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(13/10/2009 14:35:28)

Le Français eXo Platform prend pied aux Etats-Unis

La start-up française eXo Platform ouvre un bureau à San Francisco et c'est Benjamin Mestrallet, son président fondateur, qui pose les premiers jalons, sur place, du développement des opérations sur l'ensemble des Etats-Unis. En juin dernier, eXo Platform a fusionné son projet de portail (la diffusion du code du projet eXo, container de portlet Java, remonte à 2002) avec celui de Red Hat, JBoss Portal, pour créer une plateforme commune Open Source, GateIn. « Le partenariat noué avec Red Hat a contribué à notre décision d'aller sur le continent nord américain, mais si nous nous sommes installés dans la Silicon Valley, c'est bien pour développer la visibilité mondiale d'Exo Platform », explique Benjamin Mestrallet. Un autre bureau sera ultérieurement créé sur la côté Est, probablement dans huit à douze mois. « Cette ouverture n'est pas encore planifiée, elle dépendra de la réalisation du business plan. » Pour l'accompagner dans son déploiement outre Atlantique, la société a constitué un bureau de conseillers (board of advisors) qui connaissent bien les métiers du logiciel, le secteur de l'Open Source et la gestion de la croissance. On y trouve Bob Bickel, Sacha Labourey et Edwin Khodabakchian. Le premier fut directeur de la stratégie de JBoss, co-fondateur de Bluestone Software (racheté par HP en 2001), et conseiller d'éditeurs Open Source comme JasperSoft ou Funambol. « Il connaît très bien le marché américain. Son expertise va nous aider à développer nos ventes indirectes, en OEM et par l'intermédiaire d'un réseau de revendeurs que nous souhaitons constituer, détaille Benjamin Mestrallet. Aux Etats-Unis, nous aurons un mix entre des vendeurs collaborateurs d'eXo Platform et des revendeurs indirects. C'est quelque chose que nous ne faisons pas du tout en France où les ventes se font de façon indirecte, par le biais d'intégrateurs. » La première personne qui devrait être embauchée dans ce bureau californien sera certainement le directeur des ventes. Red Hat, plus gros distributeur d'eXo outre-Atlantique Parmi les conseillers, figure également Sacha Labourey, l'un des co-fondateurs de JBoss, aujourd'hui basé en Suisse. « Il a une très bonne connaissance de Red Hat, qu'il a quitté tout récemment, en mars 2009, ce qui nous permet d'avoir une relation simple en interne, confie Benjamin Mestrallet. C'est lui qui a initié le rapprochement d'eXo Platform avec Red Hat, qui est notre plus gros distributeur sur le marché américain. » Edwin Khodabakchian, enfin, co-fondateur de Feedly.org, a précédemment fondé Collaxa, société spécialisée dans l'orchestration de processus métiers (BPEL), qu'il a revendue en 2004 à Oracle. Chez ce dernier, il a ensuite occupé les fonctions de vice-président pour le développement produit. « Il connaît bien l'architecture logicielle en général, livre des conseils avisés sur l'automatisation des ventes et a lui-même vécu l'intégration dans la Silicon Valley, précise le président d'eXo Platform. Ce n'est pas évident de prendre pied aux Etats-Unis. C'est mieux de le faire en étant entouré. » Exo Platform compte cent collaborateurs dans le monde dont quinze en France (les autres se situant en Ukraine, au Vietnam et en Tunisie) et une cinquantaine de clients. Ces derniers sont principalement de grandes entreprises qui rassemblent en moyenne 2 000 utilisateurs des logiciels eXo Platform (60 000 utilisateurs pour le déploiement le plus important). Outre la solution intranet/extranet eXo Portal et l'interface WebOS (qui restitue à l'utilisateur son environnement de travail habituel, via un navigateur Web), l'éditeur français propose plusieurs modules applicatifs : gestion des contenus d'entreprise, outils de collaboration et de gestion des connaissances. Parmi ses clients figurent Generali ou, encore, le ministère des Finances belge, qui regroupera à terme 30 000 utilisateurs. « L'un des objectifs de notre installation aux Etats-Unis, c'est aussi d'aller sur des tickets d'entrée plus bas, 'à la Red Hat', vers des marchés plus larges s'approchant davantage du marché de masse », reconnaît aussi Benjamin Mestrallet. (...)

(13/10/2009 14:20:00)

Toutes les publications de l'Union européenne en ligne

L'EU bookshop, librairie en ligne qui centralise toutes les publications de l'Union européenne, lancera le 16 octobre prochain sa bibliothèque numérique. Constituée de plus de 110.000 publications numérisées, soit 12 millions de pages, cette bibliothèque permettra aux internautes (étudiants, éditeurs, journalistes...) de télécharger gratuitement toutes les publications éditées depuis 1952 par l'Office des publications au nom des institutions, des agences et autres organes de l'UE. Site : http://bookshop.europa.eu (...)

(13/10/2009 13:47:48)

Pour améliorer la sécurité, le CEA déploie progressivement Windows 7

Si Windows 7 ne sera disponible que le 22 octobre pour le grand public, les entreprises ont déjà commencé à tester et, le cas échéant, à déployer le nouveau système d'exploitation de Microsoft. A la différence de Vista, boudé par les entreprises, Seven semble bien parti pour conquérir progressivement les entreprises. Architecte IT au Commissariat à l'Energie Atomique, Dominique Schmit nous a expliqué, lors d'un déjeuner organisé par Microsoft, le programme de migration vers Seven mis en place au CEA. "Depuis 2007, nous n'avons pas installé de nouveau système d'exploitation. Sur les 18 000 postes de travail en service, 80% sont équipés de Windows 2000 et XP, les 20% restant se partagent entre MacOS et Linux en fonction des besoins spécifiques des utilisateurs". Pour moderniser son parc informatique, le CEA a donc lancé un appel d'offre remporté cette fois pas Lenovo. "En avril dernier, nous avons commencé à évaluer Windows 7. Il s'agissait encore de la version bêta qui s'était avérée très intéressante avec son ergonomie soignée et son moteur de recherche intégré. Nous avons donc lancé un appel au volontariat pour déployer 80 postes de travail équipés de Windows 7, de Windows XP et d'Office 2010". 80 postes sur un total de 18 000, c'est encore peu mais Dominique Schmit précise que le programme va rapidement passer à 200 postes pour atteindre une masse critique. Quatre à cinq ans seront encore nécessaires pour remplacer une bonne partie des postes du CEA. Migrer pour renforcer la sécurité " L'installation de ce nouveau système d'exploitation répond également à des questions de sécurité : "sous Windows XP, on arrive aux limites en terme de patchs de sécurité. Le passage à Windows 7 va nous permettre d'améliorer la sécurité de nos postes de travail les plus exposés. IE8 nous semble par exemple mieux protégé contre les tentatives d'intrusions ActiveX. De plus en plus de gens travaillent en dehors de l'entreprise et les technologies d'accès distant intégré à Windows 7 sont très intéressantes et offrent une meilleure sécurité par défaut". Si le CEA utilise bien sûr des modes "terminal serveur" pour utiliser des environnements sécurisés ou un peu ancien, il n'est pas encore prévu de déployer des solutions de virtualisation sur les postes de travail. L'émulation de Windows XP dans Windows 7 est encore en cours d'évaluation avant d'envisager toute application. "Nos chercheurs ont toutefois une grande liberté pour installer et utiliser les logiciels de leur choix sur leurs PC". Encore modeste, le programme de migration du CEA va progressivement grossir dans les prochains mois. Comme partout les contraintes budgétaires et la maitrise opérationnelle imposent un calendrier étendu. Le coût de migration de ces 80 postes a été évalué à 60 jours/homme. Beaucoup d'entreprises qui ont freiné le déploiement de Windows Vista envisagent plus sereinement le passage à Seven. Les pilotes 32 bits pour Windows 7 sont désormais disponibles pour la majorité des périphériques et des composants matériels; et pour cause, ce sont les mêmes que pour Windows Vista, signature numérique obligatoire en sus. (...)

(12/10/2009 16:56:04)

IBM vise Oracle avec un « Exadata-killer »

Comment faire monter une base de données en charge sans sacrifier les performances ? Oracle dit avoir la réponse avec Exadata, qui associe du matériel serveur (HP dans sa v1, Sun aujourd'hui) et son offre de clustering RAC (Real application cluster). Laissé pour compte dans les systèmes ouverts, IBM revient désormais dans la course avec PureScale, qui sera disponible en décembre pour ses systèmes Unix/Linux Power 550 et Power 595. « Il s'agit d'un 'Exadata-killer', dans la mesure où c'est bien plus économique et expansible », a commenté Bernie Spang, directeur de la stratégie produit pour la division gestion de l'information d'IBM. Le principe de PureScale est de faire croire à une application qu'elle communique non pas avec un cluster, mais avec un seul serveur. D'après IBM, la dégradation de performances est très limitée : moins de 10% de la puissance CPU d'un cluster de 64 noeuds réalisé avec PureScale serait ainsi accaparée par les fonctions de grid. Pour 100 noeuds, la surcharge serait de 20%. (...)

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