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(06/03/2009 18:52:06)

Barack Obama recrute le premier CIO du gouvernement américain

Pour la première fois de son histoire, le gouvernement américain se dote d'un CIO (DSI). Le président des Etats-Unis, Barack Obama, a choisi pour tenir ce rôle Vivek Kundra, le CTO (Chief technology officer) de 34 ans du District de Columbia. Il aura pour mission de contrôler le budget informatique annuel de 80 milliards de dollars des agences fédérales. Si l'on en croit le Wall Street Journal, Vivek Kundra, qui faisait partie de l'équipe de transition du président américain, est connu pour avoir installé un système dans le District de Columbia qui permet au maire et à ses adjoints un accès en temps réel à toutes les données concernant les dépenses de la mairie. Toujours selon le journal américain, il a aussi promu la mise en ligne d'un plus grand nombre d'informations et a même lancé un concours de développement "Applications for Democracy" pour imaginer un nouvel accès aux informations via Internet et sur iPhone. Sur son site, la Maison Blanche détaille le rôle du nouveau 'federal CIO' : « Il dirigera la politique et le planning stratégique des investissements fédéraux en technologies de l'information et supervisera les dépenses associées. Il établit et supervise l'architecture d'entreprise pour s'assurer de l'interopérabilité des systèmes, du partage de l'information, de la sécurité des informations et de la protection des données. » Les leaders de l'industrie IT auraient insisté pour la nomination d'un CIO Obama a demandé à Vivek Kundra "de s'assurer que nous étions dans l'esprit de l'innovation américaine et que nous utilisions la puissance de la technologie pour améliorer la performance et réduire les coûts de fonctionnement du gouvernement. En tant que CIO, il aura la mission clé de s'assurer que notre gouvernement avance de la façon la plus sûre, la plus ouverte et la plus efficace. » Selon les rumeurs, les leaders de l'industrie IT auraient aussi exercé une certaine pression sur la Maison Blanche afin qu'elle prenne ce type de décision. Ainsi Scott McNealy, président de Sun, dit avoir discuté de l'intérêt d'un tel recrutement avec les officiels de l'administration. En termes de dépenses informatiques, cette dernière pourrait faire passer les entreprises privées pour des nains, a-t-il expliqué dans une interview à notre confrère Computerworld. « Et il n'existe aucune entreprise du Fortune 1000 qui n'ait pas de CIO ! » (...)

(06/03/2009 18:43:42)

Audience des sites Web : Médiametrie s'attaque au 'co-branding'

Plus de transparence dans la mesure de l'audience des sites Web. Voilà une saine ambition, affichée par Médiamétrie, et réclamée à cor et à cri par les annonceurs, qui calculent ainsi leurs plans médias, et par les éditeurs de sites Web, qui pour la plupart ne vivent que par la publicité... et cherchent donc à afficher la meilleure audience possible. Malgré la profusion d'outils statistiques, aboutir à une mesure équitable est un exercice périlleux. Médiamétrie, l'un des fournisseurs de mesures d'audience, vient ainsi de s'attaquer à des pratiques qui faussent parfois les résultats. Lors d'une réunion jeudi du Comité Internet - qui comprend de grands noms des acteurs des médias et de la publicité - quatre nouvelles règles ont été décidées. Pour « introduire davantage de transparence », comme Médiamétrie l'indique dans un communiqué, l'institut d'études distinguera ainsi les audiences des sites agrégées par certains éditeurs détenant plusieurs portails. L'AFP cite l'exemple de TF1, dont l'audience du groupe « prend en compte les visites sur Overblog (site de blogs) dont il détient 34% ». De même, en cas de 'co-branding' (qui agrège les audiences de sites partenaires) Médiamétrie s'assurera que « la marque de référence est bien identifiable par l'internaute ». L'Institut a également pris en compte les clics forcés des sites de jeux (ces liens sur lesquels l'internaute doit cliquer pour avancer dans un jeu) qui aboutiraient à gonfler l'audience d'un site. Enfin, Médiamétrie indique que le rôle de la Commission d'autorégulation sera renforcé. Cette dernière peut être saisie par « tout acteur du marché qui constaterait une pratique pas conforme », explique Charles Juster, directeur de la communication de Médiamétrie. Il peut s'agir par exemple d'un site qui pratiquerait l'ouverture d'un second site, en-dessous de celui ouvert. Si le fautif ne s'amendait pas, « un système d'escalade » entrerait alors en jeu, pouvant aboutir à la suppression des résultats d'audience du site, voire à son exclusion de la liste. Laquelle sert, rappelle Charles Juster, aux agences de publicité pour établir leurs plans de dépenses. Les sites B2B, destinés à un public de professionnels surfant depuis leur lieu de travail, restent encore le parent pauvre de la mesure d'audience, même si Charles Juster indique qu'ils sont mieux pris en compte depuis l'élargissement du panel intervenu fin 2008. Le nombre d'internautes panélistes surveillés par Médiamétrie (qui a transposé au Web sa pratique de la mesure de l'Audimat) est en effet passé de 10 000 à 25 000, « dont 4 000 professionnels sur leur lieu de travail », précise Charles Juster. En revanche, ce panel ne présente « aucune garantie de représentativité par rapport à la taille de l'entreprise ; ce n'est pas un critère structurant pour nous ». (...)

(06/03/2009 18:01:01)

Nathalie Kosciusko-Morizet croit au rapprochement entre développement durable et TIC (entretien vidéo)

Le 15 janvier dernier, Nathalie Kosciusko-Morizet était nommée secrétaire d'Etat à la Prospective et au Développement de l'économie numérique. Jusque-là secrétaire d'Etat à l'Ecologie, elle arrive dans ses nouvelles fonctions sans pour autant abandonner ses convictions écologistes. Loin de là. La question du green IT qui rapproche TIC et développement durable lui est donc familière. Le 4 mars, LeMondeInformatique.fr a rencontré la ministre dans un entretien vidéo sur le sujet. Elle a ainsi exposé son point de vue sur l'influence du développement durable sur son action. Si elle est consciente de l'impact des TIC sur l'environnement, en particulier en matière de consommation électrique, elle insiste néanmoins sur le rôle indispensable que doit jouer le numérique dans une meilleure gestion de l'énergie : réduction de la consommation, optimisation des énergies renouvelables, etc. Au confluent du numérique et du développement durable, justement, la ministre a déjà des ambitions pour développer le télétravail, encore peu répandu en France. Cette démarche ne peut se réaliser qu'avec l'équipement informatique idoine, et diminue les déplacements - y compris automobiles - des employés. Nathalie Kosciusko-Morizet compte appuyer une proposition de loi déjà déposée au bureau de l'Assemblée Nationale qui prévoit des éléments de législation indispensables, mais aussi une incitation à l'équipement pour les entreprises. Commencer le Grenelle des antennes en comparant la France aux pays étrangers La ministre continue par ailleurs de mettre en avant les usages plus que la technologie. Parmi les moyens qui lui permettront de réaliser un de ses souhaits : redorer le blason d'Internet et des nouvelles technologies, souvent décriées et présentées uniquement du côté obscur. Il faut selon elle, modifier la façon dont les politiques et les médias en parlent, afin d'en voir aussi les aspects positifs. Elle compte bien y contribuer en identifiant des projets qui démontreront l'intérêt des TIC. Nathalie Kosciusko-Morizet ne se voile néanmoins pas la face quant aux risques potentiels des technologies. En première ligne, les ondes électromagnétiques. Elle détaille ainsi les objectifs de son Grenelle des antennes, dont la date de démarrage a été fixée au 26 mars quelques heures après notre entretien. La ministre souhaiterait entamer la table ronde avec un 'benchmark' de la France et des autres pays européens sur les niveaux d'émissions et certains types d'équipements spécifiquement développés, par exemple. Enfin, à quelques jours de la journée de la femme célébrée le 8 mars, la ministre se dit persuadée que la mise en avant des usages des TIC davantage que la technologie pourrait réconcilier la gent féminine avec les études et les métiers de l'informatique et des télécommunications. Dans un autre entretien accordé à nos confrères de CIO, la ministre aborde entre autres sa collaboration au plan de relance, le Référentiel Général d'Interopérabilité et le projet de loi Création et Internet (Hadopi). (...)

(06/03/2009 17:38:34)

Pilotage stratégique de la performance : la solution de SAS se détache selon Yphise

Deux ans après sa première étude sur les solutions de pilotage stratégique de la performance, le cabinet Yphise se penche à nouveau sur cette catégorie d'offres qui aident les entreprises à gérer des objectifs et des transformations à tous les niveaux de son organisation, "des départements aux lignes métiers". Ces produits qui s'appliquaient auparavant aux objectifs financiers s'étendent désormais à des enjeux non financiers ou immatériels, rappelle le cabinet. Les solutions sont alimentées avec des informations provenant de sources diverses, ERP, mais aussi applications de gestion de risques, centre d'appels, courriels clients ou encore données du terrain. En suivant une méthodologie précise, Yphise a retenu quatre produits répondant aux exigences de son processus d'évaluation : Cognos Metric Studio, édité par IBM/Cognos, Microsoft Office PerformancePoint, de Microsoft, SAS Strategic Performance Management, de SAS, et SAP Strategy Management, de SAP. Pour analyser les produits, le cabinet d'études a agrégé quelque 160 critères fonctionnels ou techniques sur quatre axes. Il en ressort que l'offre de SAS, Strategic Performance Management dans sa version 2.4, est celle qui fournit la meilleure couverture du cahier des charges établi par Yphise. Lors de la précédente étude réalisée en 2007 sur les outils de pilotage des performances, le cabinet avait déjà distingué la solution SAS. Définition des indicateurs et suivi de la performance métier dans le temps Plus précisément, le premier des quatre axes d'évaluation concerne la facilité avec laquelle l'entreprise peut définir des indicateurs en fonction de ses objectifs métiers. Le deuxième axe considère l'amélioration des stratégies opérationnelles en lien avec les objectifs (définition de délais, de priorités et de coûts associés aux objectifs, définition et affectation de plans d'action). Le troisième axe s'attache à la capacité de superviser la performance métier dans le temps : il faut en particulier, souligne Yphise, fournir des outils pour alimenter les indicateurs à partir de différentes sources et différents formats de données. Enfin, le quatrième axe du cahier des charges porte sur l'analyse et l'optimisation de la performance métier : un suivi facilité par les tableaux de bord, la gestion des portlets pour diffuser l'information, les capacités de personnalisation, les fonctions de collaboration, les représentations graphiques... Sur chacun de ces quatre axes, la solution de SAS recueille la meilleure évaluation. Yphise énumère notamment l'intégration des objectifs financiers et immatériels dans la gestion de la performance de l'entreprise, un modèle de gestion des stratégies facile à personnaliser qui permet de gérer tout type d'objectifs, des modèles prédéfinis selon divers enjeux (conformité, gestion de risques, métiers)... Le cabinet relève aussi des points forts sur la gestion des actions opérationnelles liées aux objectifs et sur l'alimentation des indicateurs. L'offre de SAP/Business Objects tire parti des outils de Pilot Software Placée en deuxième position, la solution SAP Strategy Management, dans sa version 7, offre cependant une couverture complète du cahier des charges, souligne Yphise. Le précédent rapport du cabinet avait évalué les produits de gestion de performance de Business Objects. Cette fois-ci, la solution étudiée bénéficie de nouveaux atouts : elle dispose des fonctions de Pilot Software rachetée par SAP. Ce dernier a également construit une intégration (jugée intéressante par le cabinet d'études) avec son offre de GRC -governance, risk and compliance. A noter que SAP Strategy Management s'adresse tant aux clients SAP que non-SAP. Sur l'offre de Microsoft, Office PerformancePoint Server version 1, l'évaluation du cabinet d'études montre surtout la bonne capacité à superviser la performance métier dans le temps, ainsi que des capacités avancées sur les autres axes d'évaluation. Cette solution facile à utiliser est livrée avec des assistants. Enfin, si Cognos Metric Studio, version 8.4, fait également apparaître une bonne couverture du cahier des charges, elle n'a, selon Yphise, pas beaucoup évolué depuis la précédente étude effectuée en 2007. Le cabinet tient à souligner ses tableaux de bord et ses fonctions de reporting efficaces et rappelle que le produit met l'accent sur la gestion financière, avec des fonctions spécifiques de gestion de la planification, du budget ou des fonctions analytiques. (...)

(06/03/2009 17:13:09)

SSII et éditeurs souhaitent faire évoluer leurs équipes vers des métiers porteurs

Les entreprises de l'IT profiteront-elles de la crise pour repenser leurs recrutements et revoir la gestion prévisionnelle de leurs compétences ? Oui, ont clamé à l'unisson les responsables de la formation de Microsoft, Business Objects, SAP, HP Software ou encore de Steria, lors d'un débat organisé mardi dernier par le groupe Fitec, un organisme délivrant des formations destinées aux métiers du conseil. « La chute soudaine de l'activité a contraint les entreprises du secteur à devoir geler leurs embauches, a indiqué d'emblée Fabien Laberthonnière ressource manager chez Steria. Rendus frileux, les employés bougent moins, du coup le turnover a tendance à chuter. En conséquence, les entreprises n'ont d'autre choix que de devoir s'appuyer sur leurs équipes existantes. Elles doivent donc veiller à adapter leur GPEC (gestion prévisionnelle de l'emploi et des compétences) en fonction des besoins actuels et futurs de leurs clients. » Un point de vue partagé par Sandrine Lafuente, responsable commerciale du département formation de SAP, alors que l'éditeur prévoit de supprimer quelque 3 000 emplois courant 2009 : « Aujourd'hui, l'heure n'est plus aux recrutements, soulignait t-elle. Ceci étant dit, nous devons préparer la sortie de crise en réfléchissant à des nouveaux métiers et en repositionnant nos compétences en interne, au travers d'actions de formations communes adaptées à des domaines porteurs. » Valérie Rigogne, responsable commerciale formation chez Business Objects, faisait remarquer pour sa part que les consultants métiers (en finance, CRM, décisionnel) étaient devenus très difficiles à trouver depuis 2008 : « Nous sommes confrontés à une situation de pénurie alors que nous avons grand besoin de consultants ERP pour répondre à l'augmentation de notre base installée », indiquait t-elle Recentrer les compétences vers de la virtualisation ou du groupware Ses intégrateurs étant régulièrement confrontés au manque de consultants ERP métiers, Microsoft avait pris les choses en main en lançant un programme de formation autour de son PGI Microsoft Dynamics AX. Alors qu'Université.net ambitionnait de former des développeurs à .Net, ce cursus baptisé « La Dynamique des talents » visait à recruter, le plus rapidement possible, des profils fonctionnels, issus du contrôle de gestion ou de la gestion commerciale, pour assurer le déploiement des solutions de l'éditeur. « Outre le recentrage de nos compétences internes vers des ERP métiers, nous devons amener nos équipes à évoluer vers d'autres technologies comme la virtualisation, le groupware ou la mise en place de portails tels que Sharepoint pour renforcer notre compétitivité », soulignait pour sa part Laurent Penisson, responsable du programme partenaires chez Microsoft. « Il y a actuellement trop peu de compétences techniques et commerciales sur le marché du conseil, déplorait de son côté Philippe Croix pour HP Software. En outre, les compétences ne pourront pas évoluer sans des cursus évolutifs adaptés aux métiers porteurs et aux nouvelles priorités des clients ». L'éditeur a donc décidé de s'engager aux côtés du groupe Fitec et d'autres éditeurs en créant une gamme de formations produits et métiers destinées au monde du consulting et spécialisées sur des domaines comme la supervision et l'hypervision de systèmes, le test, la gestion des actifs, la qualification logicielle, et le provisioning, notamment.. (...)

(06/03/2009 16:28:12)

IDC revoit à la baisse ses prévisions de ventes de PC pour 2009

Voici un exercice auquel sont désormais habitués les cabinets d'étude : réviser leurs prévisions à la baisse. C'est ce que vient de faire IDC qui, en se basant sur l'aggravation de la situation économique mondiale, estime que les ventes de PC devraient être pires en 2009 que ce qu'on pouvait redouter jusqu'alors. La faute en revient plus particulièrement à la hausse du chômage et à la baisse des dépenses des ménages. Selon l'institut, le volume des ventes devrait ainsi reculer de 4,5% cette année. En décembre 2008, IDC se contentait de pronostiquer une décroissance de 3,8%. C'est surtout au cours du premier semestre que les livraisons seront affectées, avec une baisse de 8% par rapport à la première moitié de 2008. Au total, 282 millions de machines devraient être écoulées cette année, contre 295,2 millions en 2008. IDC se veut toutefois optimiste en tablant sur un rebond en 2010. Le cabinet s'aventure ainsi à prophétiser une croissance de 6,7%, portant le volume des PC vendus à 300,9 millions. Et l'oracle d'accompagner ses prédictions de conseils adressés aux constructeurs. Pour séduire les consommateurs, ils devront leur proposer des PC portables davantage personnalisés et incluant de plus nombreuses fonctions. Ce qui va sans dire... (...)

(06/03/2009 15:57:09)

45% des grandes entreprises déjà converties à la virtualisation, selon Forrester

Pour Forrester, la virtualisation fait figure d'eldorado informatique sur le marché des grands comptes (de 1 000 à plus de 20 000 salariés) tant américains qu'européens. Du moins, c'était le cas au troisième trimestre 2008 lorsque les informations publiées aujourd'hui furent collectées. Les données recueillies auprès d'un millier de responsables indiquent aussi qu'elle s'inscrit dans une nette remise en cause des "technologies PC" traditionnelles. Parmi les 500 entreprises interrogées, dont 45% disposent de parcs de 100 à plus de 1 000 serveurs x86, 46% ont déjà des environnements virtualisés en service, 9% comptent en installer d'ici le troisième trimestre 2009 et 29% s'y intéressent de près et prévoient des budgets pour le faire. Ces chiffres restituent une emprise de la virtualisation supérieure à ce que d'autres études montrent. 44% de ceux qui virtualisent le font depuis deux ans Dans les entreprises qui ont déjà sauté le pas, la virtualisation concerne 31% des instances de leurs serveurs x86. Ce taux devrait atteindre, selon elles, 54% dans moins de deux ans. Forrester constate par ailleurs que les projets de virtualisation concernent aussi de plus en plus d'autres plateformes que celles qui reposent sur l'architecture x86. Globalement le taux de virtualisation aura augmenté de 74% entre le troisième trimestre 2008 et la mi-2009. Parmi ceux qui pratiquent la virtualisation, 44% le font depuis deux ans environ, 19% depuis un an et 6% depuis quelques mois. Sur les plateformes x86, VMware préside largement aux choix et, semble-t-il, pour longtemps. Les réponses indiquent que les entreprises s'orientent vers des parcs virtualisés hétérogènes où VMware est cité dans 66% des cas, Microsoft dans 53% et Citrix dans 35%. Fait intéressant, en 2010, VMware disposerait encore de 59% des suffrages alors que Microsoft n'obtiendrait plus que 44% et Citrix 30%. Des entreprises motivées par la réduction des coûts [[page]] Motivées à 70% par une volonté de réduction des coûts et, aussi, à 57% par une amélioration de l'administration de leur parc, les entreprises s'intéressent également de très près aux alternatives au modèle micro-informatique traditionnel. En additionnant les entreprises qui ont déjà mis en place des solutions de remplacement et celles qui l'auront fait d'ici neuf mois, le taux obtenu dessine une profonde mutation. Ainsi, l'hébergement d'applications sur serveurs concerne 31% d'entre elles, la virtualisation sur le poste de travail 27%, la virtualisation des postes de travail à partir d'un serveur 26%, la virtualisation des applications clientes (streaming) 22% et le déploiement de clients légers 21%. Forrester n'indique pas si la crise profonde que traversent les entreprises actuellement a des effets sur tous ces projets. On peut toutefois supposer qu'elle n'influe pas sur les tendances de fond et, même, qu'elle stimule ces projets qui sont tous focalisés sur une optimisation des coûts. (...)

(06/03/2009 15:29:10)

Oracle annonce son propre outil d'administration de la virtualisation

Oracle continue d'avoir une approche en cavalier seul de la virtualisation. L'éditeur vient d'annoncer Oracle Enterprise Manager 10g Release 5 (10gR5). Cette suite complète de gestion des machines virtuelles englobe, entre autres, la haute disponibilité et la gestion des cycles de vie. Oracle Enterprise Manager se pose aussi en console unique pour administrer environnements virtualisés et physiques. L'éditeur confirme ainsi sa volonté de vouloir conserver le contrôle de la virtualisation de sa base installée. L'éditeur, qui a la triste réputation de rechigner à supporter ses produits sur des plateformes concurrentes, propose son propre hyperviseur à partir d'une technologie Xen. La rumeur lui prête aussi le projet de mettre la main sur Virtual Iron, société qui propose, elle aussi, un hyperviseur conçu à partir de Xen. (...)

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