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(25/03/2008 10:22:00)
Interview de Serge Saghroune Directeur du département sécurité informatique du groupe Accor.
Les tests d'intrusion (...)
(21/03/2008 17:47:46)Le MIT distingue quatre technologies numériques
Le MIT (Massachusetts Institute of Technology) consacre le numéro de mars/avril de sa revue aux dix technologies naissantes en 2008 qui devraient presque à coup sûr "changer notre façon de vivre". Ces dix inventions se divisent en deux grandes catégories : le numérique et le vivant. Et parmi celles qui relèvent du numérique, quatre sont particulièrement remarquables. "Modeling Surprise". Dans les laboratoires de Microsoft, on envisage de modéliser l'inattendu. Cette modélisation implique le traitement d'énormes quantités de données, la modélisation des événements inattendus survenus par le passé, et la capacité d'apprentissage des systèmes. En cas de réussite, les perspectives sont immenses. Pour l'instant, elles commencent par une application d'information sur l'état de la circulation dans la région de Seattle. Les applications Web en local. Elles permettent d'avoir le meilleur des deux mondes : à la fois la permanence que confère l'exploitation des ressources d'un système personnel, mais aussi une remise à jour incessante dès que l'on est connecté. Le MIT a pris la peine de distinguer l'Adobe Integrated Runtime (AIR) sur ce sujet. "Reality Mining". Faire des téléphones mobiles de vrais mouchards décrit assez bien le projet baptisé "Reality Mining" par son promoteur. Considérant qu'un mobile est déjà une source d'information sur nos comportements (lieu, durée et destination des communications), il serait si simple d'utiliser ce terminal désormais proche de l'appendice numérique pour développer ses capacités à surveiller le comportement humain. La tendance est d'ailleurs irréversible. "Probabilistic Chips". Perdre un peu de précision dans le traitement d'un processeur peut faire gagner tellement d'énergie. C'est le pari de Krishna Palem qui s'est lancé dans la conception de processeurs qui trouveraient à être utilisés dans tous les systèmes fonctionnant sur batterie. Et le domaine d'application est aussi vaste que celui du traitement du signal, lorsqu'un peu "d'erreurs" dans le traitement de la voix ou d'une image n'est pas perceptible pas les utilisateurs. Ces puces ont déjà un acronyme : "Probabilistic complementary metal-oxide semiconductor technology" (PCMOS). (...)
(21/03/2008 17:46:41)Bain ne veut plus racheter 3Com, qui s'indigne
Trop compliquée. La vente de l'équipementier américain 3Com au fonds d'investissement Bain Capital n'aura pas lieu, a indiqué ce dernier. Cela ne se passera pas ainsi, a aussitôt répliqué 3Com, qui estime que Bain n'a pas de raison valable de revenir sur l'accord conclu en octobre dernier, qui valorisait le fabricant de produits réseaux à 2,2 Md$. L'accord prévoyait l'acquisition par Bain Capital de 83,5% du capital, le reste allant à l'équipementier chinois Huawei. C'est justement cette prise de participation minoritaire qui pose problème. Les sociétés avaient pris soin de déposer un dossier auprès de l'administration américaine chargée de valider les investissements d'entreprises étrangères (U.S. Committee on Foreign Investment in the United States, ou CFIUS), et visiblement cette dernière a montré des signes de réticence. Un membre du Congrès a résumé la situation, en expliquant publiquement que le DoD (Department of Defense, ministère américain de la Défense) utilise des outils de détection d'intrusion de 3Com, et que dans le même temps il est la cible de hackers chinois. Persuadées que le CFIUS refuserait la transaction pour des raisons de sécurité, les deux sociétés ont préféré, il y a un mois, retirer le dossier. Mais 3Com gardait visiblement espoir, à en juger par sa réaction à l'annonce de Bain Capital. Dans un communiqué, l'équipementier indique qu'il « ne croit pas que la tentative de Bain Capital Partners LLC de mettre fin à l'accord de fusion avec 3Com [...] soit valide ». Pour le constructeur, « les raisons évoquées dans le communiqué de presse de Bain Capital ne constituent pas un base [légale] pour mettre fin à l'accord ». 3Com dit encore vouloir agir selon les clauses de l'accord, mais réclame tout de même les 66 M$ de dédommagement prévus en cas de rupture (somme qu'il pourra réclamer si les actionnaires, réunis justement aujourd'hui, approuvent l'accord). (...)
(21/03/2008 17:42:53)Les syndicats de Capgemini France mobilisés sur les salaires
La question des salaires provoque actuellement une vague de colère dans la filière IT. Après l'appel à la grève lancé à l'automne dernier par IBM sur Second Life, et les deux manifestations organisées tout récemment par des syndicalistes de Business Objects, c'est au tour des syndicats de Capgemini de protester contre des hausses de salaires jugées insuffisantes. Dans l'espoir d'une réelle négociation salariale, l'ensemble des organisations syndicales (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC) appelle à un arrêt de travail, les 28 mars et 1er avril prochains, dans la totalité des filiales françaises. Dans un courrier envoyé le 12 février à la direction, la CFDT, la CFE-CGC, la CGT et FO avaient déploré des engagements salariaux considérés comme très insuffisants par rapport aux possibilités de l'entreprise. Selon la CFE-CGC, les salariés souhaitent obtenir « une augmentation générale indexée sur le coût de la vie, pour rattraper la perte du pouvoir d'achat qu'ils subissent depuis déjà cinq ans ». Ils demandent une augmentation immédiate pour les salaires les plus bas, une revalorisation des frais professionnels (indemnités kilométriques, hébergement, restauration) et une hausse d'au moins 1 E des chèques-déjeuner. Les revendications portent aussi sur une refonte complète du système d'évaluation de carrière des salariés, pour «davantage de justice et plus de transparence ». [[page]] Dans un courrier adressé le 18 mars dernier à l'ensemble des salariés, la direction de Capgemini France a indiqué qu'elle souhaitait inciter au dialogue, tout en s'interrogeant sur le bien-fondé de cette grogne. Selon une porte-parole de Capgemini, « nos minima salariaux sont supérieurs à ceux pratiqués par l'ensemble de la profession, et les enveloppes budgétaires allouées aux augmentations de 2008 étaient équivalentes, voire plus importantes, que dans le reste de la filière IT ». Yvan Béraud, secrétaire national du syndicat F3C CFDT, dénonce un problème de répartition de cette enveloppe budgétaire : « Capgemini a accordé des hausses de salaire individuelles à 80% de ses employés depuis trois ans. Mais 20% d'entre eux n'ont rien obtenu, ce qui représente environ 4 000 salariés. » D'ailleurs, et toujours selon le représentant de la F3C CFDT, ils était nombreux (plus de 1000 à ce jour), à participer aux assemblées générales organisées depuis le 5 mars à Lyon, Caen, Grenoble, Clermont, Rennes, Brest, Saint-Denis, Vernon, Toulouse, Bordeaux, Saint-Cloud, Montpellier et Aix, Nantes, Pau, Toulouse, Marseille, et Carry-le-Rouet. La dernière assemblée générale a eu lieu aujourd'hui, 21 mars, devant l'immeuble Coeur Défense entre 13 heures et 14 heures, et a réuni plus d'une centaine de salariés. (...)
(21/03/2008 17:26:25)Brainshare 2008 : Novell décrit une stratégie d'infrastructure modulaire
« L'informatique d'entreprise va changer et il faut que nous y occupions une place centrale », a déclaré Jeff Jaffe, directeur technique de Novell, en ouverture de Brainshare, la conférence utilisateurs de l'éditeur (qui s'est tenue à Salt Lake City, du 16 au 21 mars). Avec un maître mot, pourtant déjà maintes fois utilisé par de nombreux fournisseurs, « l'agilité », qui sera particulièrement déclinée sur la gestion des règles et des identités, au sein de l'offre d'infrastructure de Novell. Devant les quelque 5 500 participants, l'éditeur de Suse Linux a déroulé une nouvelle stratégie, baptisée Fossa, qui permettra aux entreprises de mixer et d'associer des machines physiques et virtuelles, en conjonction avec des outils d'administration (Novell ZENworks), des services de gestion d'identité, des logiciels de collaboration et des systèmes d'exploitation Open Source. Une annonce qui préfigure des améliorations sur son offre Linux, sur ses solutions de virtualisation (rachat de PlateSpin), sur les outils d'orchestration, de gestion des procédures et des identités, de la conformité, etc. Ron Hovsepian, le PDG de Novell, a de son côté mis l'accent sur l'optimisation des outils destinés aux postes de travail et aux serveurs, avec l'objectif de les intégrer dans les plateformes plus étendues développées par IBM et Microsoft. « Nous nous positionnons comme un composant au sein de ces grandes infrastructures d'entreprise, dans lesquelles nous voyons quels manques nous pouvons combler », a-t-il indiqué. [[page]] Optimiser Suse Linux pour la virtualisation Dans le cadre de Fossa, le système d'exploitation Suse Linux Enteprise devrait notamment intégrer les dernières technologies de virtualisation. Novell a également indiqué qu'il comptait s'appuyer de façon importante sur les travaux de la communauté OpenSuse. Toujours aux chapitres Linux et virtualisation, rappelons que Brainshare a été l'occasion d'annoncer le renforcement de la collaboration avec SAP. Suse Linux sera en particulier optimisé pour l'infrastructure de centre de données de l'éditeur de progiciels de gestion. Plus globalement, Fossa semble être un moyen pour Novell de rationaliser l'utilisation conjuguée de ses différentes offres d'infrastructure, de Linux à ZENworks, dans ce qui pourrait être appréhendé comme une seule et même architecture. Toutefois, le développement d'une infrastructure adaptable et flexible n'est par une démarche révolutionnaire. HP, IBM et Microsoft ont oeuvré dans ce sens depuis plusieurs années. Mark Levitt, analyste chez IDC, se demande si ce que Novell veut réaliser avec Fossa est fondamentalement différent de ce que les autres fournisseurs font déjà. « Cela ressemble davantage à une mise au point interne sur la vision stratégique et la feuille de route. Je ne pense pas que Fossa apporte un changement radical. Il s'agit plutôt de valider la direction qui a été choisie. »[[page]] Déployer à la demande Au coeur de Fossa, Novell veut utiliser les capacités de modularité de Linux pour créer ce qu'il appelle des « distributions physiques » (Distros), qui seront en fait des systèmes d'exploitation hôtes tournant sur des serveurs physiques. L'autre composante étant les distributions virtuelles (Virtual Distros), qui intégreront un système d'exploitation « invité », soit Windows, soit Linux, ainsi que le middleware et l'application. Les distributions virtuelles présenteront tous les standards permettant de se raccorder aux solutions d'administration, ainsi qu'aux outils de gestion des identités et de mise en conformité de Novell. Les éditeurs indépendants pourront ainsi coupler leurs applications aux Virtual Distros afin que les entreprises puissent les déployer. Ces Virtual Distros pourront être installées sur un serveur, puis copiées et déployées à la demande, de façon dynamique, en fonction des besoins. (...)
(21/03/2008 17:15:21)LinkedIn invite les entreprises à créer leur fiche
LinkedIn, le réseau social pour les professionnels, lance aujourd'hui un nouveau service. Les entreprises peuvent désormais créer leur propre fiche de présentation contenant moult informations, allant de la taille de la société au chiffre d'affaires, en passant par les offres d'emploi et autres promotions réalisées au cours des derniers mois. Cette initiative semble alléchante présentée ainsi, mais elle pourrait, dans un proche avenir, faire grincer des dents beaucoup de sociétés. Les fiches seront en effet modifiables par les salariés eux-mêmes. Ils pourront ainsi s'en donner à coeur joie pour dénoncer les pratiques de la direction ou des ressources humaines sur le profil de leur employeur. Interrogé par le blog Business Technology, David Hahn, directeur de la gestion des produits chez LinkedIn, a affirmé que ce service comportait des limites. L'internaute ne pourra visualiser que les cinq dernières nouvelles embauches ou promotions en ligne, et non pas l'ensemble de l'historique de la société. Les informations diffusées sont également pondérées par l'ancienneté. Impossible par exemple de visualiser le statut et le ressenti des stagiaires, du moins pour le moment. (...)
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