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(16/11/2011 11:48:02)
10 ou 20 To en flash sur les cartes ioDrive Octal de Fusion-IO
Fusion-IO a annoncé l'augmentation de la capacité de sa carte PCIe ioDrive Octal à 10 To et à 20 To pour serveur 1U. La version 10 To de l'ioDrive Octal repose sur 8 modules ioMemory (essentiellement DIMM) de 1,28 To en MLC (Multi-Level Cell). Cette carte peut atteindre plus de 1,3 million d'E / S par seconde (IOPS) avec un débit de 6.7Gbit/s. Fusion-io a déclaré que son produit est optimisée pour des environnements exigeants tels que l'entreposage de données, les infrastructures haute disponibilité, les supercalculateurs et les applications de recherche. Comme les autres sociétés proposant des cartes PCIe avec mémoire flash, l'ioDrive Octal intègre à la fois de la mémoire (DIMM) non volatile, à l'inverse de la DRAM qui est volatile. EMC travaille sur le sujet des cartes PCIe Flash, via son projet Lightning. Pat Gelsinger, directeur général d'EMC, n'a pas désigné le partenaire technologique sur ce sujet, mais des sociétés comme Intel ont été pressenties.
Des appliances personnalisées en préparation
« Les entrepôts de données d'une capacité de 10 To à 20 To ne sont pas rares. Si c'est votre cas, c'est la taille que propose les appliances avec de la flash aujourd'hui » a déclaré Ruck White, co-fondateur et directeur du marketing chez Fusion-IO « Cela ouvre un nouveau marché pour nous. »
« Il y a seulement une poignée d'appels I/O que vous pouvez utiliser. On peut lire, écrire et ajouter, cela n'a pas changé dans les dernières décennies. Ce que nous faisons, c'est de mettre une petite extension entre la mémoire et de stockage, qui donne une interface mémoire au stockage. Nous émulons du stockage » explique Ruck White. Comme la ioDrive Octal 10To offre maintenant une capacité similaire à la mémoire de nombreuses baies de stockage, elle permet aux partenaires de Fusion-IO, ainsi qu'aux membres de son programme d'alliance technologique de créer des appliances personnalisées. « Auparavant, un serveur 4U pouvait contenir 10 ioDrive Duos pour une capacité totale de 20 To, mais maintenant jusqu'à quatre ioDrive Octals 10 To peuvent être intégrés dans un serveur 4U, tels que le HP ProLiant DL585 G7, offrant 40 To de capacité au total » conclu David Flynn, PDG de Fusion-IO.
La ioDrive Octal 10 To sera disponible au cours du premier trimestre 2012. La firme n'a pas communiqué les prix.
Pour sortir de l'ornière, RIM compte sur sa plate-forme BBX
Le design de ce smartphone - baptisé "London" - diffère grandement de celui des BlackBerry les plus connus mais évoque les lignes épurées et les rehauts métalliques du Porsche Design P9981 sorti en octobre. Le London serait "plus fin que l'iPhone 4", écrit The Verge, et "pourrait être équipé d'un processeur bi-coeur Texas Instrument OMAP cadencé à 1,5 GHz, de 1 Go de RAM, de 16 Go d'espace de stockage et de deux capteurs photo, l'un dorsal de 8 mégapixels et l'autre, frontal, de 2 mégapixels".
Une situation devenue difficile
Le blog spécialisé BGR corrobore ces informations et ajoute qu'il s'agirait du premier smartphone RIM tournant sous BBX. Les deux blogs s'accordent à dire que le lancement du London n'interviendra pas avant le troisième trimestre 2012. Comme Nokia hier, RIM est aujourd'hui dans une situation difficile avec des smartphones qui ont pris un coup de vieux (OS, navigateur web, interface et ergonomie générale, petit écran...) et une tablette tacile loin d'être au niveau des concurrentes issues des bureaux d'Apple et de Samsung. Le canadien a en outre fort à faire pour rester compétitif face aux nombreux terminaux Android et à l'ambition affichée de Microsoft et de sa plate-forme Windows Phone, récemment épaulée par Nokia. Autre concurrent redoutable, HTC devrait pour sa part profiter du Mobile World Congress (en février prochain) pour présenter "le smartphone le plus puissant jamais vu". Il s'agirait d'un mobile Android doté d'une puce Nvidia Tegra 3 quadri-coeur et équipé d'un écran 4,7 pouces.
Crédit photo : D.R.
L'Etat lance un appel d'offres sur la maintenance des logiciels libres
La Direction des Systèmes d'Information et de Communication du Ministère de l'Intérieur, de l'Outre-Mer, des Collectivités Territoriales et de l'Immigration vient de publier un appel d'offres visant à trouver un prestataire assurant la maintenance des logiciels libres employés par l'Etat. Le marché public sera un accord cadre dont le montant estimé est de deux millions d'euros sur trois ans, ce montant étant sans engagement. Une prolongation d'un an est envisagée.
Les réponses devront parvenir au service acheteur avant le 9 janvier 2012. Il n'y aura qu'un seul allocataire au marché, éventuellement un groupement solidaire ou un groupement conjoint. La notification est prévue pour le 30 mars 2012.
Une dizaine de domaines sont à couvrir :
1 - Systèmes d'Exploitation et logiciels de base associés : Debian et CentOS, outil de virtualisation tel que KVM
2 - Serveurs de présentation et d'application : Apache, Tomcat, JonAS, CMS
3 - Langages et les frameworks de développement : JAVA, PHP, XML, Perl, Eclipse, Struts
4 - SGBD : PostgreSQL, MySQL
5 - Bureautique : OpenOffice
6 - Outils réseaux et supervision et exploitation : Ethereal, Jmeter, Nagios
7 - Outils de sécurité : Tripwire, OpenSSL
8 - Services d'annuaire et de messagerie : OpenLDAP, Sendmail
9 - Portails et gestion documentaire, knowledge management : Nuxeo, Ezpublish, Alfresco
10 - Indexation et recherche : Lucene, Zettair
La quasi-totalité des administrations centrales est concernée :
- les services du Premier Ministre ;
- la Cour des Comptes ;
- le Ministère des Affaires étrangères et européennes ;
- le Ministère de la Défense et des Anciens Combattants ;
- le Ministère de l'Ecologie, du développement durable, des transports et du logement ;
- le Ministère de la Justice et des Libertés ;
- le Ministère de l'Intérieur, de l'Outre-mer, des Collectivités territoriales et de l'Immigration ;
- le Ministère du Travail, de l'Emploi et de la Santé (secteur Santé) ;
- le Ministère du Travail, de l'Emploi et de la Santé (secteur Travail) ;
- le Ministère de l'Education nationale, de la Jeunesse et de la Vie Associative (secteur Education Nationale);
- le Ministère de l'Education nationale, de la Jeunesse et de la Vie Associative ( secteur Jeunesse et vie Associative) ;
- le Ministère de l'Agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire ;
- le Ministère de la Culture et de la Communication ;
- le Ministère des Solidarités et de la Cohésion sociale
- le Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche ;
- le Ministère de la Ville ;
- le Ministère des Sports.
L'AEFE optimise le reporting de ses données avec Talend et Actuate
L'agence pour l'enseignement français à l'étranger (AEFE) gère 480 écoles, collèges et lycées établis hors de France, dans 130 pays, qui proposent un enseignement conforme à l'exigence des programmes de l'Éducation nationale française. Ces établissements, de la maternelle aux classes préparatoires, accueillent 300 000 élèves, dont 110 000 enfants d'expatriés français et 190 000 nationaux et étrangers tiers désirant bénéficier d'un enseignement du type de celui des écoles françaises. L'AEFE fonctionne avec 6 400 titulaires de l'Éducation nationale et 15 000 collaborateurs recrutés localement mais est rattachée au Ministère des Affaires Etrangères.
Les gestionnaires de l'agence utilisaient, pour le pilotage et les rapports, Microsoft Excel pour traiter des extractions brutes à partir des systèmes informatiques de production. De fait, les équipes informatiques étaient donc sollicitées pour effectuer régulièrement de telles requêtes, chaque décideur ayant ses propres exigences. Afin de développer l'autonomie des 100 à 150 décideurs concernés et, partant, leur réactivité, l'AEFE a décidé de déployer un véritable système décisionnel.
Une optimisation des reportings
Talend extrait les données de six systèmes : le SIRH, la paye du siège (système distinct du SIRH), la gestion des bourses scolaires, la comptabilité et le budget et la gestion de la formation continue. Les données sont stockées dans un infocentre puis un datawarehouse sous PostgreSQL. Enfin, les solutions d'Actuate sont sollicitées pour créer un cube, des cubeviews, des rapports, des générations de feuilles Excel (certains utilisateurs souhaitant conserver un traitement de ce type) et enfin un tableau de bord synthétique.
« Bien qu'il y ait peu d'indicateurs et une faible volumétrie, nous devions faire de très nombreux croisements de données et nous avions besoin de fluidité et de réactivité » souligne Maryam Khiali, chef de projet maitrise d'oeuvre pour le système d'information décisionnel (SID) de l'AEFE. Avec la solution implémentée, les utilisateurs peuvent aisément fabriquer des rapports à partir des cubeviews, la navigation au sein des données disponibles empruntant une logique d'explorateur de fichiers.
Le projet a été mené à partir de janvier 2011. Il a notamment permis à la directrice de l'AEFE de disposer d'un rapport avec les chiffres dont elle avait besoin pour une audition au Sénat en moins d'une demi-heure contre de nombreuses heures auparavant.
Eurocloud se penche sur le financement du cloud via une commission ad hoc
Avec l'aide de deux associés du cabinet KPMG, Eurocloud a mis sur pied une commission finances dont la première réunion se tiendra en fin de mois. Elle va traiter de sujets sensibles pour tous les éditeurs de taille moyenne. « Le succès de l'intervention de KPMG lors de nos derniers Etats Généraux montre que l'écosystème SaaS/cloud se pose des questions en matière de finances», souligne Henry-Michel Rozenblum, le délégué général d'Eurocloud.
La commission va sortir des Livre Blanc sur les finances du cloud et de ses acteurs. Des Livres Blancs rédigés par les membres de la commission. De nombreuses questions se posent déjà, par exemple : comment calculer un prix de vente de prestations en SaaS, les paramètres à prendre en compte dans sa facturation, la valorisation de l'entreprise, la trésorerie. Les experts de KPMG vont également apporter des précisions sur les prochaines normes européennes en préparation qui impacteront le SaaS.
La commission devrait aborder aussi des thèmes plus généraux, nous précise Henry-Michel Rozenblum, comme l'influence du SaaS sur le SI, ou le management d'une entreprise qui délivre du SaaS.
Niji devient éditeur via sa filiale Kurmi
« Le meilleur creuset pour créer une entreprise, c'est quand même une entreprise et très peu le monde universitaire » lance Hugues Meili, PDG de la société de services Niji. Fort de ce principe, il a lancé l'idée il y a trois ans de créer une pépinière interne d'entreprise pour incuber de nouvelles activités, différentes mais complémentaires de son activité initiale, et destinées à être filialisées.
La première réalisation vient de voir le jour, avec la création de la filiale Kurmi Software. Un éditeur de logiciels destinés au monde de la convergence IP, le coeur d'activité de Niji. Le produit mis sur le marché par Kurmi sert à automatiser la gestion des bouquets de service créés par une entreprise pour cette convergence. Il facilite la gestion d'un écosystème multi-constructeur ou multi-éditeur.
Lancer un produit en le testant auprès des clients
Cette activité d'éditeur est différente de celle exercée initialement par Niji avec des investissements préalables nécessaires dans l'analyse du produit et sa réalisation. Le modèle économique se distingue également, Il faut une vision du marché, des définitions fonctionnelles du produit, une R&D forte. Dans l'édition, on lance un produit en le testant auprès des clients, dans le service on répond au besoin d'un client. Kurmi Software fonctionne donc bien différemment de Niji.
«Il s'agit donc avec Kurmi de mettre sur le marché un produit réalisé dans les règles de l'art, qui sera exporté à l'étranger, avec des partenaires distributeurs à valeur ajoutée » souligne Hugues Meili. Un produit distribué par trois types d'acteurs : technology vendors (Cisco, Alcatel-Lucent, Avaya et tous les acteurs de la convergence), les intégrateurs à valeur ajoutée (NextiraOne, OBS, Spie, Télindus etc ...), les cabinets conseils en tant que prescripteurs.
Kurmi a recruté un directeur général, Abdel Kander et emploie 26 personnes, 15 autres le seront en 2012. Sur 2011, cet éditeur réalisera un chiffre d'affaires de 3 millions d'euros, 5 sont prévus pour 2012. D'autres projets semblables, dont Niji ne précise évidemment pas l'activité, sont en « couveuses ».
Ventes de mobiles en berne, Samsung couronné sur les smartphones
Les trimestres passent et les ventes de téléphones mobiles (smartphones compris) perdent progressivement de leur dynamisme. Pour preuve, les derniers chiffres publiés par le Gartner au titre du troisième trimestre 2011 font apparaitre une progression du marché mondial de seulement 5,6% à 440,5 millions d'unités. Ce résultat s'inscrit dans la continuité du ralentissement enregistré lors des 1er et 2ème trimestres de l'année durant lesquels la hausse des ventes s'était respectivement établie à +19% et +16,5%. On est loin des performances trimestrielles de l'année 2010 lors de laquelle les ventes annuelles de mobiles avaient cru de 31,8%.
Même les ventes de smartphones, qui représentent désormais 26% du marché des mobiles en volume, sont prises dans la spirale du ralentissement. Au troisième trimestre 2011, elles se sont appréciées de 42% à 115 millions d'unités. Cette croissance reste, certes, vigoureuse. Mais elle s'avère tout de même bien inférieure à la hausse de 74% constatée lors du second trimestre 2011 et bien moindre encore que la progression de 85% dégagée lors du premier trimestre. « Le dynamisme des marché chinois et indien a contribué à tirer la croissance du marché mondial, explique Roberta Cozza, analyste au Gartner. Toutefois, la demande a marqué le pas en Europe de l'Ouest et aux Etats-Unis où de nombreux consommateurs attendent la sortie de nouveaux modèles vedettes pour passer à l'achat».
Samsung triple ses ventes, Nokia reste n°1 du mobile
Néanmoins toujours porteur, le segment des smartphones a vu émerger Samsung comme nouveaux numéro un mondial lors du troisième trimestre. Comparé à la même période en 2010, le coréen a triplé ses ventes de « téléphones intelligents » qui se sont ainsi élevées à 24 millions d'unités. Une belle performance que Gartner attribue aux smartphones de la gamme Galaxy qui couvrent désormais une large gamme de prix. Elle permet au fabricant de s'afficher en numéro deux mondial du mobile, tous types de combinés confondus avec 17,8% de parts de marché (PDM).
En perte de vitesse avec une part de marché de 23,9% (-4,3 points), Nokia conserve de son côté sa place de numéro un de l'ensemble du marché du mobile. Pour Gartner, le fabricant finlandais a connu le plus dur lors du second trimestre 2011, considérant que le troisième trimestre a permis de voir des signes d'amélioration. Reste à savoir lesquels. En outre, le marketing commun de Nokia et de Microsoft visant à promouvoir la nouvelle gamme de smartphones sous Windows Lumia devrait encore améliorer la situation du finlandais lors du dernier trimestre 2011.
Quatrième fabricant de mobiles derrière LG (4,8% de PDM), Apple n'a vu sa part de marché progressé que de 0,7 points à 3,9% en dépit de la hausse de 21% de ses livraisons sur le trimestre.
Android passe la vitesse supérieure
Du côté des OS mobiles, Android a réussi une percée spectaculaire en s'arrogeant 52,5% de part de marché au troisième trimestre 2011 contre 25,3% un an plus tôt. Inversement, celle de Symbian a été quasiment divisée par deux à 16,9%. L'iOS d'Apple a également reculé, n'affichant plus que 15% de parts de marché contre 16,6% au troisième trimestre 2010. La plate-forme d'Apple a pâtit de l'attentisme des consommateurs qui préfère repousser le renouvellement de leurs smartphones pour acquérir la prochaine version de l'iPhone.
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