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PC et portables

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(14/01/2011 09:40:18)

Gartner et IDC voient les ventes de PC progresser de 13% en 2010

Selon Gartner, il s'est vendu 350, 904 millions de PC dans le monde en 2010. En hausse de 13,8% par rapport à 2009. IDC dénombre 346,198 millions de PC, en hausse de 13,6% Autant dire qu'ils rendent le même verdict.

La différence se fait sur le classement des constructeurs, puisque Gartner voit Acer deuxième, alors qu'IDC accorde cette place à Dell. Les deux compères placent HP largement en tête, mais lui attribuent la plus faible progression dans le club des 5 premiers mondiaux. HP aurait vendu 62,7 millions de PC dans le monde en 2010, selon Gartner, 64,2 pour IDC.  Gartner lui accorde 17,9% de parts de marché et 6,5% de progression. IDC donne des chiffres similaires, légèrement plus favorables : 18,5% de parts, 6,9% de progression.

Le Poulidor de l'étape

Pour Gartner, le Poulidor de l'étape c'est donc Acer, avec 45,3 millions de PC vendus, 12,9% de parts de marché, une progression de 13,8%. IDC voit plutôt Acer en troisième place avec 42,4 millions de PC écoulés, 12,3% de parts de marché et 10,5% de progression. 

Dell est n°3 aux yeux du Gartner, avec 42,1 millions de PC vendus en 2010, 12% de parts de marché, 12,8% de progression. IDC hisse Dell au second rang avec 43,4 millions de PC, 12,5% des parts et une progression de 13%. Des écarts faibles au plan mondial, de 1,5 ou 2,5 millions de PC dans les estimations respectives des deux cabinets d'étude.

En revanche, Gartner et IDC sont très proches pour les deux constructeurs suivants. Lenovo est dans les deux cas quatrième. Avec  33,9 millions de PC vendus pour Gartner (5,4% de parts de marché, 37,3% de progression), 34,2 millions de PC écoulés selon IDC (9,9% des parts, 37,3% de progression).  Le cinquième est Toshiba, avec 19,01 millions de PC vendus pour Gartner, 19,09 selon IDC. 5,4% de parts de marché pour Gartner et 5,5% pour IDC, 22,7% de progression selon le 1er, 20,6% pour l'autre.

(...)

(13/01/2011 11:58:30)

iPad, Oracle, Google : Wozniak revient sur l'année 2010

La reconnaissance vocale doit avancer pour être capable d'« interpréter une grande variété de commandes », a déclaré Steve Wozniak, lors d'un événement dans la Silicon Valley. Le gourou a également salué l'iPad Apple et considère les tablettes sous Android comme les principaux concurrents. Il émet des doutes sur les capacités de Microsoft a à devenir un acteur important sur ce marché. En ce qui concerne Windows, il porte « trop de sentiments négatifs » sur l'OS de Microsoft basé sur ses propres expériences.

Il s'est ensuite prononcé sur les acquisitions d'Oracle et sur Google. « Les opérations de croissance externe d'Oracle s'apparentent à la volonté de rivaliser avec HP » souligne l'ancien employé de HP. Il avoue sa préférence pour Google, qui a un modèle économique conçu comme celui de la télévision, dans lequel il offre des services gratuits et les monétisent avec de la publicité.

Le SSD et fier d'Apple


Pour les entreprises, Steve Wozniack souligne la tendance récente de passer à la technologie Flash NAND pour les disques durs. Déjà, un dixième du trafic Internet provient de puces NAND Flash au lieu de disques durs classiques, déclare le directeur scientifique de Fusion-io, spécialiste de cartes de mémoire cache en Flash.

Celui qui le premier a quitté Apple en 1981, pour ensuite y retourner au milieu des années 80, s'est déclaré fier des récents lancements de son ancienne société. Il a cité les succès du téléphone portable iPhone, le lecteur de musique iPod, la tablette iPad, et les magasins de détail en ligne d'Apple, mais les exégètes auront remarqué l'absence de l'Apple TV dans son concert de louanges. (...)

(13/01/2011 09:52:18)

Les tablettes n'échappent pas à la taxe sur la copie privée

Réunie hier, la Commission copie privée, chargée d'établir le barème des taxes s'appliquant aux supports numériques (CD, DVD, cartes mémoires, etc.), a adopté de nouvelles tarifications selon différentes catégories de supports. La taxe sur les mémoires de stockage type disque dur/lecteur MP3 ou autoradios sera par exemple de 1 euro par appareil pour une capacité de 128 Mo, et de 20 euros pour des capacités supérieures à 20 Go.

Egalement concernées, les tablettes tactiles multimédias avec fonction baladeur, dotées d'un système d'exploitation pour terminaux mobiles ou d'un système d'exploitation propre. Il faudra ainsi compter 8 euros pour une tablette dont la mémoire interne est comprise entre 10 et 20 Go, 10 euros entre 20 et 40 Go, et 12 euros pour un modèle de plus de 40 Go.

L'iPad, disponible en trois versions (16, 32 et 64 Go), sera ainsi taxé à hauteur de 8, 10 et 12 euros. Les tablettes fonctionnant sous le système d'exploitation Google Android, comme la Samsung Galaxy Tab, les tablettes d'Archos ou celles de Toshiba, seront également taxées. La taxe devrait prendre effet après publication au Journal Officiel, probablement au 1er février 2011. La redevance pour copie privée compense le droit d'une personne à reproduire un oeuvre pour son usage privé en redistribuer les recettes de la taxe aux ayants droit (auteurs, interprètes, etc.).

(...)

(12/01/2011 14:19:36)

Interview Warren East, CEO d'ARM : « Le marché du PC n'est pas notre cible»

Les processeurs à architecture ARM équipent la plupart des smartphones et des tablettes tactiles commercialisés dans le monde, et, avec le support de Windows, le fabricant pourrait bien maintenant concentrer ses efforts sur le vaste marché du PC, un secteur dont il est pratiquement absent. D'autant que Nvidia a aussi annoncé qu'elle mettait au point son premier CPU sur base ARM - nom de code de Denver -, destiné aux PC et à certains serveurs.

Malgré ces circonvolutions, les smartphones et les tablettes restent la priorité d'ARM, comme l'a affirmé son PDG Warren East, lors d'un entretien où il s'est exprimé sur Windows, le marché du PC et les futurs développements de l'architecture ARM.

Agam Shah : Qu'est-ce qui a conduit Microsoft à porter Windows sur ARM?

Warren East : Microsoft voulait couvrir un secteur beaucoup plus large que celui du seul PC, notamment sur le marché des appareils connectés à Internet, sur lequel ils peuvent constater que le processeur ARM équipe la plupart des dispositifs. D'où la nécessité pour eux d'y porter leur système d'exploitation. C'est une bonne chose que Microsoft en soit finalement arrivée à cette conclusion. Elle fait là un pari audacieux.

Cela signifie-t-il qu'ARM va désormais cibler le marché du PC ?

Nous n'avons jamais envisagé de cibler le marché du PC. C'est la plate-bande d'Intel, et l'OS de Microsoft ne fonctionne pas sur ARM. Cela serait d'ailleurs extrêmement coûteux avec à la clef un gain pas franchement à la hauteur. D'un point de vue financier, chaque fois que quelqu'un achète un PC, ARM touche des royalties sur les composants. La seule chose qui manque, c'est le CPU, dont le prix de vente est de l'ordre de 40 à 50 dollars. Certes, cela représenterait une ressource importante pour nous, surtout compte tenu du volume de PC vendus, qui atteint 300 millions d'unités. Mais clairement, ce que nous pourrions vraiment gagner en plus n'est pas significatif.

À quel moment verra-t-on Windows sur des matériels tournant sur processeur ARM?

Pour cela, il faut poser la question à Microsoft.

Est-ce que le portage de Windows sur ARM est compliqué ?

Le problème du portage sera très difficile et très coûteux à résoudre pour Microsoft. Après 25 ans d'histoire entre le système d'exploitation Windows et le PC, la question ne relève pas que d'un simple transfert du kernel. Il y a toutes les applications, les pilotes de périphériques. C'est un énorme travail. On comprend pourquoi Microsoft n'a pas jugé bon effectuer ce portage jusqu'à ce jour.

Pour lire la suite de cette interview, rendez-vous dans notre rubrique Entretien (...)

(12/01/2011 10:08:11)

Des ventes de fins d'années contrastées pour les PC en Europe

Selon le cabinet Context, qui analyse les résultats des ventes de différents grossistes européens, la croissance des revenus du secteur est avant tout liée à la fin de la progression des ventes de PC à bas prix. Les bonnes performances des segments des stations de travail (+24,8% en valeur) et des serveurs (+7,8% en valeur) ont, dans une moindre mesure, également contribué à tirer le marché vers le haut.

Tout porterait donc à se féliciter pour l'industrie du PC si le quatrième trimestre 2010 avait reflété les résultats de l'ensemble de l'année. Or, les trois derniers mois de l'an passé se sont soldés par une hausse de seulement 3,2% des ventes en volume. Le mois de décembre fut le plus mauvais de tous avec un recul de 6,7% des unités livrées et de 3,8% du chiffre d'affaires. Il le doit notamment au segment des PC grand public touché par une baisse de 16,2%. « Le commerce a beaucoup souffert des mauvaises conditions météo avant Noël, explique Jeremy Davies, le directeur général de Context. Cependant, les difficultés financières des consommateurs sont l'explication principale des mauvais résultats des ventes. »

Les PC pro ont bien résisté à la morosité de fin d'année

Toutefois, toutes les familles de produits du marché des PC n'ont pas connu la même fin d'année 2010. Les ventes de tablettes, par exemple, ont explosé. Au détriment, peut-être, des netbook dont les ventes ont cessé de progresser lors du quatrième trimestre alors qu'elles avaient suivi un rythme de progression de 20% en volume jusqu'au mois de septembre. Les ventes de PC professionnels ont également bien tiré leur épingle du jeux avec une croissance de 9,9% en volume et de 12,8% en valeur en fin d'année.

A l'image des différentes gammes de produits, les pays européens ont également enregistré des résultats contrasté en 2010. La Suède, avec 22,2% de croissance pour ses ventes de PC, et les autres pays scandinaves ont connu des progressions à deux chiffres. De leur côté, le Royaume-Uni, l'Allemagne et l'Italie n'ont respectivement enregistré que 5,9, 5,5 et 3,2% de progression. Quant au marché français, il est passé dans le rouge avec des ventes de PC en baisse de 2,2% en volume (...)

(10/01/2011 15:27:28)

CES 2011 : L'USB 3.0 de plus en plus présent sur les équipements

D'une certaine façon, au cours de l'année passée, l'attente pour profiter de l'USB 3.0 et de son bus plus rapide a pu sembler interminable. Les disques durs intégrant cette norme sont arrivés lentement sur le marché, et les systèmes chargés de les accueillir ont été un peu à la traîne, aussi bien du côté des OS que des machines. Mais, à en juger par ce qui a été dit et montré au cours du CES 2011 de Las Vegas, qui a clôturé ses portes le 9 janvier dernier, l'adoption de l'USB 3.0 progresse en réalité plus vite que son prédécesseur l'USB 2.0, si l'on compare l'état de ces deux technologies une année après leur lancement.

USB 3.0 : rapidité et économie d'énergie

Le grand avantage de l'USB 3.0, c'est bien sûr sa vitesse et les perspectives qu'il ouvre en matière de gestion de la vidéo haute-définition, de la musique, et des applications d'imagerie numérique. Mais une autre amélioration de l'USB 3.0 concerne l'énergie. En effet, l'USB 3.0 ne transmet des données que lorsque c'est nécessaire. Si bien que les périphériques peuvent rester en mode faible puissance lorsqu'ils ne sont pas utilisés, à la manière d'un scanner à plat en veille. Du fait de cette spécificité, l'USB 3.0 ne consomme qu'un tiers de l'énergie nécessaire à un appareil USB 2.0. Le gain de vitesse apporté par l'USB 3.0 est aussi impressionnant, puisqu'en théorie il multiplie par 10 les taux de transfert de l'USB 2.0 existant. L'USB 3.0 peut atteindre jusqu'à 4,8 Gbit/s (600 Mo/s), alors que l'USB 2.0 parvient à des vitesses théoriques maximum de 480 Mbit/s. Certes les performances en matière de stockage de données sont toujours conditionnées par le type de disque choisi. De sorte que, par exemple, on obtiendra de meilleurs taux avec des disques durs en RAID ou des SSD, qu'avec un disque externe unique connecté à un ordinateur en USB 3.0 (voir test du Iomega eGo 2 To).

Toujours plus de produits certifiés et bientôt une parité de prix avec l'USB 2.0

Surtout, selon Jeff Ravencraft, le patron de l'USB Implementers Forum, « ce qui est remarquable, c'est que, il y a à peine plus d'un an, il n'y avait qu'un seul produit certifié - un contrôleur USB créé par NEC/Renesys - et cette dernière année, nous avons certifié plus de 165 produits, dont des notebooks, des cartes mères, des cartes d'extension compatibles, et des disques durs. Sans compter les nombreux produits non certifiés présents sur le marché. » Lors du CES 2010, 17 produits USB avaient été ajoutés. Aujourd'hui, avec l'introduction d'un autre contrôleur hôte certifiée USB 3.0 - de Fresco Logic cette fois -, le choix des fournisseurs est devenu plus important. Il y a aussi plus de concurrence sur les prix. Selon Jeff Ravencraft, NEC avait prévu de fournir 20 millions de contrôleurs en 2010, et Gigabyte a livré 5 millions de cartes mères compatibles USB 3.0 pour équiper des ordinateurs de bureau ou des portables avant la fin de l'année 2010. «Le rythme d'adoption par le marché a été phénoménal. C'est même le plus rapide du genre, toutes technologies confondues. Bien plus rapide que celui de l'USB 2.0, » a dit le patron de l'USB Implementers Forum.

Celui-ci prédit par ailleurs qu'en 2011, le prix des produits USB 3.0, actuellement plus chers que ceux en USB 2.0, va s'éroder jusqu'à se placer à niveau égal, en partie à cause de la chute du prix des composants nécessaires à la fabrication de l'USB 3.0. Initialement, l'intégration de cette interface revenait à 7 dollars aux fabricants, contre moins de 2 dollars actuellement, à un niveau de prix qui devance de trois ans les projections faites par In-Stat. Pour Charles Klinker, directeur du marketing chez Verbatim, « c'est le moment de surveiller les rayons des revendeurs, qui renouvellent généralement une grosse partie de leurs produits au cours du premier trimestre de l'année, et qui risquent de remplacer l'USB 2.0 par du 3.0. »

L'imagerie numérique, prochaine étape de l'USB 3.0

Le CES 2011 a permis de constater aussi que le nombre d'ordinateurs de bureau et de portable supportant l'USB 3.0 était en nette augmentation. De nombreux fabricants proposant des appareils intégrant la puce Intel Sandy Bridge, ont ajouté aussi l'USB 3.0 à leurs machines. Et si, en 2010, il était difficile de trouver un ordinateur portable proposant de l'USB 3.0, ce ne sera plus le cas en 2011. « Soyez patients, » conseille même Jeff Ravencraft, « d'autres appareils comme les  appareils photo, les caméscopes, les téléviseurs, vont bientôt intégrer de l'USB 3.0. » Selon lui, il va y en avoir beaucoup et bientôt. « Il est évident que les premiers appareils concernés sont les unités de stockage et les ordinateurs, » dit-il. « Certains produits, qui ne nécessitent pas des débits élevés, comme les claviers, les souris, les imprimantes, prendront un peu plus de temps. Mais, à mon avis, dès le début du second semestre, nous verrons apparaître des téléviseurs HD, des caméras, des caméscopes proposant ce format. Ces produits concernés par des contenus riches, ont besoin d'évoluer vers une technologie permettant des transferts de données hauts débits. Et l'USB 3.0 est tout à fait approprié. »

Illustration principale : Contrôleur USB 3.0 NEC/Renesys, crédit D.R. (...)

(10/01/2011 16:24:16)

L'iPad 2 attendu en février selon Kevin Rose, fondateur de Digg

Ce pionnier dans le domaine de la navigation sociale (ou social bookmarking), qui dit tenir son information « d'une source sûre», indique que la deuxième édition de la tablette d'Apple devrait sortir dans les 3 ou 4 semaines et probablement le 1er février prochain. Elle sera dotée de deux caméras, une frontale et une à l'arrière, et bénéficiera aussi d'un meilleur affichage. Dans un post précédent, celui-ci avait fait état d'un écran Retina pour l'iPad 2, pour finalement se raviser : se référant à une autre source, il déclare que l'écran aurait simplement une plus grande résolution, mais ne serait pas techniquement de type Retina. Quoiqu'il en soit, cette prévision lui fait dire à « ceux qui envisageaient d'acheter un iPad, de patienter un peu. »

Alors que beaucoup attendent deux caméras dans l'iPad 2 afin de profiter du chat video avec Facetime d'Apple, Joe White, qui suit les produits d'Apple sur le site AppAdvice, pense qu'il va être difficile à la firme d'augmenter la résolution déjà excellente de l'iPad sans accroître la taille de son écran, actuellement un 9,7 pouces. Yoni Heisler, blogueur sur Network World, a été quant à lui très attentif aux rumeurs circulant autour de l'iPad 2 et de ses fonctionnalités, relevant les moindres spéculations à propos de la future tablette, notant par exemple que l'iPad 2 intégrerait un processeur dual-core. Le CES 2011, qui s'est tenu la semaine dernière à Las Vegas, a également entretenu ce buzz autour du lancement imminent d'une nouvelle tablette par Apple, puisque certains ont rapporté avoir vu ce qu'ils ont identifié comme la coque d'un iPad 2, remarquant même la présence d'un orifice, sans doute l'emplacement de l'objectif de la caméra arrière.

Après Macworld Expo

Si l'estimation faite par Kevin Rose s'avère exacte, à savoir une sortie de l'iPad 2 au 1er février, ce lancement interviendrait exactement la semaine suivant le Macworld Expo de San Francisco, manifestation à laquelle Apple ne participe plus depuis deux ans.

La première version de l'iPad avait été lancée en avril 2010. En un mois, la tablette avait été vendue à plus d'un million d'unités. Pour les observateurs, la domination de la firme de Cupertino sur ce marché ne risque pas de s'atténuer de sitôt, y compris dans le secteur professionnel. Ted Schadler, analyste chez Forrester, fait remarquer qu'Apple s'est introduit dans l'entreprise grâce aux utilisateurs enthousiastes qui ont emporté leurs appareils au travail et ont fait passer le message. Selon certaines estimations, Apple devrait vendre jusqu'à 28 millions d'iPad d'ici la fin de cette année.

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