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(13/05/2008 12:24:00)

Philippe Bournhonesque Directeur Stratégie Software France, IBM

le coud computing (...)

(12/05/2008 23:54:05)

HP serait prêt à débourser 13 Md$ pour EDS

HP serait tout prêt de mettre la main sur la SSII américaine EDS. D'après le Wall Street Journal, HP pourrait débourser quelque 13 Md$, soit près de 37% de mieux que la capitalisation boursière d'Electronic Data Systems à la cloture de la Bourse vendredi dernier. Les deux sociétés ont simplement confirmé être en discussion. Ce rachat permettrait à HP de se rapprocher du numéro un des services, IBM. Selon des chiffres compilés par Gartner, en 2007, IBM dominait le marché, avec un chiffre d'affaires de 54 Md$ (7,2% de part de marché). Venait ensuite EDS (22 Md$, 3%) puis HP (17 Md$, 2,3%). EDS avait un temps été convoitée, selon la presse financière allemande, par Deutsche Telekom. (...)

(12/05/2008 15:43:44)

Limiter Linux sur les PC à bas coût : les plans de Microsoft

Microsoft entend offrir des rabais importants sur Windows XP Home Edition afin d'encourager les fabricants de PC à utiliser ce système d'exploitation plutôt que Linux sur les PC à bas coût. Afin d'être éligibles, cependant, les fabricants de PC devront limiter la taille des écrans à 10,2 pouces, les disques durs à 80 Go et ne pourront pas offrir d'écrans tactiles. Ce programme est décrit dans des documents confidentiels que Microsoft a transmis aux fabricants de PC le mois dernier, et qui ont été obtenus par l'agence de presse IDG News Service (IDG est actionnaire minoritaire d'Adthink Media, éditeur de LeMondeInformatique.fr). L'objectif apparemment est de limiter les possibilités matérielles des PC à bas coût, afin qu'ils ne viennent pas mordre sur le marché plus important des PC fonctionnant sous Vista, ce que Microsoft comme les vendeurs de PC veulent éviter. Pas de commentaire de la part de Microsoft « Imposer des limites résout un certain nombre de problèmes pour l'industrie des PC. Cela permet aux fabricants de PC de fournir une alternative à bas coût, et cela empêche l'érosion des prix et des marges sur le marché principal du système d'exploitation », déclare Roger Kay, analyste et président de EndPoint Technologies Associates. Microsoft s'est refusé à tout commentaire concernant les documents. « Nous ne parlons pas de manière publique sur nos accords avec les fabricants de PC », a déclaré la société via son agence de relations presse. ...[[page]]... Les PC à bas coût sont une nouvelle classe de produits dont les prix sont situés entre 250$ et 500$. Les exemples sont les Asus EeePC et les machines XO du projet One Laptop Per Child. Ces systèmes ont déjà des configurations matérielles limitées. Le programme de Microsoft apparaît conçu afin de s'assurer que la distinction soit maintenue et empêcher que les PC à bas coût ne viennent cannibaliser les ventes des systèmes de plus haut de gamme, estime Roger Kay. Conserver les PC à bas coût à part Plus de vingt modèles sont attendus dans les six prochains mois, et Microsoft s'attend à ce que de 10 à 13 millions de ces équipements soient vendus cette année, selon les mêmes documents. Le cabinet IDC est plus modeste. Jeudi dernier, le cabinet d'analystes déclarait que les ventes de PC à bas coût atteindraient 9 millions d'unités en 2012, contre 500 000 en 2007. Microsoft relève que les systèmes d'exploitation examinés pour ces équipements comprennent Windows et Linux. Certains fabricants de PC ont exprimé une préférence pour Linux car il aide à réduire le coût de ces équipements (Asus a lui choisi de proposer les deux au même prix, mais d'offrir une configuration matérielle plus évoluée pour la machine Linux, afin de compenser le différentiel de prix). Microsoft affirme que les fabricants de PC ont envie d'entrer sur ce marché mais veulent conserver les PC à bas coût ...[[page]]... comme une catégorie de produits distincte des PC qui forment le gros du marché et représentent la « valeur » du marché. Le nouveau programme de Microsoft, dont le lancement est prévu pour la fin Juin, est conçu pour aider ces fabricants de PC. 26$ pour une version de Windows XP Home Selon les documents, Microsoft prévoit de facturer les fabricants de PC 26 $ pour Windows XP Home Edition pour les PC à bas coût destinés aux marchés émergents tels que la Chine et l'Inde, et 32 $ pour ceux qui seront vendus dans les marchés développés. Les fabricants de PC qui sont éligibles à l'accord de développement des marchés, cependant, peuvent obtenir un rabais de 10 $ sur ces tarifs. C'est là que les limites matérielles interviennent. Outre les limites sur les écrans et les disques durs, les systèmes ne peuvent avoir plus de 1 Go de RAM, et un processeur à un seul coeur fonctionnant en dessous de 1 GHz. Le programme prévoit un cas particulier pour certains processeurs tels que le C7-M de Via Technologies, qui fonctionne entre 1 et 1,6 GHz ou l'Atom N270 d'Intel. Stopper la marche en avant de Linux « En offrant Windows XP Home Edition à bon marché, Microsoft espère garantir sa place sur le marché des PC à bas coût, et réduire l'usage de Linux », estime un représentant d'un fabricant de PC qui entend rester anonyme car il n'est pas autorisé à discuter le programme proposé par Microsoft. « Les fabricants de PC à bas coût ont réalisé quelques bonnes percées grâce à l'Open Source, et Microsoft veut y mettre un terme », ajoute-t-il. Ce dernier ne semble pas opposer au programme de Microsoft. Il esytime que cela devrait stimuler la concurrence entre Windows et Linux sur le marché des PC à bas coût, et dynamiser les ventes parce que, selon lui, les consommateurs qui veulent un PC facile à utiliser devraient préférer Windows. Microsoft a déclaré qu'il arrêterait les ventes de nouvelles licences Windows XP après le 30 juin, mais l'éditeur a fait des exceptions, notamment pour l'usage de XP Home pour les PC à bas coût. (...)

(12/05/2008 15:26:43)

Microsoft fait appel de sa condamnation à 899 ME

Finalement, Microsoft a décidé de faire appel de sa condamnation à 899 ME infligée par l'UE pour n'avoir pas rempli les obligations imposées par la Commission en mars 2004. Jack Evans, porte-parole de l'éditeur, dit avoir interjeté appel auprès de la Première cour du Luxembourg afin d'annuler l'amende record du 27 février dernier. Microsoft n'a émis qu'un commentaire : « Cet appel est un effort constructif dans une recherche de la clarté auprès de la Cour. » Certains analystes s'étonnent du calendrier choisi par Microsoft, alors que ce dernier a commencé justement à ouvrir davantage la documentation de ses protocoles. L'annonce avait d'ailleurs été faite quelques jours seulement avant que l'UE ne décrète cette annonce. (...)

(09/05/2008 18:28:04)

Une voiture Google parcourt Paris afin de cartographier la ville

Le service Street View de Google nécessite qu'un véhicule se déplace dans les rues des villes afin de disposer d'images vues du sol. L'information provient du site zorgloob.com, spécialisé dans les informations sur Google et qui publie une photo de la voiture en question. Il s'agit d'un modèle Opel, doté d'un impressionnant appareillage de prise de vues sur son toit. Un discret logo Google apparaît sur la portière du véhicule. D'autres villes européennes sont cartographiées de façon similaire. Par le plus grand des hasards Par un hasard des plus étonnants, un véhicule de Google est passé vers treize heures par Puteaux, juste en face des bureaux de notre publication, LeMondeInformatique.fr. Ce véhicule ne possède pas de logo Google sur ses portières, c'est son chauffeur - très pressé alors qu'il était en train de retirer la housse de protection de l'appareillage de prise de vues - qui nous a confirmé travailler pour Google. Un de nos journalistes, Peter Sayer, a eu tout juste le temps de prendre les photos de la voiture afin d'illustrer cet article. Le droit à l'image en France Les prises de vue destinées au service Street View viennent compléter les images par satellite offertes par le service Google Maps. Si ce service va ramener énormément de données à Google, la société risque aussi de récolter quelques poursuites vu le contexte particulier des lois sur le droit à l'image en France, et selon la manière dont les images seront exploitées.[[page]]Vu le beau temps qui règne sur Paris, les terrasses des cafés risquent d'être pleines de monde et elles vont être captées par les appareils photo de Google. Or, vu les règles sur le droit à l'image en France, il est interdit de publier ces photos sans l'accord des intéressés. Les photos incriminées retirées Jusqu'alors, Google attend afin de ne lancer le service en Europe que lorsqu'il a pu s'assurer de respecter les législations locales, a assuré un porte parole officiel du groupe à l'agence de presse IDG News Service. Aux Etats Unis, le service Street View a déjà entraîné quelques poursuites judiciaires depuis son lancement en Mai 2007. La réponse de Google a été de retirer les images incriminées. (...)

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