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(19/03/2008 18:15:24)

L'April, dubitative sur le rôle du secrétariat d'Etat au numérique

Si certains, comme l'Afdel (association française des éditeurs de logiciels), se réjouissent de l'entrée du numérique au gouvernement, d'autres émettent certaines réserves sur cette initiative. C'est le cas de l'April, qui déplore la réduction des problématiques du numérique aux seuls aspects économiques. L'Association pour la promotion et la recherche en informatique libre estime que « l'État doit également considérer les bénéfices des technologies numériques pour les citoyens, notamment en termes de disponibilité, d'échanges et de partage des savoirs, pour tous et par les citoyens eux-mêmes ». Elle s'inquiète également de cette nomination en raison des opinions exprimées par Éric Besson à l'automne 2007. L'April rappelle que le secrétaire d'État avait déclaré vouloir « renforcer énergiquement la protection de la propriété intellectuelle, qui demeure aujourd'hui trop timorée ». En préconisant pour cela de « s'inspirer de l'attitude beaucoup plus offensive des USA ». Or pour l'association libriste, la politique américaine dans ce domaine a conduit à l'adoption par de nombreux pays de lois qui se révèlent étouffantes pour les libertés et le développement économique et social. « La riposte graduée, les brevets logiciels et les atteintes à la neutralité d'Internet ne sont pas des perspectives d'avenir, d'innovation, ni de progrès, estime Frédéric Couchet, délégué général de l'April. L'histoire démontre que le modèle outre-Atlantique sert principalement les industries américaines, et en aucun cas l'économie française et européenne. » Avant tout nouveau chantier, l'April demande que ce secrétariat d'État ait comme première mission de dresser un bilan de la législation existante. En amont des projets de loi, il devra également procéder à des études d'impact, en particulier en termes de coût pour la compétitivité dans l'économie numérique, mais aussi pour les libertés publiques et la participation démocratique des citoyens à l'ère du numérique. (...)

(19/03/2008 18:01:50)

FalconStor met son offre à jour pour WS Server 2008

Alors que le très attendu Windows Server 2008 - et surtout son hyperviseur Hyper-V, sorti aujourd'hui en version RC (release candidate) - est enfin disponible, FalconStor annonce la certification Windows Server 2008 de l'ensemble de ses produits. Il s'agit par exemple de la plateforme IPStor de NNS (Network Storage Server), qui fournit des espaces de stockage virtuels via Infiniband, iSCSI ou Fibre Channel aux systèmes hôtes (qu'ils soient sous Windows, Linux ou Unix), ainsi que des solutions de protection et de récupération de données Message Recovery pour Microsoft Exchange, Snapshot Agent pour Exchange, SQL Server et Dynapath. Bien que 90% des clients de FalconStor utilisent principalement ESX de VMWare comme outil de virtualisation serveur, la société se veut complètement neutre. Son offre supporte également les hyperviseurs Xen et Virtual Iron, en plus d'Hyper-V. Alexandre Delcayre, directeur architecture stockage pour FalconStor EMEA, reconnaît toutefois : « Pour l'instant, peu de nos clients veulent migrer vers Windows Server 2008. Ils l'évaluent, et s'ils se décident à basculer, ce sera en raison des applications associées, comme SQL Server 2008. Je pense qu'Hyper-V pourra également être un élément déclencheur pour les sociétés qui veulent entamer la virtualisation et la consolidation de leurs infrastructures. » En plus de cette certification, FalconStor s'apprête à sortir mi-avril IPStor 6 avec deux nouvelles fonctionnalités pour s'adapter à l'accroissement des données stockées. Sparse Dissk permet de créer un disque virtuel plus gros que la baie réellement attachée pour faire du « surbooking » temporaire de données, et autorise le support physique et virtuel d'espaces de stockage à partir de 2 téra-octets et jusqu'à 9 exa-octets (soit 9 millions de téra-octets). (...)

(19/03/2008 17:55:49)

La dématérialisation informatique pour le corps médical

Du 18 au 20 mars 2008 au Palais des Congrès, le Medec est le salon de référence du secteur médical généraliste. Il comprend un espace dédié à l'informatique sectorielle nommé Informedica qui a regroupé cette année moins de trente exposants. A côté d'éditeurs traditionnels comme Cegedim Logiciels Médicaux sont venus en force des acteurs de la dématérialisation et d'applications hébergées. Ainsi, CompuGroup, groupe allemand ayant notamment racheté le Réseau Santé Social et l'éditeur de logiciels pour cabinets médicaux Axilog, propose désormais Medical Net, une solution de gestion du dossier patient en ligne en accès full web via un simple navigateur sur une plate-forme quelconque. Dans le même ordre d'idées, le salon a accueilli une solution de webmail sécurisé de plus : cette fois, c'est EasyCrypt.

Côté solutions métiers, Becker Technologie a présenté son Electro-cardiogramme (ECG) mobile se connectant directement à un ordinateur portable ou Pocket PC, sans affichage ni impression, fonctionnalités qui alourdiraient considérablement l'appareil. L'ECG d'un patient est directement enregistré dans les logiciels fournis et exportable dans un format normalisé pour être ensuite intégré dans n'importe quel logiciel de cardiographie. (...)

(19/03/2008 16:56:47)

Yahoo clame qu'il n'a pas besoin de Microsoft

Yahoo vient de redétailler son plan de croissance pour les trois années à venir. Les projets de la société sont ambitieux : le pionnier de la recherche en ligne est persuadé qu'il peut doubler sa trésorerie, en la faisant passer de 1,9 Md$ à 3,7 Md$, ainsi que générer un chiffre d'affaires de 8,8 Md$ à l'horizon de 2010. Ces chiffres ont déjà été présentés en décembre dernier, mais Yahoo vient de les remettre officiellement à la Securities and Exchange Commission, un organisme fédéral américain chargé de surveiller les opérations boursières et les marchés, et dont l'équivalent français est l'AMF (Autorité des marchés financiers). Yahoo cherche ainsi à démontrer qu'il peut se passer du soutien d'une autre société, mais surtout souligner - une fois de plus - que l'OPA hostile lancée par Microsoft le 31 janvier dernier pour un montant de 44,6 Md$ sous-estime largement le potentiel de la société. Un avis que ne partagent pas certains analystes. Ils estiment de leur côté que Yahoo ne bénéficie pas d'une grande marge de manoeuvre et devrait finir par dire oui à Microsoft. Les deux groupes se sont d'ailleurs officiellement rencontrés pour la première fois le lundi 10 mars. (...)

(19/03/2008 15:29:06)

Iomega accepte de se vendre à EMC pour 205,5 M$

Ce n'était qu'une question d'argent. Il a suffit à EMC d'augmenter son offre de rachat d'Iomega de 178 à 205,5 M$ pour que sa direction accepte d'être achetée par EMC. EMC n'acquiert pas l'inventeur des lecteurs Jazz, Zip et, auparavant, des disques souples « à effet Bernoulli », ni la société qui propose des produits de stockage en réseau pour particuliers et TPE, mais bien une marque. Iomega restera donc bien visible aux yeux du grand public qui ignore tout d'EMC. (...)

(19/03/2008 15:17:13)

Adobe sort son offre DRM pour Flash

Destiné aux professionnels de la diffusion de contenus multimédias, le nouveau serveur d'Adobe s'intéresse uniquement à la gestion des droits sur les vidéos et animations créées en Flash. Baptisé Adobe Flash Media Rights Management Server, cette technologie peut également être utilisée par « les entreprises qui ne souhaitent pas voir leurs vidéos finir sur YouTube » précise Laurel Reitman, responsable produit senior de la division Flash Media Serve Services. Commercialisé à partir de 40 000 dollars par CPU, ce système de RDM (Digital Rights Management, littéralement gestion des droits numériques) est disponible pour Windows 2003 et Linux Red Hat. Adobe Flash Media Rights Management Server agit au moment du téléchargement et de la consultation en ligne mais aussi en mode déconnecté, protégeant ainsi les contenus des usages abusifs ou non autorisés. Il est intégré à AIR (Adobe Integrated Runtime), le lecteur universel d'Adobe qui unifie la visualisation des formats PDF (Acrobat) et SWF (Flash). Il permet également de chiffrer le téléchargement des fichiers audio et vidéo au format FLV et F4V. Enfin, il est surtout là pour gérer une politique de règles d'accès et de droits applicables aux fichiers, laquelle peut d'ailleurs être en partie définie au sein d'un annuaire. Adobe Flash Media Rights Management est en effet compatible avec les systèmes d'authentification tels qu'un annuaire LDAP. (...)

(19/03/2008 14:44:15)

L'économie numérique fait son entrée au gouvernement

L'entrée du numérique au gouvernement était attendue depuis longtemps par les représentants de l'IT. C'est désormais chose faite, grâce à la nomination d'un « Monsieur » économie numérique. Hier matin, à l'occasion d'un réajustement gouvernemental, le président de la République Nicolas Sarkozy a en effet confié à Eric Besson le poste de secrétaire d'Etat au numérique. Une mission qu'il cumulera avec ses fonctions actuelles de secrétaire d'Etat chargé de la prospective et de l'évaluation des politiques publiques. Si le contenu de sa mission reste encore à préciser, il devrait s'inspirer du rapport de la Commission Attali, qui, dans sa décision 63, préconisait la création d'un haut-commissaire au Développement numérique, rattaché au cabinet du Premier ministre. Dans le rapport, il était question de « disposer d'une autorité sur toutes les structures ministérielles chargées du numérique, et de fusionner les multiples structures et instances à vocation interministérielle ». Renforcer l'équipement informatique des PME françaises Le nouveau secrétaire d'Etat devra s'attaquer à deux chantiers prioritaires. Le premier est l'accès à Internet très haut débit pour tous, un sujet déjà évoqué par Nicolas Sarkozy, en mars dernier, lors du Cebit de Hanovre. Dans l'intention de renforcer l'usage et la production des nouvelles technologies dans l'Hexagone, le chef de l'Etat avait alors poser l'objectif de 70% des ménages équipés d'ordinateurs personnels d'ici à deux ans. En parallèle de cette ambition, il avait souhaité que « 100% des Français aient accès au débit fixe ou mobile » avant la fin de son mandat. [[page]] Du côté des associations professionnelles, on ne peut que se réjouir de cette initiative. « La nomination d'un secrétaire d'Etat à l'économie numérique permettra en premier lieu de pallier au manque de coordination et de vision des politiques en la matière, estime Loïc Rivière, délégué général de l'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels). Elle devrait également permettre de faire face à une situation pour le moins contrastée, en matière de capacité française à l'innovation, comme la pénurie de compétences dans la IT, la faiblesse des passerelles R&D entre le public et les industriels, ou le retard pris par la France en matière de propriété intellectuelle. » Le délégué de l'Afdel, qui avait d'ailleurs critiqué ce même rapport Attali jugé trop favorable au Libre, considère par ailleurs que le développement numérique ne doit pas uniquement se focaliser sur le retard pris dans l'équipement des ménages français : « Il faut également encourager les PME à investir dans les outils informatiques, à augmenter les investissements en R&D, et à renforcer la propriété intellectuelle. » Dans ce domaine, les universités françaises sont clairement à la traîne, comme l'a récemment montré le dernier classement mondial de Shanghai. (...)

(19/03/2008 12:21:52)

Nanochip développe une mémoire rivalisant avec les disques SSD

Comme les processeurs, les mémoires flash sont soumises à la loi de Moore. Elles arrivent également à leurs limites, en atteignant des finesses de gravure de l'ordre de 32 ou 45 nanomètres. Pour contourner le problème, une start-up californienne, Nanochip, vient de développer un nouveau prototype de mémoires basé sur des "micro-electro-mechanical systems" (MEMS) qui pourraient dépasser les 100 Go de données stockées par puce, loin devant les capacités des disques SSD (Solid State Disk) actuels. Pour arriver à ce résultat, la société mise tout sur des sondes chargées d'écrire et de lire les informations stockées dans la mémoire MEMS. Ces sondes, d'une taille n'excédant pas les 15 nanomètres dans les prototypes, mais qui devraient se réduire à moins de 10 nanomètres dans les versions commerciales, sont mobiles (au sein d'une grille intercalée entre les deux couches de stockage proprement dite). Elles peuvent ainsi accéder à 100 fois plus de données que dans une mémoire flash. Nanochip prévoit de passer à la commercialisation de ses produits en 2009, et voudrait atteindre les 1 To de stockage d'ici à 2012. (...)

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