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(14/05/2007 15:25:33)

Le PDG de GFI coupable d'un délit d'initié : 400 000 euros d'amende

Jacques Tordjman, le PDG de GFI Informatique, vient de se voir infliger une amende de 400 000 € par l'Autorité des marchés financiers pour deux délits d'initié commis en 2004 et 2005. Rappel des faits : le groupe publie, le 14 septembre 2004, ses résultats pour le premier semestre et fait état d'une prévision de marge opérationnelle de 5,4% pour l'ensemble de l'exercice. Il rectifie cette estimation le 9 novembre suivant et n'anticipe plus qu'une marge de 4%. Entre temps, Jacques Tordjman vend 120 400 actions au cours moyen de 5,12 €. Après l'alerte sur résultat, le cours du titre chute à 4,51 € le 10 novembre. Le PDG du groupe se serait de nouveau rendu coupable d'un délit d'initié en 2005. Le 18 février, il reçoit un courriel transmis par son directeur financier, qui l'informe que le résultat net serait négatif. Il vend, dans la foulée, 150 000 actions, sans attendre que l'information soit rendue publique. Au total, l'AMF estime que Jacques Tordjman a tiré un avantage financier de plus de 160 000 € en évitant les moins-values liées aux dépréciations successives des actions GFI et prononce à son encontre une sanction pécuniaire de 400 000 €. (...)

(14/05/2007 14:37:15)

Sapphire : SAP acquiert une gestion des identités et un centre de contacts IP

SAP vient d'annoncer l'acquisition de deux éditeurs scandinaves, Wicom Communications et MaXware, pour compléter deux aspects distincts de son offre : d'une part, le centre de contacts de son application de GRC (gestion de la relation clients), et d'autre part, les fonctions de sécurité de sa plate-forme Netweaver, avec une solution de gestion des identités. Les conditions et les montants de ces deux acquisitions n'ont pas été précisés. Ces annonces sont faites alors que l'éditeur allemand de progiciels de gestion intégrés (PGI) ouvre, à Vienne (Autriche), la session européenne de sa conférence utilisateurs Sapphire, trois semaines après la tenue du Sapphire américain d'Atlanta. Elles interviennent quelques jours à peine après l'annonce du rachat par SAP de l'éditeur OutlookSoft, spécialisé dans les solutions de gestion de la performance économique (CPM). SAP confirme son ouverture hors de son univers L'acquisition du Norvégien MaXware (300 clients dans le monde) va apporter à la plate-forme d'intégration SAP NetWeaver les fonctions de gestion centralisée des identités nécessaires pour sécuriser le déploiement d'applications dans des environnements informatiques hétérogènes. Une brique à l'importance cruciale puisque la vocation de NetWeaver est justement de faire opérer ensemble des applications SAP et non-SAP, dans un environnement distribué, en s'appuyant sur une architecture orientée services. MaXware fournit à SAP des technologies de fédération des données facilitant la mise en place d'infrastructures pour l'authentification unique (single-sign on). Il possède aussi des solutions d'annuaires virtuels permettant d'accéder de manière unifiée à des bases de données d'identités hétérogènes. Fonctionnant sur le modèle des architectures orientées services (SOA), ces solutions devraient rapidement être intégrées à la plate-forme NetWeaver sous la forme de services. [[page]] Ce matin, lors de la session d'ouverture de Sapphire, à Vienne, Henning Kagermann, PDG de SAP, indiquait que 13 068 clients avaient à ce jour adopté NetWeaver contre 5 880 l'an dernier à la même époque. Et que près de 8 500 d'entre eux utilisaient la plate-forme pour intégrer des solutions SAP et non-SAP. Rappelons qu'Oracle, principal concurrent de SAP, a lui-même procédé à trois rachats successifs (Oblix, Thor et Octetstring) dans le domaine de la sécurité et de la gestion d'identité. SAP proposait seulement des interfaces de programmation afin de se connecter aux outils des partenaires. Sun propose par exemple une déclinaison de son offre de gestion des identités pour SAP. Unifier la prise en charge des contacts clients dans une organisation répartie Quant à l'éditeur finlandais Wicom Communications, fondé en 1999, il est spécialisé dans les centres de contacts sur IP (Internet Protocol) et les logiciels de communication d'entreprise. En utilisant ses technologies dans son offre de GRC, SAP veut proposer une solution de centre d'appels multicanale sur IP, capable d'offrir une gestion unifiée de la voix, des SMS, du Web, des courriels et des téléphones mobiles. La solution de Wicom viendra s'intégrer avec l'application de centre de contacts SAP Interaction Center. L'un des points qui intéresse l'éditeur allemand dans l'offre rachetée est la possibilité d'intégrer des utilisateurs géographiquement répartis, travaillant sur des matériels disparates, en bénéficiant d'une administration centralisée. L'objectif est de mettre en place des processus de prise en charge des contacts de bout en bout, quels que soient le canal de communication utilisé et l'endroit où se trouvent les différents opérateurs. Le portefeuille Wicom Communications rassemble 200 clients sur 18 pays, centres de contacts ou entreprises multi-sites gérant d'importants volumes de contacts. (...)

(14/05/2007 13:53:13)

Les infrastructures vertes de stockage sont plus économiques, selon HDS

Selon David Merill, consultant spécialisé dans le stockage chez Hitachi Data System, il est possible d'économiser jusqu'à 1 M$ pour 8 TO d'espace de stockage utilisable. La première chose consiste à passer à un système de stockage partagé : « Moins de gens seront nécessaires pour administrer plus de stockage dans le futur. Les coûts de personnel restent le centre de coût le plus élevé d'une salle de serveur. Les SAN et les stockages de nouvelle génération fournissent plus de stockage de données accessibles à un instant T que des disques reliés en local via des connexions SCSI. » David Merill estime même que pour un système à 2 TO, le stockage en réseau est 60 % moins cher qu'une infrastructure classique. Il recommande donc cette méthode en la combinant avec de la virtualisation et de la consolidation de serveurs pour éliminer les 10 % de serveurs qui ne servent qu'à fournir un point d'accès aux disques de stockage. L'ensemble de ces recommandations sont celles que son entreprise, Hitachi Data Système, met en avant pour obtenir des salles de serveurs plus écologiques en réduisant leur taille physique et leur consommation d'énergie. Tim Smith, responsable marketing de la société en Nouvelle-Zélande, résume l'idée ainsi : « Le but est d'utiliser plus efficacement ce que vous avez. En agissant ainsi, les sociétés peuvent réduire leur consommation énergétique de 40%. » Et réduire d'autant leur facture d'électricité. (...)

(14/05/2007 13:47:09)

Les opérateurs WiFi devront s'acquitter d'une taxe

L'Arcep estime que le marché du WiFi est désormais mature et dynamique. L'autorité de régulation des télécoms a donc décidé de mettre fin au régime dérogatoire spécial qui était en vigueur depuis le début des expérimentations fin 2002. Les opérateurs WiFi devront dorénavant, comme tout opérateur classique, verser une taxe administrative. Toutefois, ceux dont le chiffre d'affaires est inférieur à 1ME en seront exonérés. Actuellement, 210 opérateurs WiFi se sont déclarés auprès de l'autorité. Selon le cabinet SagaTel, chargé par l'Arcep de faire la photographie du marché, il y avait, en 2006, 37 000 hot spots payants sur le territoire français, dont 3 600 appartenaient aux opérateurs, ces derniers étant déployés essentiellement dans les hôtels, les gares, les aéroports et les résidences universitaires. La grande majorité des autres sites étaient des points d'accès payants développées dans le cadre de RLAN privés, souvent professionnels. Quelques centaines de point d'accès, essentiellement dans les cafés, restaurants et les municipalités, étaient en outre mis gratuitement à la disposition du public. Bien que les hot spots constituent l'essentiel des activités de ces opérateurs, ils n'ont généré en 2006, toujours selon le cabinet SagaTel, qu'un trafic de 40 millions de minutes par mois, ce qui représentait 0,1 % de celui du téléphone mobile. Les auteurs de l'étude estiment d'ailleurs que les acteurs du WiFi ne seront pas à l'équilibre avant plusieurs années. D'autre part, les opérateurs qui se sont lancés dans la desserte des zones rurales voient quant à eux leur activité menacée par l'extension du DSL, ainsi que l'arrivée du Wimax et de la FTTH (fibre to the home). Il n'est donc pas sûr que, en dehors des grands opérateurs comme Orange ou SFR, ils soient très nombreux à acquitter cette taxe. (...)

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