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(17/12/2007 18:12:23)
La méthode publique Praxeme fête ses un an avec des cas d'utilisation
L'association Praxeme Institute a tenu vendredi dernier sa première assemblée générale, suivie d'une séance ouverte au public qui a permis de se faire une idée de l'état d'avancement de cette méthode publique pour architecturer les systèmes d'information. Comme le souligne souvent l'auteur de la méthode, Dominique Vauquier, Praxeme est sous licence Creative Commons afin que le plus d'entreprises possible l'utilisent. A écouter les membres de l'association, les premiers résultats en termes de diffusion sont encourageants : Praxeme est partie de travaux chez Sagem, a été mise au point à la SMABTP, et a aussi été mise en oeuvre à des degrés divers chez Calyon, à la Caisse d'allocations familiales et au sein de l'Armée de Terre. Des prestataires sont également intervenus pour parler de Praxeme dans le cadre du projet SOA (architecture orientée services) du répartiteur pharmaceutique OCP Celesio et de celui d'EdF à la Doaat. De son côté, Dominique Vauquier a quitté Unilog pour travailler sur l'architecture d'Axa. Dominique Vauquier, Pierre Bonnet (directeur du conseil d'Orchestra Networks) et Jean-Michel Detavernier (DSI adjoint de la SMABTP) ont par ailleurs profité de l'occasion pour dédicacer leur ouvrage commun, « Le système d'information durable », chez Hermès Science Publications. Le livre expose précisément les objectifs de la méthode, et sa mise en application au sein de la SMABTP. (...)
(17/12/2007 17:56:18)Les recruteurs, en quête de spécialistes d'Unix, selon Freelance.com
La tendance forte observée par Freelance.com, au cours des derniers mois de l'année 2007, pour des projets de migration des systèmes propriétaires vers des architectures standardisées, permettent de justifier une demande forte des spécialistes des systèmes d'exploitation : ainsi, en cette avant dernière semaine de l'année, freelance.com relève une hausse de la demande pour les spécialistes d'Unix : les compétences de chefs de projet, d'administrateurs, d'analystes programmeurs ou encore d'analystes exploitation sont dans le point de mire des recruteurs, pour des missions ponctuelles.
Cette demande autour des environnement Unix s'inscrit dans un contexte où les compétences SAP et Oracle tiennent toujours le haut du pavé des 10 spécialités les plus courtisées, et ce, en dépit d'un léger recul.
Du côté des compétences proposées, les spécialistes d'Unix, avec 14% de l'offre, arrivent en seconde position, loin derrière les experts des environnements Microsoft qui pèsent près de 28% des offres pour des candidats en freelance.
(...)
Colt attaque le projet de fibre optique des Haut-de-Seine devant Bruxelles
Y aurait-il du rififi dans la fibre optique ? L'opérateur anglais Colt prévoit d'attaquer devant la Commission européenne le projet de cablâge des Hauts-de-Seine, confié à un consortium réunissant Numericable, Neuf Cegetel et Eiffage. Au coeur du litige, un financement publique de 59 M€ (sur les 422 M€ au total) que Colt, qui quant à lui a investi 100 M€ dans le département, estime quasi-anticoncurrentiel. « Nous attaquerons ce projet devant la Commission européenne, car le réseau des Hauts-de-Seine sera financé par l'argent du contribuable, sans objectif de retour sur investissement. Nous ne sommes pas contre la concurrence, si les autres opérateurs ont les mêmes contraintes que nous », a déclaré Emmanuel Tricaud, directeur des affaires réglementaires chez Colt Telecom, aux Echos. (...)
(17/12/2007 17:45:44)Les forums de discussions modérés a posteriori pas responsables de leur contenu
La jurisprudence se précise quant à la définition des hébergeurs et, partant, de leur responsabilité éditoriale. Dans un arrêt du 12 décembre, la Cour d'appel de Versailles vient ainsi d'estimer qu'un forum de discussion, même modéré a posteriori, ne peut être tenu responsable des propos et opinions émis par les participants en ce qu'il n'est qu'hébergeur et pas éditeur du contenu publié. En l'espèce, le site LesArnaques.com, « dédié à tous ceux ayant été victimes de faux annuaires et guides bidons » était poursuivi par les Editions régionales de France (ERF) pour « les graves allégations à l'égard de [la] société » présentées dans le forum de discussion. En première instance, le juge des référés condamnait le site, mis en cause pour dénigrement commercial, et ordonnait que cessât « le trouble manifestement illicite ». LesArnaques.com interjetait alors appel de cette décision en arguant de ce que les forums étaient modérés a posteriori et que les réclamations faites par ERF étaient vagues et ne désignaient pas assez précisément les messages diffamants pour que ceux-ci puissent être supprimés. Des arguments qui ont su convaincre la Cour d'appel, laquelle estime que la loi applicable en la matière était la LCEN (loi pour la confiance dans l'économie numérique) du 21 juin 2004. Plus précisément, son article 6-1-2, prévoit le régime de responsabilité des hébergeurs. « Les personnes physiques ou morales qui assurent, même à titre gratuit, pour mise à disposition de public par des services de communication en ligne, le stockage de signaux, d'écrits, d'images de sons ou de messages de toute nature fournis par des destinataires de ces services ne peuvent pas voir leur responsabilité civile engagée du fait des activités ou des informations stockées à la demande d'un destinataire de ces services si elles n'avaient pas effectivement connaissance de leur caractère illicite ou de faits et circonstances faisant apparaître ce caractère ou si, dès le moment où elles en ont eu cette connaissance, elles ont agi promptement pour retirer ces données ou en rendre l'accès impossible. » Dès lors, la Cour d'appel a infirmé la décision des juges du fond et déboute ERF de ses demandes. Au-delà de l'issue de la procédure, c'est la reconnaissance d'un forum de discussion modéré a posteriori en tant qu'hébergeur qui est prépondérante. Une position qui s'inscrit dans la lignée de celle rendue le 29 octobre par le TGI de Paris. Les magistrats avaient considéré que la Fondation Wikimedia devait, elle aussi, être considérée comme un hébergeur de contenu et, de fait, ne pouvait être poursuivi en tant qu'éditeur pour les propos publiés par les participants. (...)
(17/12/2007 17:44:06)La CNIL « dissoute » par des manifestants
Aucun représentant de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) n'était disponible pour commenter l'invasion, le vendredi 14 décembre 2007, des locaux de l'autorité administrative par une centaine de manifestants issus de plusieurs collectifs associatifs (Coordination contre la Biométrie, « souriez, vous êtes filmés ! », Mouvement pour l'Abolition de la Carte d'Identité, etc.). Ces mouvements ont symboliquement prononcé la « dissolution » de la CNIL pour protester contre sa complaisance supposée dans un certain nombre de dossiers sensibles amenant à un fichage généralisé de la population. Historiquement, c'est pourtant pour lutter contre ce fichage généralisé que la CNIL a été créée en 1978, faisant suite aux réflexions menées après l'éclatement du scandale Safari en 1974. Le « Système automatisé pour les fichiers administratifs et le répertoire des individus » (Safari) visait à croiser tous les fichiers administratifs dans un vaste répertoire de la population avec comme clé unique le numéro national d'identification (dit « numéro de sécurité sociale »). D'après les manifestants, la complaisance de la CNIL a permis la multiplication des projets attentatoires aux libertés, aussi bien dans le secteur public que dans les entreprises : tolérance vis-à-vis des spammeurs, autorisation du flicage des internautes par des entreprises privées pour « lutter contre le piratage », dossiers médicaux détenus par des assureurs, multiplication des usages de la biométrie, passes pour les transports genre Navigo... Les protestataires dénoncent trois illusions : l'indépendance de la CNIL, sa capacité à faire respecter les droits individuels et sa volonté de protéger les libertés. Protection des libertés ou technophobie La CNIL n'a cependant jamais eu vocation à interdire les traitements nominatifs mais simplement à en encadrer l'usage pour éviter les dérives. Force est de constater que si la CNIL ne remplit pas toujours tous ses rôles, souvent faute de moyens (notamment dans la lutte contre le spam ou dans les contrôles des fichiers de police), beaucoup des critiques des manifestants dissimulent, non pas un désaccord avec la CNIL sur l'équilibre entre liberté individuelle et utilisation d'informations nominatives, mais bien un refus caractérisé de toute utilisation de données nominatives. Plus que de protection des droits dans une société numérique, il faut donc voir dans le message des manifestants un refus de la société numérique dont l'existence ne peut que s'accompagner d'un certain flicage : comment payer en ligne un service ou recevoir un bien commandé par correspondance sans laisser une trace quelconque de ses coordonnées bancaires ou de son adresse postale ? A trop dénoncer, les manifestants risquent de déconsidérer les critiques légitimes lorsque la CNIL accepte (ou est contrainte d'accepter par le Législateur) des traitements réellement attentatoires aux libertés (...)
(17/12/2007 17:27:09)Les consommateurs sont prêts à payer plus pour polluer moins
Selon une étude IBM, les consommateurs, à l'échelle mondiale, seraient prêts à dépenser plus pour polluer moins. Et cette analyse, qui porte globalement sur les tendances de consommation, laisse entrevoir quels enjeux, tantôt marketing tantôt économiques, représente alors l'informatique verte pour les constructeurs de l'industrie informatique. Ainsi, presque la moitié des personnes interrogées se disent prêtes à payer plus pour des biens de consommation en harmonie avec l'environnement. Quand il s'agit d'acheter des énergies vertes, les deux tiers des sondés préfèrent dépenser pour des énergies qui dégagent moins de gaz à effets de serre. Reste que si les consommateurs souhaitent être davantage impliqués dans leurs décisions liées à l'énergie, peu semblent être suffisamment informés sur la question environnementale. Même si la prise de conscience progresse, les consommateurs qui ont franchi le pas sont encore minoritaires. 75% des sondés hors des Etats-Unis n'ont rien mis en place et seulement 15% des américains ont adopté une attitude plus écolo. (...)
(17/12/2007 17:00:57)Sun sort une offre de support payant d'OpenOffice
Issue de StarOffice, la suite bureautique de Sun, OpenOffice s'est depuis affranchi de tout lien officiel avec l'éditeur en passant dans le monde Open source. Pour autant, à une époque où les suites bureautiques (en ligne ou non) gratuites se multiplient, l'éditeur n'a pas abandonné OpenOffice. L'éditeur vient en effet d'annoncer qu'il offrira un support technique pour la suite bureautique, sur le même modèle que celui fourni pour Star Office, à partir de 20 $ par an et par utilisateur. Ce support ne sera pas adressé en direct aux utilisateurs, de « niveau 2 », il s'adresse aux entreprises distribuant OpenOffice (comme Ulteo). De plus, contrairement au support de StarOffice, celui-ci ne comprend aucune assurance juridique en cas de procès éventuel lié à l'utilisation d'OpenOffice. De même, ce support s'étendra aux plug-in pour OpenOffice que Sun développe, comme l'assistant qu'il propose pour compresser les présentations faites avec cette suite. Pour les plug-in créés par d'autres développeurs, Mark Herring, directeur marketing de l'offre OpenOffice et StarOffice chez Sun, précise : « Nous travaillerons avec eux sur le code au cas par cas. » Selon lui, OpenOffice a été téléchargé 110 millions de fois avec, en moyenne, 1 million de téléchargements par semaine (surtout en Europe et aux Etats-Unis). « Cette année, OpenOffice va réellement s'imposer », estime-t-il. « Ce ne sont plus que les développeurs qui utilisent ce produit. Il touche également la population étudiante et ceux qui ne peuvent se payer des produits commerciaux. Cela devient un vrai succès.» (...)
(17/12/2007 16:48:21)SWSoft sacrifie son nom et celui de Virtuozzo pour Parallels
SWSoft, connu pour être éditeur de Parallels, hyperviseur pour Macintosh, a décidé d'endosser le nom de ce produit à la place du sien. Il s'agit d'un choix purement marketing, puisque ex-SWSoft est aussi connu dans les datacenters pour Virtuozzo, outil de virtualisation qui exploite des containers au dessus d'un OS unique. En pleine préparation d'une offre pour 2008 qui couvrira tous les besoins, du client au serveur, Parallels prévoit de rebaptiser ce produit Parallels Virtuozzo Containers, puis Parallels Containers. Le nouvel ensemble sera chapeauté à la fin de l'an prochain par les outils d'administration Parallels Infrastructure Manager et Parallels System Automation. Et Parallels d'entonner le refrain habituel : "la virtualisation n'est rien, les outils d'administration sont tout". (...)
(17/12/2007 16:45:09)Novell finit son exercice dans le rouge
Suffit pas de signer un accord avec Microsoft pour réussir son année. Telle est la morale de l'exercice que Novell achève avec des résultats décevants qui ont entraîné la chute du cours du titre en bourse. L'éditeur, qui s'était habilement rapproché du numéro un mondial afin d'être son partenaire du monde Linux, n'en finit donc pas moins son exercice sur un retour dans le rouge. L'année fiscale de Novell a été plombée par une perte exceptionnelle de 25 M$ inscrite aux comptes du quatrième trimestre. Au quatrième trimestre, les ventes liées aux logiciels libres ont progressé de 69% à 23 M$ et de 56% sur un an. Ces chiffres représentent toujours moins de 10% du CA total du groupe. Les actionnaires réclament que Novell commence à utiliser ses 1,3 Md$ pour racheter ses propres titres et, grâce à cela, augmenter artificiellement le bénéfice par action. L'éditeur a révisé à la baisse ses objectifs de CA pour 2008. (...)
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