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(05/03/2009 18:01:13)
Les ventes de serveurs en chute de 20,6% en Europe selon Gartner
Gartner Group publie à son tour ses estimations sur le marché des serveurs au dernier trimestre 2008. Comme chez IDC, les chiffres sont en berne, mais de façon plus marquée : chute de 15,1 % des ventes à 13,1 Md$ (-14% pour IDC) sur fond de baisse des volumes à 11,7% (IDC voyait une légère hausse de 2%). Et c'est la zone Europe qui marque le plus le pas avec un CA qui baisse de 20,6%, alors que les Etats-Unis n'enregistrent que -14,6%. Pour le Gartner, tous les segments de marché régressent à l'exception des modèles au format lame. C'est sur la perception du marché Unix que le Gartner diffère le plus d'IDC. Alors que ce dernier constatait une baisse de 6,2% à 4,9 Md$, le Gartner annonce une baisse deux fois plus importante à -13,7% (-10,5% en volume). 2009 devrait suivre la mauvaise pente de la fin 2008 Sur le marché des serveurs x64, le CA a baissé de 18,1% à 6,65 Md$ et les livraisons de 11,4% à 2,04 millions d'unités. Le retournement du marché a été encore plus brutal pour les fournisseurs qui ne figurent pas parmi les cinq premiers. Pour eux, la baisse du CA atteint 28,4% à 1,27 Md$ et celle des livraisons à -19,3% à 541 904 unités. Parmi les cinq premiers, IBM se fait remarquer avec une chute de plus de 30% de son CA à 1,05 Md$ et des livraisons en recul de 23,4% à 256 234 unités. A l'inverse, les ventes de serveurs x64 d'HP n'ont baissé que de 1,3% à 672 620 unités mais le CA marque une baisse plus nette : -10,1% à 2,49 Md$. Chez Dell, la baisse de 11,2% du CA à 1,4 Md$ accompagne celle de 7,1% des livraisons à 464 072 unités. Sur le marché pris dans son ensemble, IBM reste premier, mais son CA diminue de 17,4% à 4,38 Md$. Derrière lui, HP, dont les ventes se réduisent de 10% a généré un CA de 3,94 Md$. La différence de comportement des deux plus gros fournisseurs s'explique en grande partie par leurs performances sur le marché des serveurs x64. Plus préoccupant, Gartner voit 2009 dans la continuité de ce quatrième trimestre 2008. Du coup, il prédit une vague de concentration dans les rangs des fournisseurs. (...)
(05/03/2009 17:04:07)Seven n'oubliera pas les entreprises
Windows 7, qui se devrait arriver début 2010, sera doté de fonctions pour répondre à des problèmes professionnels tels la gestion de parc, la mobilité et la sécurité. Microsoft semble avoir pris la mesure de l'échec de Windows Vista auprès des entreprises, les seules à avoir la liberté de choisir entre une migration vers ce système et un statu quo avec Windows XP. Les dernières estimations portent sur un taux d'adoption de moins de 10%, 87% des entreprises préférant rester avec Windows XP. Contrairement à Vista, dont la conception était axée sur la perception qu'avait Microsoft des attentes du grand public, Windows 7 fait l'objet de soins particuliers - au moins du point de vue de la communication - pour le rendre attrayant auprès des professionnels. Il est ainsi question d'une version 2.0 de Windows PowerShell avec des extensions spécifiques pour faciliter le déploiement d'un parc, son administration et la prise en compte en son sein d'ordinateurs mobiles. Ces derniers devraient bénéficier du cryptage des données et de sécurisation. (...)
(05/03/2009 16:33:58)Cadremploi et Keljob s'installent dans Facebook
Les réseaux sociaux seraient t-ils devenus le nouveau terrain de chasse des recruteurs ? Il semblerait que oui, à en juger par la présence de plus en plus marquée
La mairie de Paris détaille la conférence «participative» sur les ondes électromagnétiques
En début de semaine, la Ville de Paris a annoncé la tenue d'une conférence sur les ondes électromagnétiques. En mode démocratie participative, la méthode proposée par la Ville de Paris a de quoi surprendre. La capitale va demander à un institut de sondage de sélectionner vingt parisiens qu'elle formera aux tenants et aboutissants de cette question. Ce panel consultera ensuite les experts de son choix avant de rédiger un ensemble de recommandations. Hamou Boaccaz, adjoint au maire de Paris, chargé de la démocratie locale et de la vie associative, a donné au MondeInformatique.fr quelques détails sur cette conférence qui se tiendra de mars à juin.
Pour commencer, l'adjoint au maire confirme que la démarche s'intéressera à la question des ondes électromagnétiques émises par la téléphonie mobile et ses antennes controversées
, mais aussi par le WiFi. L'Internet sans fil, installé par la mairie dans les bibliothèques parisiennes, a en effet donné lieu à de vifs échanges entre la municipalité et les bibliothécaires à propos de son possible impact sur la santé de ces derniers. Les bornes ont été désactivées durant près d'une année avant de reprendre du service en novembre 2008.
Une question technique, complexe et anxiogène
« Il faut être intraitable sur le principe de précaution quand c'est nécessaire mais il faut que Paris reste une ville à la pointe, insiste Hamou Boaccaz. Il nous a semblé que la technicité, la complexité du sujet, son caractère anxiogène, la difficulté de maîtriser les assertions de gens qui ne détiennent qu'une partie de cet univers complexe, nécessitaient un investissement dans la formation des citoyens. Nous allons donc effectivement investir dans des moyens pour former ces vingt parisiens et leur permettre ainsi de se faire une opinion avec une certaine impartialité et une distance par rapport au bruit qui existe sur ces problèmes complexes. »
Le contenu de la formation reste à définir. « Il appartient au comité d'organisation d'en donner le contour en fonction des experts mobilisables, confirme l'adjoint au maire de Paris, anticipant les critiques vis-à-vis d'une formation potentiellement partiale sur un thème aussi polémique. Mais il est évident qu'elle devra recouvrir l'ensemble du sujet : technique, santé, modification du vivre en ville, etc. Rien ne doit leur échapper. L'idée, c'est d'englober toute la problématique liée à une évolution technologique qui fera que les Parisiens seront de plus en plus entourés par ces environnements qui amélioreront leur vie mais généreront de nouvelles habitudes, voire des perturbations. Il faut les aider à mesurer le risque pris. »
Interrogé sur des interactions éventuelles avec le Grenelle des antennes, planifié par la secrétaire d'Etat au Développement de l'économie numérique Nathalie Kosciusko-Morizet pour fin mars, il répond que la démarche de Paris reste centrée sur la ville et le local. (...)
Des voix dissonantes se font entendre à propos d'Hadopi sur les bancs de la majorité
L'adoption par l'Assemblée nationale du projet de loi favorisant la diffusion et la protection de la création sur Internet - dit Création et Internet, ou encore Hadopi - pourrait être plus compliquée que ne l'envisageait jusqu'alors le gouvernement. Le texte, qui prévoit de mette en place une haute autorité - l'Hadopi - chargée de réprimer le téléchargement illégal en suspendant l'accès à Internet des récalcitrants après les avoir avertis deux fois, semble faire grincer des dents au-delà des bancs de l'opposition. Plusieurs députés de la majorité font ainsi entendre leur voix, qui dissone avec la ligne officielle de l'UMP. Trois parlementaires issus du parti présidentiel - Lionel Tardy, Alain Suguenot et Marc Le Fur - ont ainsi déposé une batterie d'amendements que ne goûtera certainement guère Christine Albanel, la ministre de la Culture. Trois frondeurs à l'UMP Le plus gros pavé dans la mare est sans nul doute constitué par les amendements 121 et 122. Le premier tente d'amoindrir les pouvoirs de l'Hadopi en lui retirant la possibilité de prononcer des suspensions d'abonnement. Comme les parlementaires européens l'avaient fait l'an passé en adoptant le désormais célèbre amendement 138, les trois députés UMP estiment que la suspension de l'abonnement, en tant que sanction, ne saurait être décidée que par l'autorité judiciaire. L'amendement 122 suggère, quant à lui, de ne pas condamner les internautes à une suspension d'abonnement mais à une simple amende. Les élus considèrent que l'accès à Internet « doit être un service public universel » et qu'en priver les citoyens serait une hérésie au regard, par exemple, du nombre croissant de services public dématérialisés. En outre, les députés rappellent que « la coupure de l'accès Internet pose des difficultés techniques insurmontables ». Un dernier argument qui séduira les fournisseurs d'accès, qui ont souvent souligné les problèmes que leur poserait l'application de la loi telle que l'imagine le gouvernement. Mobilisation générale à droite [[page]]Pour ne pas rassurer les FAI, nos confrères des Echos révèlent que, selon un rapport du CGTI (Conseil général des technologies de l'information, dépendant du ministère de l'Economie), la mise en place des instruments permettant la riposte graduée coûterait quelque 70 M$ sur trois ans aux fournisseurs d'accès. Afin que les éléments soulevés contre le projet de loi ne sèment pas de doutes dans ses rangs, le groupe majoritaire à l'Assemblée mobilise ses troupes. Hier, Jean-François Copé réunissait ainsi autour de ses collègues parlementaires un aréopage d'artistes et d'industriels de la culture venus promouvoir la nécessité de sanctionner les fraudeurs. La veille, Christine Albanel faisait acte de prosélytisme auprès des élus du Nouveau Centre. Si les Sénateurs ont voté le projet de loi comme un seul homme, son adoption à l'Assemblée devrait donc être plus délicate. Gageons néanmoins qu'en dépit de débats qui s'avèreront certainement agités, d'amendements-surprises et de discours passionnés, les députés finiront par voter un texte proche de celui rédigé par le gouvernement. On se souvient que l'audace du Palais Bourbon lors des travaux sur la Dadvsi - les députés avaient adopté le principe d'une licence globale à la faveur d'un débat nocturne - avait fait long feu. La discussion sur le projet de loi favorisant la diffusion et la protection de la création sur Internet débutera le 10 mars. (...)
(05/03/2009 12:02:26)Open Source Think Tank 2009 : ne pas passer à l'Open Source en commençant par l'ERP
Toujours au coeur de l'Open source think tank qui se tient en Californie, le président du directoire de Nuxeo, Eric Barroca raconte cette fois une discussion animée autour de l'expérience concrète d'une entreprise fictive. Peut-on décider de passer du propriétaire à l'Open Source en commençant par migrer son ERP ? La réponse est clairement « non », même pour de fervents adeptes du libre... A lire sur notre blog Experts. (...)
(05/03/2009 11:40:31)Le stockage au coeur des problèmes de la virtualisation, selon Forrester
Le cabinet Forrester s'est penché sur les problèmes de stockage engendrés par la virtualisation des serveurs. Pour ce faire, le cabinet a tout d'abord demandé aux 124 entreprises de son panel un état des lieux de la virtualisation dans leur système d'information à base de serveurs x86 : 78% ont déjà des environnements virtualisés en production et 20% sur leurs plateformes de développement. Les applications les plus "virtualisées" sont les serveurs Web et les serveurs d'applications (dans 81% des entreprises), les applications génériques (celles utilisées sans d'importants paramétrages, dans 65% des entreprises) et les serveurs d'infrastructures (65% des entreprises). Du côté des applications plus lourdes, 53% des utilisateurs ont déjà virtualisé Microsoft SQLServer dans leur système d'information. On trouve aussi un taux assez élevé de virtualisation de serveurs mail (29%), de SGBD Oracle (28%) et d'applicatifs d'entreprise de cet éditeur (15%). Sans surprise, c'est VMware qui règne en maître sur la virtualisation avec 98% des déploiements pris en compte dans l'étude. Néanmoins, Microsoft (avec Virtual Server 2005 et Hyper-V) et Citrix XenServer commencent à compter. Les outils Microsoft sont utilisés chez 17% des sondés et le second chez 10%. Les utilisateurs font donc le choix de plusieurs fournisseurs pour leurs projets de virtualisation. La solution est dans le thin provisioning(05/03/2009 11:05:31)
Antitrust : Bruxelles lève la surveillance permanente de Microsoft mise en place en 2004
Pour Microsoft, Bruxelles rime rarement avec bonne nouvelle. La décision publiée le 4 mars par la Commission européenne ne devrait en être que plus agréable pour le géant du logiciel. L'exécutif communautaire vient en effet d'estimer qu'il n'était désormais plus nécessaire qu'un mandataire observe en permanence les agissements de l'éditeur. La désignation de ce mandataire avait été décidée après que la Commission eut condamné Microsoft, en 2004, à une amende de 497 M€ pour abus de position dominante. Le géant de Redmond devait, en plus de cette sanction pécuniaire, communiquer certains protocoles de communication censés permettre à ses concurrents de concevoir des produits parfaitement interopérables avec les serveurs Windows. C'est précisément pour surveiller le respect de cette obligation que Bruxelles a entendu mettre en place un instrument de contrôle indépendant : le mandataire, en la personne de Neil Barrett. Le mandataire fort occupé jusqu'en 2008 Icelui a eu, on s'en souvient, bien des récriminations à formuler à l'endroit de Microsoft, qui s'est montré fort peu enclin à se plier aux exigences européennes. Dans un premier temps, il demandait ainsi, pour accepter de céder ses protocoles, 3,87% des revenus issus d'un produit conçu grâce à sa documentation. Trois ans plus tard, ce taux était ramené à 0,7% après que la Commission eut manifesté son mécontentement face à un tarif jugé « déraisonnable ». Dans un ultime effort, Microsoft proposa l'accès aux informations d'interopérabilité contre un paiement forfaitaire de 10 000 $, avec une option pour l'exploitation commerciale fixée à 0,4% des revenus afférents. Cette dernière initiative arrivait néanmoins trop tard pour empêcher Bruxelles de condamner à nouveau l'éditeur, jugé défaillant dans l'exécution des obligations qui pesaient sur lui depuis 2004. En février 2008, Microsoft écopait ainsi d'une nouvelle amende - de 899 M€ cette fois. Depuis, les membres de la Commission semblent s'être drapés d'une plus grande bienveillance à l'égard du comportement de l'éditeur dans ce dossier. La décision publiée le 4 mars souligne ainsi « le changement de comportement de Microsoft ». L'exécutif européen note entre autres qu'une « première série d'informations a déjà été fournie [...] et que les tiers sont davantage en mesure de faire valoir leurs droits auprès de juridictions nationales, ainsi que le prévoient les accords de licence qu'ils passent avec l'intéressé ». Par conséquent, la mission du mandataire peut prendre fin, la Commission estimant que « l'assistance technique dont elle a besoin revêt à présent un caractère plus ponctuel ». Les efforts de Microsoft finalement payants [[page]]Les démarches entreprises depuis plusieurs mois par Microsoft en faveur de l'interopérabilité auront sans doute joué un rôle dans l'inflexion communautaire. En février 2008, quelques jours avant sa seconde condamnation, le groupe de Redmond annonçait l'ouverture des API et des protocoles de communication de ses produits les plus diffusés, dont Vista, Office 2007, Windows Server 2008 et Sharepoint Server 2007. D'autres initiatives ont suivi : documentation d'ODF dans le SP2 d'Office, réutilisation des portlets SharePoint dans d'autres portails, création d'outils de conversion de documents Open XML, etc. Des décisions accompagnées d'un discours vantant sans cesse les mérites de l'interopérabilité, comme en témoignait le billet signé par Bernard Ourghalian, directeur technique et sécurité de Microsoft France, sur le blog Experts du MondeInformatique.fr en septembre 2008. Ou comme le rappelait encore l'éditeur, le mois dernier, à l'occasion des Techdays. Malgré ce changement d'attitude, la Commission européenne n'entend pas lever tout contrôle - il « demeure nécessaire ». Le mandataire sera ainsi remplacé par des consultants techniques qui interviendront sur demande, de façon ponctuelle. Par ailleurs, les ennuis de Microsoft sur un autre dossier ne font que commencer. Bruxelles enquête en effet sur un potentiel autre abus de position dominante, constitué par l'avantage anticoncurrentiel dont bénéficierait Internet Explorer en étant inclus dans Windows. Lancée suite à une plainte d'Opéra, cette action a incité d'autres éditeurs - Mozilla et Google - à se rallier aux arguments soulevés par le demandeur. (...)
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