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(14/05/2007 17:43:55)

Intel donne un coup de main à Red Hat pour son Global Desktop

Si le programme OLPC veut fournir des portables peu chers aux enfants des pays en voie de développement, les marchés émergents peuvent également être une source de profit. C'est la cible visée par Red Hat avec sa nouvelle distribution Linux : Global Desktop. Développée pour s'adapter sur la plateforme sécurisée vPro d'Intel, cette distribution s'adresse en premier lieu aux PME et aux gouvernements de ces pays. Le but est d'utiliser Linux pour accéder à des applications d'entreprises de dernière génération sur du matériel (PC ou serveur) à faible coût de fabrication. A la différence des autres distributions Linux, Global Desktop ne pourra être téléchargée seule. Elle sera fournie en OEM par les force de ventes d'Intel sur ses lignes de postes de travail Classmate, Affordable, Community et Low-cost. En plus de Global Desktop, Red Hat développera pour ces PC une technologie de virtualisation qui permettra d'avoir une multitude d'environnements applicatifs virtuels ouverts en même temps que la session principale sécurisée. L'ensemble final comprendra d'ailleurs le PC, le système d'exploitation Global Desktop et un ensemble d'applications. Une version bêta devrait être disponible d'ici quelques mois, mais la version finale est prévue dans 18 mois. Pour l'instant aucun prix n'est disponible. (...)

(14/05/2007 17:40:15)

Katmai : Microsoft veut livrer des versions plus régulières de SQL Server

Le successeur de SQL Server 2005, répondant au nom de code « Katmai », pourra gérer les données non structurées et sera capable de monter en puissance pour supporter des entrepôts de données importantes. C'est ce qu'a indiqué Ted Kummert, vice-président de Microsoft, à la tête de la division plate-forme de données et de stockage, à nos confrères de Computerworld, à l'occasion de la Microsoft Business Intelligence Conference (09-11 mai à Seattle), première conférence du genre pour l'éditeur. La prochaine version du système de gestion de base de données (SGBD) est promise pour 2008. Selon Ted Kummert, c'est pour répondre aux voeux des clients, qui ont jugé un peu long le délai de cinq ans pris pour la livraison de SQL Server 2005, que Microsoft s'est désormais fixé comme objectif de fournir des mises à jour du produit tous les vingt-quatre à trente-six mois. Cette réduction des délais de livraison résulte d'une remise à plat des processus d'ingénierie, les responsables du développement ayant décidé de faire la part des développements à livrer rapidement et des investissements à plus long terme. Sur Katmai, « nous avons largement investi sur les capacités de montée en puissance de l'entrepôt de données (datawarehouse), pointe Ted Kummert. Il n'est plus question pour nous de jouer seulement le rôle de datamart autour de l'entrepôt de données principal. Nous pouvons maintenant prendre en charge des déploiements à grande échelle, sur des projets de datawarehouse sensibles. Nous travaillons à accroître les capacités de stockage, au niveau du moteur et des outils de requête. » Ted Kummert évoque aussi l'effort important fait sur les possibilités de gestion déclarative de la structure de la base et sur l'aptitude, pour les développeurs, d'associer aux données des libellés métiers. Illustrant la prise en compte des données non structurées, Ted Kummert donne en exemple les applications de l'imagerie médicale où l'on pourra attacher des images numériques à la fiche d'un patient. De la même façon qu'il peut être nécessaire de relier des informations non structurées à tout type de données de gestion. Plutôt que des versions bêta de Katmai, Microsoft fournira des Community Technology Previews (CTP), correspondant à des versions intermédiaires du produit qui seront régulièrement proposées aux développeurs. Une démarche déjà adoptée pour SQL Server 2005 et qui satisfait l'éditeur. (...)

(14/05/2007 17:35:08)

90% des salariés ont entendu parler du DIF... mais la plupart ignorent ses subtilités

Petit à petit, le DIF (Droit individuel de formation) fait son chemin. Si l'on en croit une étude menée par Kelformation sur le thème « DIF : quelle réalité pour quels salariés ? », 90% des salariés auraient entendu parler de ce dispositif. Néanmoins, la plupart d'entre eux ignorent ses subtilités : 43% des salariés ne pensent pas que l'entreprise peut refuser une demande de DIF (ou ignorent la réponse) et 37% des personnes ayant répondu imaginent que le DIF n'est pas financé par l'entreprise. Plus ennuyeux, les modalités concernant la transférabilité du DIF sont mal connues dans l'informatique, où le turn-over est très important. La solution pour les pouvoirs publics, les entreprises et les syndicats/comités d'entreprises est donc de poursuivre des campagnes de communication en ce sens. Au-delà de cette sensibilisation qui doit être intensifiée, il existe un réel marché encore trop timidement investi par les organismes spécialisés en formations : l'étude indique que 56% des salariés souhaitent profiter du DIF dès qu'ils auront trouvé une formation qui correspondra à leurs besoins. (...)

(14/05/2007 17:31:32)

Les partenariats entre entreprises et universités/écoles d'ingénieurs se multiplient

Les grandes entreprises sont définitivement entrées dans le giron des écoles d'ingénieurs pour indiquer les profils qu'ils recherchent tout en proposant des aides à leur formation. Par exemple, la Banque Postale et IBM dispensent depuis peu, au sein de l'école d'ingénieur en informatique Epita, des cours autour des technologies mainframe, à raison d'un cursus par an pour les trois années à venir. Ce ne sont pas moins de 28 étudiants en dernière année qui bénéficient d'une formation complémentaire à leur programme sur les aspects techniques et fonctionnels des plateformes mainframe IBM System z. Cette opération complète l'action lancée en France par IBM en 2005 avec plusieurs écoles d'ingénieurs, dont l'objectif annoncé est de former, à l'horizon 2010, 20 000 étudiants du monde entier au mainframe. Il en est de même pour EDS France qui travaille en étroite collaboration avec l'Epita, mais aussi avec l'IUT Descartes Paris V, 3IL, l'Esiee, l'Ensib, l'Esiea, Centrale Marseille, Polytech Nantes ou Supelec, en vue de mieux préparer les futurs ingénieurs au monde de l'entreprise et dans le but de soutenir sa politique de recrutement. Une surenchère auprès des jeunes diplômés ? L'objectif avoué pour EDS France, qui s'est engagée à déployer des plans d'actions spécifiques à chaque établissement, est de recruter ; 600 nouveaux collaborateurs sont recherchés cette année dont 30% de jeunes diplômés. Par une présence accrue sur les campus, les entreprises qui mettent en place des partenariats avec les écoles ou universités peuvent augmenter leurs chances de recrutement en individualisant des rencontres. Sur les salons d'emploi au contraire, elles sont noyées dans la masse des entreprises qui recrutent et ne parviennent pas nécessairement à se faire connaître. Certes, les SSII sont présentes sur tous les canaux de recrutement, mais elles tentent par tous les moyens de faire la différence en investissant dans la communication avec les écoles. De leur côté, la majorité des écoles d'ingénieurs en informatique ont choisi de dédier une personne aux relations avec les entreprises. Si cette nouvelle est bonne pour tous les étudiants qui veulent mettre en concurrence des employeurs potentiels, deux questions restent posées : d'une part, la génération qui les suit, c'est-à-dire les jeunes gens au collège et au lycée ont toujours du mal à embrasser les carrières scientifiques. La désaffection des filières informatiques pourrait poser des problèmes à moyen terme, et la campagne de sensibilisation du Syntec Informatique pour intéresser les 15-24 aux métiers du secteur est l'une des méthodes proposées pour tenter d'y remédier. D'autre part, il reste encore le syndrome ostracisant du chômage : de nombreux informaticiens en recherche d'emploi demeurent souvent en dehors de tout plan de formation. Quelques rares initiatives, comme celles menées par Microsoft ou le Munci tentent d'inverser cette tendance, mais elles sont encore trop marginales et montrent surtout que si la cote des jeunes diplômés est bonne, celle des expérimentés au chômage ne l'est pas. En savoir plus : Postuler à EDS France (...)

(14/05/2007 17:25:46)

AMD promet des quadri-coeurs de bureau d'ici à la fin de l'année

"Vive Phenom !" Toujours sous le choc de la violence de la contre-offensive d'Intel, qui ne lui a laissé que des miettes sur les ventes du dernier trimestre, et faute de disposer d'une réponse concrète, AMD claironne à tire-larigot sa nouvelle marque Phenom. C'est sous ce nom que seront commercialisés ses processeurs quadri-coeurs pour machine de bureau. Le fondeur annonce aussi le premier composant graphique issu du rachat d'ATI l'an dernier. Empruntant la même architecture que les processeurs Barcelona pour serveurs dont l'annonce est imminente, les Phenom arriveront plus tard. Au cours du second semestre promet AMD. Vers Noël prédisent les observateurs. Dans un premier temps, AMD proposera deux modèles quadri-coeurs, le Phenom FX et le Phenom X4 avant de commercialiser un bi-coeur, le Phenom X2. Les Phenom viendront s'ajouter à la gamme actuelle. Ils ne remplacent pas la ligne des Athlon 64 X2, qui continueront à être commercialisés en milieu de gamme, ni les Sempron en entrée de gamme. De vrais quadri-coeurs, et non des doubles bi-coeurs Phenom et Barcelona partagent la caractéristique d'être de "vrais" quadri-coeurs. Contrairement aux Xeon et aux Core 2 Duo d'Intel qui sont constitués de deux double-coeurs accolés, les quadri-coeurs promis par AMD auront leurs quatre coeurs fondus dans un composant unique. S'ajoute à cette meilleure architecture interne la version 3 d'HyperTransport, composant de gestion de la mémoire qu'AMD parvient à intégrer aussi dans son composant alors qu'Intel fait toujours appel à un composant externe. Làs, les vrais-faux quadri-coeurs qu'Intel livre à des prix très agressifs depuis la fin de l'année dernière ont laminé les ventes d'AMD et l'ont conduit à annoncer une perte trimestrielle aussi inattendue qu'impressionnante de 611 M$. La pression d'Intel est telle qu'AMD a dû mettre sur le marché pour 2,2 Md$ d'obligations convertibles pour couvrir ses échéances. Par ailleurs, AMD vient aussi d'annoncer le premier produit issu du rachat d'ATI l'an dernier pour 5,4 Md$. Les performances de l'ATI Radeon HD 2900XT viennent titiller les produits nVidia haut de gamme. Fondu en 65 nm, adapté à la version 10 de Direct X et doté des pilotes optimisés pour Vista, le HD 2900XT a d'autant plus d'atouts qu'AMD le commercialise à moitié prix d'une configuration équivalente chez nVidia. Avec Intel qui l'étrille sur le prix de ses processeurs 64 bits, AMD est à bonne école. Sur le même sujet : - AMD publie une perte de 611 M$ au premier trimestre - Radeon séries HD 2000 : ATI riposte enfin à nVidia (...)

(14/05/2007 17:15:25)

Microsoft veut faire payer les violations de brevets par l'Open Source

Microsoft veut faire payer des royalties sur ses produits aux éditeurs et clients de l'Open Source. C'est du moins ce qu'affirment, dans une interview au magazine Fortune, Horacio Gutierez, vice-président en charge des affaires de propriété intellectuelle, et Brad Smith, conseiller juridique de l'éditeur de Redmond. Ceux-ci estiment que les auteurs de logiciels libres violent 235 de leurs brevets. Ainsi, le noyau Linux en enfreindrait 42, l'interface utilisateur 65, Open Office 45, les applications de messagerie 15 ou plus, etc. Chez Microsoft, on rappelle aussi qu'une étude de 2004 de l'Open Source Risk Management Group faisait état de 284 violations de brevets. Il est fort probable que la société souhaite faire pression sur les éditeurs et fournisseurs Open Source afin qu'ils s'engagent sur la même voie que Novell. En novembre dernier, les deux éditeurs annonçaient avoir signé un accord qui les lie jusqu'en 2012, aux termes duquel Microsoft s'engageait à payer 348 M$ à Novell, dont 240 M$ pour l'achat de coupons Suse Linux Entreprise Server. En contrepartie ce dernier doit verser 200 M$ à Microsoft. En conséquence le géant de Redmond ne fera pas valoir ses brevets auprès des clients Suse Linux, Novell faisant de même vis à vis des clients Windows. Cet accord, auquel vient de se rallier Dell, a été validé par l'Open Source Development Labs. Tous les acteurs du Libre ne voient cependant pas cette évolution d'un bon oeil. Ainsi, Red Hat considère qu'en apposant leur signature, les responsables de Novell reconnaissent en quelque sorte qu'il y a bien violation des brevets Microsoft. De son côté, Eben Moglen, conseil de la Free Software Foundation et professeur à Columbia, affirme que les logiciels ne sont rien d'autre que des algorithmes et de ce fait ne sont pas soumis à brevets. Il rappelle que la Cour suprême des Etats-Unis a estimé récemment que les brevets ont été trop facilement accordés dans ce domaine depuis 20 ans et que nombre d'entre eux ne se justifient sans doute pas. Une guerre froide qui joue sur les nerfs des clients Le juriste est aussi d'avis qu'en écoulant des coupons Linux, Microsoft agit en tant que revendeur et que, d'après les nouvelles règles de la licence GPL, il doit mettre toutes ses sources à disposition. Chez Microsoft on estime bien sûr ce type de position irresponsable. « Ils s'apprêtent à brûler la passerelle que nous avons établie avec le monde du Libre et à brûler ensuite le système des brevets », prévient Brad Smith. Il n'est donc pas sûr que les deux acteurs aillent plus loin dans cette guerre froide. « Les logiciels sont vulnérables aux défis juridiques », rappelle un expert indépendant. « Waterloo est dans les environs », avertit Eben Moglen. Reste à savoir si Steve Ballmer est prêt à endosser le rôle de Wellington. Ou de Napoléon. Dans tous les cas, même si les clients sont théoriquement concernés, il est inconcevable que Microsoft se mette à les poursuivre pour violation de brevets. Mais la possibilité théorique existe, et cela sera peut-être suffisant pour en dissuader un certain nombre de basculer à l'avenir vers l'Open Source. (...)

(14/05/2007 17:13:43)

Les premiers postes IP certifiés Microsoft

Microsoft lance un programme de qualification visant à certifier les téléphones IP qui sont compatibles avec ses produits de communications unifiées. Quinze terminaux fabriqués par Samsung, LG-Nortel, NEC, Plantronics, Asus, GN, Polycom, Tatung et Vitelix sont d'ores et déjà certifiés pour fonctionner avec Microsoft Office Communications Server 2007 et Microsoft Office Communicator 2007. Ces logiciels, combinés à d'autres solutions Microsoft, permettent d'unifier la messagerie électronique, la messagerie instantanée et les fonctions de conférence vidéo. Par exemple, les utilisateurs peuvent lancer un appel en voix sur IP (VoIP) en cliquant sur un e-mail. Pour être qualifiés, les terminaux doivent supporter les applications voix haut débit, être compatibles avec une large gamme de codecs audio et inclure des éléments d'interfaces utilisateurs spécifiques, a indiqué Eric Swift, directeur de la gestion des produits de communications unifiées chez Microsoft. Certains de ces nouveaux téléphones se connectent directement à un port USB. Une fonction visant les collaborateurs nomades, qui peuvent brancher ces postes IP sur leurs ordinateurs portables. D'autres incluent une connectivité Bluetooth ou encore des capacités vidéo. Microsoft espère que ses outils de communications et le programme de qualification aideront les concepteurs de matériels à développer des téléphones innovants. Selon Eric Swift, l'industrie du téléphone stagne depuis plusieurs années. (...)

(14/05/2007 16:56:12)

Atos n'est plus à vendre

Atos Origin n'arrive pas à se vendre. La SSII, qui enchaîne les publications de résultats faisant état de sa fragilité - perte de 264 M€ en 2006 - vient de mettre un terme aux discussions qu'elle entretenait avec le fonds d'investissement PAI Partners et le consortium Permira-Eurazeo. Il semblerait que les négociations aient achoppé sur le prix auquel Atos pourrait être valorisé. Dans un communiqué, le groupe français indique qu'«aucune offre ferme n'a été reçue et [que] le Conseil de surveillance et le Directoire ont conclu unanimement que la meilleure décision (...) était de réaliser le plan de transformation dans la configuration actuelle de l'actionnariat ». En octobre 2006, le fonds d'investissement Blackstone avait, déjà, manifesté de l'intérêt pour Atos. Quelques mois plus tard, une rumeur faisait de Capgemini un éventuel repreneur de la SSII. Ce que confirme, à demi-mots, Bernard Bourigeaud, le président du directoire, qui reconnaît avoir mené des négociations avec des partenaires industriels, et pas seulement des fonds d'investissement. Les titres Atos, dont la cotation avait été suspendue vendredi matin dans l'attente de la décision du groupe, sont de nouveau échangeables. Le cours de l'action pâtit du rejet des offres adressées par PAI Partners et Permira-Eurazeo : il décroche de plus de 15% à l'ouverture, ce lundi. Par ailleurs, Atos vient de publier ses résultats pour le compte du premier trimestre 2007. Le chiffre d'affaires atteint 1,435 Md€, soit une croissance organique de 2,5% sur un an. Et le groupe reste ambitieux sur ses objectifs en tablant sur une croissance de 8,5%, à taux courant, pour l'ensemble de l'exercice. (...)

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