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(09/05/2008 18:06:08)

Après Yahoo, Microsoft cherche d'autres prétendants

Après trois mois de cour assidue, émaillée de rencontres officieuses, de menaces et d'offres revues à la hausse (33 $ par action, contre les 31 $ initialement proposés), Microsoft a tout bonnement tourné le dos à Yahoo, estimant pouvoir se passer de l'aide du pionnier de la recherche en ligne. Même Bill Gates, co-fondateur de la société, a déclaré que Microsoft se concentrait désormais sur une stratégie axée autour de l'indépendance. Microsoft fourbit ses armes Indépendance ? Pas si sûr que ça. Microsoft bataille fermement pour augmenter sa part de marché sur le secteur de la publicité en ligne. La marge de l'éditeur se cantonne à ce jour à une peau de chagrin. L'énormissime Google écrase en effet sur son chemin tout concurrent potentiel, à grand renfort de services professionnels et grand public. Dépité sans l'avouer, Microsoft tente une approche vers Facebook, le réseau social dans lequel il a investit 240 M$, et même AOL, ennemi juré de Yahoo. La saga continue... (...)

(09/05/2008 17:49:14)

Dell entre de plain-pied dans la virtualisation

Dell n'hésite pas à annoncer une stratégie de virtualisation articulée autour d'annonces de serveurs, de systèmes de stockage et de service. Au niveau des serveurs, Dell promet de livrer rapidement les serveurs racks R805 (2U) et R905 (4U). Le premier peut accueillir deux processeurs AMD Opteron bi (2200) ou quadricoeur (2300), le second quatre Opteron 8200 ou 8300. Dans les semaines à venir, le constructeur prévoit aussi de livrer ses serveurs 2950, R900, 1950, 2900 ainsi que les lames M600 et M605 équipés de VMware ESXi 3.5 ou de Citrix XenServer. A noter que, pour l'heure, Dell ne supporte aucun autre hyperviseur. A la suite de son rachat d'EqualLogic, Dell fait miroiter le haut niveau d'intégration des baies de stockage iSCSI de cette marque avec VMware Site Recovery Manager. Enfin, côté service, Dell dévoile toute une batterie de prestations autour de la virtualisation. C'est un défi pour l'activité service du constructeur qui va devoir apporter un niveau de prestation suffisant pour accompagner ses clients dans la découverte des arcanes de la virtualisation. (...)

(09/05/2008 17:29:22)

Trimestre décevant pour Osiatis en raison de projets retardés

Début d'année fiscale poussif pour Osiatis qui invoque des projets retardés et des difficultés de recrutement pour expliquer une croissance de 1,1% de son CA au premier trimestre. Sur le premier trimestre de l'exercice 2008, la SSII a en effet réalisé un CA de 60,2 millions d'euros (ME) contre 59,5 au premier trimestre de l'exercice précédent. C'est la France qui affiche une certaine méforme avec un CA stable à 52,7 ME contre une progression de 7% à l'international avec un CA de 7,5 ME. (...)

(09/05/2008 17:25:45)

Les actionnaires de Google le questionnent sur les droits de l'Homme

Au cours de leur réunion annuelle, les actionnaires de Google ont fini par rejeter deux propositions sur la politique de l'entreprise en matière de droits de l'Homme. Ce faisant, ils ont suivi l'avis du conseil d'administration. Malgré le vote, le sujet a dominé l'ensemble de la réunion. Sergey Brin, co-fondateur et président des technologies, s'est abstenu sur les deux propositions. Il a expliqué être en accord avec leur esprit mais pas complètement avec leur formulation. La première idée des actionnaires provenait d'un fonds de pension des employés de la ville de New York qui représente 200 M$ chez Google. Présenté par Tony Cruz, représentant d'Amnesty International, elle suggérait que Google institue des politiques de protection de la liberté d'accès à Internet. Ce qui aurait impliqué que l'Américain use de tous les moyens légaux pour refuser d'appliquer la censure, qu'il informe les utilisateurs lorsqu'il aurait dû céder sur le sujet, qu'il conserve les informations permettant d'identifier les utilisateurs uniquement dans les pays qui ne restreignent pas l'accès à Internet. Peut nettement mieux faire La seconde proposition refusée à la réunion des actionnaires réclamait la création d'un comité des droits de l'Homme chez Google. Celui-ci aurait vérifier les implications en la matière de la politique globale de l'entreprise. Comme l'a expliqué Tony Cruz, Google participe à une initiative pour définir des règles quant à la façon dont les entreprises devraient répondre aux demandes de censure dans des pays comme la Chine. Un pas dans la bonne direction, comme le confirme le représentant d'Amnesty International, mais Google n'a par ailleurs procédé à aucune amélioration depuis son installation en Chine. Plusieurs entreprises technologiques américaines ont elles-aussi, récemment, été critiquées pour leurs activités en Chine. Et Google était en première ligne avec une version de son moteur de recherche qui se conforme à la censure exercée dans l'Empire du Milieu. Il s'est défendu, arguant qu'il valait mieux avoir une présence dans le pays et offrir un peu d'information à la population plutôt que de ne pas être présent du tout. Google aurait inspiré Baidu vers plus d'ouverture [[page]]Pour défendre les activités de Google en Chine, Sergey Brin assure que l'entreprise veille, bien plus que d'autres éditeurs de moteurs de recherche, à ce que l'information soit librement accessible. Il a sans doute ainsi fait référence à Yahoo qui a fourni aux autorités chinoises des informations qui ont conduit à l'emprisonnement d'un écrivain. Selon son co-fondateur, Google aurait même influencé Baidu, le moteur de recherche local. A l'instar de son homologue américain, ce dernier aurait ainsi commencé à indiquer à ses utilisateurs quand il omettait une information sur demande du gouvernement. Sergey Brin assure que Google ne s'est pas installé en Chine pour les revenus qu'il pourrait en tirer. "Notre objectif premier dans des pays comme celui-là n'est pas de générer le maximum de chiffre d'affaires, affirme-t-il. Nous pourrions abandonner notre site demain sans que cela n'ait aucun effet sur nos résultats. En Chine, notre but était de faire ce qu'il y avait de plus positif. » Une remarque qui fut loin d'apaiser l'ensemble des actionnaires présents dans la salle. (...)

(09/05/2008 17:14:26)

La Cour de cassation juge que Alapage n'enfreint pas la loi Lang

Assurer la livraison gratuite d'ouvrages commandés sur Internet n'enfreint pas la loi Lang de 1981. C'est ce que vient d'établir un arrêt du 06 mai 2008 de la chambre commerciale de la Cour de cassation dans le cadre d'un contentieux opposant le site de vente en ligne Alapage et le syndicat de la librairie française (SLF). La loi Lang , établie il y quelque vingt ans, bien avant avant l'apparition de la librairie en ligne Amazon et le développement du commerce électronique, visait à protéger les libraires face à la grande distribution. Elle impose notamment aux revendeurs de commercialiser les livres dans une fourchette comprise entre 95% et 100% du prix de vente fixé par l'éditeur. En s'appuyant sur cette loi, le syndicat de la librairie française pointait du doigt les frais de port gratuits proposés sur le site Alapage, en invoquant plus précisément l'article 6 qui n'autorise les ventes à prime que sous certaines conditions. Dans un premier temps, la Cour d'appel de Paris a jugé que l'annonce de la livraison gratuite du livre constituait une incitation à l'achat, ce qui pouvait correspondre à la définition d'une prime. La Cour de cassation estime en revanche qu'il ne s'agit pas d'une prime mais de la prise en charge, par le vendeur, d'un coût lié à son obligation de délivrer son produit, selon le communiqué diffusé par Alapage. (...)

(09/05/2008 16:58:19)

L'action Sodifrance est suspendue

L'action de la SSII Sodifrance est suspendue ce vendredi matin 9 mai à l'ouverture des cours. Elle le sera jusqu'au 19 mai, précise Franck Mazin son PDG qui publiera un communiqué mardi 13 mai prochain en fin de journée. L'opération en cours ne lui autorise pas à communiquer d'autre information. La société vient juste de publier ses résultats trimestriels. A périmètre constant, Sodifrance a progressé de 6,9% sur le 1er trimestre avec 17,3 millions d'euros (ME) de CA contre 11,8 ME au 1er trimestre de l'exercice précédent. En tenant compte des deux acquisitions, API-Group et Onext, la croissance serait de 46,7%. (...)

(09/05/2008 13:53:52)

Henning Kagermann évoque l'avenir de SAP, un an avant son départ

Les conférences Sapphire qui réunissent en ce mois de mai les utilisateurs des applications de gestion de SAP (à Orlando, du 04 au 07, à Berlin du 18 au 21) figurent parmi les dernières auxquelles Henning Kagermann assistera comme PDG de l'éditeur allemand, numéro un mondial des progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP). Il est en effet prévu que le dirigeant transmette les rênes de l'entreprise l'an prochain à Léo Apotheker. Henning Kagermann se dit sur la même longueur d'ondes que son futur successeur avec lequel il a déjà travaillé pendant de longues années. Depuis un mois déjà, les deux hommes co-dirigent la société, à la demande d'Henning Kagermann lui-même. « Cela me permettra de transmettre mes responsabilités tranquillement. Je n'ai aucun souci, » a-t-il confié à IDG News Service. Avec son équipe, [Léo Apotheker] fera en sorte d'atteindre les objectifs fixés pour 2010. » L'éditeur devrait attendre l'an prochain pour dévoiler sa stratégie au-delà de 2010. « J'aurais pu le faire cette année, mais j'estime qu'il faut impliquer la nouvelle équipe dans cette démarche ». Un dirigeant qui connaît bien SAP SAP a toujours compté de nombreux ingénieurs et scientifiques dans son encadrement. Pour autant, le profil plus commercial de Léo Apotheker ne gêne pas le futur retraité. « SAP est une entreprise différente maintenant. Grande, équilibrée. Les enjeux technologiques sont pris en charge par un très grand nombre de collaborateurs. La responsabilité n'en incombe plus à une seule personne. Partant de là, nous avons davantage besoin d'un dirigeant qui comprend SAP et les problèmes de ses clients, et qui soit capable de rassembler une bonne équipe autour de lui. C'est ce qui me paraît le plus important à l'avenir. » Pour Henning Kagermann, il n'est pas nécessaire d'être ingénieur pour conduire une entreprise d'édition de logiciels. Le concept de co-PDG, très particulier, fonctionnerait sans doute moins bien aux Etats-Unis où l'on trouve de fortes personnalités comme Larry Ellison ou Steve Ballmer. Henning Kagermann reconnaît que les dirigeants américains avec qui il s'entretient sont plutôt surpris de cette direction partagée. Mais « pour SAP, ce n'est pas exceptionnel. Moi-même, j'ai co-dirigé l'entreprise entre 1998 et 2003 avec Hasso Plattner [NDLR, l'un des cinq co-fondateurs de la société en 1972] » Il s'agit avant tout de bien préparer la transition, d'assurer une succession sans rupture. Cette année de co-direction, c'est un « bon signal » que SAP envoie pour montrer qu'il n'y aura pas de changement radical. « Les décisions prises aujourd'hui sont soutenues par le prochain PDG, c'est nettement mieux, » juge Henning Kagermann. Il n'y a personne qui ne puisse être remplacé en interne[[page]] Interrogé sur le départ, l'an dernier, du directeur technique Shai Agassi, forte personnalité qui aurait dû le remplacer, le dirigeant dit respecter les décisions de chacun. Il fait aussi remarquer que SAP compte dans ses rangs de très nombreux talents et souligne qu'il n'y a personne qui ne puisse être remplacé en interne. « Si une entreprise ne peux pas faire cela, c'est qu'elle a un problème. Il doit en être ainsi. » Et s'il devait dresser un bilan de son action, le dirigeant retient que, depuis 2002, alors que le contexte économique était particulièrement difficile, l'éditeur allemand est revenu à une croissance à deux chiffres et a gagné des parts de marché. Le rachat de Business Objects [NDLR, éditeur français, spécialiste des applications décisionnelles] a constitué la plus importante acquisition de l'histoire de la société. Enfin, Henning Kagerman, rappelle l'ampleur du projet SAP Business ByDesign [NDLR : solution de gestion hébergée pour les PME qui, tant par la nature de son modèle économique qu'au niveau technologique, constitue un défi de taille pour SAP]. Le dirigeant estime qu'il partira en laissant l'entreprise dans une bonne position pour croître sur de nouveaux secteurs et dotée d'un bon portefeuille de produits pour les cinq à dix ans à venir. (...)

(09/05/2008 13:53:32)

AMD saute de 6 à 12 coeurs, sans passer par la case octo-coeurs

Aux prises avec des difficultés financières et après les retards et les bogues de son quadri-coeurs Barcelona, AMD semble se débattre comme un insecte sur le dos. Et ses récentes attaques en justice contre Intel, par exemple, même si elles se révèlent justifiées, n'auront aucunement résolu ses problèmes. Mais le fondeur a finalement décidé de prendre ces derniers à bras le corps en bouleversant la feuille de route de ses produits. Fini l'octo-processeur ! AMD passera directement à douze coeurs, et ce dès 2010. "C'est un choix qui reflète des considérations autant techniques que financières, commente Dean McCarron, analyste chez Mercury Research. Il devrait permettre à AMD d'installer davantage de coeurs sur ses puces tout en augmentant ses marges sur les produits et en réduisant ses coûts de fabrication. » Magny-Cours et ses 12 coeurs devraient arriver début 2010 La puce à douze coeurs devrait être disponible dans les serveurs dès la première moitié de 2010. Elle porte le doux nom de Magny-Cours, en référence au grand prix de France de Formule 1 et s'installera sur la 3ème génération de socket Opteron, la plateforme G34. Celle-ci sera compatible avec la mémoire DDR3 et comprendra entre autres un chipset destiné au protocole HyperTransport 3.0 non-cohérent. La mémoire cache de niveau 3 de Magny-Cours atteindra 12 Mo. Autres éléments de la roadmap, le processeur au nom de code Istanbul et ses six coeurs devraient arriver dès le second semestre de 2009. En 2010 suivra Sao Paulo, une version de cette puce adaptée au nouveau chipset, avec 6 Mo de cache de niveau 3 et une compatibilité DDR3. Toutes les nouvelles puces seront fabriquées en 45 nm. Même le quadri-coeur Barcelona fabriqué en 65 nm sera remplacé par un autre quadri-coeurs gravé plus finement, le Shanghai.[[page]] AMD commencerait-il à tirer les leçons de ses erreurs passées? Bien évidemment plus efficaces et plus performants, les douze coeurs seront aussi des puces plus faciles à fabriquer que les octo-coeurs comme le note AMD. D'autant plus facile qu'il s'agira en réalité de deux hexa-coeurs. Petit retour en arrière : pour ses quadri-processeurs, le fondeur avait fait le choix techniquement plus performant d'installer quatre coeurs sur une même puce là où Intel jouait le vrai-faux quadri-coeurs. Le rival d'AMD a en effet installé deux double-coeurs sur ses puces. Une option qui lui a permis de se positionner sur le marché avant AMD. La puce sera plus puissante, mais plus simple à fabriquer Cette fois, AMD a compris et opte pour douze coeurs installés en deux groupes de 6, sur deux puces distinctes. Douze coeurs sur une même puce seraient plus difficiles et plus chers à obtenir. "Il ne faut pas non plus oublier, rappelle Dean McCarron, que faire l'impasse sur l'octo-coeur évite à AMD une concurrence directe avec Intel. Après son Xeon à 6 coeurs prévu au second semestre, celui-ci proposera en effet rapidement une puce à 8 coeurs." Même avec cette nouvelle feuille de route, plus raisonnable, AMD reste dans un contexte très difficile. Intel a livré 78,5% des processeurs dans le monde au premier trimestre 2008. Même si il a augmenté sa part de marché (18,7% T1 2007), AMD s'est contenté d'un petit 20,6%. Il est aussi contraint de supprimer plus de 1600 emplois au troisième trimestre. (...)

(09/05/2008 12:11:19)

Vente liée : Asus condamné par le Tribunal de Caen

En plein coeur d'un procès qui oppose l'UFC-Que Choisir à des constructeurs de PC ainsi que de grandes enseignes depuis deux ans, l'association de consommateurs vient de remporter encore un round. Un particulier a en effet porté plainte auprès du Tribunal de proximité de Caen (Calvados), mécontent de devoir acheter un ordinateur Asus avec des logiciels pré installés (et donc payants) dont il ne voulait pas. Le Tribunal a tranché en faveur du plaignant, et a condamné Asus à lui rembourser le prix des logiciels imposés par cette vente liée. En septembre dernier, le Tribunal de proximité de Puteaux (92) avait donné gain de cause à un autre consommateur contre Acer, pour des raisons similaires. L'Aful (association francophone des utilisateurs de Linux et des logiciels libres) se félicite évidemment de cette décision. Dans un communiqué, elle indique : « en attendant le jugement du TGI, cette décision devrait amener les constructeurs informatiques à se montrer plus conciliants en matière de remboursement. (...) Ils devront revoir leurs pratiques, sous peine de voir les recours se multiplier ». L'Aful rappelle également que tout client dispose de la liberté d'opter pour le système d'exploitation de son choix, et milite pour la possibilité d'acheter des ordinateurs « nus ». D'après eux, « la pré-installation de Windows ne devrait pas être une obligation, mais une option ». Des articles du Code de la Consommation (en particulier l'article L.122-1) vont d'ailleurs dans ce sens, en interdisant la vente liée. Dans les faits, la loi est loin d'être appliquée. (...)

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