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PC et portables
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(07/01/2011 11:37:08)
Pour succéder au Blu-ray, l'industrie mise sur la dématérialisation des contenus
Conçu comme une alternative légale aux usages liés au piratage, UltraViolet proposera à ses utilisateurs de disposer de contenus tels que des films, séries télé, chansons ou encore livres, sur n'importe quel terminal avec pour condition une connexion à Internet. Ce service de gestion des droits numériques repose sur le cloud computing (technologie de dématérialisation via serveurs dédiés) avec l'ambition d'accompagner les bouleversements des pratiques de consommation des contenus audiovisuels.
Un maximum de six comptes sera autorisé par foyer. Jusqu'à douze terminaux (ordinateurs, boxs, lecteurs Blu-Ray et télévisions connectés, consoles de jeux, produits nomades, etc.) pourront accueillir les contenus achetés ou loués profitant de la technologie UltraViolet. Une limite de trois visionnages en streaming a été arrêtée. Les produits achetés pourront toutefois être téléchargés vers des supports de stockage classiques, à l'image des clés USB.
Après les Etats-Unis, ce service s'exportera au Canada et au Royaume-Uni fin 2011. Parmi les sociétés soutenant UltraViolet figurent des poids lourds, tant du point de vue matériel (Dell, HP, Samsung, IBM ou Intel) que du contenu (Warner Bros., Sony Pictures ou Fox) ou encore du transport de données (Comcast) ainsi que de l'achat (Best Buy ou Netflix). DECE espère ainsi tenir le futur successeur du Blu-ray. Une ambition développée par ailleurs par le groupe Disney, derrière un projet similaire baptisé Keychest.
Pour en savoir plus, le site UltraViolet : www.uvvu.com
Avec la Surface 2.0, Microsoft tente de sortir du simple gadget
Lancée il y a un peu plus de deux ans auprès des professionnels (hôtels, restaurants, salons d'exposition, marques automobiles, etc.), la table Surface 1.0 de Microsoft permet de manipuler des images, des fichiers ou des catalogues en glissant ses doigts sur l'écran en surface. Un peu léger quand on connait le tarif annoncé à l'origine par MS : 12 000 dollars HT environ. Aujourd'hui Microsoft et samsung commercialisent la Surface 2.0/SUR40 à 7 600 dollars HT.

L'américain qui s'est associé à Samsung pour la seconde génération de sa table basse high tech, propose une mise à jour de taille. La Surface 2.0 s'enrichit de la technologie PixelSense. Alors qu'auparavant, la détection du toucher s'effectuait via plusieurs caméras placées sous l'écran, cette mouture transforme chaque pixel de l'écran en petit capteur sensitif. Cette grande tablette peut ainsi scanner, reconnaître et interagir avec vingt doigts évoluant en même temps. Elle est également capable d'analyser des objets posés sur l'écran. Les textes imprimés sont également reconnus et numérisés. Outre la technologie PixelSense, la Surface est présentée comme plus puissante, plus réactive et plus performante. C'est un des gros reproches qu'on pouvait faire au produit après quelques minutes d'usage. Elle est également plus fine (10 cm d'épaisseur) que la version précédente, et peut s'utiliser en position horizontale, comme une table de restaurant, ou verticale, comme un écran de télévision.
Coté technique, on a affaire une écran tactile multipoint d'une diagonale de 40 pouces, reposant sur un processeur Athlon II X2 à 2,9 GHz épaulé par une carte graphique Radeon HD 6700M. Le système d'exploitation retenu est Windows 7 Pro 64 bits. Avec ces avancées, Microsoft élargit les champs d'application de sa table numérique (hôpitaux, services administratifs, lieux touristiques, éducation, etc.), d'autant que le système sera accessible à la communauté des développeurs. Microsoft a d'ores-et-déjà fait savoir que la Royal Bank of Canada déploiera les nouvelles Surface 2.0 dans certaines de ses agences. Les clients pourront par exemple, déposer un coupon sur l'écran, et ce dernier leur annoncera s'ils ont ou non gagné un prix de leur banque.
Apple lance son Mac App Store
Avec son Mac App Store, la firme californienne souhaite transposer à ses ordinateurs l'expérience qu'il offre sur ses terminaux mobiles (iPhone, iPad et iPod Touch). En clair, comme sur un iPhone, l'utilisateur d'un ordinateur Mac peut installer sur sa machine différentes applications (jeux, médias, actualités, vie pratique, etc.). "L'App Store a révolutionné les apps mobiles", avait déclaré en décembre Steve Jobs, PDG d'Apple. "Nous espérons faire la même chose pour les apps PC avec le Mac App Store, en permettant de trouver et d'acheter des apps PC de manière simple et ludique". Les applications pour Mac sont là-aussi fournies par développeurs tiers, qui fixent le prix de leurs programmes (70% des recettes sur les ventes leur reviendront).
A son ouverture, le Mac App Store compte 1.000 applications payantes et gratuites. Les adeptes de la pomme y trouvent par exemple les suites d'Apple (iPhoto, iMovie, GarageBand, iLife, etc.), vendues 11,99 euros chacune, le logiciel de retouche photos Aperture 3 (62,99 euros), mais aussi des applications dédiées aux professionnels (dessin industriel, graphisme 3D, etc.). Le Mac App Store est disponible dans 90 pays. Il est disponible pour les utilisateurs de Mac OS X Snow Leopard en téléchargement gratuit via la mise à jour de logiciels.
(...)(06/01/2011 14:41:04)CES 2011 : La puce Intel Oak Trail se répand sur les tablettes
« Les tablettes sous Oak Trail arrivent à un moment où le paysage informatique est en mutation, » a encore expliqué Paul Otellini, PDG d'Intel, lors de son keynote au CES 2011. De nombreuses fonctions mobiles et d'autres ouvrants sur Internet sont à la disposition des utilisateurs et des dispositifs comme les ardoises tactiles leur permettre d'en profiter, » a-t-il ajouté.
Oak Trail pour remonter face à ARM
C'est l'an dernier, alors que les ventes de l'iPad d'Apple explosaient, qu'Intel avait annoncé le développement d' Oak Trail, un processeur basse consommation spécifiquement dédié aux tablettes. « Intel a également entrepris d'intégrer sa puce dans d'autres produits comme les décodeurs ou les systèmes automobiles embarqués, comme elle tente aussi de pénétrer de nouveaux marchés, » a déclaré son PDG qui a indiqué que l'entreprise travaillait notamment en étroite collaboration avec Microsoft pour mettre au point des puces pour PC et pour tablettes. Actuellement, Intel cherche à augmenter sa présence sur le marché de la tablette dominé par ARM, dont les processeurs équipent la plupart des appareils. L'iPad et la plupart des nouvelles tablettes annoncées au CES, comme celles d'Archos, d'Asus et de Lenovo, utilisent des processeurs au design ARM. Quelques fabricants ont déjà montré leurs ardoises tactiles équipées de puces Oak Trail. C'est le cas de Motion Computing qui a dévoilé sa tablette CL900 tournant sous le système d'exploitation Windows 7. Celle-ci sait lire des vidéos en 1080p et affiche une autonomie de huit heures.
Des puces pour smartphones aussi
Intel cherche également à revenir sur le marché des smartphones. Paul Otellini a laissé entendre que les annonces concernant ces appareils mobiles seront faites lors du Mobile World Congress qui se tiendra en février prochain à Barcelone. L'an dernier, Intel avait annoncé Moorestown, une puce pour smartphones haut de gamme construite sur un coeur processeur Atom. Mais aucun smartphone tournant sur cette puce Intel n'est encore apparu sur le marché. Le fondeur espère également gagner du terrain sur le marché des terminaux mobiles grand public avec une future puce Medfield, actuellement en phase de test, qui pourrait débarquer chez les fabricants de téléphones cette année.
Et une vingtaine de Core Sandy Bridge
Pendant cette même conférence de presse, le PDG d'Intel a officiellement annoncé une vingtaine de processeurs Core i3, i5 et i7 de prochaine génération pour ordinateurs portables et ordinateurs de bureau. Ces processeurs, basés sur la dernière plate-forme Sandy Bridge, affichent de nombreuses fonctionnalités nouvelles, liées notamment à l'intégration d'un processeur graphique et du jeu d'instructions AVX, deux améliorations destinées à booster les performances graphiques tout en réduisant la consommation d'énergie. « Au total, plus de 500 ordinateurs portables et de bureau seront équipés de ces processeurs Sandy Bridge, » a confié Paul Otellini. Hewlett-Packard et Lenovo ont déjà annoncé des PC à base de puces Sandy Bridge. En novembre, Michael Dell, PDG de Dell, avait déjà fait savoir que certains fabricants étaient en attente de ces puces Sandy Bridge pour rajeunir les gammes de PC de leurs clients.
Des puces plus rapides que les Core 2 Duo
« Les puces Sandy Bridge permettront d'accélérer les performances graphiques et les applications, » a déclaré le PDG d'Intel. Selon un document fourni par l'entreprise, comparées à la précédente génération de processeurs Intel, les performances graphiques de ces puces seront 42% plus rapides. « Pour ce qui est de la performance des applications, les puces sont jusqu'à 69% plus rapides que les précédentes, » a déclaré Mooly Eden, vice-président et directeur général du PC Client Group chez Intel. Pour certains travaux comme le traitement vidéo, celles-ci sont même jusqu'à 800 % plus rapides que les puces Core 2 Duo vieilles de 3 ans. « Le haut niveau d'intégration du moteur graphique permet d'économiser de l'énergie et de transcoder la vidéo de manière rapide et transparente, » a-t-il ajouté. Des accélérateurs spécialisés permettent de convertir en quelques secondes de la vidéo haute définition en un format idéal pour être lu par les smartphones. Parmi les nouvelles fonctionnalités graphiques de ces Core on trouve également l'Intel Insider, qui ajoute une couche de sécurité pour diffuser des films 1080p en streaming sur Internet. Enfin, celles-ci intègrent également une technologie améliorant la vidéo haute définition et la 3D.
Illustration : Mooly Eden, vice-président et directeur général du groupe PC chez Intel, lors de la conférence de Paul Otellini, PDG d'Intel, au CES 2011
74% des employés branchent leurs gadgets au réseau de l'entreprise
Selon une étude réalisée pour le compte de Virgin Media Business, près de 3/4 (74%) des salariés ont apporté et connecté au réseau de leur entreprise les terminaux mobiles qu'ils ont reçus à Noël. Les recherches commandées par le fournisseur révèlent que 40% de ces employés ont branché leurs gadgets personnels, tels que des iPad et les smartphones, sans l'autorisation des services informatiques.
Mieux encore, les employés travaillant dans le secteur public britannique sont les pires contrevenants. 79% des travailleurs de la fonction publique ont apporté leurs gadgets au bureau. « Les limites entre ce qui est un gadget et un outil de «travail» est encore très flous pour bon nombre de salariés. Il existe deux principales préoccupations pour les entreprises. Tout d'abord, c'est empêcher que les données de l'entreprise puissent être volées ou utilisées ailleurs que sur le réseau de l'entreprise et éviter que la capacité du réseau soit saturée par ces nouveaux gadgets », a expliqué Andrew McGrath, directeur général chez Virgin Media Business.
Accompagner la multiplication des équipements
« Ignorer la hausse prolifique des gadgets personnels dans le monde du travail n'est tout simplement pas une option. Les entreprises doivent prendre des mesures dès maintenant avec des politiques d'utilisation bien définies et éduquer les employés afin qu'ils comprennent clairement pourquoi ces pratiques clés ont été mises en place. »
Andrew McGrath assure que lorsque les employés sont sensibilisés à ces principes, ils pourront aider l'entreprise à maitriser la prolifération de ces gadgets pour garder confidentielles certaines informations et éviter de saturer la bande passante. « Une fois les règles de base fixées, les entreprises sont libres d'adopter pleinement les nouvelles technologies et profiter de tous les avantages qu'elles offrent » conclut-il.
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