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(24/02/2009 08:21:52)

IBM ouvre un centre de services dans l'Iowa où les salaires sont moins élevés

IBM construit un centre informatique dans la ville de Dubuque, dans l'Iowa, avec le soutien financier de l'état qui apporte 12 M$. Big Blue a indiqué qu'à terme, 1 300 personnes seraient employées sur ce nouveau site pour assurer le support de ses clients américains utilisant ses services d'externalisation. Outre l'aide de l'état d'Iowa, l'intérêt de s'installer dans une ville telle que Dubuque (un peu moins de 60 000 habitants) pourrait résider dans le fait que le niveau de rémunération y est moins élevé comparé au reste des Etats-Unis. Dans cette région, le Midwest, les salaires de la filière IT sont de 20% à près de 50% inférieurs à ceux versés sur les côtes Est et Ouest du pays. IBM devra toutefois respecter certains engagements. Selon l'association de développement The Greater Dubuque qui a pris part aux discussions autour du projet, l'entreprise doit proposer des salaires annuels situés entre 30 000 et 70 000 dollars, avec un salaire moyen se situant aux alentours de 40 000 dollars. 10% des personnes employées par IBM à Dubuque seront issues des effectifs actuels de l'entreprise. Les autres salariés seront recrutés localement auprès d'établissements d'études supérieures situés dans un rayon d'une soixantaine de kilomètres autour de la ville. Le constructeur aurait déjà reçu quelque 3 000 demandes pour des postes à ce jour et les embauches devraient pouvoir débuter dès le printemps. Il y a une semaine, IBM, qui n'a toujours pas levé le voile sur son projet de restructuration, proposait aux salariés concernés par des suppressions de postes de sauver leur emploi en acceptant d'aller travailler dans des divisions de l'entreprise situées dans des zones à bas coût. (...)

(23/02/2009 17:51:03)

Le groupe de conseil BearingPoint veut être placé sous chapitre 11

Le groupe américain de conseil en technologies BearingPoint a demandé la semaine dernière d'être placé sous la protection du chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites. Il a indiqué dans un communiqué qu'il était parvenu à un accord avec ses principaux créanciers pour réduire de façon significative le montant de sa dette. Le groupe précise que ses activités se poursuivent sans interruption et que celles situées en dehors des Etats-Unis ne sont pas affectées. BearingPoint emploie environ 15 000 personnes dans le monde. Son siège social est situé à McLean, dans l'état de Virginie. (...)

(23/02/2009 17:39:58)

IBM dope ses serveurs aux Xeon 7400 et aux Opteron 8300

IBM intègre les processeurs Intel Xeon 7400 et AMD Opteron 8300 45 nm (Shanghai) dans ses serveurs System X. La disponibilité de ces puces pourrait aider IBM à inverser une mauvaise tendance : ses serveurs x64 perdent du terrain face à la concurrence depuis deux trimestres. A compter du début du mois de mars, les System X recevront donc les dernières versions des processeurs pour serveurs d'Intel et d'AMD. Cette disponibilité effective interviendra au moment attendu pour le lancement des processeurs Nehalem pour serveur d'Intel. A entendre le fondeur, cette nouvelle génération devrait chambouler le monde des serveurs. Intel compte sur elle pour distancer définitivement AMD. Elle est créditée d'une capacité de traitement deux fois plus importante que celle des Xeon actuels et d'une bande passante trois à quatre fois plus large grâce à un nouveau FSB (Front Side Bus), QuickPath. En attendant, IBM fait évoluer ses serveurs racks et ses serveurs lames. 96 coeurs en configuration complète Le x3950 M2 (format 4U) va recevoir le Xeon X7460 (hexacoeur à 2,66 GHz, 9 Mo de cache L2 et 16 Mo de L3). Ce serveur est équipé du jeu de composants (chipset) maison X4 qui permet de coupler quatre cartes-mères quadri processeurs. En configuration complète, le x3950 M2 peut donc héberger 96 coeurs. Son petit frère, le quadriprocesseur x3850 M2 (format 4U) va être, lui, mis à jour avec des Xeon E7420 (quadricoeur à 2,13 GHz, 6 Mo de cache L2 et 8 Mo L3). Quant au quadriprocesseur x3755, modèle d'entrée de gamme, il recevra des Opteron Shanghai 83xx à 2,4 et à 2,7 GHz. Parmi ses serveurs lames (BladeCenter), IBM ne fait évoluer que ceux animés par des processeurs AMD. Il a retenu les Shanghai Opteron de dernière génération HE. Cadencés en 2,2 GHz ou en 2,3 GHz, ils viennent s'enficher dans les lames biprocesseurs LS22 et dans les quadriprocesseurs LS42. IBM profite de ces mises à jour de processeurs sur ses serveurs lames pour proposer des barrettes mémoires DDR2 8 Go. Cette densité permet de doubler la capacité mémoire des BladeCenter. (...)

(23/02/2009 17:24:09)

Le mode SaaS n'est pas toujours moins cher, rappelle Gartner

Les directions informatiques ne doivent pas partir du principe que le mode SaaS (software as a service), qui fournit le logiciel en ligne contre un abonnement, est moins cher que la licence classique qui s'installe dans l'entreprise. Un petit rappel bienvenu de Gartner, qui explique qu'il y a eu autour du SaaS une bonne dose de « battage » ayant pu conduire les entreprises à se faire de fausses idées sur le sujet. Ainsi si ce mode est moins coûteux pendant les deux premières années de son utilisation, puisqu'il n'y a ni licence à payer ni matériel à acheter, le coût total de possession sur cinq ans pourrait être moins élevé avec les solutions dites « on-premise », c'est-à-dire installées en interne. Pour faire ce calcul, Gartner prend en compte la dépréciation du matériel d'un point de vue comptable. Engageant à adopter un point de vue réaliste sur le SaaS, Robert DeSisto, vice président de Gartner, met en garde : « Ce qui est préoccupant, c'est que certaines entreprises déploient ce type de solutions en s'appuyant sur de fausses hypothèses. » Le paiement à l'usage est rarement une réalité, selon Gartner Dans un rapport listant les cinq assertions les plus communes autour du Saas (Fast checking : The five most-common SaaS assumptions), Gartner avertit par exemple que ces applications en ligne ne sont pas nécessairement plus rapides à mettre en oeuvre que des solutions plus classiques. Si les fournisseurs indiquent généralement 30 jours comme délai normal de mise en route, certains logiciels requièrent jusqu'à sept mois, indique par exemple le rapport. Les entreprises se trompent encore quand elles pensent qu'elles seront facturées à l'usage, poursuit Gartner. « Dans la grande majorité des cas, les clients ont été amenés à signer des contrats pré-établis comportant une redevance fixe. » Attention aussi aux idées reçues dans l'autre sens Mais, par ailleurs, le rapport de Gartner note que les entreprises peuvent aussi sous-estimer le mode SaaS. Nombre d'entre elles ont ainsi l'impression qu'elles ne pourront pas intégrer le logiciel en ligne avec leurs applications internes ou leurs sources de données ; alors que ces données peuvent être au départ chargées vers l'application SaaS, puis mises à jour régulièrement, ou mises à jour en temps réel au moyen de services Web. En outre, rappelle Gartner, il ne faut pas oublier que les applications SaaS peuvent être personnalisées et qu'elles ne se limitent plus depuis longtemps à des fonctions de base. (...)

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