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(29/02/2008 17:50:00)
Interview d'Alex Türk, Sénateur et Président de la CNIL
La population ne craint-elle pas davantage, finalement, les traitements en volume que les véritables menaces ? (...)
(29/02/2008 17:51:00)Interview d'Alex Türk, Sénateur et Président de la CNIL
Où doit être le curseur entre pédagogie et sanction ? Avez-vous les moyens de faire les deux ? (...)
(29/02/2008 17:52:00)Interview d'Alex Türk, Sénateur et Président de la CNIL
Les problématiques sont aujourd'hui largement internationales (PNR, Google, Swift...). Où en est-on sur l'internationalisation de la protection des données personnelles ? (...)
(29/02/2008 17:53:00)Interview d'Alex Türk, Sénateur et Président de la CNIL
En 2004, la loi de 1978 a été profondément remaniée, notamment avec la suppression de la distinction public/privé, la création des CIL... Quels ont été les grands effets de cette reforme ? (...)
(29/02/2008 17:54:00)Interview d'Alex Türk, Sénateur et Président de la CNIL
En 1978, la CNIL était le 1ère autorité administrative indépendante créée suite au scandale SAFARI. Les problèmes actuels étaient ils anticipés? (...)
(28/02/2008 17:21:47)Google rajoute du wiki à ses applications en ligne
Avec Google Sites, le moteur de recherche prétend permettre aux professionnels de créer un site Web très simplement afin d'y partager toutes sortes de documents, y compris multimédia. La simplicité affichée permettrait à tout le personnel d'une entreprise d'utiliser Google Sites "sans avoir à solliciter l'assistance du service informatique". Présentée ainsi, la démarche de pouvoir créer des intranets, voire des sites sauvages risque de susciter d'entrée de jeu des interdits irrévocables prétextant, entre autres, les dangers que feraient courir de telles initiatives pour la sécurité des données de l'entreprise. Concrètement, Google Sites est l'intégration à la galaxie des applications en ligne de Google de la plateforme wiki JotSpot achetée en octobre 2006. Google, dont aucune des nombreuses diversifications n'atteint le dixième du succès de son moteur, communique quelques chiffres sur ses Google Apps. Elles seraient utilisées dans 500 000 "organisations". Autrement dit dans très peu d'entreprises à l'échelle mondiale. De plus, parmi les sociétés citées, aucune n'a encore abandonné ses outils bureautiques traditionnels, et nombre d'entre elles se cantonnent à évaluer Google Apps. (...)
(28/02/2008 17:15:18)Le cybersquatting de marques en hausse de 33%, selon MarkMonitor
Le cybersquatting a enregistré une augmentation de 33% en 2007, d'après la quatrième édition du Brandjacking Index publié par MarkMonitor, une société spécialisée dans la protection des noms d'entreprise. Le cybersquatting est la pratique la plus courante d'abus de marque. Elle consiste à enregistrer un nom de domaine proche, voire quasi similaire, d'une marque dont la notoriété n'est plus à faire, afin d'en détourner le trafic. « Ce type de parasite représente un réel danger à la fois pour les entreprises qui en sont victimes (perte de revenus, atteinte à leur image) mais aussi pour le consommateur, car ces sites vendent souvent des produits de contrefaçon », prévient Jérôme Sicard, responsable Europe du Sud de MarkMonitor. Un exemple concret : certains sites « clones » proposent des plaquettes de frein moins chères, mais déjà utilisées, ou fabriquées dans une usine non accréditée. Tous les secteurs sont touchés : l'industrie du luxe, les banques, l'automobile (+83%), les vêtements, l'industrie pharmaceutique et même l'agroalimentaire (+63%). L'étude s'est également penchée sur le phénomène du « phishing », encore appelé « hameçonage ». Cette technique de fraude a pour objectif de glaner des renseignements personnels (nom, adresse, numéro de téléphone, date de naissance, voire numéro de carte de crédit pour les plus rusés) en usurpant l'identité d'un site (comme celui d'une banque ou le très populaire eBay). Le phishing se fait traditionnellement par e-mail mais aussi par sms et via les réseaux sociaux, qui regorgent d'informations privées. Au quatrième trimestre de l'année, 412 sociétés ont été victimes de phishing, soit 38% de plus que l'année dernière. Plus inquiétant d'après MarkMonitor, 122 sociétés ont été attaquées pour la première fois, ce qui signifie que les pirates diversifient leurs cibles, alors que leur domaine de prédilection était la finance. 21% des sites pirates sont hébergés aux Etats-Unis, suivis de la Chine et de l'Equateur. « Il est toutefois extrêmement difficile de les localiser avec précision, car les données volées transitent par des serveurs dans le monde entier avant d'atteindre leur cible... qui se charge ensuite de monnayer ou d'exploiter les informations recueillies », explique encore Jérôme Sicard. « Nous avons affaire à une véritable mafia ». Jérôme Sicard entrevoit tout de même une « lueur d'espoir » pour endiguer progressivement le phénomène. Cette année, les actions en justice par les propriétaires de marques se sont en effet multipliées à l'encontre des bureaux d'enregistrement de noms de domaine, avec le soutien de l'Icann (l'autorité de régulation d'Internet). Une société a même obtenu 1 M$ de dommages et intérêts. « Ces organismes d'enregistrement, parfois peu scrupuleux, s'engagent de plus en plus à davantage de vigilance », souligne Jérôme Sicard. MarkMonitor étudie environ 134 millions enregistrements publics quotidiens, afin de repérer les abus de marques dans les noms de domaines. La société affirme également traiter chaque jour 16 millions de courriers électroniques soupçonnés de phishing. Elle travaille en partenariat avec des fournisseurs d'accès Internet. En cas d'abus détecté, elle avertit le FAI afin que le site soit fermé. (...)
(28/02/2008 16:57:56)La France prend 2,85% du capital de STMicroelectronics
L'Etat français vient d'annoncer l'acquisition de 2,85% du capital du fabricant de semi-conducteurs ST Microelectronics (STM). Dans un communiqué publié aujourd'hui, l'Elysée ne manque pas de souligner le « caractère stratégique des activités de STMicroelectronics », précisant que cette prise de participation visera à « préserver un actionnariat stable et une gouvernance équilibrée entre les parties française et italienne, afin de favoriser le développement de la société et son indépendance ». A la suite de la sortie de France Télécom en 2005 et jusqu'à aujourd'hui, les parties française et italienne détenaient respectivement environ 10,9% et 16,6% du capital de STM. Pour que la France conserve ses droits en matière de gouvernance sur l'entreprise, il était nécessaire que sa participation au capital de STM revienne au niveau de celle de la partie italienne avant le 17 mars 2008, date du 4e anniversaire du pacte d'actionnaires. Pour assurer le maintien de ce rééquilibrage, l'Etat achètera auprès de l'Italien Finmeccanica, et par l'intermédiaire du CEA, des actions de STMicroelectronics. (...)
(28/02/2008 16:34:50)Les facs françaises quasiment absentes du classement de Shanghai 2008
Les chercheurs de l'Université Jiao Tong de Shanghai viennent de publier l'édition 2008 du classement des 500 premières universités mondiales les plus performantes. Cette année, le classement a choisi de distinguer les universités par matière. Et si l'an dernier, une vingtaine d'universités françaises figuraient au palmarès, le classement 2008 n'en a distingué que neuf. Pire, dans certaines disciplines, comme les sciences sociales, aucun établissement français ne figure au classement. En France, certains établissements parviennent tout de même à se distinguer. En sciences naturelles et mathématiques. l'université Paris 11 se place en 25e position, devant Paris 6 (31e), l'École normale supérieure (39e) et Paris 7 (entre la 77e et la 107e place). Dans ces disciplines, la première université européenne est celle de Cambridge (5e), la place de premier mondial revenant à Harvard, établissement américain situé dans le Massachusetts. En sciences de l'ingénieur et en informatique, les universités françaises font encore moins bien. Seule, Bordeaux parvient à se hisser entre la 51e et la 75e place du palmarès. L'établissement du Sud-Ouest de la France est le seul établissement français, avec Paris 6, classé dans les 100 premiers mondiaux. En informatique, la première place européenne revient à l'institut technologique de Lausanne (18e). Dans cette catégorie, c'est de nouveau un américain, le prestigieux Massachusetts Institute of Technology (MIT), qui reste le grand vainqueur du classement 2008. Rappelons que le classement de Shanghai est réalisé à partir de cinq critères : les lauréats du prix Nobel, le nombre de chercheurs de haut niveau, les articles parus dans Nature et Sciences et dans l'Index des citations (scientifiques et sciences sociales) et la performance universitaire de chaque faculté. (...)
(28/02/2008 16:12:17)Microsoft lance officiellement sa famille de serveurs 2008
Habitué aux lancements de produits tonitruants, Microsoft n'a pas dérogé à la règle en rassemblant développeurs et administrateurs systèmes pour un grand show à Los Angeles, à l'occasion du lancement de SQL Server 2008, Visual Studio 2008 et Windows Server 2008. Mais Steve Ballmer, CEO de Microsoft, a bien pris soin de mettre en avant non pas ces produits eux-mêmes, mais leurs utilisateurs, qu'il a appelés « le coeur et l'âme de l'industrie informatique ». Le show était d'ailleurs sous-titrés « heroes happen here », et des vidéos un tantinet larmoyantes ont émaillé le lancement, afin de montrer comment des utilisateurs pouvaient devenir des héros en recourant aux technologies Microsoft. Côté produit, il faut préciser que ce lancement simultané est surtout symbolique : il s'agit de montrer que Microsoft franchit une étape dans l'informatique d'entreprise. Car ce lancement a aussi quelque chose de fictif, dans la mesure où seul l'atelier de développement Visual Studio est véritablement disponible. Il manque en effet à Windows Server une pièce essentielle, à l'heure où la virtualisation constitue un argument de poids, justement, dans la décision de déployer un système d'exploitation serveur : l'hyperviseur Hyper-V n'arrivera que dans quelques mois. Steve Ballmer lui-même a insisté sur l'importance de cet élément, en expliquant que Microsoft s'engageait à « démocratiser la virtualisation ». Pour le CEO de Microsoft, la virtualisation devrait pouvoir être adoptée « par 90 à 100% des serveurs, et non 5 à 7% comme actuellement ». Quant à l'évolution de la base de données, on ne l'attend que cet automne. Les détails des produits eux-mêmes ayant été largement dévoilés, les démonstrations sur scène étaient presque superflues. Surtout pour le public français, qui a eu droit à un lancement en avant-première lors des TechDays. Dans un entretien vidéo exclusif avec LeMondeInformatique.fr, Steve Ballmer estime que les ventes de Windows Server 2008 pourraient dépasser celles de Windows Server 2003 d'ici un an ou deux. (...)
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