Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 9951 à 9960.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(30/10/2009 13:13:19)

Le portail de téléchargement de VMware Fusion 3.0 saturé

Mardi dernier, VMware a annoncé la disponibilité de son offre Fusion 3.0. Mais très vite, le numéro un mondial de la virtualisation a émis une alerte sur son portail de mises à jour, invoquant un nombre gigantesque de demandes. Fusion 3.0 est un logiciel de virtualisation qui permet à Windows, et à d'autres systèmes d'exploitation hôtes, de s'exécuter sur MacOS X pour Intel. Parmi les problèmes recensés, il était difficile d'obtenir les codes d'activation des nouveaux produits. Dans un billet de blog, Pat Lee, directeur des produits pour desktop chez VMware, a publié une clé pour un essai de 30 jours, comme solution provisoire. "La demande a dépassé toutes nos attentes et le portail de mise à jour de Fusion n'a pas pu y faire face," a-t-il expliqué dès mardi après-midi. Nous avons déjà satisfait des milliers de demandes de mises à jour et de nombreuses personnes disposent donc déjà du produit. Je présente mes excuses à ceux qui veulent absolument le télécharger rapidement et rencontrent des problèmes." Pour Rob Enderle, consultant indépendant, "VMware est principalement une entreprise qui s'intéresse aux serveurs et n'est pas vraiment habituée à la quantité de demandes que peut générer une offre desktop populaire. On passe de centaines de téléchargements pour une application serveur à plusieurs millions. Il semble que VMware n'ait pas été préparé à cela." Il ajoute que l'éditeur a peut-être sous-estimé la demande parce que Paul Maritz, son CEO, a très longtemps travaillé chez Microsoft et qu'il a présumé que ses équipes étaient préparées à une telle quantité... alors qu'elles ne l'étaient pas. (...)

(30/10/2009 12:44:32)

33,6 millions d'internautes en septembre 2009 en France, selon Médiamétrie

En septembre 2009, la France comptait 33,6 millions d'internautes parmi les personnes âgées de 11 ans et plus, selon Médiamétrie/NetRatings et l'Observatoire des usages Internet. Ce nombre a progressé de 5% par rapport à septembre 2008. Dans leur très grande majorité (95,3%), les internautes se connectent via une connexion haut débit, comme le câble ou l'ADSL. Le Top 5 des sites les plus consultés de France se compose, dans l'ordre, de Google (31,07 millions de visiteurs uniques en septembre), Microsoft (29,96 millions), France Telecom (23,05 millions), Facebook (18,57 millions) et PagesJaunes (18,48 millions). En 8e position, on trouve Yahoo (17,16 millions), à la 12e la Wikimedia Foundation (...)

(29/10/2009 18:27:13)

Semestriels Generix : le 'On Demand' et la maintenance compensent le recul sur les licences

L'éditeur de solutions collaboratives destinées au secteur du commerce et de la distribution a terminé le premier semestre de son exercice 2009-2010 (clos au 30 septembre) sur un chiffre d'affaires de 33 M€. Son activité enregistre ainsi un retrait de 2% comparée au premier semestre 2008-2009, période dont l'entreprise précise qu'elle n'avait pas encore été impactée par la crise financière. Le recul des résultats semestriels tient en premier lieu à la baisse de 25% des ventes de licences. Les revenus des activités d'édition et de Conseil & Services ont respectivement baissé de 1 et 3%. L'impact négatif de ces chiffres a été limité par la hausse de 26% des fournitures de logiciels en mode SaaS/ASP qui a généré 3,7 M€ de revenus. L'activité maintenance et support qui représente 32% des recettes totales de Generix a connu quant à elle une hausse de 6% à 10,6 M€. (...)

(29/10/2009 18:21:41)

Trimestriels : Bull enregistre -8% sur son CA mais attend un rebond

Bull publie les résultats de son troisième trimestre 2009. Ils montrent un chiffre d'affaires en recul de 8,1% à 221,2 millions d'euros (en recul de 7% à taux de change constant). Sur les neuf premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires baisse de 1,5% à 779,8 M€. Le PDG de Bull explique que ces chiffres du 3ème trimestre reflètent une saisonnalité plus forte cette année que les années précédentes. Il confirme en revanche sa prévision d'un exercice annuel qui serait positif, avec un bénéfice d'exploitation de 25 ME. Sur les neuf premiers mois de l'année, le CA se monte à 779,8 ME en retrait de 1,5% (de 0,3% à taux de change constant). Bull s'attend à un rebond de l'activité qui lui permettra au quatrième trimestre de sauver son année. Dans le détail, la partie « services et solutions », représente 47,9% du CA trimestriel en repli de 4,7% (les prises de commande baissent de 6,7% du fait du secteur télécoms), ce secteur est en croissance organique sur neuf mois de 2,4%. La partie « hardware et systems solutions », représentant 25,2% du CA trimestriel recule de 16,6% (prises de commande en baisse de 22,1% du fait de la crise et des reports de commandes), Bull attend une forte reprise au quatrième trimestre. L'activité « maintenance », forme 21% du CA, en recul de 0,9%, sur neuf mois cette activité aura baissé de 3,3%. Enfin, l'activité « produits tiers » qui ne représente que 6% du CA baisse de 17,3%, de 22,5% sur neuf mois. (...)

(29/10/2009 18:11:56)

Markess évalue l'état du marché français du cloud computing

Dans sa dernière étude(*), le cabinet Markess International apporte plusieurs éléments de compréhension sur le marché du cloud computing pour la France. On décrit en général le cloud avec trois composantes : le Saas (Software as a service), le Paas (Platform as a service), l'Iaas (Infrastructure as a service), donc les applications, les plate-formes et les infrastructures en mode hébergé. Ces trois éléments étant reliés, insiste Markess, au marché de l'hébergement (soit l'hébergement en co-location, soit l'infogérance, à l'exclusion de la part de l'hébergement qui va dans les contrats d'infogérance). L'hébergement représente 880 millions d'euros en 2009 en France et le cloud (Saas + Paas + Iaas) 1,5 milliard d'euros -le Saas représentant la majeure partie de cette somme -. Dans un sens plus large encore, incluant l'hébergement, le marché français du cloud computing représente 2,3 milliards (**). Ce marché connaît plusieurs évolutions. Markess souligne par exemple l'intérêt croissant pour le cloud privé. Réticentes à confier leurs données à l'extérieur, les entreprises peuvent se laisser tenter par cette formule qui concerne l'hébergement à l'intérieur d'un même groupe industriel ou dans un cadre mutualisé, par exemple entre collectivités locales. C'est le cloud privé interne. Il comporte une variante : le cloud privé externe. Dans ce cas, l'hébergement se fait dans un centre dédié aux seules données de l'entreprise ou d'un groupe d'entreprise. Reste un troisième cas de figure, celui du cloud public, où les ressources sont mutualisées chez un prestataire externe. Autre évolution, celle concernant les secteurs externalisés. Les acteurs du marché et les DSI interviewés citent de plus en plus le réseau comme le prochain secteur à virtualiser. D'autres sont déjà largement concernés : stockage, poste de travail, plateformes applicatives, services web. La crise économique peut-elle précipiter la demande ? Actuellement, sur les 150 interviewés, 7% sont intéressés pour passer au cloud de type « privé » interne » (53% d'ici 2011), 8% à une formule externe mais dédiée (44% d'ici 2011), 5% pour la solution externe totale (36% d'ici 2011). Parmi les raisons de ce recours au « cloud » viennent en tête : l'optimisation des coûts d'exploitation (30% des réponses), la volonté de mutualiser les ressources (26%), la réduction des risques d'interruption du business (20%), une meilleure évolutivité (19%), l'externalisation de la sauvegarde, la maintenance et la réactivité (18%). Enfin, Markess s'intéresse aux acteurs de ce marché, et les répartit dans sept secteurs différents. Cinq sont des grands classiques de l'informatique : les spécialistes de la co-location (Equinix, Interxion, Telehouse, Telecity Group), les opérateurs télécoms et hébergeurs (OBS, Colt, Easynet, SFR-Jet Multimédia), les hébergeurs à valeur ajoutée (Agarik, Claranet etc), les infogéreurs (Cap, HP-EDS, Atos, IBM), les éditeurs (Microsoft). Deux secteurs font figure de nouveaux entrants : les spécialistes du Saas (Salesforce, Google), et les nouveaux venus (Amazon, Rackspace, Rightscale). Markess a enregistré beaucoup de citations, parmi ses interviewés, sur ces deux nouveaux secteurs, preuve que même Google et Amazon sont pris en compte dans les DSI. Markess avait également demandé : quels sont les acteurs les plus avancés en matière de « cloud » ? Amazon, Google Salesforce, et Rackspace sont largement cités. De quoi inquiéter des acteurs mieux installés. Le marché semble de toute façon très ouvert : les 150 interviewés ont cité 60 acteurs différents. (*) Le cabinet Markess International a mené une enquête en ligne entre les mois de juin et de septembre dernier auprès de 150 responsables d'entreprises, venus : à 69% des DSI, à 24% des DG, 7% autres. Ils appartiennent aux secteurs : IT et télécoms, 29%, secteur public, 19%, banque et assurances, 15%, industrie, 13%, distribution 6%, autres 18%. Un gros tiers de ces entreprises, 37% ont plus de 2 000 salariés, 39% moins de 250, le reste, 24%, est entre 250 et 2 000 salariés. (**) Au plan mondial, IDC évalue le marché du cloud à 17,4 milliards de dollars en 2009 et prévoit 44,2 milliards de dollars pour 2013. Le cabinet segmente ce marché du cloud en cinq secteurs : les applications qui passeraient de 8,5 milliards de dollars en 2009 à 16,8 en 2013, les infrastructures applicatives de 3,5 à 8,8, les serveurs de 2,1 à 6,6, les développements de 1,7 à 5,8, le stockage de 1,6 à 6,2. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >