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(04/03/2009 17:29:38)

L'Open Source Think Tank continue

Eric Barroca, président du directoire de Nuxeo, poursuit, sur notre blog Experts, le récit de son séjour californien à l'Open Source Think Tank. Au programme de ce billet, la confirmation de l'utilité des organisations spécialisées dans l'Open Source professionnel, un déjeuner 'speed dating' et un teasing sur la prochaine contribution de notre blogueur. (...)

(04/03/2009 17:00:12)

Cebit 2009 : SAP s'exerce au cloud avec IBM

SAP et IBM ont profité du Cebit 2009 pour montrer une technologie de répartition automatique de la charge applicative sur de multiples serveurs distants. Les deux géants se sont appuyés sur les premiers résultats du projet Reservoir (Resources and Services Virtualization without Barriers), lancé par IBM l'an dernier et financé par l'Union européenne à hauteur de 17 M€. Un consortium de 13 partenaires européens d'IBM, dont SAP, travaille sur ce projet avec plusieurs établissements d'enseignement européens. La technologie testée au Cebit provient du laboratoire d'IBM à Haifa en Israël. La démonstration a exploité des serveurs Power6 équipés de la fonction Live Partition Mobility qui déplace des partitions virtuelles contenant des applications d'une machine à l'autre sans affecter les performances. Une fonction tout à fait similaire au VMotion de VMware qui n'a rien d'original. Mais Big Blue a tenu à montrer le bon fonctionnement de cet environnement de répartition de charge avec une application aussi sophistiquée qu'un ERP. « Si on peut le faire avec SAP, alors on peut le faire avec n'importe quelle application, constate John Willis, analyste et blogueur, observateur du cloud computing. Et c'est ce qu'IBM a voulu démontrer. » (...)

(04/03/2009 14:42:42)

AMD n'est plus propriétaire de ses usines

C'est fait. AMD n'est plus propriétaire des usines fabriquant ses puces, cédées depuis lundi à des entreprises détenues par le gouvernement d'Abou Dabi. Comme les actionnaires du fondeur l'avaient approuvé le mois dernier, ce dernier vient ainsi de d'échanger ses activités de fabrication contre un chèque de 700 M$, signé par Atic (Advanced technology investment company), une société d'investissement détenue par l'émirat précité. AMD héritera de 34,2% des parts de la spin off ainsi créée, le reste étant détenu par Atic. En plus des 700 M$ versés à AMD, Atic investit 1,4 Md$ dans la nouvelle entreprise. Par ailleurs, un autre fonds émirati, Mubadala development company, porte à 19,9% sa participation au capital d'AMD, une transaction estimée à 125 M$.

Dans un premier temps nommée The Foundry Company, la société issue de la scission est finalement rebaptisée GlobalFoundries. Elle est dirigée par Doug Grose (CEO), jusqu'alors vice-président des activités de fabrication d'AMD, et par Hector Ruiz (président), qui présidait quant à lui AMD. La coentreprise liant AMD et l'émirat d'Abou Dabi est désormais propriétaire de l'usine située à Dresde, en Allemagne. Celle-ci, renommée Fab 1, devrait être complétée par un deuxième centre de fabrication (Fab 2), que GlobalFoundries prévoit de bâtir cette année aux Etats-Unis, dans l'Etat de New-York. La facture de cette construction devrait s'élever à 4,2 Md$ et permettre la création de 1400 emplois.

AMD, qui n'est désormais plus que le concepteur des processeurs qui porteront son nom, compte sur cette cession pour se refaire une santé financière. Après plusieurs trimestres consécutifs conclus sur des pertes - au T4 2008, les pertes opérationnelles étaient supérieures au chiffre d'affaires - le concurrent d'Intel a accumulé une montagne de dettes. Celles-ci - estimées à 1,1 Md$ - font partie de l'accord passé avec Atic, qui en héritera, en plus des usines. (...)

(04/03/2009 14:34:53)

L'Efrei ouvre deux nouvelles filières en robotique et réalité virtuelle

L'école d'informatique Efrei annonce l'ouverture de deux nouvelles filières de spécialisation pour la rentrée 2009, l'une axée sur la robotique, l'autre sur la réalité virtuelle. En plus du tronc commun, chaque étudiant de 4ème année pourra choisir, dès septembre prochain, la spécialité qui correspondra le mieux à son projet professionnel. La filière robotique sera déclinée sous la forme d'une formation pluridisciplinaire intégrant tous les aspects de la robotique classique : les cours porteront notamment sur les outils de reconnaissance vocale et d'intelligence artificielle ainsi que sur les technologies de vision artificielle Une double compétence informatique et mathématique La filière images et réalité virtuelle se concentrera pour sa part sur les nouvelles technologies liées à l'image. Elle permettra d'acquérir une double compétence en informatique et en mathématique. Les enseignements porteront sur la modélisation géométrique, le traitement du signal, la synthèse et le traitement d'images, les systèmes intelligents et les systèmes de réalité virtuelle. Cette filière permettra aux étudiants de se diriger vers les métiers de l'industrie (prototypage virtuel aéronautique, automobile, ergonomie, architecture, urbanisme, environnement), de l'audiovisuel (effets spéciaux, jeux vidéo), du médical (systèmes d'imageries, simulateurs médicaux et chirurgicaux) et de la surveillance de l'activité humaine (environnements intelligents, contrôle gestuel). (...)

(04/03/2009 14:42:57)

Dell propose une simulation thermique des datacenters

Dell signe un partenariat avec Future Facilities, société qui édite un logiciel de simulation 3D de conception de datacenter. 6SigmaDC génère une "Virtual Facility" à partir d'une base de données sur les paramètres de tous les éléments d'un datacenter. Il simule ensuite les flux d'air et les variations de température. Le logiciel permet donc d'étudier les conséquences des choix d'équipements et, aussi, la pertinence de leur agencement. L'analyse de datacenters d'une surface de 460 à 1300 m² coûterait entre 40 000 et 50 000$. Aucune date n'a été communiquée sur la mise en place de ce type de prestations par Dell France. En Europe, Future Facilites n'a qu'une filiale, à Londres. Dell profite de cette annonce pour commercialiser une nouvelle génération de ses racks PowerEdge. Le 2420 (24U,environ 1000€) supporte désormais une charge de près de 700 kg au lieu de 550 de et le 4220 (42U) double sa charge utile à plus d'une tonne. Ces châssis sont, bien sûr, optimisés pour un meilleur refroidissement. (...)

(04/03/2009 13:07:02)

Cebit 2009 : SAP se rallie au développement durable

SAP est monté au créneau sur le thème du développement durable à l'occasion du Cebit 2009, justement placé sous le signe du Green IT. La veille, Arnold Schwarzenegger, gouverneur de la Californie, était invité d'honneur du salon (la France l'était l'an dernier), avait évoqué les technologies vertes pour aider à sortir de la crise. Mardi matin, c'était au tour de Léo Apotheker (photo, crédit IDGNS), co-PDG de SAP, d'invoquer les technologies de l'information et de la communication pour faire face aux grands défis économiques, sociaux, sanitaires et environnementaux. Il a mentionné au passage les millions d'emplois créés dans le monde en lien avec les TIC.

Si elles sont consommatrices d'énergie, les TIC servent aussi à contrôler les processus de fabrication et d'exécution, à produire au plus juste, et contribuent à réduire les dépenses énergétiques et la production de CO2, par exemple en optimisant l'entreposage et le transport des marchandises.

Réduire l'empreinte carbone par employé de 60%

Fournisseur de tels outils d'optimisation, SAP veut aussi être crédible sur le terrain du développement durable en montrant l'exemple. Il vient de s'engager à réduire son empreinte carbone d'ici 2020 : à cette date, il prévoit d'avoir ramené ses émissions de gaz à effet de serre au niveau de ce qu'il produisait en 2000. Un objectif qui revient à réduire de 60% l'empreinte carbone des collaborateurs de SAP, comme l'a détaillé Léo Apotheker.

Depuis quelques mois, l'éditeur allemand s'est donc attelé à mesurer son empreinte carbone. En novembre dernier, il a publié son premier rapport sur le sujet, un document synthétisant des données relatives à la gestion de ses bâtiments, aux déplacements de ses salariés, à ses dépenses en eau et à la gestion de ses déchets. Intention louable, ce rapport étant le premier du genre pour SAP (le prochain sortira en mai), il n'offre pas pour l'instant de possibilité de comparaison avec des informations antérieures. Pour coordonner ses efforts dans ce domaine, l'éditeur a mis sur pied une organisation transversale, à la tête de laquelle il a placé Peter Graf, à la fois responsable des actions de développement durable menées en interne et des solutions du même nom destinées aux clients.

Moins de voyages, plus de téléprésence

" En interne, SAP va agir principalement dans trois directions, » explique Daniel Schmid, responsable des opérations de développement durable. Pour commencer, l'éditeur réduira le nombre des déplacements professionnels qui ont représenté à eux seuls 42% de l'empreinte carbone en 2007 et privilégiera les outils de téléprésence. Ensuite, elle interviendra sur son parc automobile (choix de modèles moins gourmands et moins polluants, actions de sensibilisation des conducteurs...). Enfin, elle taillera dans sa facture d'électricité, tant liée à l'éclairage des bureaux qu'à l'alimentation des datacenters. Pour ces derniers, comme nombre d'autres entreprises, elle aura recours aux technologies de virtualisation. Reprenant un argumentaire déjà rodé chez les analystes et les autres acteurs du marché, SAP rappelle que ce type de démarche n'agit que sur les 2% de CO2 émis par l'industrie informatique (Gartner). A l'instar des autres fournisseurs encore une fois, le numéro un de l'ERP explique qu'il faut aussi agir sur les 98% restants, c'est à dire sur les émissions de CO2 des autres secteurs de l'industrie.

Et bien entendu, pour ce faire, SAP évoque les solutions informatiques à mettre en place pour qu'une entreprise puisse elle-même calculer son empreinte, se mettre en conformité avec la législation, contrôler sa chaîne logistique et déployer des processus de traçabilité. « Sous peu, les entreprises de l'agro-alimentaire par exemple devront indiquer sur leurs étiquettes l'empreinte carbone de chaque produit et le consommateur pourra en tenir compte lors de son choix », souligne Sven Denecken, vice président stratégie pour l'offre ERP. Pour les fournisseurs, le respect de l'environnement ne sera pas seulement vertueux : il se transformera à l'occasion en avantage concurrentiel.

Une solution appliquée à l'environnement, à la santé et aux risques sanitaires 

L'éditeur propose déjà des solutions de gestion des risques, permettant aux entreprises de se conformer aux dispositions réglementaires, dans les domaines financiers, de l'environnement ou de la chaîne logistique ; en particulier l'offre BusinessObjects GRC (governance, risk and compliance), mais également au travers de l'offre de gestion SAP Business Suite. « Près de 1 600 clients utilisent à ce jour des fonctions de développement durable intégrées à nos applications », évalue Sven Denecken. SAP a décidé de mettre ces fonctions en avant et de compléter sa démarche par des produits spécifiques. Sur ce terrain, il a annoncé sur le Cebit SAP EHS (Environment, Health, and Safety) Management, une solution développée avec TechniData pour contrôler la mise en place d'une la politique de développement durable. Partenaires depuis 1995, SAP et TechniData ont notamment mis au point une solution pour se conformer au règlement européen Reach (registration, evaluation and autorisation of chemicals) qui s'applique à l'enregistrement des substances chimiques. (...)

(04/03/2009 12:58:32)

Cebit 2009 : Dell lance des racks plus économes en énergie

A l'occasion du Cebit, Dell a lancé deux nouveaux racks de serveurs. Ceux-ci, le PowerEdge 4220 (au format 42U) et le PowerEdge 2420 (au format 24U), se veulent plus économes en énergie grâce à leur conception autorisant une meilleure circulation de l'air dans le rack. Cela passe notamment par la présence de plus nombreuses perforations nombreuses à l'avant et à l'arrière, et de 'barrières' évitant à l'air chaud de remonter en façade des serveurs. D'un point de vue pratique, ces racks disposent de prises de courant à l'arrière ou sur les côtés pour faciliter la maintenance. (...)

(04/03/2009 11:25:50)

La publicité arrive sur Google News au grand dam des éditeurs de presse

Les éditeurs de presse le redoutaient, et apparemment à juste titre : Google vient de décider d'ouvrir son service Google News à la publicité. Jusqu'à présent, Google se défendait de vouloir manger la laine sur le dos des journaux en ligne et autres agences et blogs, et mettait plutôt en avant le fait qu'il rapportait à ces derniers des milliers et des milliers de visiteurs. C'est ainsi que le moteur avait convaincu les grandes agences de presse d'enterrer la hache de guerre, alors que les éditeurs belges avaient pour leur part refusé de figurer dans Google News. Le moteur de recherches avait annoncé en novembre dernier qu'il testerait aux Etats-Unis l'inclusion de publicités dans d'autres services que son index général : la recherche d'images, la recherche d'informations financières... C'est désormais au tour de Google News. Josh Cohen, chef produit, explique sur le blog officiel de l'entreprise que Google « a toujours dit que nous dévoilerions ces changements lorsque nous pourrions offrir une bonne expérience tant pour nos utilisateurs que pour les éditeurs et les annonceurs, et nous continuerons d'étudier les différents moyens de publier de la publicité pertinente pour les utilisateurs, et bonne pour les éditeurs ». Dans le cadre de ce qui est testé actuellement aux Etats-Unis pour Google News, la publicité n'apparaît pas sur la page d'accueil, mais sur la page de présentation des résultats de la recherche. A priori, les éditeurs de presse ne sont pas contre la chose, dans la mesure où ils seraient associés au revenu produit, explique Philippe Jannet, le président du Geste (Groupement des éditeurs de sites en ligne), dans une interview qu'il nous a accordée. « Notre sentiment, indique aussi de son côté Gilles Lambert, chargé de la veille technologique de la FNPS (Fédération nationale de la presse spécialisée), est le même que celui de l'ensemble des éditeurs de presse : on serait toujours preneur d'un partage des revenus publicitaires. » Mais ce qui fait grincer les dents de ces éditeurs, c'est que Google n'a aucune intention de partager le chiffre d'affaires issu de Google News. Responsable communication de Google France, Anne-Gabrielle Dauba-Pantanacce, précise que telle a toujours été la politique du moteur de recherches : « Il s'agit d'AdWords, à droite des résultats de recherche - qui n'interfèrent donc pas avec le contenu et ne sont pas intrusifs pour l'internaute - comme pour l'index général. Et nous n'avons jamais partagé le revenu des AdWords avec tous les sites apparaissant dans les résultats de recherche... » La réponse de Google aux éditeurs de presse : profitez des services Google pour monétiser vos contenus Pour Anne-Gabrielle Dauba-Pantanacce, les sites d'actualité auraient plutôt intérêt à tirer profit des nouvelles formes de monétisation que le moteur offre. D'abord « en incluant Google News dans leur stratégie », comme LeMonde.fr, explique Anne-Gabrielle Dauba-Pantanacce, pour qui Google News représenterait environ 10% du trafic. Ensuite, Google propose de numériser gratuitement les archives des journaux, ce qui leur fournirait plus de contenu à monétiser, et à Google plus de contenu à indexer. Dans tous les cas, Anne-Gabrielle Dauba-Pantanacce se défend de vouloir concurrencer les médias. « Contrairement à ce qu'on peut entendre, nous n'avons aucun intérêt à ce que la presse disparaisse, ce n'est pas notre métier de faire du contenu. Notre service nécessite un partenariat... je dirais symbiotique, avec les éditeurs de presse. » (...)

(04/03/2009 09:59:08)

TSMC premier sous-traitant de l'histoire d'Intel

Intel autorise le Taiwanais TSMC (Taiwan Semiconductor Manufacturing) à produire son processeur Atom. C'est la première fois de son histoire que le numéro un mondial des processeurs autorise une tierce partie à fabriquer une de ses puces. En s'associant à TSMC, premier fondeur mondial de semi-conducteurs, Intel espère stimuler la demande pour son Atom dans d'autres produits que les micro-ordinateurs. TSMC a le droit d'intégrer l'Atom et ses jeux de composants à des plateformes pour des produits grands publics, des téléphones portables et des tablettes Internet, les fameuses MID (Mobile Internet Device). Pour ce faire, TSMC dispose d'un savoir-faire d'intégration que n'a pas Intel. Aucune date de sorite des premiers Atom produits par TSMC n'a été communiquée. Concomitamment à l'annonce de ce partenariat industriel, Intel a présenté quatre nouveaux processeurs Atom dans sa série Z5xx. Pour la première fois, Intel les destine officiellement à ce qu'il appelle des "media phones". Serait-ce l'énième appellation de ce qui fut nommé UMPC (Ultra Mobile PC), puis MID (Mobile Internet Device) ? Cette manipulation sémantique souligne la difficulté qu'a Intel à s'imposer sur ce créneau dominé par d'autres processeurs . Il faudra attendre au moins la fin de l'année pour que ces Atom Z5xx soient rejoints par la plateforme Moorestown, spécialement conçue pour les systèmes mobiles personnels. (...)

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