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(17/02/2011 16:56:29)

Collaboratif : SAP adosse son StreamWork aux API OpenSocial

SAP a ajouté le support des API OpenSocial à son logiciel en ligne StreamWork. Celui-ci propose à une équipe dispersée un ensemble d'outils pour réfléchir en groupe et prendre des décisions concertées. Après avoir été proposé en version bêta limitée pendant plusieurs mois, StreamWork a été lancé au printemps dernier. Désormais, les logiciels qui utilisent les interfaces de programmation OpenSocial (développées par Google) peuvent donc être présentés à ses utilisateurs par le biais du catalogue d'outils de l'application. Google Translate en fait partie. SAP cite aussi les produits d'éditeurs tels que Atlassian, Doodle (illustration ci-dessus), Got Decisions, MindMeister ou encore CS Odessa (et son logiciel ConceptDraw MindWave, illustration ci-dessous).
CS Odessa, logiciel ConceptDraw MindWave

SAP cherche des applications partenaires qui correspondent à ce que les utilisateurs de StreamWork aimeraient trouver. L'éditeur tient compte de leurs « feedbacks », a expliqué Holly Simmons, directrice senior du marketing on-demand, à nos confrères d'IDG News Service. Il est plus logique d'étendre les fonctions du logiciel vers les produits dont les clients se servent déjà. Les intégrer à StreamWork réduit le nombre de personnes qui devront passer d'un outil à l'autre.

La version de base de StreamWork est gratuite. La Professional Edition démarre à 9 dollars par utilisateur et par mois aux Etats-Unis (elle comporte des fonctions d'administration avancées). Il y a aussi une Enterprise Edition, qui inclut des fonctions de contrôle et d'allocation de ressources (à partir de 192 dollars par utilisateur et par an). Pour connaître la tarification appliquée dans les autres pays, il faut contacter l'éditeur.

Outils de collaboration : un marché très encombré

Evidemment, comme tout vendeur de solutions de collaboration, SAP se retrouve sur un marché très encombré comportant des flopées de nouvelles offres, qui côtoient des plateformes aussi largement adoptées que Microsoft SharePoint. Sans compter que certaines tentatives pour faire adopter ce genre d'outils ont fait long feu. Invoquant un taux d'adoption trop bas, Google lui-même a stoppé les développements de sa plateforme baptisée Wave, autour de laquelle il avait pourtant fait pas mal de battage. SAP avait d'ailleurs pris soin, à l'époque, d'offrir la possibilité d'intégrer son StreamWork à Google Wave. Il se rabat maintenant sur OpenSocial, une option que le Centre d'Innovation de SAP Business Objects (à Levallois-Perret) avait déjà retenue pour l'outil d'analyse des réseaux sociaux SNA.

Holly Simmons n'a pas souhaité indiquer combien de clients payants SAP avaient déjà drainé vers StreamWork à ce jour. Elle se contente d'affirmer que « les ventes se portent très bien ». Pour l'instant, la plupart des clients sont des PME. Le profil typique, c'est une petite entreprise de conseil qui veut élaborer des stratégies et partager des documents avec des clients distants de plusieurs milliers de kilomètres, explique la directrice marketing.

Les grandes entreprises ont des demandes différentes. Elles veulent notamment aider leurs employés à travailler plus efficacement avec les logiciels qu'ils utilisent déjà. L'Enterprise Edition de StreamWork n'est sortie qu'en décembre dernier. SAP démarre donc à peine la phase de commercialisation du produit.

L'éditeur a lui-même déployé en interne l'outil, à travers toute l'entreprise, ajoute Holly Simmons. Tout en explorant l'aspect communauté de partenaires, SAP a aussi prévu d'ambitieux plans de développement de son côté avec cet outil. Les clients devraient s'attendre à voir approfondir l'intégration de StreamWork avec les logiciels de gestion de l'éditeur, précise Holly Simmons. « Les gens veulent l'utiliser dans un contexte métier. Nous ne sommes pas juste en train de créer une autre suite de productivité ». (...)

(14/02/2011 14:38:14)

Intel reprend les livraisons de chipsets pour ses puces Sandy Bridge

Intel va bientôt commencer à expédier des chipsets de remplacement pour les PC qui utilisent ses derniers processeurs Sandy Bridge, a déclaré la société vendredi dernier. Les nouveaux chipsets pourraient arriver dès aujourd'hui chez les fabricants de PC, selon un porte-parole d'Intel, Chuck Mulloy.

Fin janvier, le fondeur de Santa Clara avait glacé le marché en déclarant qu'il avait constaté un défaut de conception dans son jeu de composants de la série 6, nom de code Cougar Point. Ce dernier est réservé aux PC équipés des nouvelles puces Sandy Bridge. Le californien avait immédiatement arrêté ses livraisons aux constructeurs, dont certains avaient déjà commencé à commercialiser des PC Sandy Bridge. Les produits ont donc été remballés et certains consommateurs devraient être remboursés.

Une erreur qui aura un impact très négatif sur les comptes

Les chipsets de remplacement ont subi un changement mineur au niveau de « leur couche métallique » qui règle le problème décelé fin janvier selon une note postée sur le site d'Intel à destination des constructeurs de PC. Le problème portait en fait sur le contrôleur Serial-ATA (SATA) : les performances des disques durs auraient pu se dégrader avec le temps. Intel a d'abord dit qu'il comptait expédier de nouveaux chipsets fin février pour finalement accélérer le planning.

Cette erreur sera fort coûteuse au final pour Intel. La firme a en effet déclaré qu'elle pourrait réduire ses recettes de 300 millions de dollars environ, et que les coûts de réparation et de remplacement pourraient atteindre un montant supplémentaire de 700 millions. Soit 1 milliard de dollars au total...

Illustration : carte mère Asus pour puce Sandy Bridge

(...)

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