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(21/03/2008 15:26:55)

Le club des utilisateurs de SAP étudie le développement durable

Le Printemps de l'USF a réuni les utilisateurs francophones de SAP le 20 mars 2008 à l'Eurosites George V (Paris). Ce fut l'occasion de se pencher sur la question du développement durable. Chez l'éditeur, la démarche est prise en charge à travers l'offre SAP GRC. L'acronyme GRC signifie ici, Governance Risk Compliance, c'est-à-dire, mise en conformité réglementaire dans le cadre de la gestion des risques (et non pas gestion de la relation client). Outre la responsabilité environnementale et sociétale des entreprises, le sujet impacte les sociétés à cause du principe de précaution (avec les risques juridiques associés) et de la nécessité de respecter les réglementations. L'offre SAP GRC, qui permet notamment de gérer les substances au lieu des seuls produits, est confiée à la commission « finances » de l'USF. Il s'agit en fait de neuf modules ou groupes de modules pour le contrôle des processus ; le management des risques ; le contrôle de la conformité des pratiques aux réglementations financières, douanières ou sur le transport ; les inventaires REACH ; le suivi des conditions de travail (y compris la médecine du travail) ; etc. Ces modules gèrent les informations requises mais permettent également d'effectuer toutes les déclarations obligatoires. Réduire la production de CO2 Christophe Stener, secrétaire général de HP France a rappelé que 2% de la production de CO2 était liée à l'informatique, c'est-à-dire autant que le transport aérien. Une bonne part peut être réduite mais l'informatique peut aider à réduire les 98 autres pour-cent, par exemple en évitant les déplacements grâce aux vidéo-conférences. Mark Hurd, PDG de HP, a d'ailleurs fixé comme objectif à sa propre entreprise de baisser son impact CO2 de 20%. De plus, en application de la D3E (directive européenne sur la récupération des déchets électroniques), HP recycle chaque année un demi-milliard de tonnes de matériels. Lire la suite de l'article sur CIO-Online.com (...)

(21/03/2008 13:00:23)

100 000 € récoltés par l'IT Cup pour désenclaver les populations isolées

L'IT Cup, tournoi de football mêlant humanitaire et nouvelles technologies, continue de militer pour le désenclavement numérique des populations isolées. Grâce à l'IT Cup 2008 qui aura lieu le 29 juin prochain, à Clairefontaine (Yvelines), un troisième centre de ressources informatiques devrait bientôt être ouvert en Asie, après l'Afrique et l'Amérique centrale. Compétition caritative, l'IT Cup réunit chaque année, depuis cinq ans, les équipes de grandes entreprises informatiques et télécoms (comme Cognos, Dell, Ubisoft, Pivotal CRM et Unisys). Depuis deux ans, elle a permis de récolter plus de 100 000 euros de fonds. Une somme reversée par l'IT Cup à l'association TSF (Télécoms sans Frontières), pour mettre à la disposition des autorités et populations locales des outils de communication et des équipements informatiques adaptés. Grâce aux fonds récoltés, deux « centres IT Cup » ont déjà pu ouvrir leurs portes, d'abord au Niger, puis tout récemment au Nicaragua. Ces centres sont équipés de lignes téléphoniques (nationales et internationales) d'une connexion Internet, et d'équipements informatiques et bureautiques (PC, imprimantes, scanners). Des formations en informatique figurent également au programme, adaptées aux besoins de chaque bénéficiaire, qu'ils soient étudiants, agriculteurs ou membres d'une association locales. (...)

(21/03/2008 12:11:59)

Chargé de mission sur le Web, Nicolas Princen inspire les blogueurs

Nicolas Princen, promu lundi dernier par le président de la République Nicolas Sarkozy au poste de « chargé de mission au service Internet » (aux côtés de Franck Louvrier, conseiller pour la presse et la communication), est en passe de devenir - malgré lui - une véritable star du Web. Ce jeune militant UMP (24 ans), qui avait travaillé sur le site Internet de Nicolas Sarkozy lors de la campagne présidentielle, a pour mission de surveiller tout de ce qui est publié sur le Web à propos du président de la République : sites, blogs, commentaires, photos, vidéos. On se souvient par exemple des écarts de langage de Nicolas Sarkozy lors du salon de l'agriculture exposés d'abord en vidéo sur le Web, ou encore face à la colère des pêcheurs bretons. Des images qui ont fait le tour de la Toile et suscité de nombreuses critiques, aussi bien en France qu'à l'étranger. Avec cette promotion, Nicolas Princen ne se doutait probablement pas du retour de bâton que le monde cruel du Web lui préparait. Sa nomination n'a en effet pas tardé à faire pouffer de rire la blogosphère, voire attirer des commentaires teintés au vitriol. Trois groupes se sont immédiatement créés sur le réseau communautaire Facebook, où l'on peut lire des billets très ironiques. Des vidéos parodiant les deux Nicolas affluent également sur des sites comme Dailymotion ou Youtube. D'autres blogueurs se montrent plus indulgents, prévenant Nicolas Princen qu'il existe plusieurs milliers de blogs sur lesquels il trouvera des choses désagréables sur Nicolas Sarkozy, tout en lui souhaitant - avec un brin d'ironie - « bon courage ». 10 000 billets sur le chef de l'Etat sont publiés quotidiennement sur les blogs francophones, dont 80% sont critiques, selon Nicolas Vanbremeersch, créateur du réseau de blogueurs politiques intitulé « la république des blogs ». (...)

(21/03/2008 11:38:53)

Microsoft renforce son offre de sécurité avec Komoku

Microsoft vient d'annoncer le rachat de la société Komoku, spécialisée dans la conception de solutions pour détecter les rootkits, ces petits programmes capables d'ouvrir des portes dérobées sur l'ordinateur. Les technologies de Komoku devraient être directement intégrées dans la suite de sécurité de Microsoft destinée au grand public, Windows Live OneCare. Elles seront aussi progressivement ajoutées à la version pour entreprises, Forefront. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé mais on sait que Komoku a été financé à hauteur de 2,5 millions de dollars par le département de recherche de la Défense américaine. Fondée en 2004, cette société s'est spécialisée dès le départ dans les logiciels de sécurité pour des organisations très exigeantes dans ce domaine parmi lesquelles figurent les départements de la Défense et de la sécurité intérieure des Etats-Unis. La transaction prévoit le transfert de William A. Arbaugh, l'actuel président et CTO de Komoku, chez Microsoft. Ancien chercheur pour la NSA (National Security Agency) dans le domaine de la sécurité, il est également professeur agrégé en informatique à l'Université du Maryland. Notons enfin que les menaces associées aux rootkits semblent préoccuper Microsoft ces derniers temps puisqu'il s'agit de la seconde acquisition de l'éditeur dans le domaine. En 2006, Microsoft avait en effet racheté la société Sysinternals, éditrice du logiciel Rootkit Revealer, qui s'est illustrée dans la détection du rootkit installé par Sony sur ses CD audio. (...)

(21/03/2008 11:24:26)

L'USF sort un livre blanc sur la migration vers SAP ERP

L'USF, le club des utilisateurs francophones de SAP, a profité de son Printemps 2008 pour diffuser son premier livre blanc, consacré à la migration des anciennes versions de SAP. Le travail est issu des témoignages des adhérents de l'USF et a été synthétisé avec l'appui du cabinet Ask. La première motivation de migration relevée est la fin de la maintenance pour la version installée. Les migrations qui ont déjà été effectuées concernent plutôt des entreprises de petite taille qui utilisaient des versions déjà anciennes de l'offre SAP. La plupart d'entre elles se font, dans un premier temps du moins, à fonctionnalités égales, en particulier sans la mise en oeuvre de Netweaver. Les grandes entreprises commencent à peine leurs projets de migration. « Ce sont probablement elles qui chercheront à en tirer un bénéfice stratégique », considère Eric Rémy, président de la commission technologie de l'USF. La (bonne) surprise révélée par cette étude est que les migrations ne perturbent pas tellement les utilisateurs, le changement technologique ne se révélant finalement pas perturbant. Pour Eric Rémy, « le grand avantage d'un tel livre blanc est de permettre à ceux qui vont engager leur migration de s'appuyer sur les expériences des autres entreprises pour bénéficier des bonnes pratiques et éviter les écueils déjà constatés ailleurs. » L'ouvrage ne se contente pas de réunir des témoignages mais, et c'est là l'apport essentiel du cabinet Ask, en tire des leçons. Il comporte notamment de nombreux schémas et analyses chiffrées. Ce livre blanc n'est disponible que pour les membres de l'USF. Une deuxième édition est attendue en fin d'année. (...)

(21/03/2008 09:37:39)

Les DSI majoritairement tenus à l'écart des grandes décisions, selon The Economist

Les DSI sont tenus à l'écart des principales décisions dans les technologies de l'information par leurs conseils d'administration, en dépit de l'importance de ces technologies dans les stratégies d'entreprise. C'est le verdict d'un nouveau rapport publié par l'Economist Intelligence Unit, émanation de la revue britannique The Economist, qui a interrogé 185 cadres dirigeants, dont des DSI et des PDG, en Europe, Moyen-Orient et Afrique, pour le compte de McAfee, l'éditeur de sécurité bien connu. Moins de la moitié des DSI présentent des problématiques tenant aux systèmes d'information au comité de direction, selon le rapport. Et 45% d'entre eux voient leur PDG prendre le leadership lors de débats impliquant la technologie. Dans 20% des cas, ce sont les directeurs financiers qui représentent les équipes informatiques dans les réunions dirigeantes, et ils voient dans leur écrasante majorité l'informatique comme une simple fonction d'appui, fournissant des services, y compris de sécurité. La contribution du DSI tout de même mieux perçue [[page]] Néanmoins, 83% des répondants déclarent que le profil du DSI s'améliore aux yeux du comité de direction, car de plus en plus de dirigeants voient la contribution du système d'information à la génération de revenus, à la sécurité et à la gouvernance d'entreprise. Mais les DSI peuvent s'attendre à ce que l'on leur demande de toujours fournir plus pour moins cher, car la dépense en technologies de l'information pour ce qui concerne la gestion de risques et la conformité réglementaire n'augmentera pas dans nombre d'entreprises, même si huit dirigeants sur dix s'attendent à ce que le fardeau réglementaire s'alourdisse. Clint Witchalls, rédacteur en chef à l'Economist Intelligence Unit, estime que la bataille des DSI, afin d'être reconnus au niveau du comité de direction, « n'est pas encore terminée ». Il ajoute : « Le DSI doit faire attention à ce que le ralentissement économique actuel ne les ramène pas à leur ancien rôle de pousseurs de boîtes réducteurs de coût.s » (...)

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