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(22/11/2007 15:25:25)

Une étude confirme l'ampleur croissante d'Oracle

Pas de doute, Oracle prend chaque jour une place plus importante dans les entreprises. Au-delà de ses résultats en forte croissance qui attestent visiblement sa progression, sur le terrain, les analystes prennent concrètement la mesure de l'adhésion des décideurs à son offre, qu'il s'agisse de sa base de données, de ses outils de middleware ou de ses applications. En octobre, l'enquête menée par le cabinet américain ChangeWave Investing sur les prévisions d'investissement en logiciel et sur les solutions installées, auprès de 1 780 membres de son réseau (constitué de 13 000 professionnels et experts issus de différents secteurs industriels), fait apparaître qu'Oracle est le seul fournisseur à gagner des parts dans plusieurs domaines. Principalement sur les applications décisionnelles (ou Business Intelligence, BI), la gestion de la relation client (GRC, en anglais CRM) et les progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP). Par rapport à sa précédente enquête, conduite en juillet 2007, ChangeWave Investing ne note pas de changement dans les prévisions globales d'investissement pour les trois mois à venir : 18% des responsables interrogés prévoient de dépenser davantage sur leur poste « logiciel » et 14 % pensent plutôt débourser moins. En revanche, ce qui frappe le cabinet d'analyse, c'est la proportion croissante d'entreprises prévoyant d'investir dans des solutions éditées par Oracle. Actuellement, dans le domaine du décisionnel, Oracle arrive en tête des logiciels utilisés avec 36% de parts de marché, progressant ainsi de 8 points par rapport à l'enquête de juillet dernier. Microsoft le suit de près avec 35%. Un zoom sur les solutions Hyperion permet de constater une augmentation de cinq points, à 19 %. Le rapprochement opéré entre les sociétés semble donc leur profiter à toutes les deux, rassurant sans doute sur la pérennité des offres. Sur le marché de la GRC, Oracle conserve son leadership (gagné avec le rachat de Siebel). Comme en juillet, 36% des professionnels sondés ont déclaré utiliser une solution vendue par Oracle. SAP, en revanche, perd deux points, à 17%, et Salesforce en perd 4, à 15%. Microsoft, lui, ne bouge pas, à 16 %. Le plus fort potentiel Sur le marché des PGI, ChangeWave Investing note une progression d'Oracle et de Microsoft sur les autres fournisseurs. Evidemment, SAP tient toujours la corde, mais il a perdu huit points depuis l'enquête de juillet, à 38%. Derrière, Oracle gagne deux points, à 32%. Toutefois, sur ce terrain, c'est Microsoft qui réalise la meilleure performance, prenant jusqu'à quinze points de plus, à 29%. Le cabinet d'analyse a également mesuré les tendances dans les domaines du stockage de données et des logiciels d'administration. Là, Microsoft est clairement en tête avec 30%, suivi de Symantec, avec 20%, et d'Oracle et EMC, avec 17% chacun. Mais ce qui surprend le plus ChangeWave Investing, [[page]]ce sont les intentions d'achats à 90 jours des entreprises interrogées. Alors que l'échantillon proposé n'était pas assez large pour englober tous les fournisseurs de solutions verticales pressentis, le cumul des choix désignait clairement Oracle comme l'éditeur ayant le plus fort potentiel, au détriment de Microsoft. Les positions de SAP, elles, ne bougeaient pas par rapport à l'enquête de juillet 2007. La technologie tire les applications et vice-versa Il apparaît nettement que la société de Larry Ellison reprend de la vitesse sur tous les terrains, alors qu'elle avait pu un temps se laisser distancer. Et son fondateur n'entend certes pas en rester là. Ses récentes annonces, à l'occasion de sa conférence OpenWorld (San Francisco, 11-15 novembre) l'ont confirmé : livraison d'une solution de virtualisation de serveurs, Oracle VM, renforcement des solutions middleware, présentation de la nouvelle génération d'applications (Fusion). Parallèlement, Oracle a également indiqué avoir gagné 1 500 clients en un an sur son offre de support autour des systèmes d'exploitation en Open Source Red Hat Enterprise Linux et Oracle Enterprise Linux. « Nous avons dépassé nos prévisions dans toutes les catégories de produits et nous n'avons pas l'intention de nous arrêter là », déclarait Safra Catz, vice-présidente et directrice financière d'Oracle, devant un parterre d'analystes financiers, à l'issue d'OpenWorld. « La technologie tire les applications et les applications tirent la technologie », a-t-elle rappelé pour expliquer comment les différentes gammes d'Oracle autogénéraient des ventes. Et pour justifier la succession des rachats opérés par l'éditeur et qui n'est sans doute pas près de s'arrêter, notamment sur les applications métiers : « Ce que nous faisons est très évident. Nous recherchons ce que nos clients souhaitent que nous prenions en charge pour eux. Et ce qui nous paraît financièrement possible et utile pour eux, nous le faisons. » Ce qui a conduit, notamment, au récent rachat d'Agile, acteur du PLM (gestion du cycle de vie des produits). Ce qui dirige, aussi, les prises de position sur les marchés verticaux avec les rachats de Portal Software, pour les opérateurs de télécommunications, ou d'i-flex, pour les banques. Des produits qui, estampillés Oracle, acquièrent une nouvelle visibilité. En retour, les acheteurs de produits métiers Oracle seront plus enclins à s'intéresser à sa base de données, à ses offres middleware, à sa déclinaison de Linux ou à sa solution de virtualisation. Le 'sondage flash' en cours sur notre site montre toutefois que les entreprises clientes ne sont pas forcément enclines à tout acheter chez le même acteur. Alors s'agit-il vraiment d'un cercle vertueux ? Larry Ellison en est persuadé. Devant le même parterre d'analystes la semaine dernière, il a déclaré ne craindre ni une récession, ni une baisse des prix. « Si les prix baissent, nous nous en sortirons très bien et si l'économie se porte mal, je pense, qu'au pire, nos performances seront étales. » (...)

(02/11/2007 13:23:06)

Annuels PTC : le spécialiste du PLM monte en Europe et rachète Cocreate

L'Américain PTC, éditeur de solutions de PLM (product lifecycle management, gestion du cycle de vie des produits), finit son année fiscale sur des résultats meilleurs que ce que le troisième trimestre pouvait laisser prévoir. L'éditeur a augmenté de 14% ses ventes de licences, à 96,1 M$, sur son quatrième trimestre (par rapport à l'an dernier). Sur l'année, ses ventes de licences ont progressé de 12%, à 296,1 M$. Les revenus de la maintenance s'établissent à 408,4 M$ et ceux du conseil et de la formation à 237 M$. Sur le quatrième trimestre, Richard Harrison, PDG de PTC, souligne les 24% de la marge opérationnelle (non auditée GAAP) et le chiffre d'affaires réalisé en Europe : 38% du chiffre d'affaires total, presque à l'égal de celui généré en Amérique du Nord, le reste provenant du Japon et de la zone Pacifique, 11 et 13%. Les logiciels de PTC incluent principalement des outils de CAO, de gestion de contenus, de publication dynamique et de gestion des données techniques. PTC est en compétition sur ce marché principalement avec Dassault Systèmes, UGS et Autodesk. PTC rachète un spécialiste de la modélisation dynamique Dans la foulée de ses résultats, PTC annonce l'acquisition, pour 250 M$, d'un autre éditeur de PLM, CoCreate (ancienne division de HP, indépendante depuis 2000), basé en Allemagne, à Sindelfingen. Spécialisé dans les outils de modélisation (visualisation, publication dynamique, usinage à grande vitesse...) et les outils de collaboration, CoCreate compte 280 employés et 5 000 clients dans le monde parmi lesquels Canon, Nec, Olympus et Fujitsu. La base installée de PTC rassemble de son côté 50 000 clients. (...)

(18/10/2007 10:08:02)

Trimestriels SAP : des ventes en nette progression sur l'Asie

(mise à jour) L'éditeur allemand SAP a enregistré un chiffre d'affaires de 2,42 milliards d'euros sur son troisième trimestre 2007, en augmentation de 13 % à taux de change constant. Le numéro un mondial des progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP), dit avoir fait progresser un peu plus sa part de marché sur cette période et il prévoit d'enregistrer finalement une progression de 14 % sur son exercice 2007, version haute des estimations qu'il avait précédemment fournies (de 12 à 14%). Ses ventes de licences et de services associés (maintenance et contrats pluriannuels) ont progressé de 13 % à taux de change courant sur les trois mois écoulés, à 1,74 Md€ (+16% à taux de change constant). +27 % en Asie (hors Japon) A l'examen de la répartition géographique des revenus, on note que les marchés asiatiques, en plein essor pour l'éditeur allemand, ont progressé de 16 % au total, à 318 M€ (jusqu'à +27 % hors Japon), les ventes de licences augmentant de 25,3%, à 119 M€. Par comparaison, le chiffre d'affaires de SAP n'a progressé que de 6 % sur le continent américain, à 862 M€ (+3% seulement sur les ventes de licences, à 265 M€). Dans la zone EMEA (Europe, Afrique et Moyen-Orient), c'est hors d'Allemagne (+ 4% seulement) que l'éditeur a réussi son meilleur score ce trimestre. Au total, il a engrangé sur cette zone un chiffre d'affaires de 1,24 Md€ (+10 %) dont 331 M€ sur les licences (+14%). Et en France, SAP a réalisé une progression spectaculaire de 84% sur les ventes de licences. Rappelons que le fournisseur a annoncé en septembre son offre SAP Business ByDesign, une application conçue pour les PME qu'il héberge et fournit en ligne comme un service. Actuellement utilisée par vingt clients, elle sera progressivement mise en service à l'ensemble du marché dans le courant de l'année 2008 et au-delà. Rappelons par ailleurs que l'éditeur allemand a annoncé début octobre le rachat du Français Business Objects, figure emblématique des logiciels d'analyse décisionnelle. (...)

(02/10/2007 12:25:25)

La start-up Seemage séduit tant Dassault Systèmes, qu'à la fin il la croque

Seemage, éditeur français installé à Sophia Antipolis, vient d'être racheté par le fournisseur de solutions de CAO Dassault Systèmes, séduit par l'expertise que la start-up a su développer dans le domaine de l'accès aux informations techniques sur les produits. L'éditeur de Catia avait commencé par nouer un partenariat avec Seemage il y a tout juste un mois, qui faisait le pont entre le PLM (Product lifecycle management, gestion du cycle de vie des produits) de Dassault et son offre de vue en 3D. Dassault Systèmes dit en effet vouloir démocratiser l'accès aux données 3D de CAO (conception assistée par ordinateur) et leur exploitation, avec l'ambition de faire de la 3D « un média universel ». Au catalogue de Seemage figure un outil de visualisation comme Viz qui permet d'ouvrir différents modèles de CAO dans leur contexte - avec définitions, concepts de conception... -, sans pourtant disposer des logiciels qui les ont créés (Adobe développe un concept similaire pour son PDF). L'éditeur propose également Mockup pour manipuler des fichiers de CAO pouvant contenir plusieurs milliers de pièces. Tout cela, précise Seemage, sans « connaissance préalable des applications de CAO ». Les solutions de visualisation et d'exploitation de fichiers 3D de Seemage avaient déjà su retenir l'attention d'investisseurs comme TechFund Capital Europe, Sophia Euro Lab et Primaveris. L'entreprise fait par ailleurs partie des candidats ayant été sélectionnés par Microsoft dans le cadre de son programme Idées (Initiative pour le développement économique des éditeurs de logiciels et des start-up), des sociétés triées sur le volet (25 par an seulement) pour le caractère innovant de leur produit et pour leur potentiel international. Outre la France, Seemage est également installé aux Etats-Unis (dans le Massachusetts). (...)

(10/08/2007 12:12:15)

SAP mettra à jour l'offre PLM sur le modèle adopté pour son PGI

SAP compte mettre à son jour son offre de gestion du cycle de vie des produits (en anglais PLM, pour product lifecycle management) sur le mode qu'il a adopté pour son produit phare, le progiciel de gestion intégré (PGI) mySAP ERP. Fin 2006, l'éditeur s'était engagé à maintenir la version courante de son PGI, mySAP ERP 2005, jusqu'en 2010 et d'y apporter des mises à jour sous la forme de packages d'amélioration optionnelles n'obligeant pas à procéder à de lourdes migrations à chaque montée de version. Fin juillet, SAP a ainsi livré le deuxième package d'améliorations pour son PGI. Celui-ci permet aux utilisateurs d'installer les ajouts fonctionnels de façon sélective ; une flexibilité permise par l'architecture orientée services (SOA) sur laquelle s'appuie désormais l'offre de SAP. Parmi les nouveautés figurent, notamment, des outils pour accéder plus facilement aux données clients et pour simplifier la gestion des commandes avec des fonctions de recherche sur les factures. D'autres ajouts concernent la gestion de production (suivi des processus Kanban), le module financier et la gestion interne (suivi des voyages, des locaux et des actifs). Le PLM, un marché concurrentiel La même approche d'amélioration par mises à jour périodiques va donc s'appliquer à l'offre de PLM, une gamme d'applications qui représente déjà un pan important de l'offre de SAP. L'éditeur compte à ce jour quelque 5 500 clients, utilisateurs de son logiciel SAP PLM. Les prochaines améliorations, annoncées pour la fin de l'année, apporteront de nouveaux processus pour planifier les gammes de produits, selon Hans Thalbauer, vice président de l'offre SAP PLM. SAP prévoit ensuite, en 2008, de simplifier l'interface, d'affiner les rôles par catégories d'utilisateur et de fournir davantage d'informations contextuelles. Sur le terrain, on constate que les entreprises cherchent à mieux tirer parti de cette catégorie d'applications, en particulier en récupérant des données gérées par les autres composantes du système d'information (progiciel de gestion intégré ou système de gestion des relations avec les clients et fournisseurs). Et sur le marché, la concurrence s'aiguise. Oracle, le principal rival, a annoncé en mai son intention d'acheter le spécialiste du PLM Agile Software pour 495 M$ pour renforcer son offre dans ce domaine. Le géant industriel allemand Siemens a lui aussi investi dans le secteur en récupérant UGS pour 3,5 Md$. Quant au Français Dassault Systèmes, il a absorbé MatrixOne pour 408 M$ en mars 2006 et, plus récemment, ICEM pour 51,4 M$. (...)

(16/05/2007 18:24:47)

Serena ajoute la gestion de projet et de portfolio à son ALM

Serena Software complète sa suite de gestion du cycle de vie logiciel Serena ALM (Application Lifecycle Management) avec une solution de gestion de projet et de portfolio, Serena Mariner 6.2. Mariner provient de l'acquisition de Pacific Edge, effectuée en fin d'année dernière, qui reflète bien la tendance actuelle pour les éditeurs de solutions ALM d'intégrer des solutions de PPM (Project and Portfolio Management). Cette intégration fournit aux directions informatiques des données quantitatives pour prendre des décisions qualitatives et permet de gérer les priorités, depuis la proposition de projet jusqu'au retrait de l'application. Serena Mariner s'intègre aux autres produits Serena : Dimensions, qui gère les codes source et TeamTrack qui gère les processus de développement d'application. Mariner fournit des tableaux de bord pour Dimensions et TeamTrack, offrant ainsi une visibilité sur les projets et le système. Les solutions Serena sont conçues pour les systèmes distribués et les mainframes. Serena Mariner 6.2 est disponible à partir de 75 000 $ selon la taille de l'entreprise. Plus d'informations sur : http://www.serena.com/US/products/mariner/ (...)

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