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(13/06/2007 16:35:43)

Le développement des nanotechnologies mal accompagné par les institutions américaines

L'étude récemment présentée par J. Clarence Davies pour le Woodrow Wilson International Center (qui n'est autre que le centre d'études américain qui a initié en 2005 le « project on emerging nanotechnologies ») est alarmiste. Dès la deuxième ligne de la préface écrite par David Rejeski (directeur du project on emerging nanotechnologies), on peut lire : « les impacts incertains sur la santé, l'environnement et la société qui peuvent surgir avec cette technologie émergente, requièrent avec urgence, notre attention. » Le ton est donné et le rapport va recenser très précisément les risques induits par un développement (trop ?) rapide de cette technologie, avec des systèmes d'encadrement scientifique et institutionnel, visiblement incapables d'évoluer aussi vite que les nanotechnologies. Davies met en cause l'EPA (Environmental Protection Agency), qui est l'agence fédérale américaine dédiée à la protection de l'environnement. Celle-ci ne jouerait pas son rôle dans la définition des orientations de recherche pour les applications et implications des nanotechnologies à l'environnement. Autre sujet d'inquiétude : les conséquences chimiques des nanoproduits et nanomatériaux dans un contexte législatif inadapté. Une proposition : un « oversight system » destiné à prendre des mesures préventives Finalement, c'est l'application multiple des nanotechnologies dans tous les secteurs d'activité qui exacerbe les risques et limite la surveillance. Mais Davies ne se contente pas d'énumérer les risques et les manques du système américain : dans la deuxième partie de son étude, il milite en faveur d'un « oversight system », c'est-à-dire de la définition d'un ensemble de mesures préventives offrant la possibilité d'identifier les risques potentiels par un contrôle organisé du processus, du début à la fin du cycle de vie des nanoproduits. Des indicateurs de contrôle et un agenda à court et moyen termes (de un an à cinq ans) sont donc proposés, avec une place prioritaire accordée aux répercussions envisagées des nanotechnologies sur l'environnement et la santé. (...)

(13/06/2007 16:20:20)

Un géant de l'IT va mourir, prédit Forrester

Les géants de l'IT ont beau enchaîner les publications de résultats affichant des taux de croissance à deux chiffres, ils peuvent trembler. Du moins s'ils ont écouté l'allocution de Ray Wang, analyste chez Forrester, à l'occasion de l'IT Forum d'Édimbourg. Selon lui, les acquisitions auxquelles sont habitués les grands groupes informatiques illustrent une consolidation du secteur loin d'être achevée, qui fera des victimes. « Je pense qu'un des principaux vendeurs chutera au cours des prochaines années parce qu'il ne possède pas une taille suffisante », estime l'éminent scrutateur du marché. C'est en échouant à réaliser les économies d'échelles nécessaires à la croissance et, de fait, à la survie, qu'un des phares du paysage IT va disparaître. Si Ray Wang est visionnaire, il ne va tout de même pas jusqu'à désigner la malheureuse victime : « Je ne nommerai pas [d'entreprise], mais toutes n'ont pas la structure de coûts qui leur permettra de survivre. » Lors d'une autre conférence, Peter O'Neill, également analyste pour Forrester, faisait une prévision similaire en ciblant plus spécifiquement les éditeurs : « Vous voyez des entreprises sur le marché des logiciels avec des marges de 40 ou 50%, qui signifient que quelque chose va se passer - pour répondre à la demande des clients ou en conséquence de facteurs économiques - qui consolidera encore davantage ce marché. » (...)

(13/06/2007 14:14:08)

Google et Microsoft unis pour les économies d'énergie

Après le Green Grid, la Climate Savers Computing Initiative. Google, Microsoft, Intel, Sun, HP et Dell créent un deuxième consortium IT à visée écologique. Ici il ne s'agit pas de réfléchir à des technologies futures pour réduire la dépense énergétique des ordinateurs, mais d'appliquer dès aujourd'hui les technologies existantes. Pour cela, le groupe a défini une série de standards allant plus loin que les Energy Star de l'EPA (agence américaine fédérale pour la protection de l'environnement) qui devront être adoptés par les fabricants et les utilisateurs de PC et de serveurs d'ici 2010. Ces standards nécessitent d'utiliser des méthodes disponibles actuellement mais plus coûteuses pour éviter une dispersion de l'énergie entre la prise électrique et l'appareil. Et donc, selon Pat Geslinger d'Intel, d'augmenter les coûts de fabrication des PC de 20 dollars par unité, et des serveurs de 30 dollars par unité. Pour compenser cette augmentation, la Climate Savers Computing Initiative veut travailler avec les fournisseurs d'électricité pour qu'ils proposent des rabais aux consommateurs dotés d'équipements plus fiables. (...)

(13/06/2007 14:05:36)

Philippe Germond, candidat officiel à la succession d'Atos Origin

C'est désormais officiel. En prenant les commandes opérationnelles et la vice-présidence du directoire d'Atos Origin, Philippe Germond est identifié comme successeur de Bernard Bourigeaud, actuel président du directoire du groupe de services informatiques. Une position de dauphin désigné quasiment acquise, depuis le récent départ de Dominique Illien chez Sopra Group, en tant que numéro deux. Bernard Bourigeaud et Philippe Germond travailleront ensemble afin de développer un plan stratégique pour le groupe et de gérer la transition en douceur. Même s'il est encore tôt pour définir un calendrier de passage de relais, le mandat de l'actuel dirigeant courant jusqu'à janvier 2009 Le directoire d'Atos Origin, qui passe de cinq à quatre membres, connaît parallèlement d'autres mouvements : les deux autres membres, qui dépendront hiérarchiquement de Philippe Germond, voient également leurs attributions évoluer. Ainsi, Eric Guilhou, abandonne la direction financière pour devenir directeur général délégué, en charge des fonctions, et Wilbert Kieboom, jusqu'ici responsable du Benelux et du Royaume-Uni, devient directeur général délégué, charge des opérations. Arrivé chez Atos Origin en décembre dernier, Philippe Germond était jusqu'ici membre du directoire en charge des régions Asie-Pacifique, Amérique du Nord et d'Atos Worldline. Il a exercé différentes fonctions de direction, notamment en tant que directeur général d'Alcatel (avant la fusion avec Lucent) et de PDG de Cegetel (groupe Vivendi). Lors de sa dernière publication financière, la SSII a annoncé un chiffre d'affaires trimestriel de 1,435 Md€, soit une croissance organique de 2,5% sur un an. Le groupe reste ambitieux sur ses objectifs en tablant sur une croissance de 8,5%, à taux courant, pour l'ensemble de l'exercice. Un nouveau défi à relever pour Philippe Germond ? (...)

(13/06/2007 12:59:21)

Patch Tuesday : Vista et IE 7 ont aussi droit à leur lot de rustines

Sur les quinze failles comblées par la vague de six rustines Microsoft de ce mois, neuf sont qualifiées de "critiques" par l'éditeur. A noter que des rustines critiques concernent les dernières versions des produits Microsoft : Windows Mail pour Windows Vista et Internet Explorer 7. Symantec insiste tout particulièrement sur les failles dans IE7 sous Vista. Chez Qualys on souligne que, pour la première fois, Microsoft doit appliquer une rustine de sécurité sur du code 100% Vista. (...)

(13/06/2007 12:54:16)

Google dote Gmail d'une visionneuse Powerpoint

Tout à sa stratégie de détourner l'attention des utilisateurs de Microsoft Office et de trouver sa place dans les entreprises sur le marché de la bureautique ,Google vient de doter Gmail, le webmail de la marque, d'une visionneuse de présentation Microsoft Powerpoint. L'idée est de permettre l'ouverture d'un fichier joint au format Powerpoint (.ppt), sans avoir à lancer l'application idoine de la suite Office. Une option "view as a slideshow" (visualiser comme un diaporama) permet cette manipulation sans avoir à télécharger le fichier sur le disque dur. Cette fonctionnalité sera ainsi intégrée de fait dans les Google Apps, ensemble d'applications du groupe combinant un webmail (Gmail), un client de messagerie instantanée (Gtalk), un agenda et enfin la suite bureautique hébergée Document et Tableur ("Docs and Spreadsheets"). Google commercialise une édition Premium auprès des grands comptes sous forme d'abonnement pour 50$ par utilisateurs et par an. Pas de connexions toutefois avec le projet de développement d'un outil de présentation en ligne, annoncé par Eric Schimdt PDG du groupe, a déclaré un porte-parole du groupe à nos confrères de The Register. Cet outil devrait, quant à lui, être intégré à Document et Tableur. (...)

(13/06/2007 12:51:30)

L'Insa de Lyon veut sauver les manuscrits de Tombouctou

Tombouctou (Mali) a un glorieux passé culturel, avec des manuscrits vieux de sept ou huit siècles, menacés par les ravages du temps. En coopération avec la région Rhônes-Alpes et la région de Tombouctou, l'Insa (Institut national des sciences appliquées) de Lyon s'est lancé dans un projet aux confins de la culture, de l'histoire et de la science, dont l'objectif est de valoriser le patrimoine de « la Cité de l'écrit » à travers la numérisation des manuscrits de Tombouctou. Il consiste dans une première phase à inventorier les manuscrits, à élaborer le catalogue, à informatiser le réseau des bibliothèques, et d'autre part, à contribuer au mouvement de sauvegarde physique des manuscrits à travers la numérisation de 50 000 manuscrits, représentant 4 millions de pages. Les manuscrits recouvrent plusieurs domaines : religion, sciences, sciences expérimentales (médecine, astronomie, optique), sciences humaines et sociales, lettres et grammaire, droit et politique et autres thèmes comme l'astrologie, des biographies ou des récits de voyage. Dans un deuxième temps, le projet a pour vocation de créer des conditions de stockage optimal et pérenne des données numérisées et d'élaborer une bibliothèque numérique. Enfin, ce projet pourrait faire naître un pôle de compétence regroupant un centre d'études supérieures de l'écrit et des arts graphiques, un musée et des ateliers de copie. L'état des lieux est lancé L'Insa est forte d'équipes de numérisation reconnues au niveau international (laboratoire Liris - Laboratoire d'Informatique en Images et Systèmes d'information - UMR 5205 CNRS/INSA de Lyon/Université Claude Bernard Lyon 1/Université Lumière Lyon 2/Ecole Centrale de Lyon) qui se sont engagées dans ce défi face au temps. L'année 2007 est cruciale et se déroule en trois temps au deuxième semestre et sur deux régions. Dans la région de Tombouctou, la première phase est lancée et durera jusqu'en septembre. Il s'agit de faire l'état des lieux pour préparer la mise en oeuvre des actions suivantes et signature des accords de partenariat avec les personnes qui possèdent les manuscrits. La seconde phase démarrera en octobre : « bibliothéconomie » ou élaboration de l'inventaire et du catalogue collectif (recueil et stockage des données). Enfin, la numérisation est prévue lors d'une troisième phase qui se déroulera en novembre et décembre, avec la participation des sociétés i2s à Bordeaux (scanners dédiés à la numérisation d'ouvrages reliés) et Arkhénum (société française de numérisation de manuscrits). Dans le même temps à Lyon, la création d'un atelier de prototypage (logiciels pour la bibliothèque numérique) a été lancée, de même qu'un portail web de la région de Tombouctou. En juillet sera mis en place un programme de recherche sur les contenus des manuscrits, en partenariat avec l'Ecole Normale Supérieure (Lettres et Sciences Humaines) à Lyon. Le premier bilan de l'opération sera rendu au début de l'année 2008, avec peut-être une nouvelle expertise à mettre au crédit de l'Insa de Lyon et de ses étudiants, d'autres actions à entreprendre dans le monde... et la suite prévue (création d'un pôle de compétence) dans la région de Tombouctou avec une valorisation scientifique, culturelle et économique de ces trésors. (...)

(13/06/2007 10:52:28)

Google ramène la durée de conservation des données utilisateurs à 18 mois

Google réagit aux nombreuses critiques qui lui ont été adressées au cours des derniers mois et qui stigmatisaient le traitement réservé par le gargantuesque moteur de recherche aux données de connexion de ses utilisateurs. Les logs seront désormais rendus anonymes après 18 mois de présence sur les serveurs californiens. C'est dans une lettre adressée au « groupe de l'article 29 », composé des représentants de la Cnil et de ses homologues issus des Etats membres de l'Union européenne, que Google a fait part de son intention de ramener le délai de conservation des données de connexion à dix-mois mois, contre 24 mois maximum jusqu'alors. Le moteur s'engage également à repenser la conception de ses cookies afin de réduire la durée pendant laquelle ils scrutent les agissements des utilisateurs. La lettre, signée par Peter Fleischer, responsable des questions relatives à la vie privée chez Google, répond à celle adressée fin mai par le « groupe de l'article 29 ». Ses auteurs y exprimaient leurs inquiétudes face aux pratiques du groupe de Mountain View - notamment en ce qui concerne la durée de la conservation des données personnelles -, des méthodes qui leur semblaient ne pas répondre aux exigences européennes en la matière. La missive expliquait ainsi que les données de connexion rassemblaient des éléments - dont l'historique des recherches effectuées - qui constituaient, de fait, des données personnelles permettant de constituer les profils des internautes. Dans sa réponse, Peter Fleischer justifie néanmoins la période pendant laquelle les données sont conservées. Selon le juriste, l'amélioration de l'algorithme de recherche au profit des utilisateurs, la lutte contre la fraude au clic et le spam constituent les principales raisons pour lesquelles Google se doit de stocker les données de connexion. Et Peter Fleischer d'expliquer qu'il convient de trouver un équilibre entre des notions contradictoires : « alors des périodes de conservation courtes profitent aux utilisateurs, des durées plus longues sont nécessaires pour la sécurité et l'innovation. » Cette nécessité pourrait servir d'argument à Google pour refuser toute nouvelle réduction de la durée de conservation des données. Le moteur peut, de plus, avancer qu'il n'est pas avare d'efforts pour contenter l'Europe. La réduction de la période de rétention annoncée ce 12 juin, succède en effet à une démarche similaire effectuée en mars. Google avait alors ramené la période de stockage des données relatives à ses utilisateurs dans une fourchette de 18 à 24 mois, alors qu'aucune limite n'existait auparavant. Reste qu'en dépit de ces efforts, Google ne s'affranchira certainement pas de toutes les critiques qui lui sont adressées sur des sujets qui dépassent la seule durée de conservation. La semaine dernière, l'ONG Privacy International attribuait un bonnet d'âne au moteur de recherche en lui décernant la plus mauvaise note parmi une liste de 23 acteurs majeurs du Web. L'organisation jugeait Google « hostile à la vie privée » en raison de « la surveillance totale des utilisateurs » . (...)

(12/06/2007 16:55:04)

Martin Hirsch en appelle à la solidarité active du secteur informatique

L'étiquette-slogan « changeurs de monde », choisie par la chambre syndicale des SSII et des éditeurs de logiciels pour la campagne de communication destinée à sensibiliser les lycéens à l'intérêt des métiers du secteur, est aussi censée faire « rêver » les dirigeants de ces firmes. Ayant opté pour ce thème des « entreprises qui changent le monde » pour animer l'Assemblée générale du 7 juin, l'Etat-major de Syntec Informatique s'est vu interpellé par Martin Hirsch, invité pour la circonstance, au sujet de « la nécessaire implication des entreprises dans la gestion des conséquences du progrès technologique sur la transformation des emplois et des métiers ». Dans son nouveau costume de Haut Commissaire, membre du gouvernement, l'énarque promoteur des solidarités actives s'est, de plus, chargé de ramener cette interpellation à un niveau bien concret. Et de proposer au président de Syntec Informatique, Jean Mounet, d'organiser un concours de conception-réalisation d'un logiciel facilitant la prise en charge et le traitement des personnes en difficultés. De quoi permettre aux entreprises adhérentes et à leurs salariés « de contribuer davantage à la transformation de la société » en prenant leur part d'initiative et de solidarité active contre la pauvreté. Transformation des métiers Sur le thème de la transformation des métiers... de l'informatique, et des conséquences sociales également évoquées lors de cette assemblée, l'opération « Changeurs de monde » trouve tout son sens dès lors qu'elle médiatise le passage de témoin entre la génération actuelle de jeunes cadres des SSII et les adolescents qui n'ont pas encore forcément choisi leur orientation professionnelle. Pour Jérôme Rideau, ingénieur d'affaires de la SSII Smile, l'un des « gourous » trentenaires qui ont répondu sur le site « changeursdemonde.com » aux questions des jeunes internautes, «ce genre d'initiative s'inscrit tout simplement dans la prolongation des échanges entretenus avec le monde étudiant». Echanges relevant «naturellement », selon lui, du comportement d'entreprise citoyenne, au renforcement duquel a exhorté, durant l'AG du Syntec Informatique, Jean-Marie Descarpentries, en tant de président de la Fnege (Fédération nationale pour l'enseignement de la gestion des entreprises). «A priori, nos métiers d'informaticiens, selon la façon dont on les exerce chez Smile, et notamment en s'impliquant dans les modèles économiques liés à l'Open Source, sont plutôt propices au développement de ces deux visions de l'entreprise : à la fois citoyenne, reliant la performance et le développement des activités à la capacité de l'entreprise à assurer le bien-être de ses salariés, mais aussi humaniste, tourné vers la société et la solidarité active », estime Jérôme Rideau. (...)

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