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(07/02/2008 17:38:52)

L'offre conjointe IBM-Cognos en ordre de marche

Blindés, infanterie et aviation sont en ordre de marche : IBM a intégré Cognos à son portefeuille d'offres, et cela ratisse large. Les solutions décisionnelles de l'éditeur canadien, racheté en novembre dernier pour près de 5 Md$, se retrouvent dans des offres conjointes, des offres verticalisées, des packages pré-configurés, des offres de services... Trois semaines après avoir finalisé la vente, et présenté la version 3 de la plateforme décisionnelle Cognos 8 BI, IBM propose ainsi dans le cadre de sa stratégie « Information on demand » une dizaine de solutions verticales, pour la finance, le commerce de détail, l'administration, etc. capitalisant sur des modèles spécifiques à certaines industries existant dans le portefeuille des deux éditeurs. IBM propose également un « starter pack » Cognos 8 BI pour IBM InfoSphere Warehouse, son datawarehouse, afin d'accélérer le déploiement de l'entrepôt de données avec l'offre décisionnelle. Des modèles sont aussi prévus pour intégrer les rapports issus de Cognos avec le BPM (gestionnaire de processus métier) documentaire FileNet, acquis durant l'été 2006. La plateforme Cognos est par ailleurs désormais incluse dans le catalogue des solutions matérielles et logicielles d'entrepôt de données pour les petites et moyennes entreprises. Et bien évidemment GTS (Global Technology Services), la branche consulting d'IBM, propose d'étudier et de concevoir les meilleures solutions de datawarehouse, grâce à une mise en commun des meilleures pratiques. Pour Steve Mills, vice-président senior d'IBM, patron du logiciel, ces combinaisons constituent une offre de bout en bout. Mais il admet volontiers qu'il ne s'agit pas de la dernière acquisition d'IBM dans le domaine du décisionnel. (...)

(07/02/2008 17:35:21)

Yahoo traine des pieds devant l'offre de rachat de Microsoft

Le PDG de Yahoo, Jerry Yang, a fait parvenir hier un mail à l'ensemble des salariés, indiquant que la société « n'était pas parvenue à une décision au sujet de l'acquisition par Microsoft, et envisageait d'autres alternatives stratégiques ». Jerry Yang a également précisé dans son mail que le conseil d'administration prendrait son temps, afin de faire les choses dans les règles de l'art. En laissant poireauter Microsoft, Yahoo espère peut-être faire monter les enchères, voire trouver un soutien auprès d'un rival du géant de Redmond - Google par exemple. Eric Schmidt, CEO de Google, aurait d'ailleurs, selon le Wall Street Journal, déjà offert ses bons offices. Selon certains analystes, il est toutefois peu probable qu'une autre société soit prétendante au rachat du Yahoo, car le montant proposé par Microsoft est si exorbitant (44,6 Md$) qu'il paraît difficile de surenchérir. Quant à un rachat par Google, les analystes se montrent extrêmement sceptiques, car un tel rapprochement soulèverait encore une fois la problématique de la suprématie de Google sur le marché de la publicité en ligne. Pour rappel, Bruxelles n'a toujours pas approuvé le rachat de DoubleClick par Google. (...)

(07/02/2008 17:15:48)

Time Warner veut scinder AOL en deux

Alors qu'en France, AOL n'est plus, depuis octobre 2006, qu'un fournisseur de contenu dont la partie « accès à Internet » a été rachetée par Neuf Cegetel, au niveau mondial, les deux activités continuaient à coexister. Plus pour très longtemps. Durant la dernière présentation des résultats financiers trimestriels de son groupe, Jeff Bewkes, PDG de Time Warner, a annoncé son intention de se séparer de son activité fournisseur d'accès (principalement aux Etats-Unis et en bas débit) pour se concentrer sur celle d'un portail de contenu aux revenus générés par la publicité. Il faut dire que cette activité est en perte constante. Si en 2002, AOL se vantait d'avoir 22 millions d'abonnés, en 2007, ils n'étaient plus que 9,3 millions. Et AOL a vu son chiffre d'affaires baisser de 32 % sur le quatrième trimestre 2007. Avec cette annonce, Time Warner veut renforcer AOL dans sa position de portails d'accès au contenu, derrière Yahoo et MSN de Microsoft. Même si sur ce secteur, AOL ne croît pas aussi rapidement que ses concurrents. Ainsi, ses revenus générés par la publicité ont cru de 18 % au dernier trimestre 2007, alors qu'en moyenne la croissance de ce secteur était de 25 % pour l'IAB (International Advertising Bureau) à la même période. Pour autant, Jeff Bewkes n'a pas donné d'échéances pour la vente des activités FAI de AOL. Mais pour Jeff Martin, directeur financier de Time Warner, de la prise de décision à la séparation effective, il pourra s'écouler un bon nombre de mois, en raison de la complexité du montage à mettre en place. (...)

(07/02/2008 17:18:13)

Microsoft vend Outlook 2007 et son gestionnaire de contacts sans Office

Il est possible de faire l'acquisition d'Outlook 2007 avec son gestionnaire de contacts professionnels sans pour autant devoir acheter toute la suite bureautique Office 2007 de Microsoft. Ce client sophistiqué de messagerie est proposé à 123 € sur un grand site de vente en ligne. On peut donc se dispenser d'avoir à débourser entre 450 € (version PME d'Office) et 750 € (version dite Ultimate) pour pouvoir l'obtenir. Notons que la possibilité d'acheter seulement Outlook 2007 et son gestionnaire de contacts (add-in gratuit) n'est pas nouvelle, mais Microsoft lance ce package en réponse à l'engouement que semble susciter cette version parmi les TPE qui seraient nombreuses à utiliser le gestionnaire de contacts en guise d'embryon de CRM (gestion de la relation client). Aux Etats-Unis, ce gestionnaire de contacts (alias Business Contact Manager) a l'avantage de s'interfacer avec la comptabilité que Microsoft commercialise dans ce pays. (...)

(07/02/2008 16:59:18)

iLearning Forum : Demos lance une plateforme de e-learning constituée de 1200 modules

Le spécialiste de la formation continue Demos vient de lancer sa propre plateforme de e-learning. Présentée lors du salon iLearning Forum, la Demos eLearning Agency contient pas moins de 1200 modules et s'articule autour de trois offres majeures : la création de dispositifs e-learning sur-mesure, la mise en ligne d'une base de connaissances et de modules d'auto-formation, et la mise à disposition d'un centre de formation virtuel. En créant une plateforme d'e-formation adaptée au contexte de chaque entreprise, Demos s'engage à transformer des contenus métiers ou des formations présentielles en contenus accessibles à distance. L'expertise y est formalisée et scénarisée selon l'angle pédagogique souhaité : ingénierie pédagogique, conception de contenus pédagogiques online, développement de contenus spécifiques de e-learning, mise en place de dispositifs de formation démultipliée mixtes (présentiel et en ligne). Quant à la base de connaissance MediaCursus, elle répond à une demande en contenus pédagogiques diversifiés. Intégrant une solution de gestion des ressources pédagogiques ainsi que des parcours de formation, cette base autorise un déploiement à très grande échelle sur différents supports (intranet, Cd Rom...) Du management jusqu'à la culture générale, elle contient actuellement plus de 1200 modules, ainsi que plus de 15 000 questions destinées à évaluer les connaissances. Enfin, la mise à disposition d'un centre de formation virtuel, le « MOS Chorus », facilite l'accès à la formation et à l'information, et se complète d'un outil qui permet de créer et maintenir ses propres contenus. (...)

(07/02/2008 16:35:55)

Annuels Sodifrance : un CA supérieur aux objectifs

Annuels Sodifrance : Chiffre d'affaires : 57 M€ (+6,6% à périmètre constant) La SSII rennaise Sodifrance a enregistré un chiffre d'affaires de 57 M€ en 2007, supérieur aux prévisions de la société qui tablait il y a quelques mois sur un revenu de 55 M€. Ces résultats sont en hausse de 26,4% par rapport à l'an dernier, notamment grâce aux acquisitions des sociétés API-Group et Onext. A périmètre constant, le chiffre d'affaires a progressé de 6,6%. La première société racheté, une SSII parisienne, vient renforcer le positionnement de Sodifrance dans les secteurs de la banque, des assurances et de la retraite, tout en lui permettant de s'implanter plus solidement en Ile-de-France, et en complétant son expertise dans les nouvelles architectures (J2EE et .Net). Onext, située à Nantes, apporte quant à elle son expertise dans les technologies Web en Open source et les systèmes de gestion de contenu (CMS). Sodifrance a recruté 155 collaborateurs cette année, ce qui porte ses effectifs à 842 personnes. La SSII publiera l'ensemble de ses résultats financiers le 12 mars prochain. (...)

(07/02/2008 16:23:02)

Lawrence Lessig passe des licences Creative Commons à la lutte contre la corruption

Lawrence Lessig, qui figure parmi les "créateurs" des licences Creative Commons, porte désormais ses efforts sur la lutte contre la corruption qui règne dans les allées du pouvoir à Washington. Il en tient pour preuve l'activisme reconnu des lobbies et la lenteur avec laquelle le Congrès américain légifère sur des points vitaux pour notre planète. Ce juriste de l'université de Stanford est un spécialiste reconnu du Copyright. Connu pour ses prises de position en faveur de la liberté intellectuelle (par opposition à la propriété intellectuelle). Il est le fondateur du "Center for Internet and Society". (...)

(07/02/2008 15:16:22)

Google Apps Team Edition, le travail collaboratif sans administrateur

Comment contourner les directives drastiques des services informatiques d'une entreprise pour s'imposer chez ses employés ? Une question à laquelle a répondu Google, en dévoilant la Google Apps Team Edition. Son principe : fournir les services clés des applications bureautiques de la marque couplés à une offre de travail de groupe, sans avoir recours à une phase d'intégration avec le système de l'entreprise. L'offre « s'adresse aux employés qui sont intéressés par les Google Apps mais dont les employeurs refusent de souscrire à l'offre », résume en substance Rajen Sheth, chef de produit Google Apps. Ce qui devrait faciliter grandement l'utilisation de la Team Edition dans les PME et TPE. A l'inverse des autres éditions Standard, Premier ou Education, Team Edition se dédouane techniquement du domaine Internet de l'entreprise. Ce qui, par conséquent, rend impossible - du moins pour l'heure, assure Google - l'usage de la messagerie Gmail, qui reste encore sujette à l'intervention d'un intégrateur. Team Edition ne nécessite qu'une seule adresse email valide qui reprend le domaine de l'entreprise. Le service en ligne offre un outil de collaboration et de gestion de groupes rapide à mettre en place. « Une fois enregistrés, les utilisateurs ont accès aux autres comptes qui appartiennent ainsi à la même entreprise, et peuvent en inviter d'autres. » Mais, là où ce service effraie les services IT, c'est [[page]]dans sa capacité à se greffer dans le panel d'applications utilisées par les employés d'une entreprise, sans que cette dernière soit finalement au courant. Un phénomène courant, souligne toutefois Forrester, qui rappelle que ce ne serait pas la première application hébergée utilisée en interne sans l'accord de la DSI. Les documents créés seront ainsi hébergés sur les serveurs de Google, posant notamment des soucis de sécurité. Autre point d'intérêt : cette édition, comme la standard, reste gratuite. Ce que Google considère d'ailleurs comme une porte de sortie pour les entreprises souhaitant regagner ou préserver le contrôle sur leur parc applicatif. « Les services IT ont toujours la solution de souscrire à l'offre Standard, elle aussi gratuite, s'ils veulent avoir le contrôle dessus », insiste Rajen Sheth. Puis, éventuellement, cela peut servir de tremplin vers les autres éditions, comme la formule Premier commercialisée 50$ par an et par utilisateur. Cela s'inscrit d'ailleurs dans une politique plus globale de Google, qui peine encore à imposer ses Apps dans les entreprises. Le géant s'appuie ainsi sur l'élan des particuliers pour s'ouvrir le monde de l'entreprise. Et le groupe redouble d'effort. Hier, mercredi 6 fevrier, les Apps se paraient d'un outil de sécurisation d'email issu du rachat de Postini. Une brique essentielle pour séduire les sociétés. (...)

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