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(16/11/2011 16:12:44)

Le réseau social socl.com de Microsoft se livre un peu plus

Au mois de juillet dernier, Microsoft publié accidentellement une page socl.com relative à un projet interne de réseau social, connu sous le nom de code « Tulalip ». Ce site était devenu inactif, mais le projet a continué son bonhomme de chemin, puisqu'il vient de refaire surface. Le site theverge.com a publié des captures d'écran montrant le design et les fonctionnalités du réseau social de Microsoft. La firme de Redmond s'inspire du design de ces deux principaux concurrents Facebook et Google+. On retrouve ainsi 3 colonnes, sur la centrale il y a les fils d'actualités, sur celle de droite il y a différentes options (invitations, chat, etc.) et sur celle de gauche des outils de navigation.

Une orientation vers la recherche collaborative

Socl.com mise beaucoup sur la recherche collaborative. Une barre de recherche est intégrée en haut de la page et les résultats issus de Bing peuvent être associés aux flux d'actualités. La fonction marquage ressemble au « J'aime » de Facebook pour indiquer l'intérêt que l'on porte sur certains sujets. Par ailleurs, la fonctionnalité « Video Party » donne la possibilité de regarder des vidéos YouTube entre amis et de les commenter en temps réel. Cela rappelle l'outil de partage vidéo « Hangout » de Google+. Par contre socl.com ne reprend pas l'idée des cercles de son concurrent pour segmenter ses amis, connaissances ou relations professionnelles. On notera aussi que sur le plan du développement, l'outil collaboratif est entièrement programmé en HTML5. Pour l'instant, le réseau social reste toujours à l'état de projet, mais pourrait s'ouvrir au public en beta sur invitation.

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(16/11/2011 16:10:34)

Dell, HP et IBM annoncent leurs serveurs Opteron 6200

Dell, HP et IBM, soit les 3 principaux fournisseurs de serveurs, ont fait part de leur intention de proposer des machines exploitant les Opteron 6200 d'AMD qui repoussent les limites du genre avec pas moins de 16 coeurs par processeur. Également connues sous le nom de code Interlagos, ces puces sont de 25 à 30% plus rapides que les précédentes (Opteron 6100 avec 12 coeurs) selon le fondeur de Sunnyvale.

Un plus grand nombre de coeurs sur les puces d'AMD pourrait apporter plus de performances aux serveurs avec certaines applications tout contribuant à la réduction de la consommation d'énergie, a déclaré Dan Olds, analyste chez Gabriel Consulting Group.

Des puces pour les bulles virtuelles


Les serveurs animés par ces processeurs travailleront plus vite  dans les  environnements fortement virtualisés accueillant des bases de données et calcul haute performance, a précisé M.Olds. Plus de coeurs sur les serveurs offrent une plus grande granularité dans la répartition des charges de travail et contribuent également à la consolidation des plates-formes serveurs dans un centre de calcul. «AMD a augmenté de manière plus significative qu'Intel le nombre de coeurs et ils offrent une certaine parité en milieu et haut de gamme » a déclaré Olds. Pour l'instant, Intel ne propose que 10 coeurs max sur ses puces serveur Xeon.

Si les processeurs Intel fournissent de meilleures performances brutes, AMD propose une meilleure réactivité avec sa puce, selon l'analyste. Alors que les entreprises cherchent à réduire leurs coûts, AMD offre de meilleures performances par watt avec ses dernières puces par rapport à celles d'Intel. Les Opteron 6200 puces sont basées sur une nouvelle micro-architecture processeur baptisée Bulldozer (voir détails sur la plate-forme).

5 serveurs attendus chez HP


HP a introduit pas moins de cinq serveurs ProLiant G7 avec des puces AMD Opteron 6200. On peut ainsi monter jusqu'à 2048 coeurs par rack, soit 33% en plus par rapport à la génération précédente, a indiqué le constructeur. Ces machines amélioreraient leurs performances de 35 % pour l'exécution de certaines applications. Ces serveurs seront disponibles à partir du 29 novembre aux États-Unis aux prix suivants :  à partir de 2 679 $ pour le BL465c, 9 559 $ pour le BL685c, 3699 $ pour le  DL385, 6309 $ pour le DL585 et 1 559 $ pour le DL165.

De son coté, IBM mettra à jour son serveur System x 3755 M3 en rack avec ces puces, a déclaré Jim Smith, un porte-parole d'IBM. La plate-forme sera probablement disponible dans le courant décembre. Reposant sur une carte mère quatre sockets, ce serveur se destine aux environnements virtualisés ou aux applications intensives comme les bases de données, a déclaré le speaker d'IBM. Avec ses 16 coeurs, cette machine est également une option pour ceux qui veulent des serveurs haute performance à un prix abordable. Signalons enfin que l'x 3755 M3 est le seul serveur d'IBM sur base AMD. Les mesures de performances de cette machine seront publiées très bientôt selon M.Smith.

Si Dell va également mettre à jour ses serveurs avec les dernières puces d'AMD, aucun communiqué n'a été publié à ce jour. On sait juste que le PowerEdge 815 passera de 48 à 64 coeurs avec les Opteron 6200.

Cray et Amax poussent la puce sur le HPC


Dans les prochaines semaines, ces processeurs seront également disponibles dans les serveurs d'Acer et de Cray, a indiqué AMD. Avant la conférence SC11 à Seattle, Cray a précisé qu'il construisait un supercalculateur baptisé Blue Waters pour le compte du National Center for Supercomputing Aplications à l'Université de l'Illinois. Ce système aura 49 000 processeurs Opteron 6200 16 coeurs et fournira des performances en pointe de 11,5 Pétaflops. Rappelons que Cray a remplacé au pied levé IBM, qui avait initialement été contactée pour construire le système.

Toujours à l'occasion du SC11, un petit constructeur spécialisé dans le HPC, Amax, a montré deux serveurs - 1U et 2U -  pouvant accueillir jusqu'à quatre processeurs 16 coeurs. La machine 1U, la HA-1402, peut accueillir jusqu'à quatre puces 16 coeurs dans son châssis, avec trois disques durs dans les emplacements 3,5 pouces. Le HA-2403 au format 2U possède un peu plus d'espace pour le stockage et peut accueillir en sus des unités SSD.

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(16/11/2011 14:55:24)

Red Hat ajoute des outils de gestion du cycle de vie des applications à son PaaS OpenShift

Red Hat a équipé sa plate-forme d'application hébergée OpenShift avec un ensemble d'outils pour le cycle de vie du développement et des applications afin de simplifier le déploiement sur le PaaS (Platform-as-a-Service). « OpenShift a un workflow de développement entièrement intégré, » a déclaré Issac Roth, PaaS Master chez Red Hat. « Désormais, il serait même possible de faire du codage sur un iPad, parce qu'aucune compilation, ni aucun runtime ne se font en local, » a t-il précisé. OpenShift inclut désormais Maven, l'outil Open Source de gestion et d'automatisation de développement Java, et Jenkins, un autre outil Open Source d'intégration continue écrit en Java. OpenShift est aussi entièrement intégré avec JBoss Tools IDE (Integrated Developer Environment) de Red Hat.

Lancée en mai dernier, l'offre PaaS OpenShift de Red Hat, offrira, quand elle sera commercialisée, un environnement hébergé évolutif qui permettra à des individus ou à des entreprises de faire tourner leurs applications. OpenShift peut exécuter des programmes écrits en Java, PHP, Python, Perl et Ruby. La plate-forme fournit également différents types de bases de données et des outils de mise en cache par couche, plus le serveur d'applications JBoss de Red Hat. Avec OpenShift, « le développeur peut se concentrer entièrement sur l'application, sans se soucier de la pile. Il n'a pas à se préoccuper de l'infrastructure, ni du middleware», a déclaré Issac Roth.

Compiler et exécuter ses applications sur OpenShift

« L'ajout d'outils pour le cycle de vie du développement devrait faciliter le processus de déploiement d'un programme dans OpenShift, » a encore déclaré le PaaS Master. L'intégration avec JBoss Tools permet aux développeurs d'écrire le code sur leurs propres machines et de réaliser la compilation et l'exécution de leurs programmes sur OpenShift. Le serveur Open Source d'intégration continue, Jenkins, intégrera automatiquement les changements de code fait par les développeurs dans la copie maître d'OpenShift. L'introduction de Maven devrait rationaliser la façon dont les développeurs gèrent les dépendances de leur application, ou les autres programmes et bibliothèques, nécessaires au fonctionnement de leur programme. Avant l'incorporation de Maven, les développeurs devaient conserver des copies de toutes les ressources nécessaires à portée de main, et les télécharger avec leurs applications. OpenShift contient désormais un large éventail de bibliothèques Open Source, mais permettra aux développeurs d'ajouter leurs propres ressources.

Red Hat n'a pas commencé à faire payer son service OpenShift, et laisse pour l'instant les développeurs et les entreprises faire tourner leurs logiciels gratuitement sur sa plate-forme. « Dès que les tarifs du service et du support auront été définis, Red Hat commercialisera son offre. Ce sera en 2012, » a déclaré Issac Roth.

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(16/11/2011 14:44:17)

Intel dévoile sa puce HPC Knight Corner avec 50 coeurs (MAJ)

A l'occasion de la conférence SC11 (SuperComputing) à Seattle, Intel a montré pour la première fois sa puce connue sous le nom de code Knight Corner, qui comprend plus de 50 coeurs pour gérer des calculs haute performance. Le fondeur a aussi parlé de ses puces serveurs Xeon E5 qui vont bientôt arriver et sont basées sur la microarchitecture Sandy Bridge. Il a été question du processeur E5-2600 qui offre le double de performance par rapport à la puce serveur Xeon 5600 basée sur l'architecture Westmere, précise Joe Curley, directeur du marketing au sein du technical computing group chez Intel.

Les deux puces seront jumelées au sein d'un superordinateur appelé Stampede et qui sera déployé en 2013 au Texas Advanced Computing Center de l'Université du Texas. Le supercalculateur disposera d'une performance de 10 pétaflops (10 millions de milliards d'opération par seconde). Les processeurs E5 assumeront 20% de la performance du supercalculateur, tandis que les puces Knight Corner contribueront aux 80% restant, soit environ 8 Pétaflops.

Une puce confrontée à une forte concurrence

La puce Knight Corner combine des coeurs de processeurs standards x86 avec des coeurs spécialisés pour accélérer le calcul en parallèle. Intel précise que sa puce est la première à atteindre 1 téraflop en double précision (64 bits), ce qui donnera des résultats plus exacts. Gravée en 22 nanomètres, ce composant est un élément important dans stratégie d'Intel pour atteindre l'exascale computing en 2018, souligne Joe Curley. Ce concept informatique est un point essentiel dans plusieurs domaines, la médecine, la défense, l'énergie, etc. Des pays comme le Japon, la Chine et les Etats-Unis sont engagés dans une compétition pour arriver à des supercalculateurs atteignant l'exaflop. Cependant, les contraintes de conception et une importante consommation énergétique ont limité le développement des projets exaflopiques.

La puce Knight Corner repose sur l'architecture MIC (many integrated core), qui s'insère dans un emplacement PCI-Express. Cette architecture est considérée comme un accélérateur dans la même veine que les processeurs graphiques utilisés par les concurrents comme AMD ou Nvidia mais sans recourir à des technologies dédiées comme CUDA. Joe Curley indique que « MIC est une rupture dans les calculs parallélisés au sein des architectures de processeurs traditionnels, car vous pouvez réutiliser une grande partie du code. S'il faut modifier l'ensemble du code, votre système sera plus difficile à utiliser ». Sensible aux critiques portant sur la complexité de CUDA pour utiliser les GPU en calcul intensif, Nvidia a réussi à contourner ce problème en exploitant des directives, qui sont des « astuces » que les développeurs intégrent dans un compilateur pour identifier les zones où le code doit être accéléré. Le fondeur a annoncé cette semaine OpenACC, un standard ouvert pour la programmation des directives. Cette initiative est soutenue par plusieurs entreprises dont le constructeur de superordinateur Cray.

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(16/11/2011 11:16:16)

Les Français encore sceptiques face aux infos politiques sur Internet

A six mois de l'élection présidentielle, les Français considèrent Internet comme leur troisième source d'information politique, derrière la télévision et la radio mais devant la presse écrite, selon le baromètre Enjeux numériques, réalisé pour Microsoft par Ipsos-Logica Business Consulting, publié le mercredi 16 novembre.

Si la télévision (71%) et la radio (56%) restent les médias privilégiés des Français, un tiers d'entre eux utilisent internet tous les jours pour s'informer sur la vie et l'actualité politique nationale. La presse écrite n'est une source d'information que pour 23% des sondés.

Sceptiques face aux infos en ligne

Les Français demeurent néanmoins dubitatifs face aux informations relayées en ligne : ils sont 87% à estimer qu'internet facilite la propagation de rumeurs et fausses informations. Ils se tournent donc en priorité vers des médias référents en matière d'information politique, à commencer par les grands portails d'actualité (51%) et les sites internet des médias traditionnels (46%). Les réseaux sociaux - comme sources d'information - figurent loin derrière (17%). Quant aux "pure players" (médias présent uniquement en ligne), ils ne sont pour le moment appréciés que par 11% des internautes.

Les Français se disent encore peu enclins à s'impliquer sur le web ou à partager leurs opinions dans le cadre des scrutins à venir : 6% seulement sont par exemple prêts à faire la promotion d'un candidat. Les pratiques plus participatives et sociales devraient rester l'apanage des moins de 35 ans. Ils sont 58% à avoir l'intention d'aller sur les sites et ou les blogs des candidats pour s'informer et 22% de publier des liens sur les réseaux sociaux.

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