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(10/11/2009 16:55:50)
VMware View 4 adopte PCoIP
Après la commercialisation de ses dernières solutions pour poste de travail, Fusion 3 pour Mac et Workstation 7 pour PC, VMware met à jour sa suite View, en version 4 désormais, qui assure la virtualisation de postes clients en s'appuyant sur sa plateforme vSphere 4. Pour déployer ses bureaux virtuels sur les postes de travail, VMware supporte les protocoles RDP, RGS, ALP et, avec View 4, la version logicielle du PCoIP développée à l'origine par la start-up canadienne Teradici pour ses boitiers et cartes PCI. En assurant la compression des données vidéo et USB avant de les envoyer vers l'utilisateur, ce protocole permet de régler les problèmes de bande passante avec les applications graphiques (vidéo HD, 3D...). « En pratique, PCoIP ajuste la bande passante en fonction des besoins des utilisateurs et, en cas de connexion dégradée ou limitée, envoie progressivement les données nécessaires à l'affichage d'un document. Une construction progressive donc avec le texte pour commencer et les images pour finir », nous précise Carole Manuali, chef de produit virtualisation poste de travail chez VMware. De 150 à 250 $ par connexion simultanée La suite View 4 est disponible en deux éditions. View 4 Enterprise Edition (150$ par connexion simultanée) qui inclut vSphere 4 for desktops et View Manager 4, un serveur d'administration pour le contrôle d'accès des utilisateurs. View 4 Premier Edition (250$ par connexion simultanée) inclut en sus ThinApp 4 et View Composer. « Ces deux packages intègrent donc vSphère 4 qui n'était pas livrée avec la précédente version de View », indique Carole Manuali. « Ainsi nous proposons une vraie plateforme de virtualisation intégrée ». La version la plus onéreuse propose deux outils supplémentaires, View Composer et Thin App. « View Composer permet de diminuer l'espace de stockage grâce à la technologie des clones liés qui associe une image mère à des images filles pour dupliquer des postes virtualisés, avec une baisse de 70% de l'espace de stockage alloué », explique Carole Manuali. Thin App encapsule les applications dans un espace virtualisé pour gérer au mieux les droits d'usage des utilisateurs. Windows 7 encore en support expérimental Les systèmes d'exploitation supportés se limitent à ceux de Microsoft, mais curieusement Windows 7 est toujours en cours de test. « Les machines Windows 7 sont toujours en version expérimentale avec View 4 mais elles seront bientôt parfaitement supportées ». Comme toujours pour les solutions de type terminal serveur, l'éditeur met en avant des réductions de coûts. Selon une étude réalisée par le cabinet IDC auprès de 15 sociétés américaines utilisant VMware View 3, les gains réalisés sur le TCO peuvent atteindre 50% ce qui représente 600 euros par poste de travail et par an. IDC précise encore que le retour sur investissement ne demande que 5,6 mois. Carole Manuali précise, que View 4 est facturé le même prix que View 3. (...)
(10/11/2009 16:30:22)Le réseau social professionnel LinkedIn se met à Twitter
Le réseau social professionnel LinkedIn rejoint à son tour le canal « twitter ». Il vient d'annoncer un partenariat avec le site de micro-blogging afin d'instaurer une interaction entre leurs services en ligne. Ces fonctions seront progressivement accessibles au cours des tout prochains jours. Ainsi, lorsqu'un utilisateur de LinkedIn choisira son statut, celui-ci sera communiqué dans la foulée aux personnes qui le suivent sur Twitter, et diffusé dans le même mouvement aux services de recherche en temps réel tels que Twitter Search et le moteur Bing, de Microsoft. A l'inverse, lorsqu'un utilisateur enverra un message sur Twitter, celui-ci sera communiqué aussi à ses contacts LinkedIn. L'équipe de LinkedIn juge pertinent de permettre à ses inscrits de relayer via Twitter la diffusion d'informations professionnelles. (...)
(10/11/2009 15:44:19)L'informatique enseignée au Collège de France
« Une ultime reconnaissance : l'informatique enfin considérée comme une science. » C'est en ces termes que le président de l'Inria, Michel Cosnard, a salué la création d'une chaire « Informatique et sciences numériques » au Collège de France. Lors d'une présentation mardi 10 dans ce haut lieu de la culture et de l'enseignement français, Michel Cosnard et Pierre Corvol, administrateur du Collège de France, ont expliqué que le succès rencontré par le cours du professeur Gérard Berry en 2007/2008 leur avait donné l'idée de pérenniser la chose. Les deux institutions ont ainsi collaboré et décidé la création d'une chaire annuelle, en s'engageant sur un programme de 5 ans. Les cours donnés au Collège de France sont d'accès libre et gratuit pour tous. Une cinquantaine de chaires permanentes sont tenues par des professeurs titulaires. A côté de ce socle historique, des chaires annuelles commencent à voir le jour depuis quelques années. L'enseignant et donc la thématique abordée y changent chaque année. « Ce qui permet de multiplier les points de vue », explique Gérard Berry. « Un trou absolument majeur à combler dans l'enseignement » Ingénieur, docteur, chercheur à l'Inria, distingué à plusieurs reprises, Gérard Berry, avait donné un cours intitulé « Pourquoi et comment le monde devient numérique » en 2007/2008, dans le cadre de la chaire d'innovation technologique Liliane Bettencourt. Mais pour lui et les autres acteurs de l'entrée de l'informatique au Collège de France, il était évident qu'il fallait aller plus loin. « Parce que les gens ne savent pas ce qu'est l'informatique, explique-t-il. Les gens d'un certain âge voient l'informatique comme un objet étranger, et certains commencent à l'apprivoiser. Pour la nouvelle génération, l'informatique est tout simplement là, comme le vélo ou autre chose. Mais les deux générations sont ignorantes en la matière, pour des raisons différentes. Il y a un trou absolument majeur à combler dans l'enseignement. [...] En France, quand on parle de fracture numérique, on se polarise sur la nécessité de rattraper le retard en tant que consommateur, alors que le véritable problème c'est rattraper le retard en tant que créateur. Cela commence par l'éducation, car être créateur, c'est un état mental : il faut d'abord comprendre les choses. » Faire aimer l'informatique aux enfants Passionné et passionnant, Gérard Berry estime qu'on peut délivrer un enseignement à la fois drôle et intelligent en la matière. « Les jeunes ne s'intéressent pas à la façon dont leur MP3 ou leur logiciel de peer-to-peer fonctionne parce que personne ne leur dit qu'on peut s'y intéresser. Dès qu'on le fait, ils trouvent ça formidable. » Fort d'une expérience réussie avec des collégiens, il dit : « J'ai été promu auprès des 6-9 ans. » Cette fois, il leur a montré que les additions et multiplications qu'ils étaient en train d'apprendre étaient en fait de l'algorithmique. « C'est-à-dire des choses qui ne demandent pas de la pensée, mais de l'automatisme. Et quand les enfants comprennent qu'une couleur, c'est un mélange de trois nombres, ça les fait aimer l'informatique. » Calcul séquentiel, parallélisme, calcul diffus... [[page]] Son cours 2009/2010 au Collège de France s'adressera à des adultes, toutefois il reprendra cet enseignement à la base, en partant des algorithmes. « Car c'est la plus grande difficulté à laquelle on est confronté : comment combler le fossé entre d'un côté l'homme, intuitif, intelligent, lent et pas très rigoureux, et d'un autre côté la machine, stupide, rapide, consciencieuse... » Le cours, « Penser, modéliser et maîtriser le calcul informatique » suivra un ordre chronologique, abordant la théorie de la calculabilité (élaborée dans les années 30), le calcul séquentiel (qui a donné les langages de type C ou Java), puis le parallélisme, problématique actuelle avec les architectures multicoeurs et de nouveaux types de bugs « extrêmement sournois », pour finir sur le modèle du calcul diffus, quand des millions de ressources reliées par Internet sont susceptibles d'oeuvrer de concert. Hormis le cours inaugural, chaque cours sera suivi d'un colloque animé par « une sommité mondiale », invitée par Gérard Berry. Favoriser la connaissance et la diffusion auprès des Français - sur place et via le Web Les frais de cette chaire - environ 300 000 euros par an tout compris - sont pris en charge à parts égales entre le Collège de France et l'Inria. Michel Cosnard justifie cet investissement très simplement : la vocation de l'Inria est de favoriser la connaissance et sa diffusion. « La recherche [en informatique] doit continuer. Nous devons être présents dans le concert des nations. Il faut donc susciter des vocations. Mais pour s'engager dans une voie qui est difficile, il faut savoir ce dont on parle, et ce dès la prime enfance, je dirais, or pour l'instant nous en sommes loin. » Et si les cours du Collège de France ne toucheront pas le jeune public, il existe tout de même un impact indirect. Le simple fait pour l'informatique d'avoir droit de cité dans « cet immense phare de la connaissance », pour reprendre les propos de Michel Cosnard, donne plus de légitimité dans les débats sur l'introduction de l'informatique dans l'enseignement scolaire - « et pas pour apprendre à se servir de Word ou d'Excel », précise Gérard Berry. La leçon inaugurale aura lieu le jeudi 19 novembre à 18 heures. Pour ceux qui ne pourraient se déplacer, les cours seront enregistrés, et diffusés ensuite sur le Web. C'est l'autre intérêt des chaires annuelles, explique Pierre Corvol : leur financement par des partenaires permet de mettre en oeuvre ce type de moyens. Selon l'administrateur du Collège de France, « 5 millions d'heures ont été téléchargées l'année dernière, et 20% des internautes sont hors de France ; il y a donc aussi une traduction en anglais à assurer ». (...)
(10/11/2009 14:19:43)Google veut mettre la main sur AdMob, spécialiste de la publicité sur mobiles
Google veut acquérir AdMob, spécialiste de la publicité sur les mobiles. L'acquisition ne devrait pas être remise en question par la législation anti-trust. En revanche, la confidentialité des données des particuliers soulève des questions. Notre mobile sait beaucoup de choses sur nous. Google s'apprête à acquérir AdMob, un spécialiste de la publicité sur les mobiles, pour 750 millions de dollars en actions. La société délivre déjà des publicités pour des applications fonctionnant sur le système d'exploitation Android du géant des moteurs de recherche. « AdMob a réalisé des progrès exceptionnels » dans le marché publicitaire sur les mobiles, estime Google. Le marché n'en est toutefois qu'à ses débuts et ne représente d'ailleurs qu'une faible part du chiffre d'affaires de Google, mais ce dernier juge que « les perspectives dans ce domaine sont excellentes ». L'acquisition viendra combler un manque dans l'offre de Google qui jusqu'alors s'est surtout focalisé sur la publicité associée à la recherche depuis un mobile. AdMob, pour sa part, s'est spécialisé dans l'affichage publicitaire et sa monétisation. Il annonce ainsi avoir servi 125 milliards d'impressions (annonces publicitaires vues par les particuliers). Le bon moment pour acheter AdMob Ce mouvement vers l'affichage publicitaire sur les mobiles devrait mener à une consolidation sur ce marché, selon Greg Sterling du cabinet de conseil Sterling Market Intelligence. Et cela devrait faire pencher la balance publicitaire vers Google, étant donné qu'aucun leader n'est apparu sur ce marché pour le moment. De fait, "C'est le bon moment pour Google d'acheter AdMob, étant donné que le marché de la publicité sur mobile est relativement faible, cela pourrait aider Google à éviter des soucis en ce qui concerne la législation anti-trust" relève Tole Hart analyste chez Gartner. De son côté, Google, pour désamorcer d'éventuelles objections, indique qu'il va étendre ses protections sur la confidentialité des données à la publicité sur les mobiles. En début d'année, AdMob était pointé du doigt aux Etats Unis comme faisant partie des sociétés qui collectent des informations sur les particuliers sans les en avertir de façon correcte. (...)
(10/11/2009 13:54:21)Selon Gartner, les revenus mondiaux du SaaS vont progresser de 18% en 2009
Selon le cabinet d'études Gartner, les revenus du marché mondial de la fourniture de logiciels en SaaS devrait atteindre 7,5 Md$ cette année. Si cette prévision se confirme, ils enregistreraient alors une hausse de 17,7% comparée à l'an dernier. Les applications de gestion de contenu, de communication et de collaboration (e-learning, conférence web, travail collaboratif, messagerie...) en mode hébergé s'avèrent être le moteur principal du secteur. Elles représentent à elles seules 34,2% de son chiffre d'affaires, soit 2,5 Md$, et devraient en outre bénéficier d'une croissance de 20%. Deuxième segment en valeur avec 2,2 Md$ de revenus attendus en 2009, celui de la GRC devrait progresser de 21,8%. Poids lourd, lui aussi, du marché mondial du SaaS, le segment de l'ERP ne devrait toutefois enregistrer qu'une hausse de ses revenus de 5% à 1,2 Md$. A l'inverse, Gartner prévoit une hausse de 41% pour les revenus des logiciels de création de contenu numérique qui ne devraient atteindre que 62 M$ d'ici la fin de l'année. Fabrice Alessi (...)
(10/11/2009 12:53:02)Oracle/Sun : Bruxelles craint une concurrence faussée sur les bases de données
La Commission Européenne a communiqué hier, lundi 9 novembre, une première évaluation de ses objections concernant le rachat de Sun par Oracle. Dans un échange avec la SEC (Securities and exchange commission), l'autorité américaine de contrôle des marchés, Sun explique que cette évaluation préliminaire de Bruxelles se focalise sur le marché des bases de données évoquant les effets négatifs sur la concurrence qu'induirait un rapprochement de la base Open Source MySQL et de la base d'entreprise d'Oracle. Ce document ne constitue qu'une étape dans l'enquête conduite actuellement par Bruxelles et il ne préjuge en rien de la décision finale de la Commission. Oracle n'a pas tardé à réagir Les destinataires de cette « communication des griefs » étant invités à fournir leurs arguments, Oracle n'a pas tardé à réagir. L'éditeur californien n'hésite pas à affirmer que cette communication révèle une méconnaissance profonde, à la fois de la concurrence existant sur le marché des bases de données et de la dynamique Open Source. Pour Oracle, les familiers du monde Open Source savent bien que MySQL ne peut être contrôlé par personne. C'est l'essence même de l'Open Source, va jusqu'à rappeler l'éditeur. Et d'expliquer que le marché des bases de données est extrêmement compétitif avec « au moins huit acteurs forts, parmi lesquels IBM, Microsoft, Sybase et trois éditeurs Open Source distincts ». Oracle et MySQL sont deux produits très différents, poursuit-il en avançant qu'il ne voit pas sur quelle base légale l'Europe pourrait s'opposer au rapprochement de deux acteurs parmi huit concurrents vendant des produits différents. « Des fusions de cette nature s'opèrent régulièrement » depuis des décennies sans opposition des régulateurs pas plus aux Etats-Unis qu'en Europe », note l'éditeur. Il rappelle au passage que le ministère américain de la justice a autorisé le 20 août dernier le rapprochement d'Oracle et de Sun. Le DOJ espère une issue favorable pour les consommateurs européens Hier, le ministère américain de la justice (Department of justice, DOJ) est lui-même revenu sur le sujet, expliquant notamment qu'il avait décidé d'approuver le rachat de Sun parce qu'il y avait une importante communauté de développeurs Open Source, disposant de l'expertise pour maintenir et faire évoluer les logiciels Open Source de Sun. « Il apparaît que la Commission Européenne a un point de vue différent », reconnaît le DOJ, qui reste confiant dans la capacité des acteurs en présence à trouver rapidement un terrain d'entente avec Bruxelles, qui profite aux consommateurs européens. Le PDG d'Oracle, Larry Ellison, a précédemment expliqué que Sun perdait 100 M$ par mois pendant cette période transitoire. Vendredi dernier, la société dirigée par Jonathan Schwartz a communiqué ses résultats financiers pour le troisième trimestre (clos le 27 septembre). Son chiffre d'affaires a baissé de 25%, à 2,24 Md$, par rapport au troisième trimestre 2008. Ses pertes, en revanche, se sont réduites à 120 M$ contre 1,68 Md$ sur la même période l'an dernier. (...)
(09/11/2009 16:59:46)Des outils de développement de Google passent en Open Source
Google a décidé de distribuer en Open Source plusieurs de ses outils de développement réunis pour l'occasion dans la famille Closure Tools , afin que les développeurs externes les reprennent pour créer des applications web plus rapides. Ces outils ont notamment servis à la conception d'applications web aussi connues que Gmail, Google Docs et Google Maps, indique Amit Agarwal, responsable produit chez Google. « En autorisant et en fournissant aux développeurs les mêmes outils qu'utilise Google, nous espérons qu'ils réaliseront non seulement des applications plus sophistiquées mais également beaucoup plus véloces. C'est pour cette raison que nous proposons ces outils en dehors de la communauté Google », explique t-il. Avec cette annonce, Mountain View entend amener les développeurs à exploiter ses technologies plutôt que d'utiliser les trousses à outils de Microsoft ou Mozilla. Un compilateur, des bibliothèques Javascript et un générateur de templates Parmi les outils, on trouve Closure Compiler, qui simplifie, optimise et consolide le code Javascript pour le rendre plus rapide et plus performant, tout en optimisant son fonctionnement avec des connexions Internet bas débit. Google propose également Closure Library, une bibliothèque Javascript qui contient un ensemble de services et de composants applicatifs standards, fonctionnant sur différents navigateurs. « Elle a servi de bibliothèque Javascript standard pour la plupart des applications que Google utilise aujourd'hui », précise Amit Agarwal. « Elle offre des possibilités très étendues, tout en restant modulaire et robuste ». Parmi ces outils Open Source, on trouve encore Closure Templates pour automatiser la création dynamique de code HTML. Les modèles générés par cette application sont utilisables en Javascript sur des machines clientes ou en Java sur des serveurs. (...)
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