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(20/03/2008 18:41:36)

L'Open Source s'affirme sur le marché du décisionnel

Les acteurs de l'Open Source tracent leur sillon sur le marché du décisionnel (Business Intelligence, BI). « Ils offrent une alternative pertinente face aux offres classiques, tant d'un point de vue technologique que fonctionnel, et contribuent à définir le paysage de la BI », a confirmé Pascal Janin, directeur conseil de Cross Systems, à l'occasion du Forum de la BI en Open Source. Organisée par Micropole-Univers, mardi 18 mars, sur le toit de la Grande Arche de La Défense, la journée a réuni quelque 180 participants et plusieurs éditeurs du secteur (Ingres, Talend, JasperSoft, SpagoBI, MySQL et Actuate, aux côtés de l'intégrateur italien Engineering Ingegneria Informatica). La BI en Open Source est régie par les mêmes règles que les autres solutions décisionnelles, constate Pascal Janin. On trouve notamment des plateformes complètes chez JasperSoft, SpagoBI ou Pentaho. Rappelons que le décisionnel au sens large englobe cinq domaines, outre la base de données : la chaîne d'extraction, l'entrepôt de données (datawarehouse), l'analyse multidimensionnelle (serveur OLAP), les outils de restitution (reporting, tableaux de bord, applications analytiques, datamining) et les solutions d'accès aux informations et de diffusion (portail). Certains pans ne sont pas encore couverts Issues de la technologie, les offres de BI en Open Source couvrent bien la chaîne d'extraction, mais sont également de plus en plus probantes sur le plan fonctionnel. En revanche, elles n'apportent pas encore de réponses sur certaines applications, par exemple sur la gestion de la performance (consolidation financière, planification, budget...). [[page]] Outre JasperSoft, SpagoBI et Pentaho, on trouve en Open Source des offres comme celles de Talend (intégration de données), Ingres (appliances avec Pentaho), Weka (datamining), Palo (base OLAP pour Microsoft Excel), SQL Power Power*Tools (outils d'extraction), Endeca (outils d'accès à l'information), Mondrian (serveur OLAP), BIRT (reporting, issu d'Actuate), ou encore LogiXML, Kettle, Rapid Miner ou Prelitys. Ces outils viennent se placer sur un marché décisionnel fortement recomposé par les mouvements de concentration opérés en 2007. Nouveaux entrants sur la BI Le marché traditionnel s'est désormais concentré autour de quatre grands acteurs : IBM, Microsoft, Oracle et SAP (IBM et Oracle ayant respectivement racheté Cognos et Hyperion, SAP ayant de son côté absorbé Pilot, Outlooksoft et Business Objects annexé de Cartesis). En dehors de ces quatre piliers, le directeur conseil de Cross Systems distingue plusieurs autres groupes d'acteurs décisionnels. Il reste en premier lieu un certain nombre d'éditeurs indépendants, parmi lesquels SAS, Informatica, Microstrategy, Information Builders, Ingres, Kxen, SPSS, Actuate, CA, Tibco/Spotfire, Sybase, Software AG, ou encore Panorama. [[page]] Pascal Janin dénombre aussi de nouveaux entrants, « qui viennent compenser le phénomène de concentration qui s'est opéré ». Parmi eux figurent des éditeurs investis dans des solutions verticales appliquées à la gestion de la performance financière, comme l'Italien Tagetik, le Néerlandais Longiew Solutions, le Suisse Board, Corvu -racheté en mai 2007 par l'Américain Rocket -, ou encore le Suédois Qlikview, avec une offre qui s'appuie sur une base vectorielle et s'exécute en mémoire. Prédateurs et trouble-fête Dans un groupe qu'il qualifie de « prédateurs », Pascal Janin place par ailleurs des fournisseurs comme Teradata, HP, Dataupia, Datallegro et Netezza, déjà positionnés sur le marché des entrepôts de données (avec pour certains des offres d'appliances). Des acteurs susceptibles, selon lui, de compléter leur offre décisionnelle lors d'un prochain mouvement de concentration, sans doute au détriment des nouveaux entrants. Enfin, le directeur conseil voit aussi quelques « trouble-fête » se positionner sur le marché. « Il s'agit d'acteurs issus des moteurs de recherche et de l'analyse de données non structurées. Ils n'ont pas vocation à apporter des outils décisionnels, mais ils transforment le paysage de la BI et se rapprochent des spécialistes. » Et de citer Yahoo (convoité par Microsoft), Google, et même Facebook, Youtube et Myspace. Rappelons notamment, le rachat en mai 2007 d'InXight Software par BO, justement dans cette optique. (...)

(20/03/2008 18:26:25)

Le moteur de recherche Google en léger recul, mais toujours plébiscité

Google reste le moteur de recherche le plus consulté par les internautes, même s'il est en très légère perte de vitesse dans le monde, selon le classement établi mensuellement par le cabinet ComScore. Le Goliath du Web a avalé 62,3% des parts de marché en février dernier, contre 63,1% un mois auparavant. Le nombre de requêtes est également en sensible baisse (5,86 milliards contre 6,14 en janvier), mais cela correspond à une tendance générale : les internautes ont fait moins de recherches en février (67,4 milliards contre 71,9). Aux Etats-Unis, la popularité de Google est en hausse de 0,7 point, en passant de 58,5 à 59,2% des parts de marché, loin devrant son dauphin Yahoo (21,6%). Google écrase sur son passage les moteurs de recherche de Microsoft, (9,6%), AOL (4,9%) et Ask.com (4,9%). (...)

(20/03/2008 17:01:58)

La stratégie fluctuante d'Arès inquiète collaborateurs et syndicats

Les salariés d'Arès sont inquiets face aux orientations de stratégie de plus en plus variées qu'enchaîne la société depuis deux ans. Hier on assistait à un troisième coup de théâtre : la SSII a annoncé qu'elle comptait se débarrasser de ses activités d'éditeur de progiciels (les gammes Arcole et Actipidos). Arès, surtout connu auprès des entreprises comme un revendeur en gros de matériel informatique, avait pourtant réussi à se forger une réputation de société de services en développant ses propres solutions. Très spécifiques (notamment dans le secteur de la santé), ces progiciels généraient de nombreuses prestations à valeur ajoutée. Cette vente est donc aux antipodes du recentrage vers les services annoncé par Arès il y a quelques semaines, puisque la société se défait du fer de lance qui lui a permis d'asseoir son image de SSII auprès de ses clients. En 2006, la société avait cédé ses activités de distribution pour se consacrer aux services. Fin 2007, la SSII a racheté Databail et Adequat, deux sociétés de distribution et de location d'infrastructures, tout en remerciant plusieurs responsables d'agences et en changeant le mode de commissionnement des commerciaux. De quoi laisser perplexes employés et syndicats. « Nous ne pouvons que nous interroger sur la pertinence de ces revirements, explique Mina Chibchib, déléguée syndicale centrale CFDT d'Arès. Nous ignorons quelle est la stratégie, mais nous savons que vendre les bijoux de famille n'est pas réellement un signe de développement. » Lire l'article complet de Pascal Boiron sur Distributique (...)

(20/03/2008 16:58:36)

Pour la NSA, la virtualisation crée de nouvelles menaces et de nouvelles solutions sécuritaires

Souvent décriée, la NSA (National Security Agency), agence de surveillance américaine, collabore régulièrement avec les industriels pour améliorer la sécurité des produits informatiques, tout en se ménageant un accès discret. Dernier sujet en date : la virtualisation. Sur ce sujet, la NSA a travaillé - entre autres - avec VMWare, IBM, AMD et Trusted Computing Group pour identifier les risques que pose cette technologie et comment y remédier. Pour Don Simard, directeur solutions commerciales à la NSA, le risque majeur concerne la puissance de calcul de certains composants d'un PC : « les cartes graphiques et réseaux ne sont après tout que des ordinateurs miniatures qui voient tout ce qui se passe dans les machines virtuelles. » Elles pourraient donc potentiellement héberger des spywares ou d'autres logiciels malveillants, qui contourneraient ainsi les mesures de sécurité classiques de la machine. Face à ce risque, AMD a introduit dans son protocole AMD-V, un « vecteur d'exclusion » qui indique quelle extension matérielle peut accéder aux machines virtuelles ou non. De même, Intel propose une architecture spécifique pour la virtualisation, Intel VT. Si la virtualisation peut être une menace, elle peut aussi apporter une couche de sécurité supplémentaire, en permettant l'installation d'une couche chargée de la sécurisation de l'ordinateur indépendante du système d'exploitation principal et de ses éventuelles failles. A condition, précise Don Simard, que cette couche ne soit pas elle-même compromise par une conception et une implantation médiocre sur les produits commerciaux. (...)

(20/03/2008 16:56:15)

Hyper-V, l'hyperviseur de Microsoft en phase Release Candidate

Hyper-V approche, il est bientôt là. Avec sa Release Candidate, Microsoft confirme sa disponibilité pour le mois d'août prochain. Texte: Hyper-V, l'hyperviseur-tant-attendu-de-Microsoft, vient de parvenir au stade de la Release Candidate sans retard supplémentaire. A ce stade de développement, qui succède aux phases bêta et RC-1, code et fonctionnalités sont figés. Les derniers efforts des développeurs se portent sur le déverminage. Microsoft précise qu'Hyper V sera livrable au mois d'août. Il tournera alors sur la version 64 bits de Windows Server 2008 avec des processeurs Intel ou AMD dotés d'instructions pour la virtualisation. Les systèmes d'exploitation supportés par Hyper-V seront les Windows Server 2008 et 2003 SP2 (x86 1- et 2-way SMP, x64 1-way SMP seulement), Windows Vista SP1 x86, Windows XP SP3 x86 et Novell Suse Enterprise Server 10. Hyper-V ne supporte en OS hôte ni Ws 2000 Server, ni Ws NT. Microsoft en profite aussi pour rappeler que la virtualisation ne fait que commencer au niveau de l'hyperviseur. Son outil d'administration Microsoft System Center, assorti de la prochaine version de System Center Virtual Machine Manager, permettra d'administrer, outre Hyper-V, Virtual Server 2005 R2, VMware ESX et Infrastructure 3. Le support de Xen viendra ultérieurement. (...)

(20/03/2008 16:49:02)

IBM ouvre son premier centre 'cloud computing' européen à Dublin

Le 'cloud computing' a beau partir du principe que la puissance informatique peut être accessible à la demande au travers d'Internet, il vaut mieux dans la pratique être relativement proche du client. IBM vient ainsi d'ouvrir son premier centre de 'cloud computing' européen à Dublin. Pour Philippe Bournhonesque, qui dirige le division IBM Software en France, le 'cloud computing', ou informatique dans les nuages, est l'avatar ultime de « l'industrialisation du datacenter ». IBM s'estime le mieux placé pour conduire cette industrialisation, en offrant une plateforme matérielle et logicielle mutualisée ; c'est le programme Blue Cloud, annoncé en novembre dernier. En attendant que les entreprises confient aux opérateurs de 'cloud computing' des applications critiques - d'après Forrester, cela devrait prendre un à deux ans - IBM propose dans son centre dublinois un « Idea Factory for Cloud Computing », service déjà testé avec succès en Chine, offrant aux entreprises un outil de type réseau social pour mettre des idées en commun. IBM dispose déjà de trois centres Blue Cloud aux Etats-Unis et d'un en Chine (avec un second en préparation), et le programme de déploiement est chargé : Brésil, Afrique du Sud, Inde, péninsule arabique, Vietnam et Corée. (...)

(20/03/2008 15:57:18)

Apple pas pressé de voir Flash et Java débarquer sur l'iPhone

« Apple bannit Firefox, SpiderMonkey, Lisp, Lua, Ruby, Python, Rhino, Java, Opera, .NET, Squeak, Quake, Unreal, Second Life, GCC, GDB, GNOME, KDE, Photoshop, Word, Excel, Flash, Freetype et Zork. » Dénonçant la fermeture de la plateforme de l'iPhone, Rob Sayre, un des responsables de Mozilla, a jeté sur son blog un pavé dans la mare au moment où l'inventeur de l'iPhone présentait justement la bêta de son SDK (le lot d'outils de développement pour créer ses propres applications pour iPhone). De fait, le silence d'Apple quant aux propositions d'Adobe et de Sun de porter (respectivement) Flash et Java sur l'iPhone est assourdissant. Même si Gartner estime aujourd'hui que l'iPhone est désormais paré pour l'entreprise, les analystes sont de plus en plus nombreux à exprimer des doutes. En l'état actuel, les conditions d'utilisation du SDK de l'iPhone empêchent en effet de porter sur le smartphone d'Apple beaucoup d'applications qui font Internet aujourd'hui. L'accord lié au SDK interdit le téléchargement de code ou l'installation d'un exécutable par une application installée : tout doit passer par les interfaces prévues par Apple, et l'application doit provenir de son catalogue en ligne (voir l'encadré ci-dessous). De fait, cela interdit d'y porter la machine virtuelle Java (JVM), bien que Sun tente d'y travailler, ou le navigateur Firefox. L'argumentation de Rob Sayre concernant Firefox pourrait aisément être réfutée, sachant que l'iPhone comporte déjà un navigateur Web. Après tout, l'iPhone est un smartphone, et non un PC ultraportable ouvert sur lequel on pourrait installer ses applications bureautiques ou autres ; cela n'a jamais été la promesse d'Apple. [[page]] En revanche, Apple promet d'accéder au « vrai Internet » - par opposition, pour reprendre la publicité d'Orange, au « pas tout à fait Internet mais presque ». Paradoxalement, Apple met en avant « plus de 600 Web Apps », des adaptations à l'iPhone de services présents sur Internet. Ce qui signifie donc que la fameuse expérience utilisateur est meilleure après une adaptation. Autre entorse au vrai Internet, l'absence de Flash, format extrêmement répandu. Dans un entretien avec des analystes financiers, Steve Jobs, le patron d'Apple, a dédaigneusement repoussé l'offre d'Adobe, expliquant qu'à son avis la version complète de Flash était trop lourde pour l'iPhone, et la version Lite, pour mobile, pas assez évoluée. « Il manque un juste milieu », a-t-il conclu. Quant à la main tendue de Sun, elle n'a reçu à ce jour aucune réponse. Flash et Java viendront-ils sur l'iPhone ? Contacté, Apple a déclaré ne pas avoir de porte-parole pour aborder ce sujet, et fait savoir que « on ne sait pas quels sont les plans futurs ». Pour Michael Gartenberg, analyste chez Jupiter Research, Apple n'a aucune raison de se précipiter au sujet de Flash, dans la mesure où il a déjà passé un accord spécifique avec YouTube pour accéder aux vidéos. Il faudrait en outre régler un autre problème : jusqu'à présent, Adobe perçoit une vingtaine de cents par téléphone avec un lecteur Flash Lite installé. Or si Apple a bien prévu que des applications pour iPhone puissent être payantes, il impose que celles-ci soient distribuées via son iTunes Store, et réclame 30% des revenus générés. (...)

(20/03/2008 15:57:20)

Microsoft et Eclipse unies pour le développement d'applications Java pour Vista

Dans la droite ligne de sa nouvelle politique de cohabitation ponctuelle avec l'Open Source, Microsoft a annoncé travailler avec Eclipse pour que les outils de programmation Java de la Fondation fonctionnent au mieux avec Vista. Concrètement, cette annonce va se traduire par le portage de la couche graphique SWT (Standard Widget Toolkit) d'Eclipse sur WPF (Windows Presentation Foundation) de Microsoft, afin de pouvoir utiliser Java pour écrire des applications au graphisme normalisé WPF. Le partenariat devrait permettre d'avoir un portage de qualité dans de brefs délais. Microsoft et les membres d'Eclispe collaborent déjà sur la gestion des identités en entretenant des liens entre le projet Higgins d'Eclipse et CardSpace de Microsoft. En revanche, Sam Ramji, l'homme en charge des Open Source Labs de Microsoft, s'est refusé à évoquer l'idée de collaborations autres que ponctuelles entre sa société et Eclipse. Par ailleurs, Eclipse annonce les prémisses d'Eclipse 4. Revisitées de fond en comble, les premières lignes de code de ce framework devraient voir le jour en 2010. Mais la version 3, dont l'itération 3.4 est promise pour cet été, continuera d'exister bien au-delà. La préannonce d'Eclipse 4 (E4) est l'occasion d'une énième bronca contre la prééminence d'IBM. Salariés de la société Wind River, deux membres du comité E4 se plaignent de la présence à leur côté de 17 'IBMers'. IBM se contente de répondre que Wind River a toute liberté pour nommer d'autres membres. (...)

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