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(01/04/2008 19:09:58)

Index Freelance.com : les spécialistes de Cobol entrent au top 10

Les compétences en environnement Unix, les administrateurs, ingénieurs et développeurs tiennent toujours le haut du pavé : plus d'une offre sur cinq concerne en effet ce type de profils. Les spécialistes d'Oracle et les ingénieurs de projets Internet et Java suivent, en restant très près. Absents des classements de Freelance.com depuis de nombreuses semaines, les spécialistes du langage de programmation Cobol, des analystes pour la plupart, font leur entrée à la 8ème place du palmarès. Dans la course aux dix spécialités les plus demandées sur des missions de courte durée, les programmeurs spécialisés (C++, Java, J2EE et désormais COBOL) sont de plus en plus recherchés. Les experts en logiciels de gestion sont doublés par les spécialistes des bases de données. En revanche, Freelance.com ne note pas d'évolution majeure de l'indice de la rémunération des experts free-lance, qui frôle toujours la barre des 500 €. Méthodologie : Les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 571 offres de projets informatiques disponibles au 31 03 2008 (pondération par rapport à l'importance de la demande). (...)

(01/04/2008 18:45:36)

Gilles Berhault regrette l'absence des TIC durant la semaine du développement durable

A l'occasion de la semaine du développement durable qui se déroule du 1er au 7 avril, Gilles Berhault, président de l'Acidd (Association communication et information pour le développement durable) évoque ses regrets de ne pas entendre davantage parler des TIC et de la société de la connaissance. Jusqu'en 2007, l'Acidd organisait chaque année le forum TIC21 évoquant les impacts réciproques entre développement durable et TIC. A partir de 2008, il va mettre en branle des groupes de réflexion et de travail plus restreints (80 à 100 personnes) entre experts autour du même sujet. (...)

(01/04/2008 18:32:07)

Première offensive commune de SAP et BO France

C'est à l'unisson que Pascal Rialland et Marc Béhar, les directeurs généraux de SAP France et Business Objects France, ont détaillé, ce matin à Paris, le contenu de leur portefeuille unifié de solutions décisionnelles. Quelque 550 clients avaient été réunis dans un restaurant du Bois de Boulogne pour la première étape d'un Tour de France consacré à la version 3.0 de la plateforme BusinessObjects XI, annoncée mi février. Plus forts ensemble que séparément, affirment les deux dirigeants. « Nous sommes à la tête d'un capital produit et humain sans précédent sur le marché qui doit constituer un vecteur de croissance extrêmement fort pour SAP », s'enorgueillit Pascal Rialland. Le patron de la filiale française présente la plateforme de Business Objects comme le point fort de l'offre commune, une plateforme « agnostique », indépendante des applications, tient-il à rappeler, qui s'insère dans une offre SAP ayant « fait sa révolution d'ouverture avec Netweaver, en franchissant le pas de l'intégration avec les solutions non SAP. Et cela, nous n'entendons absolument pas le changer ». « Faire fructifier l'actif » Comme LeMondeInformatique.fr l'avait déjà indiqué dans son édition du 27 mars, les deux éditeurs ont dû procéder à des arbitrages entre certaines de leurs offres, principalement parmi les produits de gestion de la performance, en raison des recouvrements fonctionnels apparus après la fusion (cf « SAP réajuste son catalogue décisionnel après l'absorption de BO ». [[page]] Mais, pour ne pas brusquer la migration des clients, les offres sur lesquelles les développements vont être arrêtés seront, selon les contrats, maintenues pendant trois à sept ans, voire davantage. L'éditeur allemand s'apprête à investir des marchés où il est encore peu présent mais où BO, au contraire, est fortement implanté, afin de « fertiliser le terrain », de « faire fructifier l'actif ». Parmi les points forts de BO, outre sa plateforme décisionnelle, figure notamment la base installée de Cartesis (solution de consolidation financière). D'ailleurs, les dirigeants ne s'en cachent pas. Les objectifs de la nouvelle entité « SAP Business Objects » ont été revus à la hausse. Ils dépassent de 5 à 10% les objectifs respectifs que chaque éditeur s'était respectivement fixé avant le rapprochement. Une ambition alimentée par l'évolution de certains projets dont le périmètre s'est étendu face à l'offre combinée de SAP et BO, et confortée par la marge de manoeuvre sur le terrain. « Les recoupements de projets chez nos clients respectifs sont très limités en France », confirme Marc Béhar, DG de Business Objects France. Une dimension d'ouverture essentielle Le catalogue fusionné de l'entité « SAP Business Objects » comprend deux grandes catégories de produits. On y distingue, d'une part, les applications de gestion des risques (de SAP) et les outils de pilotage opérationnel et de gestion de la performance financière (où cohabitent solutions SAP et BO). D'autre part, on trouve la plateforme décisionnelle apportée dans la corbeille par BO : un éventail de logiciels très bien implanté en France où BO compte 4 000 clients. Rappelons que la plateforme décisionnelle réunit des outils de gestion des données (intégration, qualité, métadonnées, MDM apporté par SAP, datamarts) et de restitution de l'information (reporting, analyse multidimensionnelle, tableaux de bord, recherche, diffusion, analyse prédictive). « Cette offre apporte une dimension d'ouverture essentielle à SAP », reconnaît Vincent de Poret, responsable chez SAP des solutions pour les directions financières. (...)

(01/04/2008 17:12:40)

3% du trafic Internet servirait aux attaques en dénis de service

Entre 1 et 3% des données circulant sur Internet sont dénuées d'information, et sont utilisées dans les attaques par déni de service distribué (DDOS), selon une étude d'Arbor Networks. Cette société, spécialisée dans l'analyse des trafics réseaux, a surveillé pendant 18 mois les données transitant entre 68 fournisseurs d'accès Internet dans le monde. Arbor Networks a dénombré 1300 attaques par jour en moyenne, avec des pics de 6% et une baisse sensible au moment des fêtes. Dans la majorité des cas, ce sont des serveurs IRC (Internet relay chat, autrement dit de messagerie instantanée) qui sont la cible de ce type d'attaques. Le déni de service distribué est une technique qui consiste à submerger les serveurs Internet de requêtes (en se dissimulant derrière des machines-rebonds, à l'insu de leur propriétaire) afin de réduire les performances des sites Web (temps d'affichage des pages ou d'envoi d'un e-mail), voire de les paralyser pendant quelques minutes. C'est ce qui est par exemple arrivé à Wordpress en février dernier. L'étude souligne en outre que ces attaques sont de plus en plus répétées et difficiles à endiguer. (...)

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