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(14/10/2009 09:32:58)
Pour étoffer son offre LTE, Cisco fait main basse sur Starent Networks
Après le spécialiste de la vidéoconférence Tandberg, Cisco vient d'annoncer l'acquisition prochaine de Starent Networks, un fournisseur d'infrastructure pour les réseaux mobiles en IP pour les opérateurs. Valorisé à 2,9 milliards de dollars avec ce rachat, Starent conçoit des produits qui gèrent des accès aux réseaux sans fil 2,5 G, 3G et 4G pour des coeurs de réseaux d'opérateurs mobiles. Les produits de Starent sont déployés dans des réseaux CDMA2000 (1X, EV-DO), UMTS/HSPA, LTE, WiFi, et WiMAX. Cisco a déjà réalisé un investissement significatif en Wimax avec le rachat de Navini Networks en 2007 pour 330 millions de dollars, et a remporté un contrat avec l'opérateur Clearwire en début de cete année. Mais Verizon et AT&T vont partir sur le standard LTE. Le rachat de Starent par Cisco pourrait viser à ne pas rater ce virage. La compagnie affirme que ses manoeuvres sont «indépendantes des réseaux d'accès ». Les produits de Starent sont déployés dans les réseaux de 100 opérateurs mobiles dans 45 pays. Selon l'accord signé, Cisco donnera 35 $ par action en cash pour chaque action de Starent. Starent a été créé en 2000 et côté en 2007. La société emploie 1000 personnes dans le monde. Au 31 décembre 2008, Starent Networks avait un chiffre d'affaires de 254 millions de dollars, en croissance de 74% par rapport à 2007. (...)
(14/10/2009 09:22:43)Une nouvelle station Wimax en Moselle
Jean-Ludovic Silicani, président de l'Arcep, a inauguré le 9 octobre dernier, une nouvelle installation WiFi/WiMax sur le pylône de Saulny, en Moselle. Le département dispose aujourd'hui d'un réseau qui combine plusieurs technologies dont le WiMax et le WiFi. Les 126 stations WiFi/WiMax aujourd'hui en service apportent ainsi des débits de 6 Mbit/s, dans les zones inéligibles à l'ADSL. Cette installation s'inscrit dans une DSP qui remonte à 2005. Depuis quatre ans, Le Conseil Général de la Moselle s'appuie en effet sur LD Collectivités, via Moselle Télécom, dans le cadre d'une DSP (Délégation de Service Public), pour poursuivre son action en faveur de la généralisation du haut débit. L'installation de la station a été confié, par Moselle Télécom, à Nomotech, un prestataire déjà présent sur plus de 1200 sites répartis dans 13 départements. (...)
(14/10/2009 09:17:30)L'Internet nomade progresse lentement selon une étude BVA-Phone House
The Phone House et BVA livrent les résultats de leur observatoire des nouvelles technologies et du multimédia, et cherchent à décrypter les habitudes d'achat et d'usage des français. Premier constat, le marché de l'informatique nomade est loin d'être saturé. Seulement 24% des personnes interrogées sont équipées d'un notebook ou d'un netbook. Elles ne sont que 9% à prévoir d'acquérir prochainement l'un de ces matériels. Tandis que 66% n'en sont pas équipées et à n'ont rien prévu dans ce sens. Parmi les possesseurs de notebook ou de netbook, 18% seulement disposent d'une clé 3G et 9% souhaitent s'en équiper. Les smartphones constituent un autre moyen d'accéder à l'internet mobile pour 12% des membres du panel qui en sont possesseurs. 4% des personnes non équipées prévoient quant à elles d'en faire prochainement l'acquisition. A en croire BVA, Apple fait un carton plein avec son iPhone. En effet, 28% des utilisateurs de smartphones interrogés déclarent posséder le produit d'Apple et 29% de ceux qui souhaitent s'équiper comptent s'orienter vers la firme à la pomme. Le commerce sur mobile reste peu développé Les smartphones de Nokia et le Blackberry de RIM ne seraient qu'entre les mains respectivement de 21 et 9% des sondés. Ces derniers sont 83% à utiliser leur mobile pour surfer sur le web, 73% pour échanger des mails, et 72% pour échanger des données avec leur PC ou d'autres outils multimédias. Seuls 23% des utilisateurs de smartphones du panel The Phone House - BVA sont des adeptes du m-commerce. Malgré la crise, les budgets que consacre le grand public aux achats de produits multimédias et informatiques restent majoritairement maintenus (46% des sondés) ou accrus (16%). Ils ne sont que 33% des répondants à les avoir réduits. Avant de passer à l'achat en magasin, 16% du panel The Phone House - BVA s'informent sur d'abord sur Internet. 13% font l'inverse. Mais, au final, c'est le commerce de proximité qui remporte la bataille puisque 6% des personnes interrogées font leurs achats de produits informatiques et multimédia en ligne contre 43% dans les magasins. Indépendamment du lieu, l'achat de produits informatiques et multimédias dépend aussi de critères relatifs à des considérations individuelles ou familiales. Pour 61% des sondés, c'est le premier de ces deux critères qui prime lors de l'acquisition d'un mobile. Ce chiffre est presque faible tant le téléphone mobile est un produit personnel. Le critère familial est en revanche le plus souvent mis en avant pour l'acquisition d'un ordinateur portable (48% des réponses). (...)
(13/10/2009 17:08:35)Creative Commons se félicite du prix Nobel d'économie, Elinor Ostrom
L'Américaine Elinor Ostrom a été nommée hier avec un de ses confrères prix Nobel d'économie pour « son analyse de la gouvernance économique, et en particulier, des biens communs ». Outre qu'il s'agit d'une femme, ce qui est une première dans cette catégorie, ce professeur de science politique de l'université d'Indiana travaille sur le « partage collectif » des biens communs. Elle a en particulier mis en évidence la surprenante bonne qualité de gestion de certains biens communs. Elle évoque des ressources naturelles comme les poissons, par exemple, partagés par des groupes de pêcheurs. Mais elle a également évoqué dans certains de ses travaux, la connaissance en tant que bien commun à l'ère du numérique et la possibilité de la gérer sur un mode collectif. C'est ainsi que, sur le blog de Creative Commons, le vice-président Mike Linksvayer de l'organisation, s'est félicité de cette nomination. Les licences Creative Commons permettent justement aux créateurs de concilier le copyright qui protège leurs oeuvres et le partage avec d'autres de ces créations afin d'enrichir celles-ci. L'organisation à but non lucratif a défini quatre niveaux de licences qui déclinent les différentes possibilités de copie, distribution, diffusion, modification des oeuvres sous copyright. Mike Linksvayer rappelle dans son billet en quoi Elinor Ostrom a contribué aux travaux réalisés autour de l'idée de ce type de licences. Elle a participé avec Charlotte Hess, directrice de la bibliothèque numérique des biens communs de l'université d'Indiana, à un ouvrage intitulé « La connaissance comme un bien commun » (understanding knowledge as a commons). Comme l'explique Mike Linksvayer, il s'agissait de « mettre en contexte les biens communs de la connaissance et d'autres biens communs et de considérer ainsi l'information comme une ressource commune. » L'ouvrage d'Elinor Ostrom et Charlotte Hess citait déjà en exemple Creative Commons, qui allait tout juste se lancer à l'heure de la parution. En conclusion de son article, le vice-président envoie ses « félicitations à Elinor Ostrom, et au comité Nobel pour cet excellent choix, très pertinent dans le monde d'aujourd'hui. » (...)
(13/10/2009 16:50:39)Grand emprunt : l'Afdel rappelle les sept priorités de l'édition de logiciels
L'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels) vient de récapituler dans un document les propositions d'investissement qu'elle a transmises à la Commission du Grand Emprunt national. Elle y suggère sept axes d'action susceptibles de générer des leviers de croissance dans son secteur de prédilection. Au premier rang de ses priorités, elle place la création de grands partenariats public-privé (PPP) pour concevoir, construire et mettre en oeuvre les « grandes centrales numériques de calcul et de stockage » requises par le déploiement du cloud computing. En s'appuyant sur une infrastructure physique et logicielle « d'échelle réellement industrielle », ces centrales numériques permettront de développer un nouvel écosystème, argumente l'Afdel, en proposant de nouveaux services en ligne pour les entreprises, l'éducation, la recherche, les administrations et les citoyens. L'Afdel souhaite ensuite la création d'un système de financement spécifique pour les PME et les start-up du logiciel, qui pourrait être soutenu par les investisseurs institutionnels que sont le FSI (Fonds stratégique d'investissement) et CDC Entreprises. L'association suggère aussi de créer, en partenariat avec Oseo, un « fond de garantie pour permettre aux PME du logiciel d'accéder à la commande des grands donneurs d'ordre ». Une autre de ses propositions, déjà évoquée à plusieurs reprises par différentes associations, concerne le soutien à l'usage des TIC en TPE et PME. Moderniser les SI des collectivités locales avec des logiciels standards La modernisation des systèmes d'information des administrations figure également parmi les priorités suggérées, avec trois angles d'attaque : l'archivage et l'identification électronique « en adaptant le contexte réglementaire qui en freine le développement », l'importance des technologies de sécurité telles la cryptographie dans le déploiement de l'e-administration, et l'utilisation de logiciels standardisés (de préférence aux solutions spécifiques) dans la modernisation des SI des collectivités locales. Les métiers du logiciel requièrent des compétences pluridisciplinaires qui nécessitent la mise en place de formations prenant mieux en compte les différentes phases de la mise sur le marché d'un logiciel qui va bien au-delà du développement de lignes de code. L'Afdel aimerait voir se constituer des projets s'apparentant à des Universités du logiciel (formations de type Mastère). Enfin, l'Afdel propose, sur le modèle de l'appel à projet « Serious Game », un appel à projets dans le domaine des « Green Software », c'est-à-dire des logiciels utilisés pour soutenir les objectifs de développement durable des industriels, dans les processus d'éco-responsabilité et dans la gestion de l'énergie (smart grid, réseau de distribution de l'électricité 'intelligent'). (...)
(13/10/2009 16:13:39)Pourquoi faut-il synchroniser les sorties des logiciels libres : interview du père d'Ubuntu
Lors de son discours à l'Open World Forum, Mark Shuttleworth, fondateur de Canonical, qui édite Ubuntu, l'une des distributions Linux les plus populaires, avait prôné une sortie synchronisée des logiciels libres, tous les deux ans, de façon à simplifier les tests d'intégration et à assurer les utilisateurs des plateformes stables, avec un support à long terme. Suite à ce discours unique dans le monde du Libre, nous avons pu passer quelques minutes avec cet ancien développeur Debian devenu millionnaire (avec la vente de Thawte à Verisign, en 1999), afin de préciser comment il espère aboutir à cette coordination des développements. L'interview est à lire et à commenter sur le blog Ingénierie logicielle. (...)
(13/10/2009 15:26:56)La SNIA travaille sur l'interopérabilité du stockage en cloud
La Storage Networking Industry Association (SNIA) annonce la création de la Cloud Storage Initiative (CSI). Ce groupe va en particulier travailler sur la spécification d'une API (Application programming interface), la Cloud Data Management Interface (CDMI). La SNIA en propose déjà une description sommaire sur son site. Il s'agit d'une interface fonctionnelle que les applications utiliseront pour créer, récupérer, mettre à jour et supprimer des données dans un cloud. Un module client sera chargé d'identifier les capacités du stockage dans le cloud et d'utiliser l'interface pour gérer des containers ainsi que les informations que ceux-ci hébergent. Les outils d'administration pourront utiliser cette interface pour gérer ces mêmes containers, les comptes utilisateurs associés, la sécurité d'accès ainsi que les informations de contrôle et de facturation, même pour du stockage accessible via d'autres protocoles. Pour CDMI, la CSI s'appuiera sur les développements techniques réalisés par le groupe de travail Cloud storage de la SNIA qui compte plus de 140 membres. Elle les aidera à porter les spécifications et développements techniques devant les organismes internationaux de standardisation. Elle va par exemple publier un livre blanc conjoint avec l'Open Grid Forum (OGF) focalisé sur le stockage dans le cloud. Des informations sur le stockage en cloud public ou privé "Une partie du défi du cloud se situe dans la localisation des données, dans la façon dont elles seront gérées une fois dans le cloud et dans la façon de les récupérer dans le format dans lequel on souhaite les récupérer," explique Mark Carlson, membre du conseil technique de la SNIA. Selon lui, la CSI va se concentrer sur la diffusion d'information sur la technologie destinée à la conception de services publics de cloud comme le S3 d'Amazon, et des architectures privées de cloud au sein de datacenters. Le rôle de la CSI consistera plus globalement à documenter le principe du stockage dans un environnement de cloud computing. Elle va ainsi rédiger un lexique de la terminologie du cloud, publier des cas pratiques, des livres blancs et des spécifications techniques et définir des modèles d'implémentation de référence pour des architectures de grilles de stockage. La CSI coordonnera et publiera aussi du matériel éducatif pour les fournisseurs de stockage en cloud et de communautés utilisatrices. (...)
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