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(09/03/2009 17:04:19)
Vente liée : Dell peut s'attendre à de nouvelles poursuites judiciaires
Malgré son interdiction par la loi française (article L122-1 du Code de la consommation) et l'opposition manifestée par de nombreuses associations, la vente liée est toujours pratiquée par la quasi-totalité des constructeurs de PC. Du coup, l'Aful a décidé de réagir une nouvelle fois, en revenant sur le cas de Dell : l'association francophone des utilisateurs de logiciels libres estime que, parmi les constructeurs d'ordinateurs plus ou moins enclins à accorder sur demande un remboursement acceptable du système d'exploitation pré-installé, la société Dell représente un cas particulièrement ambigu. « D'un côté, le constructeur a déjà remboursé des particuliers à l'amiable, et propose les mêmes machines avec ou sans système d'exploitation à ses clients grands comptes, rapporte Alain Coulais, responsable du groupe de travail Racketiciel créé par l'Aful. De l'autre, le fabricant a récemment refusé l'achat de machines sans système d'exploitation à l'un de ses clients, un professionnel de petite taille. » 50 000 euros d'amende pour absence de facturation conforme Alain Coulais précise avoir été contacté par une vingtaine de membres du groupe Racketiciels, qui ont entamé une procédure de remboursement auprès de Dell. Plusieurs d'entre eux, ayant épuisé les recours amiables et la conciliation, se disent prêts à entamer prochainement une procédure judiciaire contre le fabricant. Le représentant de l'Aful insiste sur le fait que le matériel et les logiciels sont des produits distincts, et que ce point a été réaffirmé le 17 juin 2008 par un jugement rendu à l'encontre de Dell par le tribunal correctionnel de Montpellier. Constatant qu'en omettant d'afficher le détail du prix des logiciels qui équipent les ordinateurs qu'elle commercialise, elle contrevenait aux dispositions de l'article L 441-3 du Code du commerce, le tribunal a condamné Dell à une amende de 50 000 € pour absence de facturation conforme. Dell avait interjeté appel du jugement. « Dès que la justice demandera définitivement à Dell, qui représente une part importante du marché, ou que les pouvoirs publics demanderont à tous les constructeurs, de rembourser le système d'exploitation sur simple demande, voire de le rendre optionnel dès l'achat, la concurrence sera rapidement rétablie dans le domaine des logiciels », estime Alain Coulais. (...)
(09/03/2009 16:29:17)Hadopi : la menace d'un logiciel mouchard inquiète l'April
L'April (Association pour la promotion et la recherche en informatique libre) tire la sonnette d'alarme contre le projet de loi Hadopi. La lecture du rapport du Conseil général des télécommunications (CGTI) transmis au ministère de la Culture en décembre dernier ne laisse planer aucun doute. Il propose, selon l'April, "l'obligation pour les internautes désireux de garantir leur sécurité juridique d'installer des logiciels propriétaires filtrant leurs communications. Ce qui avait pu être évité dans la loi Dadvsi revient donc au travers du projet Hadopi." A travers son prisme habituel, l'April constate que ce rapport "clarifie l'interprétation du projet de loi Hadopi en énonçant clairement qu'une des finalités est d'imposer des logiciels propriétaires de filtrage sur le poste client." Cette violation des libertés numériques s'ajouterait à celle la suspension de l'accès à Internet (tout en continuant à devoir payer son abonnement). Comme ce fut le cas pour le projet de loi Dadvsi, la finalisation de l'Hadopi, dont le contenu a été durci par la Commission des lois de l'Assemblée nationale, semble se heurter à une réaction des élus de la majorité. Si les sénateurs ont voté le texte comme un seul homme, les députés paraissent en effet plus partagés face au projet de loi. L'April, qui compte désormais plus de 4000 membres actifs, lutte contre toutes les formes d'atteintes aux libertés numériques, en particulier sous la forme de privilèges accordés aux logiciels propriétaires. En juillet dernier, elle avait fait reconnaître par le Conseil d'Etat le droit à la décompilation qui était menacé par la loi Dadvsi et ses décrets d'applications. (...)
(09/03/2009 15:43:01)Annuels Netezza : +39% sur les ventes de datawarehouse
Netezza a bien tiré son épingle du jeu l'an dernier. Le fournisseur américain, spécialisé dans les solutions packagées d'entrepôts de données (appliances de datawarehouses), associant des matériels et des technologies logicielles brevetées, vient d'annoncer une progression de 48% sur le chiffre d'affaires de son année fiscale (échue le 31 janvier 2009). Celui-ci s'établit à 187,8 M$ répartis entre des ventes de produits qui pèsent 76% du total (à 143,5 M$, en hausse de 39%) et un revenu de maintenance en forte augmentation, conséquence naturelle des ventes réalisées : 44,3 M$, soit +87% par rapport à l'an dernier. Sur le quatrième trimestre de l'exercice, le chiffre d'affaires de Netezza s'est établi à 50,6 M$ (+28%), avec une hausse de 70% de la maintenance qui s'est élevée à 12,6 M$. 88 nouveaux clients sur l'exercice Le fournisseur dit avoir gagné 88 nouveaux clients sur son exercice fiscal 2009 dont 22 sur le quatrième trimestre. Il est vrai que Netezza évolue sur un des marchés, le décisionnel, qui peut présenter encore des perspectives de développement cette année puisque les solutions qu'il apporte permettent aux entreprises d'analyser leurs données en profondeur pour améliorer le pilotage et les performances de leur activité. Toutefois, si le fournisseur s'estime en bonne position à très court terme et capable de poursuivre sa croissance quand les conditions économiques le permettront, il reconnaît ne pouvoir faire aucune prévision sur l'année. La semaine dernière, il a racheté la solution d'audit de données de Tizor Systems. Fondée en 2000, la société concurrence des acteurs établis du marché des datawarehouses comme Teradata, Oracle, IBM ou, encore désormais, Microsoft depuis son rachat de Datallegro. Netezza n'est entrée en bourse qu'en 2007. La société a ouvert un bureau en France l'an dernier. (...)
(09/03/2009 15:18:25)IBM facilite la constitution d'entrepôts de données avec Informix
IBM continue de faire évoluer son offre Informix, base de données orientée transactionnel (OLTP, online transaction processing) rachetée en 2001, en apportant à ses clients des outils pour faciliter l'alimentation d'entrepôts de données. L'offre Informix Warehouse Feature, disponible ce mois-ci au niveau mondial, comprend des outils pour préparer les données transactionnelles en vue d'une analyse décisionnelle, celle-ci pouvant se concentrer sur l'environnement Informix ou s'insérer dans une mise en oeuvre plus large impliquant de multiples sources de données. « L'objectif, c'est de ne pas dupliquer les informations puisque nous allons de plus en plus vers du décisionnel opérationnel, explique Isabelle Claverie-Berge, spécialiste de l'offre Information Management au sein d'IBM France. Nous souhaitions avoir une offre de datawarehouse sur Informix, en particulier pour nos clients dans le secteur des télécommunications et de la distribution. » Au-dessus de l'entrepôt de données, les clients pourront utiliser les outils de requête, d'analyse et de restitution de Cognos (racheté par IBM fin 2007). Une composante de l'offre Information Management L'offre Informix est l'une des composantes du catalogue Data Management (gestion des données) d'IBM, lui-même inséré dans l'entité Information Management du fournisseur. Cette dernière se divise en quatre catégories de produits : les bases de données (DB2, mais aussi Informix, SolidDB, une base en mémoire utilisée comme cache des bases relationnelles, U2, base multi-valuée et IMS, base hiérarchique), la gestion de contenus (avec le rachat de FileNet), l'offre Infosphere (ETL, MDM -master data management...) et, enfin, les outils d'analyse décisionnelle et de gestion des performances rassemblés dans l'offre Cognos. Dans l'offre Infosphere figure notamment Metadata Server qui permet de gérer les données de références de bout en bout. (...)
(09/03/2009 15:03:12)Comme les grands comptes, les PME s'adonnent à la virtualisation de serveurs, selon Forrester
Parallèlement à son enquête sur les prévisions d'investissement informatique des grands comptes, le cabinet Forrester a aussi interrogé environ un millier de PME américaines (74%) et européennes (23%, dont un tiers de sociétés françaises). Les résultats de cette enquête doivent néanmoins être relativisés puisqu'elle fut menée au troisième trimestre 2008, avant le marasme économique que nous connaissons actuellement. A cette époque, 61% des sociétés comptaient acheter de nouveaux serveurs x86 dont 70% devaient remplacer des équipements existants. Quant à la virtualisation des serveurs, elle figure en tête de liste des projets. 34% des PME interrogées la pratiquent déjà et 19% souhaitent se lancer d'ici le mois de juin. Un engouement nettement plus marqué que dans les grands comptes. Selon Forrester, ces derniers sont déjà 45% à user de la virtualisation, mais seuls 9% annoncent des projets dans ce domaine. En revanche, toutes catégories d'entreprises confondues, VMware se place en tête de la liste de fournisseurs, devant Microsoft et Citrix. Et ce, tant pour aujourd'hui que pour 2010. Les petites entreprises cherchent à réduire les coûts Les PME veulent réduire les coûts dans les mêmes proportions que les grands comptes (74%) et améliorer la gestion de leur parc de postes clients (60%), mais elles apparaissent plus timorées dans leurs projets d'évolution. Là où l'on trouvait, grosso modo, un tiers de grands comptes en phase de mutation, on ne trouve que 25% de PME dans cet état d'esprit. En revanche, les choix technologiques sont les mêmes. L'hébergement d'applications sur serveur arrive en tête, suivi par la virtualisation sur le poste de travail et celle à partir d'un serveur. La seule différence se trouve dans un intérêt relatif plus marqué pour les clients légers chez les PME que chez les grands comptes. (...)
(09/03/2009 13:08:40)29% des internautes français téléchargent illégalement... de temps en temps
Alors que les discussions sur la loi Création et Internet, dite Hadopi, commencent demain à l'Assemblée, un sondage TNS/Sofres/Logica réalisé pour le quotidien Métro paru aujourd'hui dévoile que 20% des Français admettent avoir déjà téléchargé illégalement des contenus sur Internet. Sur l'ensemble des internautes français, la proportion monte à 29%, plus 8% d'internautes déclarant avoir déjà utilisé du contenu téléchargé illégalement. Ce qui donne un taux d'internautes « pirates » de 37%. Toutefois, la question sur la fréquence des téléchargements illégaux montre qu'il ne s'agit pas d'un acte quotidien. Si on considère la musique, contenu le plus piraté d'après le sondage (par 27% des internautes, devant les films, 19%, les séries TV, 8%, et les jeux vidéo, 6%), seulement 1% des internautes disent en télécharger tous les jours, 4% quelques fois par semaine, 8% quelques fois par mois et 16% moins souvent. 57% des Français de 18 à 24 ans téléchargeraient illégalement du contenu Le sondage montre également que plus les Français sont jeunes, plus ils pratiquent le téléchargement illégal : alors que la proportion de « pirates » est de 20% pour l'ensemble de la population française, ce taux monte à 57% pour les 18 à 24 ans et 40% pour les 25 à 34 ans. Toutefois, ce sondage ayant été réalisé en face à face auprès de 1000 personnes de plus de 18 ans sur l'ensemble du territoire français, pour Guillaume Petit, directeur d'étude chez TNS-Sofres, il est possible que la proportion de pirates soit sous-évaluée. De fait, les résultats ne prennent pas en compte le comportement des adolescents, pour lesquels l'offre illégale est bien plus simple d'accès, plus riche, plus flexible et moins onéreuse que l'offre légale. En outre, comme pour tout sondage, on sait que certaines personnes ne veulent pas reconnaître, même sous couvert d'anonymat, qu'elles ont une activité illégale. De la même manière, il est impossible de détecter d'éventuels vantards. (...)
(09/03/2009 11:52:58)Le marché du Complex event processing se consolide
Oracle et IBM, qui ont déjà fort à faire à rattraper Tibco et Progress sur le marché du CEP, se voient désormais menacés par la fusion de Coral8 et Aleri. Le CEP, pour Complex event processing, est une technologie de traitement des événements au fil de l'eau. Les logiciels de CEP sont capables de filtrer des flux de données pour y déceler des événements particuliers ou des enchaînements particuliers d'événements, et d'agir en conséquence, en envoyant des alertes ou en déclenchant des processus. Le CEP est ainsi très utilisé dans la finance - pour détecter des fraudes ou des opportunités boursières, par exemple - ou la logistique - pour accélérer la prise de décisions. D'après IDC, le marché du CEP est dominé par Tibco (plus de 40% de parts de marché en 2007) et Progress (20% de parts de marché grâce au rachat d'Apama). Viennent ensuite des acteurs aux parts de marché plus réduites, Streambase (7,6%), IBM (7,1% grâce au rachat d'Aptsoft), Oracle (sachant que BEA comptait pour 4,7%)... Anciens spécialistes du secteur, Aleri et Coral8 sont des sociétés non cotées, et ne publient donc pas leurs résultats. Néanmoins, IDC estimait leur chiffre d'affaires à 3 M$ chacune en 2007, ce qui les créditerait de 3,5% de parts de marché. Associés, et forts de 80 clients, les deux éditeurs dépasseraient Oracle et feraient jeu égal avec IBM dans le domaine du CEP. Les moteurs CEP d'Aleri et Coral8 interopérables à court terme, fusionnés à long terme Les termes financiers de l'acquisition de Coral8 par Aleri n'ont pas été dévoilés. Le nouveau groupe indique qu'il conservera quasiment tous les employés de Coral8, ainsi que tous les produits. Ces derniers devraient coexister un certain temps, l'éditeur misant sur leur interopérabilité et leur complémentarité, le moteur d'Aleri étant jugé plus vertical (destiné au monde de la finance) et celui de Coral8 plus horizontal. A plus long terme, toutefois, les technologies elles-mêmes devraient fusionner. Quant aux dirigeants des sociétés, le CEO d'Aleri, Don DeLoach, reste à son poste tandis que celui de Coral8 devient président du conseil d'administration du nouvel Aleri. Don DeLoach compte beaucoup sur l'actuelle crise financière pour doper les ventes de technologies CEP, les banques cherchant, selon lui, à éviter de répéter les erreurs du passé, et ce avec des ressources humaines plus limitées. « Un projet sur trois ces temps-ci traite de la gestion de risques, dit-il. La nature profonde du CEP permet aux techniciens de faire plus avec moins. Les banques suppriment des emplois, mais la vitesse et la complexité des informations circulant sur les marchés augmentant, il y a un impératif de plus en plus grand de gérer le risque et la conformité. » (...)
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