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(06/03/2009 14:31:40)
La table tactile Surface de Microsoft débarque en France
Surface, la table tactile de Microsoft, sera lancée prochainement sur le marché français. C'est à l'occasion du Cebit de Hanovre que l'éditeur a annoncé la commercialisation de son appareil dans douze pays supplémentaires. En plus de l'Hexagone, Surface sera proposé en Autriche, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Espagne, Suède, Royaume-Uni ainsi qu'au Qatar et aux Emirats arabes unis.
Lancé en 2007 aux Etats-Unis, Surface se présente sous la forme d'une table basse équipée d'un écran de 30 pouces. Celui-ci est doté de capteurs thermiques permettant aux utilisateurs d'interagir via une interface tactile et multipoint. Il est ainsi possible, en posant les mains sur la dalle, de déplacer ou de redimensionner des images. L'appareil est également en mesure d'identifier des objets simplement posés sur sa surface et d'établir une communication. AT&T, par exemple, l'une des entreprises qui ont d'ores et déjà commandé des exemplaires de Surface, les a configurés pour qu'ils reconnaissent les téléphones mobiles des abonnés et affichent des informations afférentes. D'autres entreprises utilisent Surface dans le cadre des services offerts aux clients d'agences bancaires ou d'hôtels.
Selon Microsoft, 120 partenaires répartis dans onze pays développent des applications censées profiter de l'interface de Surface. L'appareil, livré avec cinq kits de développement sera proposé à 13 000 €. Il faudra débourser 11 000 € pour une simple utilisation commerciale. (...)
Fibre Channel remis en cause dans le stockage d'environnements virtualisés
Forrester Research a demandé à une centaine d'entreprises, dont 84% comptent plus de mille salariés, quels fournisseurs elles sollicitaient pour s'équiper et quelle technologie de stockage elles utilisaient dans le cadre de leurs projets de virtualisation. Sans surprise, les grands arrivent en tête de liste. Derrière EMC, on trouve IBM, NetApp, HP et HDS (Hitachi Data Systems). Forrester constate même que l'adoption de systèmes de stockage pour la virtualisation n'a aucun impact sur leur classement qui demeure identique à celui établi pour les systèmes de stockage en environnements physiques. Dans un contexte technique complexe, 63% des entreprises interrogées ont choisi de n'avoir qu'un seul fournisseur pour leur environnement virtualisé. Et, de préférence, le même que celui qu'ils utilisent pour leur environnement physique. Les avantages technologiques de fournisseurs de systèmes de stockage spécialistes de la virtualisation, tels que le 'thin provisioning' et la déduplication, n'ont donc pas eu d'effet sur les parts de marché. Forrester suggère que cela puisse évoluer. Ce conservatisme se retrouve au niveau des choix architecturaux. En ce qui concerne les entreprises interrogées par Forrester, une écrasante majorité (89%) indique que leur SAN (Storage Area Netwok) existait préalablement à la mise en place de la virtualisation et que celle-ci n'a pas été la raison principale de mise en place du système. Fibre Channel très utilisé, mais remis en cause En revanche, si le Fibre Channel (FC) est le protocole de stockage le plus utilisé (62% des entreprises), il est aussi le plus remis en cause. Dans le parc installé, on trouve ensuite l'iSCSI (21%) et NFS (16%). Quel que soit le protocole qu'ils favorisent dans leur stratégie, chez tous les fournisseurs, c'est l'offre FC qui apparaît la plus utilisée. A cela, Forrester donne une explication avant tout historique : il a fallu attendre la version 3.0 d'ESX Server de VMware (en 2006) pour que cette plateforme, qui représente plus de 80% de la base installée analysée, supporte iSCSI et NFS. Si l'on ajoute à cela le conservatisme prudent des entreprises en matière de stockage, on comprend mieux la prédominance de FC. Mais 34% des adeptes de cette technologie envisagent d'en changer. On ne trouve que 27% des utilisateurs d'iSCSI et 28% de NFS à exprimer cette velléité. Forrester pousse à la roue sur l'intérêt de ces deux protocoles sur réseau Ethernet en raison de leurs coûts nettement moindres que le FC. (...)
(06/03/2009 11:00:04)Satyam à vendre, IBM serait sur les rangs d'après la presse indienne
IBM pourrait racheter Satyam, 4e SSII indienne, qui cherche une issue depuis que le ciel lui est tombé sur la tête en décembre dernier. Le nom du géant américain circulait déjà dans la presse indienne, aux côtés de Cognizant et Capgemini, comme des repreneurs potentiels, quand les ennuis financiers et juridiques de Satyam ont débuté. La SSII a fini par passer sous le contrôle du gouvernement indien, via un conseil d'administration renouvelé. Ce dernier avait obtenu en février l'autorisation des autorités de régulation de vendre au minimum 26% des actions, afin d'attirer un acheteur susceptible de renflouer l'entreprise. Cette fois, Satyam a reçu le feu vert pour vendre 51% des parts. Une enchère pour 31% des parts, puis une offre d'achat sur 20% du capital La transaction devrait se faire en deux phases. D'abord, le meilleur enchérisseur prendra 31% de la SSII au travers d'une augmentation de capital. Dans une seconde phase, il devra soumettre aux actionnaires une offre d'achat pour 20% des parts, au même prix que celui fixé pour la première phase. Satyam attend des enchérisseurs qu'ils disposent d'un actif net d'au minimum 150 M$. Le groupe n'a pas dévoilé les conditions exactes des enchères, mais il précise déjà que les enchérisseurs n'auront pas accès à toutes les informations, concernant les comptes ou les clients. D'après le journal indien « Business Standard », qui cite des sources proches du dossier, IBM serait néanmoins en train de se préparer activement pour les enchères. Le journal explique que les forces combinées d'IBM et de Satyam en Inde s'élèveraient à plus de 125 000 personnes, soit davantage que le numéro un indien actuel, Tata Consultancy Services. (...)
(05/03/2009 18:16:26)Cebit 2009 : SAP maintient le cap sur Business ByDesign
SAP a annoncé plusieurs évolutions sur ses ERP (progiciels de gestion intégrés) pour PME, à l'occasion du Cebit (3-8 mars, Hanovre). Les PME représentent aujourd'hui 78% de l'ensemble des clients de SAP dans le monde, a souligné à l'occasion d'un entretien le président de l'activité PME de l'éditeur, Hans-Peter Klaey : « Nous avons une expérience étendue des besoins de ce marché », a-t-il réaffirmé en rappelant que l'offre se décline en trois ERP (Business One, Business All-in-One et Business ByDesign) pour apporter des réponses adaptées en fonction de la taille de l'entreprise, de son organisation et de la nature de son activité. De fait, sur le vaste stand SAP du salon allemand, le nom des trois produits se faisait discret, au profit des solutions élaborées par les partenaires sur ces logiciels, présentées par fonctions génériques (gestion des ressources humaines par exemple) ou par processus métiers. Une version 2.0 en préparation pour Business ByDesign Interrogé sur l'offre la plus récente, Business ByDesign, application de gestion complète hébergée sur le datacenter de SAP, Hans-Peter Klaey confirme que le déploiement de la solution est pour l'instant toujours limité à six pays : l'Allemagne, la France, le Royaume-Uni, les Etats-Unis, la Chine et, désormais, l'Inde. Mais il insiste aussi sur l'importance de cette offre pour SAP. L'an dernier, l'éditeur allemand en avait repoussé la disponibilité générale de dix-huit mois. Il maintient son cap, tout en continuant à faire évoluer l'application, en étroite interaction avec les clients qui l'utilisent déjà. A l'automne dernier, une version 1.2 a amélioré les échanges avec MS Excel et ajouté des flux RSS internes. La version 2.0 est en préparation. C'est un souci de perfection qui guide SAP dans sa volonté de ne pas aller trop vite dans la livraison globale de Business ByDesign, affirme Hans-Peter Klaey. Il admet aussi la détermination de l'éditeur à trouver un modèle opérationnel véritablement profitable pour cette application fournie en mode SaaS (software as a service). Critère primordial s'il en est. Des fonctions décisionnelles préconfigurées pour All-in-One Sur le Cebit, SAP a par ailleurs annoncé qu'il allait intégrer dans Business All-in-One des fonctions décisionnelles préconfigurées issues de l'offre Business Objects. Elles permettront d'effectuer des requêtes ad hoc et s'accompagneront de rapports préparamétrés et de tableaux de bord. Ces outils seront disponibles courant 2009, dans un premier temps en Allemagne, aux Etats-Unis et au Brésil. Les autres pays seront livrés plus tard. Des outils de migration des données et un ensemble de bonnes pratiques seront par ailleurs proposés aux partenaires pour accompagner les projets. Toujours sur All-in-One, SAP a perfectionné son configurateur de produit accessible sur le Web (programme Fast Start). Cet outil permet à une PME d'évaluer elle-même la solution correspondant à ses besoins, par processus fonctionnels, afin d'obtenir instantanément une estimation de coût par utilisateur et par mois, le configurateur tenant compte des possibilités de financement. Les fonctions de CRM (gestion de la relation client) sont maintenant prises en compte, ainsi que les offres partenaires. Enfin, concernant le produit Business One, SAP a annoncé une optimisation de la solution avec les serveurs basés sur le processeur Intel Xeon. L'éditeur va encourager ses partenaires OEM à constituer des packages sur cette base. Le premier d'entre eux sera destiné aux entreprises de services et livré par Wortmann et Maringo Computers sur le marché allemand. (...)
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