Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 1631 à 1640.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(18/11/2011 11:19:41)
GRDF simplifie ses processus d'achat métier avec Ivalua
GRDF est le principal distributeur de gaz naturel en France. Il dispose de 650 fournisseurs de travaux (notamment de travaux publics), services et matériel. Pour simplifier et fluidifier l'ensemble des processus achat métier, l'énergéticien a décidé de refondre son système d'information achats. Après appel d'offres, GrDF a choisi l'offre i-Buy d'Ivalua. Désormais, l'ensemble des démarches d'achats métier passent par un portail web unique, tant du côté interne à GrDF que du côté des fournisseurs.
L'un des avantages particulièrement apprécié de la solution est son ergonomie intuitive facilitant la prise en main par les acheteurs, y compris sur terminaux mobiles.
Le coût du projet n'a pas été communiqué.
Les DAF planchent aux bonnes pratiques sur les centres de service partagé
Le principe d'un centre de service partagé (CSP) est de mutualiser un service de support entre plusieurs entités d'un même groupe, sans qu'il s'agisse forcément de plusieurs sociétés sur le plan juridique. « Historiquement, les premières fonctions à avoir fait l'objet d'une mutualisation par CSP sont la DAF (surtout la trésorerie) puis la DSI, la DRH (notamment la paye), les relations clients et les achats/approvisionnements » énonce Jean-Claude de Véra, vice-président global shared services and data & process optimization au sein du groupe Lafarge.
Celui-ci s'exprimait lors d'un colloque organisé le 15 novembre 2011 à Paris par la DFCG, l'association des Directeurs Financiers et Contrôleurs de Gestion sur, précisément, les bonnes pratiques en matière de mise en place d'un CSP. Aucune particularité n'a été repérée concernant un CSP informatique : celui-ci doit suivre les mêmes bonnes pratiques que les autres CSP en termes de gouvernance.
5 règles à respecter pour arriver au succès
Selon Jean-Claude de Véra, cinq règles sont à respecter pour assurer le succès d'un CSP. La première, sans surprise, est un soutien indéfectible et permanent de la direction générale car il s'agit d'une démarche qui s'apparente à de la transformation continue. Il faut également un modèle de gouvernance du « qui fait quoi » extrêmement clair. De ce fait, troisième élément, la relation entre un CSP et les centres de profits doit être de type contractuel : si le CSP doit respecter des engagements précis, c'est aussi le cas des centres de profit. Pour s'en assurer, le meilleur moyen est d'avoir une approche par indicateurs-clés de performance (KPI).
Le cinquième et dernier élément est une conséquence des précédents points : le paiement du service au CSP doit être lié au service rendu et à sa complexité. « Si un centre de profit dématérialise et permet l'automatisation des traitements, sans trop de nécessité de reprise manuelle grâce à la qualité de son travail, il est normal que ce centre de profit paye moins cher qu'un autre qui ne ferait pas ces efforts » souligne Jean-Claude de Véra.
Ce système permet de retourner aux centres de profit les conséquences de leurs faiblesses en objectivant la performance du service rendu et les causes des dysfonctionnements. Pour Jean-Claude de Véra, « ne pas accepter les non-conformités aux règles issues des métiers est une nécessité ».
3 stades de maturité
Selon Vincent Lieffroy, chargé de la stratégie marketing de l'offre chez l'éditeur Qualiac qui s'exprimait durant le même colloque, « en général, on recherche les économies d'échelle lorsque l'on met en oeuvre un CSP. » Or une telle économie « brute » n'est pas le seul bénéfice que l'on peut en attendre. On peut aussi en tirer une industrialisation des processus, synonyme de qualité, de fluidité et de réactivité. La démarche peut également être initiée à cause de nouvelles exigences réglementaires (par exemple, l'intensification des contrôles liés à des lois comme Sarbanes-Oxley aux Etats-Unis comme la Loi sur la Sécurité Financère en France).
[[page]]
Le premier stade de la mise en place de CSP, c'est celle de CSP par fonctions (DAF, DSI, DRH...). Les différents centres de profit mutualisent ainsi le service support concerné. Ensuite, ces CSP par fonction deviennent des CSP par processus (par exemple : la chaîne d'approvisionnement au delà des seuls achats).
Enfin, les centres de profit n'ont plus aucun doublon opérationnel avec les CSP et ceux-ci sont gérés non plus en tant que soutiens mais en fonction des valeurs créées pour les métiers. Ce dernier stade est notamment mis en avant pour les DSI externalisées ou filialisées.
Les services de support pèsent de 3% à 10% du CA
« Les CSP ont un impact direct sur les bénéfices » souligne Jean-Claude de Véra. « Les fonctions de support comme la DSI, la DRH, les services généraux (dont l'immobilier), la DAF, les ventes, les achats, etc. représentent entre 3% et 10% du chiffre d'affaires dans les grandes entreprises par an. La moindre baisse de coût a donc un impact direct sur les bénéfices. »
Jean-Claude de Véra avertit : « Mais le CSP apporte les moyens, pas le pilotage stratégique » . Au niveau du CSP financier, la remise à plat a impliqué la standardisation des données comme des procédures, avec, au passage, la suppression des fausses spécificités et le nettoyage des données.
Au final, dans les entreprises, deux démarches d'industrialisation s'opposent fréquemment. D'un côté, les tenants d'une approche unitaire plaident pour la mise en place d'un PGI, et de l'autre les demandeurs de flexibilité et d'agilité poussent un choix de type « Best of breed » avec urbanisation. Pour eux, il s'agit de réussir des « Quick Wins » sur des gains de productivité. Il faut dire que les projets de type « Big Bang" tardent souvent à aboutir à l'échelle de l'entreprise et leur consommation de ressources a tendance éliminer les initiatives pouvant apporter des gains plus rapides.
Dans ce cadre, la DAF et la DSI si elles ne peuvent pas réussir l'une sans l'autre, n'ont pas forcément des objectifs qui convergent en termes de simplification ni de temps de cycle. « Au bout du compte, il faut allier les deux démarches - unitaire et best of breed - pour des raisons de pragmatisme » conclut Jean-Claude de Véra.
Kaspersky renforce ses liens avec ses partenaires
Kaspersky Lab a mis en place son nouveau programme de partenariat pour l'Europe et l'Amérique du Nord et offre tout un ensemble de ressources et de soutien. Cela permettra aux revendeurs de mieux appréhender les derniers développements dans un paysage de menaces informatiques toujours plus complexes.
Le programme contient une équipe dédiée au Channel, d'un support marketing et d'autres ressources qui ne servent pas uniquement à vendre des produits Kaspersky, mais aussi à aider le partenaire à tisser une relation à long terme avec le client.
Le nouveau portail des partenaires offre notamment du matériel pour les programmes de ventes incitatives, des brochures et des dépliants, un programme de calcul des prix, des promotions à la clientèle et des démonstrations de produits en ligne. En outre, les partenaires peuvent y trouver une série de tutoriels vidéo conçus exclusivement pour eux.
Le nouveau programme de partenaire de Kaspersky Lab se compose de quatre niveaux de certification:
Le niveau Platinum est le niveau le plus haut. Il permet de bénéficier d'un Account Manager dédié, une évaluation trimestrielle des activités, un soutien technique personnel, un contact direct avec l'équipe de vente de Kaspersky ainsi que des programmes incitatifs et des systèmes de bonus exclusifs.
Les partenaires de niveau Or ont également Account Manager dédié et reçoivent une évaluation trimestrielle des activités ainsi que toute une série de services de formation, de ventes et de marketing.
La certification de niveau Argent offre également une variété de matériel et d'outils de marketing, alors que le premier niveau est le point de départ pour de nouveaux partenaires dans le programme de certification.
ICTJournal.ch (...)(18/11/2011 10:45:36)Temenos au coeur d'une rumeur de rachat par SAP
Aujourd'hui la rumeur est une nouvelle fois relancée par les propos de Jim Hagemann Snabe, co-CEO de SAP. Ce dernier a expliqué lors d'une conférence organisée par Morgan Stanley à Barcelone que la stratégie de son entreprise consistait à faire une acquisition tous les ans et demi afin d'ajouter une nouvelle catégorie de produits à son portefeuille. Depuis ces propos, les analystes n'ont pas manqué de spéculer sur les entreprises qui pourraient être dans le viseur de SAP. Ainsi Sebastien Thevoux-Chabuel, analyste pour la société parisienne Oddo Securities, estime que Parametric Technology, SAS Institute et Temenos Group pourraient être visées.
Toutefois, selon l'article de Bloomberg qui révèle l'information, les dirigeants de Temenos ont refusé de commenter cette information. A noter par ailleurs que l'éditeur suisse de logiciels bancaires a annoncé avoir récemment bouclé son programme de rachat d'actions dans lequel il était engagé depuis une année. Selon le communiqué de la société, plus de 3,1 millions de titres ont ainsi été rachetés.
ICTJournal.ch (...)
L'Ifop constate les limites du marketing via les médias sociaux
L'Observatoire des réseaux sociaux réalisé par l'Ifop permet de suivre l'évolution de l'ensemble des médias sociaux (et pas des seuls réseaux sociaux au sens strict) et de leur perception en France. La sixième livraison vient d'être publiée. La pénétration de ces outils dans la population atteint visiblement son maximum et, surtout, le « marketing social » y montre ses limites.
Notoriété et usage décorrélés
En effet, 77% des internautes français sont aujourd'hui membre d'au moins un réseau social, chiffre qui ne varie plus guère depuis trois ans. Cette stabilité montre la limite de la pénétration de ce type d'outil dans la population. En moyenne, un internaute est membre de 2,8 outils sociaux, en légère baisse (-0,1%) par rapport à l'an dernier.
La notoriété de tel ou tel média social dépasse souvent largement son usage. Ainsi, Facebook reste largement en tête avec 95% (+1% par rapport à l'an dernier) de notoriété, juste devant YouTube (92%, stable) et Twitter (85%, +5%). Google+ fait une entrée remarquée avec 64%. Le premier français est Copains d'Avant (82%, -2%) suivi de Dailymotion (79%, +2%). Le premier réseau social en notoriété est Viadeo (27%, +3%) mais est talonné par Linkedin, plus international (25%, +11%).
Mais, côté usage, le classement change : Facebook reste premier avec seulement 49% d'usagers (+6%), devant deux outils en perte de vitesse, Windows Live (40%, -12%) et Copains d'Avant (37%, -6%). Twitter plafonne à 8% d'utilisateurs malgré la croissance exceptionnelle de sa notoriété. Viadeo, pour sa part, reste talonné par Linkedin, avec respectivement 9% (-1%) et 8% (+3%). Google+ fait fort en entrant dans le classement avec 12% d'utilisateurs.
Le marketing social reste une chimère
Si les réseaux sociaux sont très présents, malgré tout, dans les usages des internautes, il en est tout autrement des interactions avec les entreprises et les marques via ces outils. Seuls 16% des utilisateurs y sont ainsi en relation avec au moins une marque. Ces interactions restent de plus très limitées, la plupart des personnes réalisant ce type de relations (65%) n'y recherchent que des bons plans et des réductions. Connaître les nouveautés (58% des répondants) et suivre l'actualité de la firme (56%) tiennent plus de la communication descendante marque-consommateur. Si 92% des répondants suivant des entreprises ou des marques consultent effectivement les informations en émanant, seuls 11% les commentent et 10% les relaient à leurs proches.
Le marketing social reste donc largement une chimère. Mais, malgré tout, il convient de s'intéresser aux réseaux sociaux lorsque l'on est une entreprise : ces outils sont en effet un lieu potentiel de forte nuisance. 6% seulement y ont critiqué au moins une marque. Mais 25% sont près à relayer des appels au boycott.
La réduction des retards de paiement des entreprises se tasse au troisième trimestre 2011 (MAJ)
Depuis le raccourcissement des retards de paiement observé en 2010 en Europe, l'effort des entreprises semble se relâcher. Selon la dernière étude d'Altares portant sur le sujet, les sociétés européennes ont mis en moyenne 13,4 jours à régler leurs fournisseurs au troisième trimestre 2011. Sur un an, les reports de paiement évoluent donc peu, ne se dégradant donc plus mais peinant à se réduire. De fait, on est encore loin de la moyenne de 12,5 jours qui prévalait avant la crise de 2008 au plus fort de laquelle les retards étaient montés jusqu'à 15 jours.
En France, la moyenne des retards de paiement s'élève à 12,1 jours, soit moins que la moyenne européenne. En outre, 66,5% des entreprises continuent de ne pas respecter les délais de règlement contractuels avec leurs fournisseurs. Cela témoigne, néanmoins, d'une amélioration de la situation comparée à il y a un an où cette proportion atteignait 68,1%.
Plus vertueuses, les entreprises allemandes n'accusent qu'un retard moyen proche de 8 jours dans leurs délais de paiement, soit un jour de mieux qu'il y a un an. Au sud, les entreprises espagnoles et portugaises affichent respectivement des retards de paiement de 20,8 et 26,3 jours. Ils atteignent 16 jours en Italie.
Le Syntec anticipe une croissance modérée pour 2012
« Notre industrie s'est largement transformée ces dernières années pour être plus résistante à des aléas éventuels » lance le Syntec Numérique dans sa présentation des résultats 2011. Traduction : malgré la crise, les services informatiques ne connaissent pas de ralentissement d'activité notable. Ils redoutent 2012, sans verser dans le pessimisme noir. Les plans d'embauche sur 2011 ont été suivis, la profession envisage même de nouvelles embauches sur 2012.
Pour en avoir le coeur net, le cabinet IDC, auteur de l'étude sur laquelle se base le Syntec Numérique, a réalisé deux enquêtes successives, l'une en septembre, l'autre fin octobre. Conclusion : 30% des DSI interrogés observent un allongement des cycles de décision, 21% des reports de projets. 26% des DSI veulent baisser leurs dépenses d'externalisation, 32% les augmenter. En face, 20% des prestataires constatent une diminution du nombre d'appels d'offres. Bref, la crise a un impact maîtrisé.
Le Syntec Numérique se montre même confiant sur les investissements publics, avec toujours le même raisonnement, ces investissements servant à réduire la dépense de l'Etat peuvent difficilement être remis en cause.
Forte croissance de l'infogérance
Par secteur d'activité, le Syntec Numérique observe des croissances différentes. Rappelons que depuis un an, et son changement de direction, le Syndicat compte trois collèges : SSII, éditeurs et conseil en technologie. Les SSII (conseil et services informatiques) affichent pour 2011 une croissance moyenne de 2,7% (contre +1 en 2010, - 4% en 2009). Les prix des prestations courantes sont toujours aussi serrés et même à la baisse du fait de la pression concurrentielle et de l'offshore. Les prestations plus haut de gamme tirent les prix vers le haut, l'infogérance est le secteur en croissance pour cette profession.
Les éditeurs sont, comme toujours, mieux lotis, mais avec de grandes différences. En moyenne, ils affichent 3,8% de croissance (contre + 2,5% en 2009 et -2,5% en 2009). Le BtoB s'en sort beaucoup mieux que le BtoC. Autre problème, historique celui-là, l'atomisation des éditeurs en France. Dans le top 250 réalisé avec Ernst &Young 4% seulement des éditeurs sont entre 50 et 100 ME de CA annuel, mais ils réalisent la plus forte croissance. Le 1/3 du panel se situe entre 10 et 50 ME, 63% du panel à moins de 10 ME. Ces derniers ne représentent que 8% du CA total des éditeurs.
Troisième catégorie, celle du conseil en technologie, la croissance s'envole à 7% (elle était de 2,5% en 2010 et de -7% en 2009). Le numérique embarqué est un axe de développement toujours aussi fort pour l'automobile et l'aéronautique. Et les grands donneurs d'ordre annoncent d'importants projets de sous-traitance pour 2012. Là aussi, les adhérents du Syntec Numérique équilibrent bonnes et mauvaises nouvelles.
(...)
Les députées européens veulent un Internet libre et ouvert
Les députés européens ont adopté jeudi 17 novembre une résolution demandant à la Commissaire européenne Neelie Kroes de préserver l'Internet libre et ouvert en régulant son accès contre toute forme de restriction ou de censure de la part des opérateurs télécom. Cette résolution intervient alors que les ministres de l'Union Européenne envisagent d'adopter des conclusions sur la neutralité du Net le 13 décembre prochain.
L'origine de cette résolution est un rapport du député allemand Herbert Reul demandant à la Commission de s'assurer que la réglementation des télécommunications relative à la neutralité du net soit correctement appliquée. Les députés insistent sur la nécessité de permettre aux consommateurs de faire des choix éclairés et de pouvoir opter pour l'opérateur qui réponde le mieux à leurs attentes en matière de vitesse et de quantité de téléchargements et de services.
Le principe de neutralité du Net doit garantir à tous les utilisateurs un accès à tout contenu, application ou service, avec une égalité de traitement du trafic, sans la moindre discrimination.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |