Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 19891 à 19900.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(16/05/2007 13:03:54)

Oracle veut poursuivre ses emplettes en mettant la main sur Agile Software

Oracle souhaite faire l'acquisition de la société Agile Software, un spécialiste des logiciels de gestion du cycle de vie (PLM, product lifecycle management). Le groupe propose 8,10 $ par action Agile, ce qui porterait la facture du rachat à 495 M$. L'entrée d'Agile Software dans le giron d'Oracle permettrait à ce dernier de jeter les bases d'une future offre Oracle PLM, explique Charles Philips, le président du groupe. Il souligne que l'acquisition d'Agile Software offrirait à Oracle l'opportunité de poursuivre sa stratégie visant à fournir une gamme complète d'applications aux entreprises. Et le président de l'éditeur n'hésite pas à s'en prendre à son concurrent SAP, estimant que l'acquisition « permet d'offrir de nouvelles applications stratégiques aux clients SAP ». Depuis 2005, Oracle a dépensé plus de 20 Md$ pour une vingtaine d'acquisitions. En deux ans, l'éditeur s'est ainsi payé de grands acteurs, comme PeopleSoft et JD Edwards, afin de grossir et d'élargir le nombre de ses clients. Il a également mis la main sur des cibles plus modestes lui apportant une expertise spécifique sur des marchés verticaux, comme la distribution, ou des secteurs technologiques, comme la gestion d'identités. Tant d'acquisitions ont permis à la société d'accroître sa part de marché sur le terrain des applications professionnelles et de réaliser des économies d'échelle. Mais, d'un autre côté, cela oblige Oracle à relever le défi de l'intégration de tous ces produits, des salariés et des nouvelles cultures d'entreprise inhérentes. La stratégie suivie par SAP se veut différente. Le groupe allemand préfère croître de manière organique et ne réaliser d'acquisitions que pour mettre la main sur des technologies qu'il ne pourrait développer rapidement de façon autonome. Au cours des deux dernières semaines, le géant d'Outre-Rhin semble toutefois déroger à cette règle en annonçant coup sur coup trois rachats : MaXware (gestion d'identité), Wicom Communications (logiciels pour centres d'appel) et OutlookSoft (à destination des directions financières). (...)

(16/05/2007 13:02:58)

Marché français des PC : la France croît plus vite que l'Europe

Pour le premier trimestre 2007, la croissance des ventes de PC en France, dépasse celle observée dans l'ensemble de l'Europe de l'Ouest, selon une étude du cabinet Gartner. Alors que les ventes progressent de 11,25% en volume dans le Vieux Continent, elles s'envolent de 15% dans l'Hexagone, atteignant 2,22 millions d'unités. Une croissance française due au dynamisme du secteur grand public : la demande y augmente de 34% sur un an, alors qu'elle recule de 1% dans la sphère professionnelle. L'étude Gartner confirme par ailleurs l'engouement pour les ordinateurs portables. Les quantités écoulées ont bondi de 41% par rapport au premier trimestre 2006, permettant aux portables de représenter 54% des ventes. Un taux légèrement plus important à celui observé pour l'ensemble des pays d'Europe de l'Ouest (50%). Chez les constructeurs, HP conserve sa première place avec 24,9. de parts de marché et voit ses ventes progresser de 6,7% sur un an. Derrière, Dell continue sa descente aux enfers, abandonnant la deuxième marche du podium à Acer. Le constructeur américain pâtit d'une faible demande des entreprises pour les PC de bureau et enregistre un recul de 3% de ses ventes. A l'inverse, Acer profite du succès des portables et parvient à vendre 74% de machines supplémentaires par rapport au premier trimestre 2006. Il s'arroge ainsi 18,4% du marché français des PC. La progression réalisée par Packard Bell, qui reste accroché à la quatrième place du classement, est également spectaculaire : le constructeur voit ses ventes croître de 58,4% et satisfait 7,8% de la demande française. Enfin, Toshiba chasse Fujitsu Siemens du Top 5 : le désormais cinquième vendeur en France enregistre une croissance de 39,9% sur un an, et gagne un point de parts de marché, à 5,7% Le rythme de croissance à deux chiffres observé par Gartner pour ce début d'année ne devrait pas perdurer. Le cabinet anticipe en effet un ralentissement au cours du deuxième trimestre et table sur une progression annuelle de seulement 8%. (...)

(16/05/2007 11:37:39)

Téléphonie mobile : accord européen sur le roaming

Après d'interminables négociations, de longues tergiversations et même du chantage industriel de la part des opérateurs mobiles, les Etats et eurodéputés sont parvenus à un accord pour réduire les frais de roaming (itinérance) des appels émis et reçus à l'étranger. 49 cts/mn en réception, 24 cts/mn en émission Les trois institutions européennes (Parlement européen, Commission et Conseil des ministres de l'Union européenne) se sont mis d'accord pour fixer à 49 cents/mn les appels émis depuis l'étranger et limiter à 24 centimes d'euros/mn les communications reçues à l'étranger, divisant ainsi à terme globalement les coûts par deux. Des tarifs dégressifs Ces tarifs s'appliquent la première année et seraient ensuite dégressifs sur 3 ans : respectivement 46 et 22 centimes la deuxième année, et 43 et 19 centimes la troisième année (Source : Les Echos). Pour mémoire, les eurodéputés de la commission industrie (Itre) avaient majoritairement voté des seuils à 40 centimes par minute pour les appels émis et de 15 centimes pour les appels reçus. Les gouvernements des 27 Etats membres, eux, souhaitaient fixer des limites à 60 centimes/mn pour les appels émis et 30 centimes d'euros la minute pour les appels reçus. Des pays comme la France ou le Royaume Uni cherchaient à préserver les marges de leurs opérateurs. Didier Lombard, PDG de France Télécom, avait même menacé, d'après Le Monde, d'acheter Chinois pour rester compétitif. Pas automatique tout de suite Les opérateurs devront avertir par courrier leurs abonnés de ces nouveaux tarifs. Les clients disposant de forfaits Europe seront libres de leurs choix, basculer ou non. Ceux qui n'auront pas pris de décision sous deux mois, seront transférés automatiquement vers ces tarifs dans la plupart des cas plus avantageux (sauf conditions spécifiques). Quelques 147 millions d'utilisateurs sont tout de même concernés... Avant d'entrer en vigueur, le compromis doit tout de même être validé par les Etats membres et adopté par le parlement Européen. (...)

(16/05/2007 09:42:59)

Le piratage de logiciels en France et en Europe recule

Business Sofware Alliance (BSA) livre les résultats de la quatrième étude sur le piratage de logiciels dans le monde. Conduite par le cabinet d'études IDC, elle révèle que le taux de fraude est passé de 47% à 45% en France, en 2006. Il demeure élevé par rapport à la moyenne européenne qui s'établit à 36%, stable depuis deux ans. De plus, le préjudice dû aux logiciels illégalement installés sur PC a diminué de 750 M€ sur l'ensemble de l'Union européenne. La France représente plus de la moitié de ce chiffre. La baisse y atteint 380 M€. Selon l'étude, les jeunes pousses comme les grands comptes sont concernés par le problème de piratage de logiciels. «Pouvoir publics, organisations professionnelles et entreprises doivent continuer à lutter résolument contre le piratage de logiciels pour réduire ses conséquences financières, qui pèsent sur l'économie et le secteur local des TIC», déclare Robert Holleyman, président de BSA. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >