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(29/08/2007 12:07:13)

Le parisien Hi-Media rachète le new-yorkais Fotolog pour 90 M$

Hi-Media, éditeur français spécialisé dans les médias interactifs (régie publicitaire en ligne, marketing direct et commerce électronique), annonce le rachat de l'américain Fotolog, un site communautaire de partage de photos, pour un montant de 90 M$. Cette opération permet à Hi-Media de diversifier encore une fois son activité, et de s'ancrer plus solidement dans la sphère du web 2.0. Cyril Zimmermann, fondateur et P-dg de la société, a déclaré à ce sujet dans un communiqué « les réseaux sociaux constituent l'un des piliers de l'Internet d'aujourd'hui, mais aussi de demain. Hi-Media saura tirer profit de l'audience dont bénéficie Fotolog, via les services de publicité et de micro paiement que nous développons depuis plus de dix ans ». Hi-Media n'a toutefois pas remis en question la gratuité du site. Créé en 1996 à Paris, Hi-Media a réalisé un chiffre d'affaires de 49 M€ au premier semestre 2007, en hausse de 53% par rapport à l'année précédente. Située à New-York, Fotolog compte 10 millions de membres et se targue de plus de trois millions de pages vues chaque mois (source : ComStor). Présenté comme le plus grand site de partage de photos, Fotolog enregistre ses plus belles audiences en Amérique du Sud, et commence à séduire les européens (notamment en Espagne, en Italie et en Allemagne). Fotolog, qui a enregistré une hausse de ses revenus de 245% au cours du premier semestre, mise sur un chiffre d'affaires de 1,7 M€ pour 2007. Le rachat devrait être finalisé avant la fin du mois de novembre. (...)

(29/08/2007 11:57:50)

PowerFile met du Blu-Ray dans son stockage

Dans la dernière version de son système d'archivage Active Archive Appliance (A3), PowerFile a décidé d'abandonner les DVD comme support de stockage au profit des disques Blu-Ray. Le but est d'obtenir une plus grande capacité de stockage pour une consommation électrique réduite. Ces nouveaux A3 ont désormais une capacité allant jusqu'à 120 To par système, pour une consommation de 235 à 295 watts. Avec la version précédente sur DVD, l'A3 stockait jusqu'à 12 To, et Jonathan Buckley, responsable marketing de PowerFile espère atteindre les 160 To dans les six mois à venir. Avec l'introduction du Blu-Ray, il pense que, pour l'entreprise, le stockage sur disque optique devient aussi facile et pratique que le stockage sur une baie NAS. « Nous avons changé la façon dont il s'intègre à l'environnement du client. Ils n'ont plus à penser à l'optique. Une fois branché, il ressemble et agit comme une baie NAS aux yeux des utilisateurs et des applications. » Disponible dès aujourd'hui, il est vendu à partir de 41 900 $. (...)

(29/08/2007 11:32:19)

F5 s'offre un éditeur de virtualisation de fichiers

F5 Networks, spécialiste de l'optimisation et de la sécurisation des applications s'offre Acopia Networks, éditeur de solutions de virtualisation intelligente de fichiers. Montant de l'opération : 210 M$ en numéraire. Le rachat devrait être finalisé à compter du 14 septembre. «Acopia étend la portée de l'Application Delivery Networking pour y inclure l'optimisation au niveau du stockage des données», explique dans un communiqué John McAdam, PDG de F5 Networks. L'équipementier sera alors en mesure d'appliquer ses principes d'optimisation au stockage d'information. Selon Steve Warner, vice-président de Quest Diagnostic, «la technologie de virtualisation intelligente de fichiers d'Acopia permet de créer un espace de nommage global pour automatiser et appliquer les règles de gestion des données sur le réseau». (...)

(29/08/2007 11:05:10)

Coheris : restructuration et R&D plombent le résultat net

Résultats premier semestre 2007 Chiffres d'affaires : 16,04 M€ (+1%) Résultat net : 410 K€ (-46%) Coheris vient de publier des résultats plutôt décevants pour le premier semestre 2007. L'éditeur de solutions de gestion de la relation client (CRM) annonce en effet un résultat net de 410 000 euros, contre 760 000 euros à la même période de 2006, ce qui correspond à une chute de 46%. Le chiffre d'affaires s'élève pour sa part à 16,04 M€, soit une légère progression (+1%). D'après Coheris, cette « relative » stabilité du CA est obtenue grâce aux bons résultats des ventes de licence (+ 33 %). L'édition de logiciels représente désormais 75% de l'activité du groupe, le reste concernant les services. L'éditeur indique par ailleurs que deux facteurs ont influencé ces résultats au premier semestre : d'une part les projets de recherche et développement, qui ont mobilisé d'importants investissements, « générant un manque à gagner de l'ordre de 600 000 euros sur les services associés (à la R&D)». D'autres part, des mesures d'optimisation du fonctionnement de la société ont avalé 450 000 euros de charges non récurrentes. La direction a par ailleurs réaffirmé que 2007 resterait une année « charnière », notamment en raison du rachat de Spad (un éditeur d'analyse de données et de datamining), en mars dernier : « la nouvelle direction a conduit une réorganisation du groupe et des filiales, ainsi qu'une restructuration des gammes de produits pour bénéficier des synergies respectives ». (...)

(29/08/2007 11:04:00)

L'analytique a tiré le marché français de la GRC en 2006

La gestion de la relation client (GRC) a fait son retour dans les projets d'investissements informatiques des entreprises françaises. C'est le constat fait par Pierre Audoin Consultants (PAC) qui prévoit un chiffre d'affaires de 1,35 Md€ sur ce marché en 2007, soit une progression de 7,2 % par rapport à 2006. L'an dernier, déjà, avec un chiffre d'affaires de 1,26 Md€, le marché français de la GRC avait enregistré une augmentation de +6,5%, jugée « honorable » par le cabinet d'études, en comparaison avec celle des autres progiciels de gestion métiers. En 2006, ce sont les projets de GRC analytique qui ont tiré le marché (+7,9 % sur ce segment), en particulier les démarches de marketing que PAC replace dans le contexte d'ouverture de certains marchés de masse (télécommunications, notamment) qui exigent de mieux connaître les clients (segmentation de la base clients pour personnaliser le message adressé, détection des comportements atypiques...). Comparativement, les dépenses liées au suivi des opportunités commerciales (GRC opérationnelle, désignée en anglais sous l'acronyme SFA, salesforce automation) ont un peu moins progressé (+5,6 %), mais ces outils sont déjà bien installés dans les entreprises. Troisième volet des applications de GRC, le service client a « crû au rythme moyen du marché », commente PAC, avec des projets misant sur les approches multicanales. Le retour sur investissement en ligne de mire Les coûts d'intégration des projets de GRC ont représenté la moitié du marché global en 2006. Le conseil a pesé 14 % du chiffre d'affaires total et les ventes de licences et la maintenance n'ont représenté que 23 %. Les 13 % restants ont été investis dans l'externalisation. PAC note que les entreprises ont tiré les leçons de l'échec de certains projets « surdimensionnés ». Il est vrai que la GRC a souvent été montrée du doigt dans les grandes entreprises au cours des années écoulées. Désormais, le retour sur investissement (RSI) est toujours évoqué dans les contrats avec les fournisseurs de solutions de GRC. En tête des éditeurs intervenant sur ce marché, en France, on trouve sans surprise Oracle, acquéreur des offres de Siebel et de PeopleSoft. Derrière lui figure SAS qui dispose d'une offre significative de GRC analytique. Vient ensuite Business Objects, porté par les projets analytiques, suivi de deux acteurs français, Cegedim (spécialiste de la GRC sur le secteur de la santé, qui vient de racheter Dendrite) et Coheris. D'ici à 2009-2010, le cabinet d'études prévoit que le rythme pris en 2007 se maintienne pour produire un chiffre d'affaires de 1,5 Md€, à la faveur d'un taux de croissance annuel de plus de 7 %. (...)

(29/08/2007 09:51:33)

GRC : Sugar 5.0, porté par la communauté Open Source

Le développement de Sugar, logiciel de gestion de la relation client (GRC) édité par SugarCRM, profite largement des apports de la communauté Open Source. Sa version 5.0, tout juste présentée en mode bêta, constitue une livraison importante. Elle s'est inspirée des idées et commentaires de plusieurs milliers de personnes, membres de la communauté ou partenaires commerciaux. Et au sein même de SugarCRM, 40 développeurs y ont travaillé pendant dix-huit mois, selon John Roberts, PDG de la société. La version définitive est prévue pour fin septembre, livrée comme d'habitude en trois éditions : l'une gratuite (désormais baptisée Sugar Community Edition et sous licence GPLv3, au lieu de la Sugar Public Licence dérivée de la Mozilla PL) et les deux autres, Professional et Enterprise, assorties d'un support technique payant. Toutes trois peuvent s'utiliser, comme avant, sur site ou en ligne. Logiciel en ligne multi-instances, modules sur mesure, client de messagerie Pour cette version 5.0, l'éditeur a redéveloppé l'architecture « on demand » de la version accessible en ligne. L'application est maintenant multi-instance et chaque client dispose de sa propre instance (auparavant, ils partageaient tous la même instance). Parmi les nouveautés liées à la plateforme figure le référentiel Module Builder qui permet de créer des modules sur mesure en associant divers objets. Les personnalisations de l'interface utilisateur sont enregistrées dans le référentiel de méta-données. Le logiciel bénéficie maintenant d'un client de messagerie Ajax (avec fonctions de recherche, de glisser-déposer, de carnets d'adresses) et de nouveaux tableaux de bord graphiques. Depuis son lancement en 2004, l'application a été téléchargée par quelque 1,2 millions utilisateurs (localisée dans plus de 75 langues). Il existe également une place de marché autour de Sugar, à l'instar de ce qui se fait dans la communauté Salesforce, éditeur de logiciels de GRC en ligne et principal concurrent de SugarCRM. Sur cet espace, Sugar Exchange, 75 fournisseurs proposent environ 260 outils complémentaires. (...)

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