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(01/10/2009 17:18:37)

Open World Forum : Jacques Attali appelle à la numérisation de l'Etat

Invité d'honneur de l'édition 2009 de l'Open World Forum, Jacques Attali, présenté comme un "prospectiviste", a discouru quelques minutes au matin de la première journée pour égrener quelques-uns de ses thèmes de prédilection. Il est ainsi revenu sur les propositions que la Commission de libération de la croissance française, qu'il présidait, avait formulées en matière de nouvelles technologies. Notamment, il a regretté que l'Etat n'ait pas entrepris sa réforme et cherché à numériser ses échanges - "hormis pour le paiement des impôts...", a-t-il ajouté. Jacques Attali a également coiffé sa casquette de patron de Planet Finance, ONG de microcrédit, pour expliquer - comme Michel Rocard l'avait fait il y a quelques jours - que le Grand Emprunt ne pourra être grand, et qu'il devra être consacré à des projets susceptibles de créer les conditions de son remboursement. Pour Jacques Attali, qui préconisait de réserver 20% des commandes publiques aux logiciels Open Source, ces derniers devraient bénéficier de l'emprunt. L'ancien conseiller de François Mitterrand a terminé son allocution par une petite pique, qui lui a sans doute aliéné une grande partie de l'auditoire : "Je suis toujours très méfiant quand je vois employé le mot libre, [...] un logiciel libre, cela correspond à une mystification. On peut dire logiciel ouvert, gratuit, libre de droit... Soyez gentils de ne pas utiliser à tort et à travers le mot, ce sont les gens qui sont libres, pas les choses." De façon plus constructive, Jacques Attali a aussi mis le doigt sur la nécessité d'améliorer la gouvernance et la transparence des projets et des entreprises autour du Libre. "Des gens gagnent leur vie avec, et c'est tout à fait normal, respectable". Mais, a-t-il souligné, il faut que cela ne soit pas bâti ou perçu comme une exploitation indue du travail fourni de façon bénévole par des milliers de contributeurs, car cela pervertirait le modèle. Ou plutôt, pour résumer en reprenant la grandiloquence de Jacques Attali, cela irait à l'encontre des fondements de la démocratie. (...)

(01/10/2009 17:09:05)

Open World Forum : la communauté Open Source se voit comme acteur de la relance numérique

Est-il encore nécessaire de convaincre les décideurs informatiques que l'Open Source s'est largement diffusé et représente une alternative à la fois fiable et économique ? Les organisateurs de la deuxième édition de l'Open World Forum (OWF) s'y sont en tout cas encore employé aujourd'hui, jeudi 1er octobre, en y ajoutant une dimension économico-sociétale : la façon dont les logiciels libres peuvent contribuer à la relance numérique. Jean-Noël de Galzain, patron de Wallix et président de cet OWF 2009, définit ainsi ces deux jours de rencontre, à vocation internationale, comme "le Davos des logiciels libres et de l'innovation ouverte". La séance d'introduction, qui a réuni environ 300 personnes dans l'auditorium du complexe Eurosites à deux pas des Champs-Elysées, a vu défiler sur scène des figures très diverses : représentants de Paris et de la région Ile de France, analyste britannique, consultant américain, patrons d'industrie, représentants des pôles de compétitivité... Les visiteurs les plus sceptiques auront ainsi pu avoir une synthèse de l'évolution du marché de l'Open Source et de ses perspectives d'avenir. Logiciels libres, composantes reconnues de l'informatique d'entreprise Premier constat : les logiciels Open Source sont partout. Plus tard dans la journée, Sylvie Chauvin, présidente du cabinet d'études Markess International, a présenté à des DSI les résultats d'une enquête auprès de 160 interlocuteurs (moitié entreprises du secteur privé, moitié organisations du secteur public). Il en ressort que 92% déclarent utiliser déjà de l'Open Source, et 4% supplémentaires prévoient de le faire d'ici à 2011. "Les logiciels libres et Open Source sont devenus des composantes reconnues de l'informatique d'entreprise", a indiqué sur scène Matthew Aslett, analyste de 451 Group. Néanmoins, la bataille n'est pas gagnée pour autant, a-t-il ajouté. Il reste beaucoup de domaines où il faut rester vigilant et encourager une attitude volontariste, favorisant l'ouverture : les politiques publiques, l'interopérabilité des données dans le cloud, les brevets logiciels... De même, le consultant Andrew Aitken, d'Olliance Group, a mis en garde les représentants des communautés Open Source contre les risques de fragmentation, quand chacun - organisme public, éditeur classique, association, etc. - établit sa propre forge. Cette multiplication des sources complique non seulement le travail des gens souhaitant utiliser du code Open Source, mais risque aussi de décourager les plus méritants de contribuer. Le Libre reste le meilleur moyen de lancer une entreprise dans le logiciel [[page]] Quoi qu'il en soit, à écouter les intervenants, le Libre reste le meilleur moyen de lancer une entreprise dans le logiciel - à condition de bien démontrer la valeur apportée au métier par le fait d'être Open Source, "comme BonitaSoft a su le faire", a commenté Andrew Aitken - et de réaliser des économies, ou du moins d'optimiser son budget. Michael Timan, vice-président de Red Hat et président de l'OSI (Open Source Initiative), a enfourché ce cheval, rappelant qu'une étude a démontré que les logiciels Open Source comptent en moyenne moins d'un défaut pour 1 000 lignes de code, contre 20 à 30 défauts dans les logiciels propriétaires. Pour lui, le mode de création du logiciel Open Source permettrait, s'il était étendu, de réduire la gabegie des dépenses informatiques. "Sur 3 400 Md$ de dépenses annuelles dans les NTIC, 1 000 Md$ sont gâchés à cause d'une mauvaise qualité". Témoignant dans la session Open CIO Summit, qui a réuni toute la journée des DSI pour des ateliers de réflexion sur les avantages et les risques liés à l'Open Source, Justin Ziegler, DSI de PriceMinister, a fait écho à ces propos. Il a raconté comment il a choisi le serveur d'applications Open Source JBoss, "belle alternative à WebLogic qui coûtait les yeux de la tête", ou mis en oeuvre des fonctions avancées ou des modules d'extension d'Apache (comme le cache de données ou la compression des pages Web) afin "d'éviter l'achat de serveurs spécialisés très coûteux". (...)

(01/10/2009 16:16:11)

SAP et Salesforce.com montrent des applications exploitant Google Wave

La plateforme de collaboration Wave, de Google, suscite aussi l'intérêt d'éditeurs d'applications professionnelles tels SAP et Salesforce.com. Tous deux viennent en effet de montrer des prototypes d'applications qui exploitent cet environnement combinant des fonctions de partage de documents et de messagerie instantanée pour communiquer en temps réel. Comme prévu, Wave a été livré hier, mercredi 30 septembre, à quelque 100 000 utilisateurs. Jusque-là, seuls les développeurs pouvaient y accéder. SAP Research, l'entité de recherche de l'éditeur allemand d'ERP, a ainsi créé avec l'équipe de développement de SAP NetWeaver une application, baptisée Gravity. Alexander Dreiling, directeur de programme au sein de SAP Research, a publié une vidéo en ligne pour en illustrer le fonctionnement. Gravity permet de développer des modèles de processus dans le cadre d'une fusion entre deux entreprises (dans l'exemple choisi, une compagnie d'assurance et une banque). Les modèles sont ensuite exportés dans la solution de gestion des processus métier (BPM) de SAP pour y être peaufinés. De son côté, Salesforce.com a conçu une extension à son offre qui se sert de Wave pour le service client. Là aussi, c'est une vidéo qui détaille l'information sur le blog des développeurs de l'éditeur californien, spécialisé dans les outils de CRM en ligne. On y voit de quelle façon un client qui contacte un service de support va utiliser Wave pour engager un dialogue avec un robot. Dans la foulée, l'application ouvre un dossier d'incident dans Salesforce. Si le robot ne peut pas répondre à la question du client, ce dernier pourra demander à entrer en contact avec un agent qui rejoindra la « conversation ». Wave n'est pas encore prêt pour l'épreuve du feu Sur le blog de l'équipe de développement de Wave, Stéphanie Hannon, responsable produit, révèle que Google réfléchit déjà à une extension de la plateforme permettant de vendre ces applications en ligne. L'analyste Stephen O'Grady, du cabinet RedMonk, reconnaît que la technologie Wave est plutôt intéressante, même si, en l'état actuel des choses, il considère qu'elle ne répond pas véritablement aux besoins des entreprises. « Sa prise en main doit être améliorée, tant pour les éditeurs indépendants que pour les entreprises », juge-t-il en ajoutant qu'il s'agit encore d'une technologie peu abordable pour des utilisateurs peu techniques. « Google devrait travailler avec des partenaires pour en extraire les éléments inutilement complexes et exposer uniquement les fonctionnalités métiers nécessaires ». Google a admis, dans un blog interne, que Wave en était toujours au stade du développement et n'était pas encore prêt pour l'épreuve du feu. Certaines fonctionnalités doivent encore être ajoutées. (...)

(01/10/2009 16:15:52)

Nvidia présente sa nouvelle architecture de processeur Fermi portée vers le HPC

Changement de stratégie oblige, quand Nvidia annonce une nouvelle carte, il met désormais davantage l'accent sur sa puissance de calcul que sur ses performances graphiques. A l'occasion de sa conférence GPU Technology Conference, à San Francisco en Californie, le constructeur a ainsi présenté son nouveau GT300 et son architecture Fermi, non pas comme un simple GPU mais comme un processeur adapté au HPC (High performance computing, calcul haute performance). Le GT300, conçu avec un procédé en 40 nm, n'héberge pas moins de 3 milliards de transistors. C'est près de 40% de transistors en plus que le RV870 des cartes de DirectX 11 de la série Radeon HD 5800 qu'AMD vient juste d'annoncer. La carte accueille 512 coeurs Cuda (Compute unified device architecture) organisés en 16 groupes de 32. C'est plus du double du contenu des cartes GT200. Nvidia annonce des performances en virgule flottante pour son nouveau produit huit fois plus importantes que pour ces anciens GT200. L'architecture Fermi organise ses 16 cartes processeurs de 32 coeurs Cuda autour d'un cache de niveau 2 de 768k qu'elles partagent. Un meta-scheduler -le GigaThread- distribue des groupes de threads (instructions élémentaires) au scheduler de chacun des 32 processeurs. Ces « dual-warp schedulers » sont en réalité capables de distribuer deux vagues de 32 threads par cycle d'horloge. Les 512 coeurs Cuda de Fermi utilisent par ailleurs un calcul en virgule flottante plus performant que l'architecture des précédentes architectures de Nvidia. Ils sont en particulier capables d'exécuter des calculs arithmétiques en double précision, une technique essentielle, par exemple, pour le calcul haute performance des applications de simulation. (...)

(01/10/2009 12:43:12)

L'Icann prend ses distances avec le gouvernement américain

L'Icann, l'autorité de régulation d'Internet, a annoncé hier 30 septembre qu'elle avait trouvé un nouvel accord avec le ministère américain du commerce. Le réexamen de l'engagement qui les liait depuis onze ans donne davantage d'indépendance à l'Icann et permet à d'autres pays d'exercer aussi une surveillance sur l'organisation. Depuis un certain temps, de nombreux pays souhaitaient voir se desserrer l'emprise du gouvernement américain sur l'Icann. En mai dernier, la Commissaire européenne Viviane Reding avait notamment exprimé le souhait que l'organisation devienne totalement privée et soit surveillée par un G-12 pour la gouvernance d'Internet. L'engagement signé hier prévoit que l'activité de l'autorité de régulation d'Internet soit contrôlée tous les trois ans conjointement par des membres des comités de conseil de l'organisation, par des experts indépendants et par le Ministère américain du commerce (Department of Commerce). Ce dernier continuera à s'impliquer dans le comité gouvernemental de conseil (GAC) de l'Icann bien que le nouvel accord reconnaisse à l'autorité son statut d'organisation de droit privé. Les autorités américaines disposent « d'un siège » dans le cadre de ce contrôle, a indiqué le patron de l'Icann, Rod Beckstrom, l'Américain qui a pris la succession de l'Australien Paul Twomey en juin dernier. L'ensemble des vérifications effectuées sera publiquement soumis aux commentaires de la communauté internationale et il n'y aura pas de rapport livré de façon séparée au gouvernement américain, a-t-il insisté : « tout sera publiquement communiqué, voilà où réside le réel changement ». (...)

(01/10/2009 11:08:40)

Christine Lagarde renouvelle sa confiance au PDG de France Télécom

Christine Lagarde, ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi, a reçu ce matin, jeudi 1er octobre, Didier Lombard, PDG de France Télécom. Dans un communiqué, elle annonce lui renouveler sa confiance, répondant ainsi implicitement aux députés de gauche qui réclamaient, en début de semaine, son départ. Le ministère précise par ailleurs que l'entreprise va procéder à des renforcements de son « plan d'action lancé après les événements intervenus ces derniers jours ». « Une cellule d'accueil téléphonique et une équipe renforcée de psychologues » seront présents pour les salariés et leurs proches. Le « processus des Assises de la refondation de France Télécom » sera lancé dès aujourd'hui et sera « collectif, ouvert et transparent [...] en étroite concertation avec les organisations syndicales et les instances représentatives du personnel. » Enfin, « un dispositif de soutien psychologique et matériel complet sera à la disposition des familles touchées par les drames de ces derniers mois. » (...)

(01/10/2009 10:08:01)

E-Commerce Awards 2009 : le scan de code barres sur mobile récompensé

Le service Internet CodeOnLine.fr qui regroupe une base de données accessible après avoir scanné depuis son téléphone portable le code à barres d'un produit a reçu le prix de la catégorie"Mobile" lors du salon du E-commerce à Paris. A l'origine du système, la société GS1 a proposé cette technologie dans les magasins Franprix à l'occasion de la Foire aux vins de rentrée.

Jusqu'au 20 septembre dernier, un client pouvait ainsi accéder à toutes les informations pratiques du vin scanné. Seule obligation pour bénéficier du système : disposer d'un accès Internet. Très intéressant, ce système pourrait être étendu à beaucoup d'autres produits, alimentaires comme ici, ou bien des appareils électroniques pour connaitre toutes les caractéristiques techniques.
Huit autres récompenses ont été remises cet après-midi au salon du E-commerce de Paris. Le prix dans la catégorie "international" est revenu au moteur de comparaison de prix Twenga.fr. La suite logicielle pour les entreprises Feedback 2.0 a quant à elle reçu le Grand Prix du jury.
Voici la liste des lauréats de ces deuxièmes E-Commerce Awards :

CATEGORIE LAUREAT
Confiance en ligne Absolu Telecom
Digital Marketing BeezUp
Innovations Workit
International Twenga
Logistique Top Chrono
Mobile GS1
Nouveaux services Proxi-Business
Relation client Feedback 2.0
Technologies Squid Solutions
(...)

(01/10/2009 09:24:49)

Cisco achète le spécialiste de la vidéoconférence Tandberg

L'équipementier télécoms Cisco a annoncé son intention d'acquérir le spécialiste norvégien de la vidéo-conférence Tandberg pour 3 Mds de dollars. Le géant américain dispose déjà d'une offre très haut de gamme de téléprésence qui nécessite des installations de salles spécifiques. Avec ce rachat, il récupère des produits plus adaptés à des entreprises de taille moyenne en taille et en prix. (...)

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