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(16/05/2007 14:14:00)
Interview vidéo de Didier Lambert, DSI d'Essilor et Président du Cigref
Propos recueillis par Philippe ROSE, Rédacteur en chef de CIO (...)
(16/05/2007 11:18:00)Moderniser le coeur des systèmes d'information Les nouveaux mots clés de la gestion des infrastructures : virtualisation, haute disponibilité, environnement ouvert et optimisation des applications - 26 avril 2007
Table Ronde 2 - 2ème partie : Place de l'open source et gestion des infrastructures : le regard des utilisateurs => autre exemple (...)
(16/05/2007 11:03:00)Moderniser le coeur des systèmes d'information Les nouveaux mots clés de la gestion des infrastructures : virtualisation, haute disponibilité, environnement ouvert et optimisation des applications - 26 avril 2007
Table Ronde 2 - 1ère partie : Place de l'open source et gestion des infrastructures : le regard des utilisateurs => 2 cas concrets (...)
(15/05/2007 17:28:13)Air France mise sur le Web 2.0 pour son recrutement
Depuis un mois, les salariés d'Air France sont associés directement et en toute liberté à la communication de recrutement de la compagnie, grâce aux technologies connotées Web 2.0 exploitées sur le site insideairfrance.com. L'outil conçu pour la DRH par l'agence TMPNeo fait d'une pierre deux coups, en tant qu'espace convivial d'échange aussi bien vers les éventuels candidats à l'embauche qu'en interne, entre salariés volontaires. Tout en donnant un sérieux coup de vieux à la communication institutionnelle et à ses contraintes. Sur fond de 'tags' et de mots-clés, de liens contextuels, d'un jeu de questions-réponses qu'ils alimentent à volonté, libre à tout membre du personnel d'Air France de s'exprimer sur la façon dont il exerce et perçoit son métier au sein de la compagnie. Et ce, pas seulement par une description du poste, mais par ses motivations, son « ressenti », ses activités extra-professionnelles, etc. Echappant ainsi à la lourdeur de la communication sollicitée et aux travers des témoignages formatés, calibrés, aseptisés. « C'est le point-clé de cette initiative : faire découvrir la diversité des métiers, en établissant des passerelles autant à l'intérieur de la compagnie que vers l'externe », explique Thomas Delorme, chef de projet et responsable du département « communication interactive » de TMPNeo. A l'origine, le projet lancé au début de cette année, après appel d'offres émis en juillet dernier, visait à booster la communication orientée vers les jeunes diplômés. D'où la volonté de se mettre au diapason des critères que ceux-ci avancent pour la recherche de leur premier emploi : c'est-à-dire, en premier lieu, une visibilité sur le contenu du poste, sur la mission, sur l'environnement de travail que recouvre telle ou telle offre d'emploi. Ce à quoi répondent les opérations portes ouvertes de certains employeurs, avec libre discussion entre candidats potentiels et salariés en poste. L'identification des contributeurs : nécessaire pour éviter l'effet "déversoir" Le site « inside air France » part du même principe en ligne ouverte. A la liberté de navigation conférée par les technologies Web 2.0 à l'internaute-visiteur (interne ou externe) correspond le degré de liberté donné aux salariés pour contribuer au site. « Sans filtre, tout en direct, insiste Thomas Delorme. C'est la condition pour éviter de retomber dans les discours policés, que l'on retrouve un peu partout sur les sites institutionnels ». Sachant cependant qu'en donnant la parole aux salariés dûment identifiés, le site échappe aussi aux travers du « déversoir » de forums alimentés sous couvert d'anonymat. Depuis le 23 avril, date de mise en ligne officielle pour le personnel d'Air France, le site s'est enrichi d'une cinquantaine de contributions et a suscité l'intérêt de quelque 5 000 visiteurs. Certes, le secteur du transport aérien, de par la diversité de ses métiers, se prête particulièrement bien à ce genre d'initiative. Mais son originalité tient autant de la volonté de présenter une information à jour et ad hoc sur ces métiers, qu'à la démarche d'appropriation par les salariés qu'elle implique. Une appropriation, et une volonté de transparence, qui tirent intelligemment parti de l'apport des technologies et qui pourraient (devraient) inspirer bien d'autres employeurs en chasse. (...)
(15/05/2007 17:27:40)HDS introduit l'orientation service dans le stockage
Les architectures orientées services font leur entrée dans le monde du stockage, avec l'Universal Storage Platform V de Hitachi Data Systems. Cette solution de virtualisation du stockage, destinée à remplacer l'offre Tagmastore, est accompagnée d'une offre SOSS (service oriented storage solutions). Celle-ci inclut un grand nombre de fonctionnalités telles que la gestion de continuité de service, la gestion de contenu, la migration des données, la gestion par volumes logiques, l'approvisionnement dynamique, la gestion de fichiers, la protection de l'information ou encore la déduplication des données. « Les clients ne souhaitent pas se battre contre des API complexes. Ils ne regardent pas le stockage comme un îlot monolithique. Ce qu'ils souhaitent aujourd'hui, c'est du stockage délivré par une architecture orientée services », justifie Hu Yoshida, vice-président et directeur technique d'Hitachi Data Systems, qui a ajouté à propos de la nouvelle plate-forme : « Cela va enlever les chaussettes à l'industrie ». Une expression anglo-saxonne qui pourrait se traduire par « Nous allons tailler des croupières à la concurrence ». En tout cas, HDS annonce des progrès spectaculaires au niveau des performances. Par rapport à l'offre Tagmastore, les performances sont améliorées de 40% puisque le constructeur annonce 3,5 millions d'E/S (entrées/sorties) par seconde. Sont également à l'ordre du jour, une carte mère de 4 Gbp/s pour les connexions fibres, la prise en charge de 224 ports Fibre Channel et de 112 ports FICON ou ESCON, le système pouvant gérer jusqu'à 1152 périphériques. Si, toujours par rapport à Tagmastore, la capacité de stockage interne reste de 332 To, le stockage virtuel grimpe quant à lui de 32 à 247 Po. Notons que HP vient d'acquérir la licence de l'USP V, que l'on devrait retrouver à la rentrée dans sa solution StorageWorks XP24000. (...)
(15/05/2007 16:53:50)Thomson prend le contrôle des solutions logicielles de Reuters
Le groupe canadien Thomson, fournisseur de services d'informations et d'applications en ligne aux entreprises et aux professionnels, est parvenu à un accord de fusion avec le Britannique Reuters, pourvoyeur d'informations financières aux entreprises, aux banques et sociétés de courtage, et éditeur des solutions applicatives associées. Il reprendra son concurrent pour 8,7 milliards de livres (12,7 MdE) - si les actionnaires approuvent la transaction - passant ainsi devant Bloomberg. Les services d'information électronique et d'applications en ligne de Thomson couvrent plusieurs domaines professionnels dont les services financiers, la recherche scientifique, le secteur médical, les documentations juridiques et les solutions de gestion comptable. Quant à Reuters, s'il est souvent cité pour son activité de vendeur d'informations généralistes aux médias, ses revenus proviennent majoritairement de la vente d'informations financières, ainsi que de la commercialisation des solutions applicatives associées. Cette activité principale a conduit le groupe britannique a développer, en France notamment, un important pôle de développement chargé de concevoir les logiciels et l'infrastructure nécessaires au traitement et à la diffusion en temps réel de ces données financières. Le groupe a développé son expertise à la fois sur les solutions techniques (intégration de plusieurs flux d'informations, automatisation de processus transactionnels complets - ou STP, straight through processing...) et sur les applications fonctionnelles, notamment destinées aux banques et aux institutions financières (gestion d'actifs, gestion du risque, trésorerie...). Woodbridge, qui contrôle 70 % de Thomson, détiendra environ 53 % du groupe issu de la fusion avec Reuters. C'est Tom Glocer, PDG de Reuters, qui prendra la tête de cette nouvelle entité. (...)
(15/05/2007 16:17:45)Les analystes et l'Open Source guère impressionnés par les menaces de Microsoft
On le savait déjà : Microsoft aurait déniché des éléments relevant de sa propriété intellectuelle dans plusieurs logiciels Open Source. Dans le Magazine Fortune, le géant est passé à l'offensive et a précisé ses accusations. Le noyau Linux violerait 42 brevets Microsoft. Le dessin des bureaux Linux 65 brevets. OpenOffice serait en infraction avec 45 brevets. Et divers autres logiciels Open Source violeraient 83 brevets. Lancées par l'avocat en chef de Microsoft, ces accusations sont appuyées par Steve Ballmer, CEO de Microsoft : « Nous vivons dans un monde où l'on honore la propriété intellectuelle. [Tous les concurrents] doivent jouer avec les mêmes règles. » Le but de Microsoft est clair : entraver la progression du logiciel libre. En guerre contre l'Open Source, l'éditeur joue pourtant la carte « brevets » moderato. « Nous n'attaquerons pas les utilisateurs finaux en justice dans l'immédiat » - déclarait en substance Horacio Gutierrez, responsable des affaires de propriété intellectuelle de Microsoft. Quelles sont les intentions de Microsoft ? Entretenir le doute sciemment, et consciencieusement. La peur du procès suffit pour les grandes entreprises Et pour cause. « Microsoft essaye de faire peur à certains utilisateurs. L'éditeur tente de les plonger dans le doute et la confusion, analyse Joe Lindsay, de Secured Funding Corp. Cela pourrait les éloigner de l'Open Source, à court terme du moins. » Qui sont les utilisateurs qui s'inquiètent le plus ? Les grandes entreprises et les gouvernements, qui peuvent raisonnablement être attaqués en justice. Les particuliers, eux, sont bien trop nombreux pour être menacés. Comme le dit Joe Zemlin, président de la Linux Fondation : « Qui vont-ils attaquer ? Les entreprises cesseront toute relation commerciale avec un fournisseur qui les traîne en justice. » Toutefois, même si Microsoft n'attaque pas, le risque existe, et cela peut être suffisant pour accuser un chef d'entreprise de mauvaise gouvernance. [[page]] Deuxième volet de la stratégie Microsoft : forcer les utilisateurs à passer des accords financiers avec lui. A l'image de Wal Mart, HSBC, Credit Suisse, etc. Ces entreprises ont dû acheter des coupons Microsoft pour utiliser Linux Suse sereinement, sans craindre de procès. Grâce à cette stratégie, Microsoft espère également amener les éditeurs de logiciels libres à la table de discussion, pour négocier la rémunération de ses brevets. A l'image de Novell. L'année dernière, l'éditeur a sorti son carnet de chèque, pour régler ses différends avec Microsoft sur l'affaire des brevets. L'objectif : rassurer les utilisateurs de ses produits Open Source. Un danger bien perçu par la Free Software Foundation, qui veut y faire barrage. En cours de rédaction, la version 3 de la General Public License (GPL), à laquelle la plupart des produits Open Source souscrivent, devrait interdire ce type d'arrangements avec Microsoft. Microsoft lui-même est un grand utilisateur de code libre Comment réagissent les autres éditeurs Open Source ? La plupart nient en bloc violer des brevets Microsoft. Tels Red Hat qui déclare : « Notre confiance dans notre technologie, et dans notre façon de protéger nos clients, reste forte. » Une opinion partagée par certains juristes spécialistes de la propriété intellectuelle. Joe Lindsay, de Secured Funding, va plus loin : « La réticence de Microsoft à dévoiler précisément les brevets concernés montre que l'éditeur n'a peut-être pas un dossier juridique aussi solide qu'il l'affirme. Certains brevets patentés par Microsoft existaient peut-être dans Unix, OS dont Microsoft s'est en partie inspiré pour créer Windows. » Encore aujourd'hui, selon d'autres commentateurs, Microsoft n'hésiterait pas à copier/coller du code depuis des logiciels Open Source dans ses produits. Il faut d'ailleurs préciser que des licences de type BSD le permettent expressément. Pour certains observateurs, la stratégie de Microsoft souligne l'inquiétude de l'éditeur face à la vague Open Source, menaçant son modèle économique. « A long terme, juge Joe Lindsay de Secured Funding Corp, Microsoft est celui qui souffrira le plus de ces actions. L'entreprise ferait mieux de préparer des produits plus innovants, plus attirants, plutôt que de menacer les logiciels qui ont surpassé ces produits. » (...)
(15/05/2007 16:02:08)De la mémoire cache pour éviter les goulets d'étranglement de la virtualisation
Il ne sert à rien de multiplier les machines virtuelles si les applications se battent pour accéder aux données stockées. Pour éviter le goulet d'étranglement, la start-up américaine Gear6 lance CACHEfx, un outil complémentaire d'un système de stockage NAS. CACHEfx se connecte via Ethernet et fournit de la mémoire cache où stocker les données prioritaires 10 à 50 fois plus rapidement qu'en accédant à un disque dur. « La puissance des serveurs a augmenté à un rythme exponentiel, affirme Jack O'Brien, directeur marketing de Gear 6. L'industrie du disque a fait du bon travail en augmentant la capacité sans augmenter le coût par gigaoctet, mais il n'y a pas eu le même niveau de performance pour les vitesses d'entrée/sortie et le temps de latence. C'est le principal goulet d'étranglement dans les salles de serveur, et c'est là que CACHEfx intervient. » Le système inventé par la start-up supporte jusqu'à 250 000 entrées/sorties par seconde (IOPS) et son système d'exploitation peut virtualiser la mémoire de CACHEfx pour optimiser la délivrance des données au travers de canaux d'entrée/sortie parallèles. Dans un premier temps, les modèles de CACHEfx seront disponibles avec une mémoire de 0,25 TO, 0,5 TO ou 1 TO, mais la société promet qu'elle pourra bientôt proposer jusqu'à 5 TO. Gear6 prompet par ailleurs u ntemps d'accès aux données de l'ordre d'une demi-milliseconde. Le premier prix est à 400 000 dollars. (...)
(15/05/2007 15:26:12)Microsoft attaque sur les brevets pour mieux se défendre
Plutôt que se remettre en cause après l'accueil mitigé de Vista, Microsoft s'attaque aux logiciels Open Source en invoquant un non respect de sa propriété intellectuelle. C'est tout du moins l'opinion avancée par les avocats de la partie adverse. Ainsi, Stuart Meyer, l'un des associés du cabinet Fenwick et West basé dans la Silicon Valley, remarque l'étrange coïncidence entre le soudain besoin de Microsoft de faire respecter ses droits intellectuels et les premiers résultats des ventes de Vista et d'Office 2007, qui peinent à séduire les entreprises. Il va même jusqu'à suggérer que Microsoft préfère se lancer dans une action en contrefaçon mal fondée plutôt que d'améliorer ses logiciels, en prenant pour preuve le manque de précision sur les brevets qui auraient été violés. « Si Microsoft voulait un procès, il l'aurait intenté lui-même », précise-t-il. Pour Mark Wine, avocat chez McDermott, Will et Emery, « il s'agit plus d'un coup marketing qu'autre chose. » En attendant, cette menace peut fournir à la communauté Open Source de bons arguments pour demander une réforme du droit des brevets. (...)
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