniques du jeu pour faciliter l'apprentissage, renforcer l'implication des employés ou la fidélité des clients. Un procédé que l'analyste présente comme un bon moyen d'amener des utilisateurs à participer au réseau social. IBM Connections devrait bénéficier d'un partenariat avec Bunchball, l'éditeur de la plateforme en ligne Nitro, qui a déjà sorti des solutions pour Salesforce.com et Jive. 

Budget : des décisions prises par les directions métiers

En résumé, Ray Wang estime qu'il y a eu beaucoup de travail de fait. « Et la bonne nouvelle, c'est que ce marché est encore très jeune. IBM a donc l'opportunité d'opérer un changement. » L'activité traditionnelle de messagerie, Notes, n'est sans doute pas au mieux, suggère l'analyste en soulignant qu'il en va de même pour Outlook et les outils de productivité bureautique. « Ils se renouvellent. La question est donc de savoir où aller pour choisir un jeu complet de solutions. Et c'est là-dessus que parie IBM ».  Ray Wang rappelle que Connections existe aussi en version SaaS, sur LotusLive, et que l'on peut facilement s'inscrire au service par petits groupes, sans que l'outil soit imposé par la hiérarchie. « Il y a un effet viral qui peut se produire si l'on essaie le produit, de la manière dont un Google progresse ».

L'analyste attire enfin l'attention sur les sessions de la conférence Connect 2012 qui, au sein de Lotusphere, s'adressent aux directions métiers. « Ce sont ces utilisateurs qui prennent en fait les décisions. Nos enquêtes montrent que les budgets IT baissent de 5% sur un an. En revanche, les dépenses technologiques des entreprises montent de 18 à 20%. Et qui prend les décisions, sinon les métiers. Il est donc très important de regarder ce que font ces directions. » Sur Connect 2012, Ray Wang animait lui-même une session pour « démystifier » les méthodes de « gamification ».

(...)

(17/01/2012 17:12:25)

La menace de publication du code source de Norton Antivirus de Symantec fait pschitt

C'est sur Twitter que l'annonce a été faite, le pirate du nom de « Yama Tough » a indiqué le 14 janvier dernier que « mardi prochain [c'est-à-dire aujourd'hui], publication de la version complète de Norton Antivirus 1,7 Go src [source], le reste suivra ».  Cependant, aujourd'hui, le même compte Twitter annonce « nous ne publierons pas aujourd'hui le code, tant que nous ne l'aurons pas complètement ».

Depuis quelques jours des remarques sur les publications couplent la présentation du code avec le procès d'un résident américain, James Gross, contre Symantec. Il estime que l'éditeur utilise des techniques de scareware pour persuader les utilisateurs d'acheter des versions complètes d'antivirus. Un tweet de Yama Tough va dans ce sens « aujourd'hui nous allons publier le code source de Norton Utilities pour accompagner les poursuites contre Symantec ».

Il y a quelques semaines Symantec avait admis que le groupe - qui utilise également le nom de «Les Seigneurs de Dharmarâja» - détenait des portions de code source. Le groupe avait expliqué avoir trouvé ces informations lors du piratage des serveurs appartenant à l'armée indienne. L'éditeur de solutions de sécurité avait expliqué que la documentation publiée sur Pastebin était relatif à des produits pour entreprises EndPoint Protection 11.0 et AntiVirus 10.2 datant de 1999 et n'aurait aucun impact sur les produits actuels.

(...)

(17/01/2012 17:11:46)

Pour contrer les ultrabooks, AMD veut proposer des ultraportables à 500 $

Pour répondre à l'offensive d'Intel sur le marché des PC portables avec sa plate-forme ultrabook, AMD prépare également des puces pour ordinateurs portables ultraminces. Et ses machines coûteraient jusqu'à 200 $ de moins qu'un ultrabook Intel, selon un article du site asiatique Digitimes. Le fondeur de Sunnyvale qui espère ainsi revenir sur son concurrent direct en l'attaquant sur les prix, pense pouvoir lancer sa plate-forme "ultrathin" en juin prochain.

Les premiers modèles d'ultrabooks présentés au dernier CES étaient proposés de 900 à 1400 dollars, l'Envy 14 de HP par exemple. Intel prévoit que 70 modèles d'ultrabooks seront lancés cette année et espère que sa prochaine génération de puce basée sur la micro-architecture Ivy Bridge fera baisser le prix de vente de  ces machines à 700/900 $.

Ultrathin contre ultrabook

Les ultraportables d'AMD - ultrabook est une marque déposée par Intel - utiliseront les puces connus sous le nom de code Trinity, avec un coeur Piledriver/Bulldozer pour la partie CPU et Cayman-class pour le GPU. Gravées en 32 nm, elles disposeront de deux ou quatre coeurs. En 2006, AMD avait déjà utilisé ce nom Trinity pour promouvoir une plate-forme de virtualisation du poste de travail concurrente du vPro d'Intel.

Selon AMD, ses processeurs sont en général moins chers que ceux d'Intel et la série Trinity ne fera pas exception à la règle. Le prix de départ pour les ordinateurs portables Trinity tournerait autour de 500 $, soit jusqu'à 200 $ moins chers que le prix moyen attendu d'un ultrabook Intel Ivy Bridge, gravé en 22 nm. Pour ce qui concerne la partie consommation, AMD indique que ses puces Trinity se contenteront de 17 watts, soit à peu près la même chose que les puces Intel Ivy Bridge. Les puces Trinity devraient offrir les mêmes performances que les processeurs A-series d'AMD, actuellement utilisés dans des PC portables.  Les Trinity consommeraient toutefois moitié moins de puissance. Il n'y aura toutefois pas autant d'ultraportables chez AMD que chez Intel, selon Digitimes. Seule une vingtaine de modèles ultrafins sur base AMD sont attendus cette année, chez des constructeurs comme HP, Acer et Asus.

(...)

(17/01/2012 15:57:23)

FreeBSD 9.0 : une autre alternative libre à Linux

Linux n'a pas encore la reconnaissance de Windows, mais on ne peut nier sa popularité dans le domaine des serveurs, ni son utilisation croissante sur des ordinateurs de bureau, ou encore son omniprésence dans le monde du mobile sous la forme d'Android. Quand on dit « système d'exploitation libre et Open Source», Linux est probablement le nom qui vient le plus souvent à l'esprit. Mais, la plupart d'entre nous ont oublié qu'il existe un autre système d'exploitation « libre et Open Source », aussi basé sur Unix, et également très utilisé sur les serveurs du monde entier. Son nom : FreeBSD, dont une toute nouvelle version vient juste de sortir.

Le « Géant Inconnu »

Dans le monde des OS, FreeBSD a été surnommé le « géant inconnu ». FreeBSD est en fait un proche cousin de Mac OS X (ils partagent le même noyau). Il appartient à la famille des systèmes d'exploitation Berkeley Software Distribution (BSD) dont l'origine remonte au système Unix BSD créé dans les années 70 à l'Université Berkeley de Californie. En général, les distributions Linux sont construites autour d'un noyau Linux auquel sont ajoutés des applications et des utilitaires propres. Pour sa part, FreeBSD est un système d'exploitation complet qui contient tout ce qui est nécessaire à son bon fonctionnement.

OpenBSD et NetBSD sont deux proches déclinaisons de FreeBSD. Debian GNU/kFreeBSD et Gentoo/FreeBSD sont deux autres distributions développées sur un noyau FreeBSD. Le projet Debian maintient plusieurs ports plus ou moins expérimentaux, visant à associer un noyau autre que Linux à la suite des outils et paquets de Debian.
Tout comme Linux, FreeBSD offre un référentiel de milliers d'applications tierces. La plupart des logiciels compatibles Linux peuvent aussi fonctionner sans aucun problème sur le système d'exploitation FreeBSD. Largement reconnu pour sa fiabilité et sa sécurité - il a de ce point de vue de nombreux points communs avec Linux - FreeBSD fait tourner les sites de 3 des 10 meilleurs hébergeurs les plus fiables, selon une enquête réalisée par Netcraft le mois dernier. Il offre aussi un système de licences très généreux.

GNOME 2.32.1 et KDE 4.7.3 au choix de l'utilisateur

Presque un an après la sortie de FreeBSD 8.2, la version 9.0 arrive avec de nombreuses fonctionnalités et améliorations. En particulier, le système permet aux utilisateurs de choisir leur environnement de travail. Le monde Linux a été très agité ces derniers temps sur la question des environnements de travail, principalement en raison de la controverse entourant aussi bien GNOME 3 que l'Unity d'Ubuntu. FreeBSD 9.0 permet de dépasser la querelle actuelle puisqu'il laisse aux utilisateurs le choix d'opter pour l'environnement familier GNOME 2 ou pour le bureau plus design de KDE. Parmi les autres améliorations notables de FreeBSD 9.0, on peut citer un nouvel installeur, le support du PowerPC pour la PlayStation 3 de Sony, de nombreuses mises à jour de pilotes, le support de l'USB 3.0 et du SSH Haute performance. Entre autres choses.

La version 9.0 de FreeBSD - dédiée à la mémoire du pionnier de l'informatique Ritchie Dennis - est disponible pour les architectures x86 (AMD64 et i386), IA-64, PowerPC, PowerPC64, et Sparc64. Tous les liens de téléchargement et les instructions sont sur le site de FreeBSD.

(...)

(17/01/2012 15:49:03)

Le réseau Free Mobile a-t-il vraiment été activé ?

Les huissiers rentrent en piste dans la réponse des concurrents à Free Mobile. Selon le Figaro, plusieurs huissiers ont sillonné les rues de grandes villes pour vérifier que le nouvel opérateur a bien activé son réseau. Cette action a été diligentée par plusieurs opérateurs qui ont constaté que le réseau de Free mobile n'était pas « allumé ». Faux rétorque Xavier Niel au quotidien qui dit respecter son obligation de couverture de 27% de la population avec son propre réseau. Elle a d'ailleurs été  vérifiée par l'ARCEP en décembre dernier, déclenchant ainsi l'accord de roaming.

Les difficultés rencontrées ont peut-être d'autres causes comme la gestion d'un afflux massif de clients entraînant une saturation des serveurs de Free mobile. En tout cas, les concurrents du récent opérateur n'ont pas l'intention de se laisser faire alors que la barre des 1 million de clients va être prochainement atteinte par Free mobile après moins de 2 semaines d'existence. (...)

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