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(29/08/2007 17:32:05)
Microsoft ne peut s'exonérer de la GPL v3.0, selon la FSF
Microsoft devra respecter les licences Open Source. C'est la dernière conclusion en date tirée par la FSF (Free Software Foundation) après l'accord de partenariat passé entre Microsoft et Novell en novembre 2006. Dans son communiqué publié le 28 août, la FSF menace Microsoft de poursuites judiciaires s'il n'applique pas à la lettre la licence GPLv3. « Microsoft a dit qu'il souhaitait qu'on respecte ses soi-disant « propriétés intellectuelles » - un terme de propagande destiné à entraîner la confusion entre le droit des brevets, le copyright et d'autres droits non liés, et à obscurcir les différents problèmes qu'ils posent. Nous ferons en sorte - et dans la mesure de nos moyens, nous aiderons les autres détenteurs de licences GPLv3 - que Microsoft respecte nos copyrights et se mette en conformité avec nos licences, » affirme la FSF dans son communiqué. Cet accord entre Microsoft et Novell fut le premier d'une longue liste passée avec différents acteurs Open Source (Linspire, Xandros, etc.) pour les protéger d'éventuelles poursuites pour non-respect de la propriété intellectuelle de Microsoft inclut dans les logiciels libres (sans précision à ce jour sur les points litigieux !). Il prévoit notamment l'introduction de 70 000 coupons dans les produits Microsoft donnant droit à la distributions SUSE Linux et à son support technique, en échange d'un versement par Microsoft de 240 M$ à Novell. Microsoft, un distributeur Linux Pour la FSF, ces coupons font de Microsoft de facto un distributeur Linux et l'oblige à respecter les obligations de la version 3 de la GPL. Et notamment, le fait que «si un utilisateur reçoit une promesse d'exemption de brevet de la part de Microsoft en achetant une copie d'un programme sous GPL v3 auprès d'un agent Microsoft, Microsoft sera tenu par la GPL v3 d'étendre cette protection à tous les prochains utilisateurs de ce logiciel », précise-t-elle. Or, Microsoft a essayé en juin dernier de s'exonérer par avance des obligations de la GPLv3 en estimant qu'il n'était que l'agent de Novell et non un distributeur. Une charade juridique que ne reconnaît pas la FSF : « Si Microsoft distribue nos travaux licenciés sous GPL3, ou paie autrui pour les distribuer à son compte, il doit le faire selon les termes de cette licence. Il ne peut le faire autrement, et ne peut s'auto-exempter des exigences de la GPLv3. » (...)
(29/08/2007 17:03:07)IBM met le iSCSI à portée des PME
IBM tente un retour sur le créneau des configurations de stockage iSCSI. Neuf mois après sa rupture avec Adaptec, IBM annonce le DS3300, premier produit de la ligne de baies de stockage DS3000 à supporter iSCSI. Les DS3000 accueillent jusqu'à 12 disques pour une capacité interne totale de 3,6 To. L'ajout d'EXP3000 porte la capacité totale à 14,4 To. Les DS3300 sont destinés en priorité aux PME qui veulent faire évoluer leurs configurations d'attachement direct sans pour autant opter pour le Fiber Channel. Le prix d'entrée du DS3300 est annoncé à 5000 $. Par ailleurs, IBM renforce aussi sa série DS3000 avec le DS3400 qui intègre un HBA (Host Bus Adapter) d'Emulex et un switch Brocade. (...)
(29/08/2007 16:57:16)Un ex-dirigeant de l'Ecma prédit la normalisation ISO d'Open XML
A quelques encablures du verdict de la position française quant à la normalisation ISO d'Open XML, Jan Van Den Beld, ex-directeur de l'Ecma (organisme de normalisation qui a approuvé Open XML), affirme sans détour que le format de Microsoft passera avec succès le suffrage de l'ISO. Et ce, dès mars. Il va plus loin en défendant, dans une interview donnée à nos confrères de Computerworld, Open XML contre les critiques. En dépit des oppositions des supporters d'ODF, qui mettent notamment en avant les faiblesses techniques d'Open XML, et les votes négatifs du Brésil et de l'Inde, Van Den Beld explique en substance que l'erreur fait partie intégrante d'un standard. « Apportez moi n'importe quel standard et je vous parie que je trouve une erreur », déclare-t-il. Il pointe ensuite du doigt le faux problème que semble être pour lui la multiplicité des standards (Open XML et OpenDocument). « Si OpenXML est approuvé, ce ne serait pas la première fois que deux formats techniquement similaires deviennent des standards ». Et de prendre l'exemple des multiples formats de support DVD, approuvé par l'Ecma et par l'ISO. L'ISO doit voter pour la normalisation d'Open XML le 2 septembre. (...)
(29/08/2007 16:55:56)Hewlett-Packard consolide sa position de numéro un de l'impression
Numéro un mondial des imprimantes toutes catégories, Hewlett-Packard se lance dans une immense opération de promotion. Le groupe met plus en avant les 300 M$ qu'il compte dépenser sur douze mois pour promouvoir ses nouveautés que celles-ci. Baptisée Print 2.0 pour se glisser dans le brouhaha du nébuleux Web 2.0, l'offensive d'HP mélange nouveaux produits et annonces de services. Ces services en ligne seraient le signe que l'industrie de l'impression, née avec la micro, commence à s'en détacher. En tout cas, HP a découvert que 48% des impressions concernaient des documents consultés en ligne et non des fichiers produits par des logiciels bureautiques comme Word ou Excel. HP annonce toutefois une demi-douzaine d'imprimantes laser et quelques jets d'encre pour le marché professionnel. Le groupe, qui annonce aussi la version MFP (réseau) du traceur grand format Designjet T1100 (21 000 $), en profite pour lever le voile sur sa première tête d'impression piézoélectrique qui devrait équiper le modèle départemental HP Scitex XL2200. Quant au grand public, cible de toute l'attention d'HP, il se voit proposer outre des imprimantes autonomes, nombre de services en ligne. Notons qu'HP a signé des accords avec le site de photos en ligne Flickr, Windows Live Spaces et Yahoo. Jusqu'à la gravure de DVD contenant une émission de télévision. Rappelons que, malgré le retour à une meilleure situation des autres activités d'HP, les imprimantes restent la vache à lait du groupe. Elles génèrent à elles seules 50% du résultat opérationnel total alors qu'elles ne pèsent qu'un quart du CA total. Inutile d'aller chercher plus loin pourquoi cartouches d'encre et de toner coûtent si cher. HP France communiquera les prix des nouveautés au fur et à mesure de leur disponibilité dans l'Hexagone. (...)
(29/08/2007 16:48:20)Départ surprise du directeur financier de Google
Georges Reyes, le directeur financier de Google démissionne. Inhérent à des "raisons personnelles", ce départ, planifié pour la fin de l'année, est le premier d'un dirigeant de haut niveau chez Google depuis son introduction en bourse. Jugés décevants, les résultats de Google au deuxième trimestre ont-ils joué un rôle dans le départ de celui qui occupait ce poste enviable depuis 5 ans ? Google avait surpris en annonçant une augmentation de 13% de ses coûts d'exploitation et certains avaient estimé que Georges Reyes n'avait plus la stature pour occuper son poste dans une entreprise dont la capitalisation boursière (158 Md$) est désormais largement supérieure à celle d'IBM (152 Md$). Agé de 53 ans, George Reyes a touché l'an dernier une rémunération de 1,7 M$. Son plan d'action est estimé à plus de 24 M$. (...)
(29/08/2007 16:35:54)Semestriels LogicaCMG : les acquisitions sauvent le navire
Résultats premier semestre 2007 Chiffre d'affaires : 2,39 Md€ (+36,2%, dont +3,5% en organique) Bénéfice opérationnel : 219,9 M€ (+1350%, -17,1% en organique) Les résultats semestriels de LogicaCMG sont, à première vue, excellents : le chiffre d'affaires passe de 1,75 Md€ à 2,39 Md€, soit une hausse de 36,2%. Le bénéfice net de la société de services informatiques anglo-néerlandaise s'envole littéralement, en passant de 16,12 M€ à 219,9 M€. Ces excellents résultats sont en réalité le fruit des deux acquisitions majeures que LogicaCMG a effectuées en 2006 : la SSII française Unilog en juillet 2006, suivie de la suédoise WM Data quelques semaines plus tard. A périmètre constant, la progression du chiffre d'affaires réajusté plafonne à 3,5%, en raison des mauvais résultats enregistrés en Grande-Bretagne, alors que le bénéfice net s'écroule en perdant 17,1%. « Nous allons continuer à concentrer nos efforts pour développer notre marché britannique, notamment en passant par une phase de recrutement », a déclaré Jim McKenna, directeur exécutif de LogicaCMG. La SSII a également profité de la publication de ces résultats pour annoncer des changements au sein de sa direction. Le président du Conseil d'administration Cor Stutterheim se retire, laissant les commandes à David Tyler, actuellement Vice-président. (...)
(29/08/2007 15:15:44)Le PDG d'Acer promet de démissionner si la fusion avec Gateway échoue
« La fusion réussira sans aucun doute. Si ce n'est pas le cas, je démissionnerai », a déclaré le PDG d'Acer, J.T.Wang, dans une interview au magazine chinois Economic Daily News, en parlant du rachat de Gateway par le groupe. Des dires confirmés par le porte-parole du groupe à nos confrères d'IDG News Service. La réaction du PDG du fabricant taiwanais intervient alors que la future fusion Acer / Gateway annoncé lundi 27 août est au centre de vives critiques. Les observateurs du marché ainsi que les analystes boursiers estiment de leurs côtés le montant de la transaction (710 M$) trop élevé, allant jusqu'à affirmer qu'Acer aurait mieux fait de s'abstenir et de profiter, naturellement, de la forte progression des ventes sur le sol américain. D'autres prédisent au Taiwanais les pires difficultés à digérer le rachat, surtout si ce dernier se transforme en une double acquisition. En se faisant racheter par Acer, Gateway a appliqué son droit de premier refus au rachat de Packard Bell par Lenovo. Permettant au Taiwanais de se repositionner pour le rachat de Packard Bell. Et dernier indice que la fusion Acer / Gateway a mauvaise publicité : la dégringolade du titre Acer ces deux derniers jours sur la place boursière taiwanaise. (...)
(29/08/2007 15:04:14)Wipro Technologies s'installe à Atlanta
La branche services de l'entreprise indienne Wipro compte ouvrir un centre de développement aux Etats-Unis, rapporte l'agence de presse Reuters. Celui-ci emploiera 200 personnes dès son ouverture et vise les 500 salariés d'ici trois ans. "Nous avons besoin de connaissances précises des métiers de nos clients, et nous devons nous rapprocher d'eux, géographiquement", expose P.R Chandrasekar, président de Wipro Technologies. La SSII indienne, qui possède des centres de développement au Brésil, en Europe de l'Est et de l'Ouest, en Chine, au Mexique et au Canada, envisage d'installer trois nouveaux centres de développement logiciels aux Etats-Unis, en Georgie, au Texas et en Virginie Elle emploie déjà 6 000 personnes aux Etats-Unis, et 80 000 dans le monde. (...)
(29/08/2007 12:36:03)L'Ile-de-France, premier employeur high-tech européen
En 2006, l'Ile-de-France représentait à elle seule 4% des emplois des 27 pays de l'Union européenne (UE-27). Selon l'office européen des statistiques Eurostat, la région est ainsi devenue le premier employeur high-tech européen, avec quelque 400 000 personnes employées dans les nouvelles technologies. Autre région de l'Hexagone à figurer au classement de l'office statistique, Rhône-Alpes, avec 1,26% de l'emploi total de l'UE-27. Suivent la région italienne de Lombardie et le grand Madrid, qui concentrent respectivement 233 000 (soit 2,52% des emplois) et 193 000 (2,06%) postes dans l'informatique. L'office européen précise qu'aucune autre région d'Europe ne dépassait 2% du total des emplois de l'Europe des vingt-sept, en 2006. Toutefois, les vingt régions les mieux classées totalisent un tiers environ de l'emploi IT. Bien qu'en valeur absolue, une grande partie de l'emploi se concentre dans quelques régions seulement, principalement en Ile de France, le classement diffère lorsque l'on examine les chiffres relatifs : l'Ile-de-France ne se classe plus qu'au troisième rang, derrière la région Oxford/Buckingham (Royaume-Uni) et celle de Stockholm (Suède). Rhône-Alpes n'est plus listée. (...)
(29/08/2007 12:29:44)SAP veut un règlement à l'amiable avec Oracle
SAP veut régler rapidement la bataille judiciaire qui l'oppose à Oracle, ce dernier l'accusant d'avoir organisé le vol « à grande échelle » de logiciels via sa filiale américaine TomorroNow. Le géant allemand a demandé à la justice d'outre-Atlantique de mettre en place un processus de médiation pour que l'affaire soit réglée à l'amiable. En mars Oracle avait accusé son concurrent d'avoir téléchargé illégalement sur son site d'assistance des milliers de logiciels. Une version combattue par SAP et qualifiée de « dramatique mais inexacte ». Selon le spécialiste du progiciel, Oracle a tu plusieurs éléments dans sa plainte, notamment que TomorrowNow était en droit d'accéder au site Web d'Oracle dans la mesure où la filiale travaillait pour des clients Oracle. En outre, aucun produit n'a été directement téléchargé par SAP directement. En conséquence, développe le mis en cause, l'objet de cette affaire est de savoir si « TomorroNow a outrepassé ses droits de clients en téléchargeant certains produits », et pas d'établir l'existence d'un « vol à grande échelle ». De fait, en minimisant les faits qui lui sont reprochés, SAP estime qu'un règlement à l'amiable - en dehors des lambris de la justice - serait suffisant et qu'il devrait, idéalement, commencer le plus tôt possible. Une position que ne partage évidemment pas Oracle, selon lequel SAP n'a pas apporté la preuve qu'il n'a jamais reçu les documents téléchargés par TomorrowNow. De plus, les téléchargements prétendument illégaux découverts par le plaignant pourraient être « la partie émergée de l'iceberg ». Par conséquent, la mise en oeuvre d'une procédure à l'amiable serait prématurée tant que l'étendue de la responsabilité de SAP n'a pas été établie. La volonté de SAP de faire avancer rapidement cette affaire relèverait, selon Oracle, « d'un but évident : régler le problème sans que ne soit découvert ce qui a réellement été fait ». (...)
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