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(07/02/2008 12:48:47)

Micropole-Univers s'intéresse au dialogue social via le Web 2.0

La SSII Micropole-Univers a décidé de se pencher sur le rôle des technologies Web 2.0 dans le dialogue social. Ainsi, les outils traditionnels du dialogue social, comme la consultation, la négociation ou la communication entre l'employeur, les instances représentatives du personnel et les employés, ne doivent plus se cantonner aux formes traditionnelles des rencontres et correspondances officielles. L'apparition de nouveaux dispositifs, inspirés des fonctionnalités utilisées quotidiennement sur Internet, ouvrant désormais la voie à de nouvelles pratiques de dialogue social électronique : rédaction de documents de négociation via des applications collaboratives, ouverture d'espaces de concertation sur l'Intranet, podcasting des candidatures aux élections professionnelles, etc. Pour Arnaud Kerhervé, consultant senior chez Micropole Univers, les salariés doivent pouvoir intervenir directement dans le dialogue social (et non plus uniquement via leurs représentants) au travers d'espaces numériques, tels que des blogs ou des forums : « Les délégués et les élus pourront enrichir leurs traditionnels tracts et affiches par des contenus multimédias, expose t-il. Et les DRH, abandonner le classique journal d'entreprise afin d'accroître la réactivité de leur communication interne et développer leur marketing social ». D'après le consultant, trois usages démontrent à ce jour le réel potentiel de généralisation du Web 2.0, au service du dialogue social : il s'agit du vote électronique, de la communication sociale via des Intranets, - forums, tribunes libres, chats et blogs - , et la gestion des activités socio-culturelles du Comité d'entreprise, par des portails web innovants. Reste que le déploiement de ces nouvelles pratiques dépend très fortement de la situation et de l'historique de l'entreprise en matière de dialogue social. « Si ce dialogue était tendu, ce n'est pas la mise en place d'outils et d'interfaces qui changera la donne sociale, même au prix d'un très fort engagement conjoint de la DRH et de la direction générale », conclut le consultant. (...)

(07/02/2008 12:46:20)

Les boites noires de Sun font une sortie officielle

Annoncé officiellement en mai dernier, le projet BlackBox de Sun est enfin au stade de la commercialisation. Rebaptisé Modular Datacenter S20 et repeint en blanc, ce conteneur servant de salle de serveurs est désormais commercialisé à partir de 589 000 $. A ce prix, il s'agit juste du conteneur modifié pour héberger des serveurs et des baies de stockage, le système de refroidissement et de contrôle d'humidité de l'air interne, et les racks de rangement vide. Il faudra ensuite y ajouter le prix des serveurs et des baies de stockage. Au total, le MD S20 peut contenir jusqu'à 18 teraflops en puissance de calcul, ou jusqu'à 3 peta-octets en espace de stockage. Installé dans un conteneur de bateau classique, le MD S20 peut s'installer à l'extérieur comme à l'intérieur et supporte des températures allant de - 20 à + 54 degrés. Pour les clients français, ces salles de serveurs modulaires sont fabriquées à la demande dans les usines américaines de Sun. Il faudra alors ajouter le coût du transport par bateau ou par avion. (...)

(07/02/2008 12:43:45)

Annuels France Télécom : les mobiles soutiennent le résultat net

France Telecom a dévoilé hier ses résultats financiers pour 2007. Le chiffre d'affaires s'élève à 53 Md€, en hausse de 2,8% par rapport à 2006 pour un résultat net de 6,3 M€, contre 4,1 Md€ un an plus tôt (+53%). L'endettement du groupe reste toujours élevé, puisqu'il atteint 38 M€, mais il a légèrement baissé par rapport à 2006 (4 Md€ de moins). Didier Lombard, PDG de France Telecom s'est déclaré satisfait de ces résultats. France Telecom affiche des résultats contrastés sur ses trois grands secteurs d'activité (mobilité, entreprises et services résidentiels). Les mobiles (baptisés « services de communication personnels ») soutiennent le groupe avec une bonne croissance (+5,7%) et une marge en augmentation (+5,8%) en atteignant 29,1 Md€, soit 55% des revenus du groupe. « C'est la vache à lait de France Telecom », commente Scott Morisson, analyste du Gartner. La croissance est due pour l'essentiel aux pays émergents, mais la France représente encore 34% de l'activité mobile du groupe. On note au passage que le nombre de clients en haut débit mobile (Edge et 3G) a doublé depuis 2006, et atteint désormais 13 millions d'abonnés (dont plus de la moitié en France). L'activité entreprises de France Telecom est en infime progression, avec un chiffre d'affaires de 7,7 Md€ (+0,4%), et une marge en baisse (-5,1%). Cette déception est liée à l'érosion de la téléphonie fixe et des réseaux de données classiques (-9%). L'opérateur indique en outre dans son bilan avoir enregistré une croissance de 14% de son activité d'intégration et d'infogérance d'applications critiques, sans toutefois en révéler le montant exact. Enfin côté services résidentiels fixes, le chiffres d'affaires est en recul (-0,2%), à 22,7 Md€. La marge est cependant en croissance (+2,1%). La guerre des prix sur l'ADSL hors de l'hexagone handicape l'opérateur, qui n'est parvenu à développer son offre triple play qu'en France. Celle-ci représente 85% des 6,1 millions de LiveBox installées en Europe (et 63% des accès ADSL). L'IP TV ne décolle pas au niveau européen alors que cela devrait constituer une source de revenus apte à compenser le recul de la téléphonie fixe traditionnelle (-17%) désormais laminée par les abonnements de téléphonie illimitée sur IP. (...)

(07/02/2008 12:08:59)

Cape Clear disparaît en tant qu'ESB indépendant

L'un des pionniers des bus de services d'entreprise (ESB), Cape Clear, disparaît du marché. Du moins en tant que produit indépendant. Workday, éditeur de solutions progicielles à la demande (mode Saas, software as a service), créé par David Duffield, un ancien patron de Peoplesoft, a conclu un accord pour racheter Cape Clear, qui était déjà un partenaire depuis 2006. Workday indique d'ailleurs que toutes ses solutions déployées reposent pour leur couche d'intégration sur l'ESB de Cape Clear. En juillet dernier, un rapport de Forrester plaçait Cape Clear en pole position des ESB autonomes, à côté de BEA. Forrester notait que Cape Clear a « l'une des implémentations disponibles les plus complètes de la couche de services Web », et a su conquérir un marché plus important que ne le laisse supposer sa taille. Néanmoins, quand la transaction sera close, d'ici un mois environ, l'ESB de Cape Clear ne servira plus que de support middleware pour Workday. Annrai O'Toole, CEO de Cape Clear, écrit dans son blog que le rachat d'un éditeur de technologies SOA (architectures orientées services) par un fournisseur de services progiciels en ligne peut paraître surprenant, mais constitue en fait une évolution logique. Pour Annrai O'Toole, qui va devenir vice-président de Workday responsable de l'offre d'intégration, les SOA n'ont pas un but technique, mais un objectif lié au business ; il s'agit pour lui de rendre possible les applications demandées par le métier. (...)

(07/02/2008 10:14:19)

Annuels BO : 5 000 clients de plus en 2007, mais bénéfices en recul

Sur son dernier exercice fiscal, échu fin décembre, le Français Business Objects, spécialiste des solutions décisionnelles (Business Intelligence), a réalisé un chiffre d'affaires en hausse de 20%, à 1,51 Md$, au sein duquel les ventes de licences ont progressé de 11% en un an, à 624 M$, à taux de change courant. Toutefois, à taux constant, la progression du chiffre d'affaires annuel et celle des ventes de licences s'établissent respectivement à 15% et 6%. Quant au bénéfice net, il accuse un recul de 28,8% sur l'année et de 60,5% sur le dernier trimestre. C'est dans la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique) que les ventes ont le mieux progressé : +32% pour un chiffre d'affaires de 632 M$. Sur le continent américain, Business Objects a engrangé 770 M$ (+12%) et sur la zone Asie Pacifique, qui enregistre également une nette progression, le montant total des ventes s'élève à 108 M$ (+24%). BO rachète Cartesis puis se fait racheter par SAP Rappelons qu'au deuxième trimestre (fin avril), Business Objects a racheté son compatriote Cartesis pour 225 M€, avant de recevoir lui-même, début octobre, une offre de rachat amicale de la part de SAP, pour un montant de 4,8 Md€. Le repreneur allemand a tôt fait savoir [[page]]qu'il comptait laisser son autonomie à Business Objects afin, notamment, que ce dernier continue à développer une offre multi-plateforme qui ne soit pas uniquement associée aux solutions de SAP. [mise à jour] SAP a annoncé le 05 février que sa filiale française (c'est par l'intermédiaire de cette entité que le rachat de BO s'est effectué) détenait désormais 95,35% du capital de Business Objects. En dépit de ces mouvements, Business Objects a gagné 1 400 clients de plus au cours de son quatrième trimestre, portant à 5 000 le nombre de nouveaux clients sur l'année (sur une base installée de 46 000 entreprises). BO précise aussi qu'il totalise 93 000 abonnements sur son offre décisionnelle proposée en ligne (hébergée sur sa plateforme OnDemand). Sur l'ensemble de l'année, l'éditeur a lancé plusieurs offres prépackagées spécialement taillées pour les PME. Il vient également d'annoncer une appliance virtuelle s'appuyant sur les technologies de Citrix, rPath et RightScale, conçue pour déployer rapidement une application de reporting en PME. (...)

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