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(29/02/2008 15:24:17)
VMworld 2008 : Sun et VMware signent un accord flou
L'accord signé entre VMware et Sun aurait pu être considéré comme le partenariat le plus complet de ceux annoncés à VMworld, s'il ne brillait aussi par l'ambiguïté de ses termes. C'est sur le point désolant de la langue de bois qu'il décroche donc le premier prix. Tout juste peut-on comprendre que Sun va proposer la suite VMware Infrastructure sur ses serveurs x64. Contrairement aux autres fournisseurs de serveurs qui se sont rués sur l'hyperviseur ESX, l'accord entre Sun et VMware porte sur les outils d'administration. Il est vrai qu'en matière d'hyperviseur, Sun est déjà bien loti avec sa propre technologie, à laquelle il a ajouté celle d'Innotek, et celle de Citrix. Mais Sun dispose aussi d'une suite d'administration, xVM Ops Center. Et rien n'est précisé sur l'interaction entre cet outil et Virtual Infrastructure de VMware. Est-il nécessaire de préciser que confondre virtuel et irréel peut être néfaste ? (...)
(29/02/2008 12:08:43)FMR et FIL montent au capital de Capgemini
Les deux fonds d'investissement FMR et FIL ont franchi à la hausse le seuil des 10% du capital et des droits de vote de Capgemini, a annoncé mercredi 27 février l'Autorité des marchés financiers (AMF). Les fonds détiennent désormais 10,05% du capital et des droits de vote de la SSII française. Ce franchissement de seuil a eu lieu le 19 février, a précisé l'organisme de régulation dans un communiqué. La semaine dernière, ces sociétés avaient annoncé avoir franchi à la hausse le seuil de 5% en mai 2007. FMR et FIL ont par ailleurs précisé à l'AMF qu'ils « n'envisageaient pas d'acquérir le contrôle de la société Capgemini, ni de demander leur nomination ou celle d'une ou plusieurs autres personnes aux organes de direction ou de surveillance de la société ». (...)
(29/02/2008 11:48:59)Yahoo liste les dangers liés à l'OPA de Microsoft
Dans son rapport annuel remis aux autorités boursières américaines, Yahoo explique que l'offre d'achat dont il est l'objet de la part de Microsoft lui fait courir un risque certain, dans la mesure où cela crée de « l'incertitude ». Lister les dangers qui pèsent sur une entreprise, et qui font donc courir des risques au cours de l'action, est un exercice auquel les entreprises cotées doivent se livrer une fois par an dans leur rapport annuel. Dans celui-ci, Yahoo explique que le conseil d'administration a estimé à l'unanimité que l'offre de Microsoft n'est pas dans l'intérêt de l'entreprise ni de ses actionnaires. Mais la société dit qu'elle continue tout de même d'évaluer toutes les options, ce qui pourrait la « distraire » du management opérationnel. [[page]] « La prise en considération et l'examen de la proposition de Microsoft (et de toute proposition alternative qui pourrait être faite par de tierces parties) a été, et pourrait continuer à être, une distraction conséquente pour notre management et les employés, et a exigé, et pourrait continuer à exiger, la dépense conséquente de temps et de ressources de notre part », écrit Yahoo dans le rapport. D'autres éléments pourraient coûter du temps et des ressources à Yahoo : la société est citée dans 7 procédures judiciaires, par des actionnaires mécontents de l'avoir vu refuser l'offre de Microsoft. Le moteur de recherches explique encore que l'OPA de Microsoft pourrait affecter sa capacité à retenir des collaborateurs clés et à en embaucher de nouveaux. De même, cela pourrait inciter des annonceurs à ne pas renouveler leurs engagements. Au final, Yahoo prévient que le cours de son action risque d'être hautement volatile, et de décliner « si la transaction ne se fait pas, ou si le marché pense qu'il risque de ne pas y avoir de transaction ». (...)
(29/02/2008 11:39:27)Cegid confirme ses objectifs avec un bénéfice net en hausse de 9%
Cegid confirme ses résultats non audités publiés en janvier dernier . L'éditeur de progiciels de gestion a réalisé un chiffre d'affaires de 241,1 M€ en 2007, en hausse de 5,7% par rapport à l'année dernière (+4% à périmètre constant). Pour rappel, Cegid a procédé à deux rachats l'an dernier : Comptanoo, éditeur de logiciels de comptabilité en ligne pour TPE en janvier 2007, puis AS Infor, éditeur de solutions de gestion de magasins en avril 2007. Le bénéfice net enregistre une croissance de 9% et atteint 17,7 M€. La rentabilité opérationnelle courante gagne un point, à 13,8% et le résultat opérationnel courant augmente de 16%, à 34,4 M€. Il a ainsi été multiplié par 2,6 en l'espace de quatre ans. Ces bons résultats sont essentiellement portés par les ventes de licences et services d'intégration qui progressent de 13,4% (9% à périmètre constant). Pour 2008, Cegid reste optimiste, malgré le climat économique actuel fragilisé par la crise des crédits immobiliers aux Etats-Unis. L'éditeur lyonnais compte notamment sur la mise en place de synergies communes avec Groupama / Gan Assurance, qui est entré dans le capital de la société à hauteur de 17,23% à la fin de l'année dernière. Ce partenariat industriel devrait permettre à Cegid d'étoffer son offre paie, ressources humaines et PGI pour les PME et les TPE. L'éditeur a par ailleurs indiqué qu'il souhaitait se développer à l'international. (...)
(29/02/2008 09:18:37)Divalto s'offre l'expertise d'un centre technique
L'éditeur de progiciels pour PME-PMI Divalto a racheté l'activité progiciels du CTDEC, le centre technique du décolletage. Comme l'indique Thierry Meynlé, « les centres techniques sont des entités sous la tutelle du ministère de l'Industrie, dont l'objectif est d'aider une profession ». En l'occurrence, même si Divalto entend conserver le progiciel métier - basé sur Divalto - que le CDTEC avait développé pour les spécialistes du métal, le but de l'éditeur est surtout de renforcer son offre en intégrant en standard des fonctions du progiciel racheté. Beaucoup de fonctions écrites par le CDTEC peuvent en effet s'appliquer à d'autres industries. Par exemple, cite Thierry Meynlé, « le module de planification de la production », ou bien « les modules de gestion de la documentation et de gestion de la qualité ». Le montant du rachat n'est pas divulgué, mais Thierry Meynlé précise que « cela a été financé en fonds propres, grâce aux bons résultats des années précédentes ». En 2007, précise le directeur général (nommé en 2006), « les ventes de licences ont augmenté de 20% et le résultat d'exploitation de 51% ». Divalto, né en 1982 sous le nom Interlogiciel, a réalisé l'année dernière un chiffre d'affaires de 7,6 M€, et espère atteindre les 10,5 millions en 2008. (...)
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