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(26/10/2009 11:39:59)

4ème licence mobile, une vraie catastrophe pour Bouygues Telecom

( Source EuroTMT ) Malgré un premier échec au printemps devant le Conseil d'État, le groupe de BTP et de communication a relancé une nouvelle procédure devant la même instance pour contester l'ensemble des avantages dont bénéficierait le futur nouvel entrant. Si l'argumentation du propriétaire du troisième opérateur mobile tricolore peut faire sourire, tant elle paraît dérisoire, sa démarche est à prendre, toutefois, très au sérieux. Car pour Bouygues, la question de l'entrée ou non d'un quatrième acteur sur le marché de la téléphonie mobile est vitale. Privilégiant la rentabilité financière de sa filiale mobile (devenue une véritable vache à lait pour l'ensemble du groupe), Bouygues a longtemps hésité sur sa stratégie dans les télécoms, conduisant les analystes à s'interroger sur une vente de Bouygues Telecom. Une option qu'il ne semble pas avoir totalement refermée. Des sources gouvernementales affirment que le groupe aurait consulté, avant l'été, des ministres sur un scénario de rapprochement avec Iliad. Dans le même temps, le groupe a décidé de repartir à l'offensive dans les télécoms, ce qui s'est concrétisé par le lancement de l'offre quadruple-play Idéo, plutôt bien accueillie. Et pour de nombreux analystes, cette offre peut constituer une véritable planche de survie pour l'opérateur. Ainsi, une récente étude du cabinet d'analyse financière américain Raymond James consacrée au marché français estime qu'Idéo peut permettre à Bouygues Telecom d'accroître à la fois sa part de marché dans le haut débit fixe, mais aussi dans la téléphonie mobile. Une guerre des prix dangereuse pour BT Dans le fixe, Bouygues Telecom pourrait ainsi avoir capté 400 000 à 450 000 abonnés haut débit en 2010 et atteindre une part de marché de 5 % en 2012 soit un million de clients. Or selon l'étude du cabinet Raymond James, la migration des clients Bouygues Telecom vers Idéo est un bon coup financier pour l'opérateur : la marge brute s'élève à 33 € par mois pour les clients Idéo contre 28 € par mois par abonné mobile. De plus, le risque de voir ses deux principaux concurrents mobiles, SFR et Orange, lancer des offres similaires à Idéo est faible. Compte tenu de leur base cliente à la fois en mobile et en haut débit, ils prendraient le risque de voir la marge brute par abonné diminuer, un client GSM et haut débit (avec deux contrats distincts) rapportant 44 € par mois. Potentiellement, Idéo pourrait donc permettre au groupe Bouygues d'améliorer de plus d'un milliard d'euros la valorisation de son activité télécoms ! Un beau scénario qui se produirait, surtout, s'il n'y a pas de quatrième acteur, où que les conditions d'entrée sur le marché soient telles qu'il oblige le nouvel entrant à limiter la guerre tarifaire qu'il pourrait provoquer. Selon le cabinet Raymond James, un quatrième acteur, dans un scénario à l'anglaise, pourrait provoquer un véritable choc sur le marché. Dans ce cas, le quatrième acteur détiendrait à terme (d'ici à 2020) 12 % du marché mobile, conduisant à une baisse du revenu moyen par abonné à 28 € (contre 35,5 € actuellement au deuxième trimestre 2009) et à une baisse de 5 à 6 points du taux de marge d'Ebitda. L'impact sur la valorisation des trois acteurs serait négatif de 30 à 35 % (soit une baisse de 3,5 € par action Bouygues). C'est ce scénario noir que le groupe semble vouloir éviter. Par tous les moyens. (...)

(26/10/2009 10:28:43)

60% des achats en ligne à l'étranger sont refusés pour les consommateurs européens

Sur plus de 1.000 commandes transfrontalières passées au sein de l'Union européenne, 60% ont été refusées parce que le vendeur n'assurait pas l'expédition ou bien il ne proposait pas de moyens de paiement ouvert à tous. Selon un rapport de la Commission européenne, publié le 22 octobre, la Lettonie, la Belgique, la Roumanie et la Bulgarie sont les pays où il est le plus difficile d'acheter dans d'autres pays de l'Union. Le bilan de la Commission européenne est alarmant. "Plus de la moitié de ce type d'achats est vouée à l'échec dans vingt-cinq pays sur vingt-sept !". Pourtant, plus de la moitié des produits visés par l'étude étaient jusqu'à 10% moins cher (frais de port inclus) que dans le pays d'origine. Et 50% n'étaient disponibles que dans l'autre Etat membre. Les transactions intraeuropéennes stagnent Selon les derniers chiffres de l'Union européenne, le nombre d'acheteurs en ligne européens est passé de 27% à 33% entre 2006 et 2008. Et le nombre de transactions effectuées dans un autre pays de l'Union stagne, passant seulement de 6% à 7%. La Commission européenne propose notamment pour remédier à ce problème de "doter le consommateur européen d'un ensemble de droits simple et unique", "de renforcer l'application de la législation par-delà les frontières" et de "simplifier la règlementation transfrontalière pour les détaillants". (...)

(23/10/2009 17:37:44)

Trimestriels Microsoft : en attendant Seven, les ventes de Windows plongent

L'éditeur a publié pour le compte du premier trimestre de son exercice 2010 un chiffre d'affaires de 12,9 Md$ en baisse de 14% comparé à il y a un an. Son bénéfice net fond quand à lui de 18% à près de 3,6 Md$. Il s'agit du second trimestre consécutif lors duquel Microsoft publie des résultats en décroissance. Il y a trois mois, ses revenus avaient chuté de 17% et son résultat net de 29%. Reste que, lors de ces six derniers mois, les bilans de l'éditeur ont dépassé les attentes du marché. La publication des résultats du premier trimestre 2010 a ainsi entraîné une hausse de près de 10% de l'action Microsoft à l'ouverture de Wall Street. Une analyse plus détaillée des résultats de l'éditeur montre les difficultés de ses activités historiques. Ainsi, les ventes de la division Windows ont chuté d'environ 38% à 2,6 Md$. Microsoft rappelle que ces résultats ne tiennent pas compte du report de chiffre d'affaires de 1,47 Md$ lié aux précommandes de Windows 7. L'activité Business Division, dont dépendent notamment Exchange, Office et les logiciels de gestion Dynamics, a vu ses revenus baisser de 6% à 4,4 Md$. En revanche, la division serveurs résiste bien à la crise avec un chiffre d'affaires à peu de chose près stable dont se dégage un résultat opération en progression d'environ 23% à de 1,3 Md$. Les consoles de jeux font encore mieux avec une bénéfice opérationnel qui double quasiment à 312 M$ sur un revenu stable de 1,9 Md$. (...)

(23/10/2009 17:24:31)

Le Motif suggère de développer l'offre de livres numériques légale

Le téléchargement illégal de livres sur Internet reste un phénomène mineur en France et concerne moins de 1% des titres qui sont disponibles légalement au format papier. C'est ce que fait apparaître l'étude EBookZ présentée cette semaine par Mathias Daval, d'Edysseus Consulting, et le Motif, observatoire du livre et de l'écrit en Ile-de-France. Il n'est pas question, ici, du piratage de livres numériques, mais du piratage numérique des livres qui pose notamment le problème de la protection du droit d'auteur (au même titre que la diffusion par photocopie). L'étude porte sur l'ensemble des textes piratés proposés au téléchargement, issus de livres publiés en français par des éditeurs français. Pour la plupart, ces textes ont été numérisés par ceux qui les mettent à disposition sur le Web, au prix d'un « travail fastidieux de 6 à 10 heures minimum pour un résultat de bonne qualité ». Qualité qui est pourtant proposée pour 77% des ouvrages ainsi accessibles. Gallimard, Dunod et Hachette arrivent dans le peloton de tête des éditeurs ayant le plus de titres piratés. Les livres piratés de sciences, technique et médecine sont les plus représentés sur le Net, aux côtés des ouvrages de philosophie, de littérature de science-fiction et fantastique, d'informatique et, sans surprise, de cuisine. L'étude diffusée par le Motif montre que 94,9% des livres piratés ne disposent pas d'une offre numérique légale. En conclusion, l'étude recommande aux éditeurs de développer leur catalogue numérique en s'appuyant sur des modèles économiques innovants. Proposer des lecteurs de livres numériques en bibliothèque Dans le sillage de cette étude, l'observatoire du livre a formalisé plusieurs propositions pour accompagner le développement de l'offre numérique, présentées lundi dernier à la Société des gens de lettres (SGDL) par Vincent Monadé, directeur du Motif. Celui-ci propose de mettre en place plusieurs modes d'expérimentation, à la fois dans les librairies et en partenariat avec certaines bibliothèques d'Ile-de-France. En librairie, l'offre numérique serait accessible par l'intermédiaire de bornes dédiées, ou bien directement à la caisse, et complétée d'outils d'impression à la demande (POD, print on demand). En bibliothèque, le prêt ou l'achat de lecteurs de livres numériques, serait assorti de la mise à disposition « d'une offre numérique de qualité ». L'objectif serait alors d'en évaluer l'adoption et les modes d'utilisation retenus par les lecteurs. La troisième proposition du Motif porte sur le développement d'une application libre de géolocalisation des librairies à partir d'un smartphone. Réalisée en partenariat, notamment avec Artesi (l'agence régionale des technologies de l'information), cet outil librement diffusé permettrait de retrouver le point de vente le plus proche où trouver le livre recherché. (...)

(23/10/2009 16:42:29)

La France lance un appel à projets pour le haut débit rural doté de 30 millions d'euros

Le 23 octobre, Bruno Le Maire, Michel Mercier et Nathalie Kosciusko-Morizet (*) ont officialisé le lancement d'un appel à projets national destiné à la couverture en haut débit des zones rurales. Cette démarche s'inscrit dans le cadre du plan européen de relance économique. Lancé en décembre 2008, celui-ci comporte un volet voué à réduire la fracture numérique en milieu rural via l'Internet à haut débit. Le communiqué commun des trois ministères précise que « 30 millions d'euros du Fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER) seront spécifiquement affectés à cet enjeu ». Ces sommes - qui représentent la moitié de l'enveloppe allouée aux zones rurales de l'Hexagone- seront utilisées selon un « principe de cofinancement des moyens apportés par les collectivités territoriales ». Parmi les types de projets qui pourront être retenus, le document détaillé de l'appel à projets cite les installations de relais et d'équipements au sol ou l'installation d'une infrastructure passive haut débit y compris en synergie avec les réseaux énergétiques, de transports ou d'adduction d'eau. (*) Respectivement Ministre de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Pêche, Ministre de l'Espace rural et de l'Aménagement du Territoire, Secrétaire d'Etat à la Prospective et au Développement de l'économie numérique. (...)

(23/10/2009 13:10:12)

Visual Studio 2010 bêta 2 apporte des outils aux projets Sharepoint

Microsoft propose depuis le 21 octobre de télécharger la bêta 2 de son environnement de développement Visual Studio 2010 et de sa plateforme .Net Framework 4 (les abonnés à MSDN ont eu la primeur, deux jours plus tôt). Le lancement effectif des produits est prévu pour le 22 mars prochain. De la même façon, l'éditeur propose aussi la bêta 2 d'Express, version gratuite de Visual Studio qui vise à familiariser les étudiants et développeurs débutants à ces outils avant de passer à une version payante du produit. L'environnement comporte des outils intégrés pour les applications sous Windows 7 et pour la plateforme de collaboration SharePoint 2010 (en bêta publique le mois prochain). Il permet notamment de construire un projet SharePoint avec les sites Web et applications associés puis de les déployer. Le .Net Framework 4, dont la taille du 'runtime' a été réduite de 80% (ce qui accélérera sensiblement l'installation et le lancement des applications), dispose lui aussi de fonctions spécifiques aux projets SharePoint. L'accent mis par Microsoft sur son offre de portail n'est pas surprenant au regard de l'expansion qu'a connu cette solution ces derniers mois. « SharePoint s'est répandu comme un feu de forêt, mais le développement des applications destinées à cette plateforme manquait d'outils spécifiques dans Visual Studio, considère Mike Gualtieri, senior analyste pour Forrester. Maintenant, les développeurs recourant à cet environnement peuvent effectivement cibler SharePoint. » Les abonnés à MSDN Premium pourront développer sur la plateforme de cloud Windows Azure La bêta 2 apporte aussi de nouveaux liens 'drag and drop' pour le client Silverlight et l'interface riche Windows Presentation Foundation, et des options supplémentaires de test pour contrôler la qualité du code. A noter que Microsoft a ramené à trois packages de base les versions de Visual Studio 2010 proposées. Lors du lancement, les abonnés au service MSDN (Microsoft Developer Network) accéderont à la version Professional pour 1 200 dollars, à la version Premium pour 2 300 dollars, et à la version Ultimate pour 12 000 dollars, environ. Cette dernière inclut l'ensemble des outils de gestion du cycle de vie des applications, ainsi que les outils de test et d'architecture. Premium n'en comprend qu'une partie. Microsoft cherche à encourager les abonnements à MSDN. Ceux-ci donnent désormais accès de façon illimitée à Visual Studio Team Foundation Server, ainsi qu'à la plateforme de cloud Windows Azure et à une quarantaine d'heures de formation en ligne par an. Les abonnés peuvent « développer, sans coût additionnel, des applications pour la plateforme cloud Windows Azure », a confirmé Dave Mendlen, responsable marketing senior chez Microsoft. Mike Gualtieri, de Forrester, reconnaît que « la mise à disposition d'heures pour accéder à Azure est intéressant. C'est une évidence, le cloud comuting va devenir une approche de déploiement de choix dans les prochaines années ». (...)

(23/10/2009 11:17:35)

Un ouvrage collectif pour protester contre Hadopi 2

Avant les conclusions du Conseil constitutionnel sur le projet de loi Création et Internet qui a validé presque toutes les dispositions du dispositif Hadopi 2, les éditions InLibroVeritas annonçaient la sortie d'un livre à charge contre le texte, La Bataille Hadopi. Rédigé par 40 personnalités opposées à cette loi, cet ouvrage a été présenté le jeudi 29 octobre au Fouquet's, célèbre restaurant parisien où Nicolas Sarkozy était venu célébrer sa victoire à l'élection présidentielle, le 6 mai 2007. Ce collectif d'auteurs contre la loi Hadopi comprend plusieurs personnalités politiques, mais aussi des artistes, des juristes, des sociologues et des journalistes. La liste comprend, entre autres, Jacques Attali, Patrick Bloche, Daniel Cohn-Bendit, Nicolas Dupont-Aignan, ou encore le chanteur Francis Lalanne. Cet ouvrage, qui expose en 350 pages les arguments des opposants à la loi Hadopi 2, est disponible en version numérique, distribuée gratuitement sur Internet en format PDF, et en version papier : Bronze (9 euros), Argent (19 euros) et Or (49 euros). L'édition Or est livrée avec un T-Shirt "La bataille Hadopi", un CD contenant un documentaire, ainsi qu'un autocollant, un marque page, et des flyers à distribuer. Site : www.inlibroveritas.net/la-bataille-hadopi.html

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