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(12/06/2007 17:11:25)
Microsoft prépare un nouveau Forefront
Stirling est le nom de code sous lequel Microsoft lancera la nouvelle version de Forefront, sa solution de sécurité. Annoncée au cours du TechEd, qui s'est tenu la semaine dernière à Orlando, en Floride, cette nouvelle mouture intègrera les dernières versions de Forefront Client Security, Edge Security et Access. Stirling comprendra une console de gestion permettant une administration unifiée, sur l'ensemble de l'infrastructure, des politiques de sécurité de l'entreprise. Associée à ce produit, Microsoft mettra en oeuvre une politique de licence simplifiée : les clients achèteront un seul produit qui englobera toutes les protections Forefront, les accès clients, serveurs, réseau et la console de gestion. La version finale de Stirling sera disponible mi-2009. Déjà, une version Beta 2 de la nouvelle console de management est disponible sur le site de Microsoft. (...)
(12/06/2007 16:51:31)L'Inde contrainte d'externaliser selon Gartner
A l'heure où la tendance chez les grands acteurs IT est à l'externalisation vers les pays émergents - Inde en tête -, Gartner estime que les entreprises du sous-continent vont, à leur tour, devoir céder aux sirènes de l'offshore. Les DSI de Bangalore ou de Delhi vont, en effet, devoir considérer cette éventualité en raison de la pénurie de main d'oeuvre IT et de l'inadéquation de la qualité des services fournis par les prestataires locaux. De fait, selon Gartner, les industries IT indiennes vont devoir regarder au-delà de leurs propres frontières et envisager de recourir aux compétences présentes à Singapour, Hong-Kong et même aux Etats-Unis. Même si, dans ces pays, les prix des prestations sont incomparablement plus élevés que ceux constatés en Inde, leur qualité s'avère également supérieure, explique le cabinet d'études. Le principal problème auquel doivent faire face les DSI indiens touche au recrutement de main d'oeuvre qualifiée. Qu'elle émane de projets gouvernementaux (programme e-gouvernance par exemple) ou de spécialistes de l'externalisation (Tata, Wipro, Infosys, etc.), la demande en personnel IT augmente à un rythme effréné. « L'Inde enregistre un manque sévère de personnel à tous les niveaux de la chaîne IT », confirme Linda Cohen, vice-présidente du Gartner. Une carence encore accentuée par la croissance économique que connaît le pays : en 2006, le PIB a bondi de 9,2 % - un taux seulement battu par la Chine. Mieux : en voyant les budgets IT de ses entreprises locales progresser de 16%, contre 3% en moyenne dans le monde, l'Inde signe un record. Les principales victimes du manque de main d'oeuvre risquent d'être les entreprises les plus focalisées sur le marché intérieur. Les grands groupes comme Tata ou Wipro se concentrent sur les contrats avec des partenaires occidentaux - les plus générateurs de marge - et y affectent la majorité des ressources. Leur puissance les autorise à recruter sans trop de difficultés. C'est ce qu'expliquait Dominique Raviart au Mondeinformatique.fr au mois de mars : en dépit des 10 à 12% de turnover, « les gros acteurs déjà implantés ont la capacité de recruter. Le problème se pose essentiellement pour les groupes indiens de taille plus restreinte ou pour les étrangers récemment installés. » (...)
(12/06/2007 16:29:39)TF1 prend le contrôle d'un site d'offres d'emploi
En s'octroyant 67,44% du capital d'Aronet, TF1 devient le principal actionnaire de la société éditrice du site d'offres d'emploi Embauche.com, aux côtés des deux dirigeants fondateurs, Guy Link et Hughes Hansen, qui conserveront les 32,56% restants. Cette prise de participation s'inscrit dans la stratégie de développement de services Web de e-TF1, et viendra renforcer celle de TF1 Network. Lancé en 2005, Embauche.com se consacre aux métiers de techniciens, ouvriers, employés, agents de maîtrise, généralement des fonctions dites "non cadre", soit plus de 80% des actifs. Gratuit pour les candidats, il permet également aux recruteurs de publier leurs annonces de façon illimitée et sans frais. Pour marquer sa différence, Embauche.com pratique des tarifs compétitifs pour des services à valeur ajoutée, tels que la consultation de CV, la mise en avant d'annonces, le couplage avec la presse et les espaces de communication web. Ce positionnement tarifaire devrait démocratiser son accès, et attirer de nouveaux utilisateurs professionnels (PME, artisans, commerçants, associations), ainsi que les grands groupes souhaitant diffuser d'importants volumes d'annonces. Le site, qui compte actuellement 85 000 abonnés et revendique deux millions de pages vues par mois, compte augmenter son audience. D'ailleurs, une nouvelle version du site est en préparation pour le début du quatrième trimestre 2007. (...)
(12/06/2007 15:34:36)Le marché du logiciel de stockage tiré par EMC et Network Appliance
Au premier trimestre 2007, le marché mondial des logiciels de stockage (IDC) a progressé de 11,4% à 2,7 Md$. Outre qu'il est le quatorzième trimestre consécutif de croissance, il montre les signes d'un regain de dynamisme. Alors qu'en 2006 ce marché n'avait enregistré qu'une hausse de 8,3%, ces trois premiers mois 2007 font preuve de plus de vigueur. EMC, mastodonte du marché avec une part de 25%, tire la croissance (+11,5% à 674 M$) alors qu'il n'avait progressé que de 1,2% en 2006. Network Appliance continue de progresser à vitesse "grand-V". Son impressionnant taux de croissance (+49,4%) lui permet de gagner 2,5% de parts de marché pour atteindre 10%. Comme dans une course cycliste, cette entreprise ne cesse de rattraper du terrain sur le trio de tête et de creuser l'écart avec le reste du peloton. En revanche, Symantec est toujours numéro deux, mais continue de perdre des parts de marché. Son CA dans le domaine ne progresse que de 2,2%. Alors qu'elle était de 19,5% au quatrième trimestre 2006, sa part de marché n'est plus que de 17,7%. Le groupe ne parvient toujours pas à digérer Veritas et KVS. Si IBM se maintient en troisième position avec un CA en hausse de 11,5% qui lui permet de maintenir sa part de marché à 12,3%, HP voit la sienne s'effriter de près d'un point à 4,4% en raison d'une baisse de son CA de 9,4% à 117 M$. Un CA désormais équivalent à celui de Computer Associates dont l'activité stagne (+1,4%). (...)
(12/06/2007 14:05:01)WWDC : Apple ouvre l'iPhone aux développeurs Web
A l'occasion de l'édition 2007 de la conférence développeurs WWDC, Steve Jobs, le PDG d'Apple, a invité les développeurs à créer des applications pour l'iPhone, très attendu produit communiquant de la marque à la Pomme dont la commercialisation débutera le 29 juin. Pour rappel, l'iPhone combine des fonctionnalités de téléphone portable, de navigation Web et de lecteur audio et vidéo. "Les développeurs peuvent écrire des applications qui ressemblent à celles proposées par l'iPhone, comme l'envoi d'email, les appels téléphoniques", a déclaré Steve Jobs. Pour cela, pas besoin d'un kit de développement, précise le PDG du groupe. Les développeurs pourront bâtir des applications pour l'iPhone en utilisant des outils de programmation pour le Web 2.0, comme Ajax, grâce à Safari installé dans l'appareil". Rappelons qu'Apple a également annoncé décliner la version 3 de son navigateur Safari pour la plateforme Windows. Une version bêta du logiciel est déjà disponible pour XP et Vista. (...)
(12/06/2007 13:53:01)Deux-tiers des lancements de TPE restent au stade du solo
Mais où sont les nouvelles générations d'entrepreneurs en France ? A cette question centrale d'une étude menée pour l'Agence pour la création d'entreprises (APCE) auprès d'un échantillon de créateurs/repreneurs d'entreprise ayant en moyenne trois ans d'exercice, force est de constater que les vocations réelles - et non contraintes et forcées - se font rares. Sur le millier de personnes interrogées dans quatre régions (Ile-de-France, Nord-Pas-de-Calais, Paca et Rhône-Alpes), 27% se considèrent comme chefs d'entreprise, développeurs, managers ou gestionnaires. Dans deux cas sur trois (62%), la création d'entreprise correspond d'abord au souhait - ou à la nécessité - de créer son propre emploi. Et trois ans après, la plupart de ces vrais-faux entrepreneurs continue de travailler en solo (50% de l'échantillon). Près de 30% ont un ou deux salariés, 20% ont au moins trois salariés. Mais au total, même quand la démarche est contrainte, la satisfaction est plutôt au rendez-vous, puisque moins de 10% regrettent de s'être lancé, même si 22% des personnes se déclarent disposées à reprendre leur ancienne activité si l'opportunité se présentait. Un quart des créateurs/repreneurs s'estime cependant plus en sécurité à la tête de l'entreprise qu'en tant que salarié. Au regard de ce constat plutôt lucide, publié en prélude au salon des entrepreneurs qui se tient mercredi 13 et jeudi 14 juin à Lyon, l'APCE, à l'origine de cette étude, ainsi que la Caisse des dépôts et les organisateurs de ce salon, proposent diverses pistes de réflexion concernant le renforcement de la culture entrepreneuriale, à partir de l'attention portée : - à la dynamique générée par les créations pérennes et à la satisfaction des créateurs, même si la sécurité n'est jamais acquise, plutôt qu'à la seule pérennité des entreprises ; - à la sensibilisation des personnes les plus susceptibles de réussir et de développer de l'emploi salarié dans la création, alors que pour le moment, celles-ci sont minoritaires dans l'acte de créer, notamment parmi les jeunes qu'il convient de préparer à cette culture ; - à l'accompagnement des créateurs indépendants qui, par leur expérience, peuvent devenir des chefs d'entreprise . (...)
(12/06/2007 12:01:37)VMware débutera la commercialisation de Fusion pour Mac à l'automne
Fusion, le logiciel de virtualisation de VMware qui permet de faire tourner Windows en parallèle avec MacOS sur un Macintosh, sera disponible fin août aux Etats-Unis. D'ici là, les commandes sont prises au prix de 40$. Soit à 50% tarif annoncé (80$). Une annonce qui intervient en parallèle de la conférence développeurs d'Apple, le WWDC, qui se déroule du 11 au 15 juin à San Francisco. Fusion, qui permet aussi de faire tourner concomitamment Linux et Solaris, intègre Unity. Selon son éditeur, Unity permet une très forte intégration des applications Windows dans l'environnement Mac OS. Fusion se pose en alternative à Desktop 3.0 de Parallels, une filiale de SWsoft qui est en concurrence avec VMware sur le marché de la virtualisation des serveurs. Rappelons que Boot Camp d'Apple permet de démarrer un Macintosh soit sous MacOS soit sous Windows. (...)
(12/06/2007 12:10:22)eBay présente San Dimas, son interface desktop
eBay veut être partout. C'est le message que le site d'enchères en ligne a fait passer au public venu assister à sa conférence développeurs annuelle, qui se tient actuellement à Boston. En particulier, eBay développe une interface desktop, nom de code San Dimas, avec la technologie AIR d'Adobe (qui portait le nom de code Apollo, comme nous le signalions hier). San Dimas reprend toutes les fonctionnalités du site, tout en bénéficiant des performances des applications desktop. Alan Lewis, chef de projet chez eBay, explique avoir aussi ajouté des fonctions d'alertes (si quelqu'un a surenchéri), et des capacités de synchronisation permettant de tout faire sans aller sur le site. San Dimas est censé être en bêta mais pour l'heure, l'accès est restreint. eBay a donné au public de sa conférence un accès privilégié. Mais eBay ne souhaite pas s'arrêter là. Le site veut être présent aussi sur des sites tiers et sur les nouvelles générations d'appareils aptes à se connecter au Web, tels que les téléphones mobiles ou les télévisions. EBay a donc présenté un ensemble de services et d'outils pour inciter les développeurs à créer des applications reliées à ses API (interfaces de programmation). Parmi ces outils, on peut noter un service de notifications « proches du temps réel », ou encore Shopping Web Services, une suite de services Web pour connecter les fonctions du site à une application d'achat. (...)
(12/06/2007 09:47:39)L'Open Source poursuit sa progression dans le secteur public
Le développement de l'Open Source trouve depuis quelques années déjà un soutien non négligeable auprès des administrations et des services publics français. A en croire une récente étude du cabinet Markess International, la tendance va se renforcer. En 2007, le secteur public devrait en effet consacrer en moyenne 11% de ses budgets informatiques aux technologies libres, contre 7% l'an passé, puis 14% en 2009. Une progression que le cabinet d'étude explique notamment par les contraintes budgétaires ou encore les soucis d'indépendance et d'interopérabilité qui motivent leur recours à l'Open Source. Les demandes devraient se porter principalement sur des prestations de support technique, des développements applicatifs spécifiques, la tierce maintenance applicative (TMA), l'assistance à maîtrise d'ouvrage, l'intégration et le conseil en amont. Face aux prévisions de hausse des dépenses des organismes publics et des administrations, les prestataires renvoient leur optimisme en écho. Près de 44% de ceux interrogés par Markess International estiment ainsi que leur carnet de commandes liées à l'Open Source sera en forte hausse en 2007, à la fois sur leur cible de clients des secteurs privés et publics. Les SSLL, principal bénéficiaire de cet engouement Ce climat favorable devrait profiter en premier lieu aux SSLL (société de services en logiciels libres). En effet, 83% des représentants du secteurs public interrogés les désignent comme les mieux placées pour dominer le marché à l'horizon de 2009. Elles sont suivies des hébergeurs, des intégrateurs et des SSII. Pour 73% des prestataires interrogés, la principale évolution que devraient connaître les offreurs de technologies et de services liés à l'Open Source porte sur l'accélération de leur spécialisation par domaine applicatif (PGI, GRC, Business Intelligence...). Un phénomène qui a déjà commencé pour certains d'entre eux qui se sont orientés notamment vers les différents segments de la gestion de contenu. En parallèle, le marché devrait également évoluer vers une concentration du nombre d'acteurs, au travers de fusions ou par l'absorption de petits acteurs par des sociétés de service ou des éditeurs. (...)
(12/06/2007 09:27:20)Les autorités antitrust soutiennent Microsoft face à une plainte de Google
Selon le New York Times, les procureurs des différents états américains auraient reçu de la part de l'autorité antitrust fédérale un mémo leur demandant de rejeter une plainte déposée par Google à l'encontre de Microsoft. Google a confirmé qu'il avait adressé au département américain de la Justice (DOJ), en avril dernier, un livre blanc d'une cinquantaine de pages dans lequel il explique pourquoi, selon lui, Windows Vista, la dernière version du système d'exploitation de Microsoft, enfreint un règlement de 2002 portant sur les pratiques anticoncurrentielles. Les griefs de Google portent sur le moteur de recherche utilisé sur le poste de travail. Cet outil permet de retrouver des informations stockées sur le disque dur, dans les courriels ou d'autres sources d'informations personnelles. Google estime que la mise en place de Windows Vista rend plus difficile l'utilisation, sur le poste de travail, d'applications de recherche concurrentes à celle de Microsoft. Un mémo qui surprend certains de ses destinataires Selon le quotidien new-yorkais, le mémo reçu par les procureurs des différents états a été rédigé par Thomas O.Barnett, procureur général adjoint du département antitrust. Cette note a surpris nombre de ses destinataires. Des représentants officiels de plusieurs états ont indiqué qu'ils pensaient que la plainte de Google était justifiée et qu'ils ne se souvenaient pas avoir reçu jusque-là de demande de cet ordre de la part du département antitrust du DOJ. Le New York Times mentionne aussi le fait que Thomas Barnett a été, jusqu'en 2004, partenaire d'un cabinet juridique ayant représenté Microsoft sur plusieurs procès antitrust. Toutefois, il n'aurait pas été lui-même impliqué sur ces affaires et s'en serait volontairement tenu éloigné pendant un an à la suite de son arrivée au département antitrust pour éviter d'éventuels problèmes de conflit d'intérêt. Quelques dix ans après les tentatives gouvernementales de démanteler Microsoft, l'administration Bush a sensiblement changé de direction. Elle a défendu à plusieurs reprises la société de Bill Gates, tant aux Etats-Unis qu'à l'étranger, contre les accusations de conduite anticoncurrentielle. Le rejet de la plainte de Google en est la plus récente illustration. Des performances ralenties par l'usage d'un autre moteur de recherche Dans son livre blanc, Google développe deux arguments. Premièrement, il établit que les menus et boîtes de recherche proposés par Vista (disponibles à divers endroits dont le menu de démarrage et le gestionnaire de fichiers) fonctionnent uniquement avec le moteur de recherche et d'indexation de Microsoft. Deuxièmement, il explique qu'il est presque impossible de désactiver les fonctions d'indexation de Vista et qu'ajouter un second outil d'indexation équivaut à ralentir les performances du PC. Ces plaintes sont différentes de celles de Netscape, qui dans les années 90 avait pâti de la concurrence de Microsoft sur les navigateurs Web, notamment lorsque l'éditeur d'Explorer avait conclu des accords avec les fabricants de PC. Selon Rob Helm, directeur de recherche chez Microsoft (à Kirkland, Washington), Google pourrait avoir du mal à prouver ses accusations. Il juge hasardeuses l'allégation établissant que si deux logiciels ne fonctionnent pas ensemble, il doit s'agir d'une tactique anticoncurrentielle de Microsoft. « Je ne me souviens pas d'affaires antitrust passées portant sur des affirmations aussi larges ». (...)
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