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(10/05/2007 17:38:48)
Les entreprises qui recrutent le plus via Internet sont les SSII et les sociétés de conseil
Dans le domaine du recrutement, il existe deux mondes : celui des candidats et celui des entreprises. Sans être caricaturale, cette réflexion montrant des dysfonctionnements entre les deux repose sur une enquête menée conjointement par Ineum Consulting (société de conseil en stratégie, organisation et systèmes d'information) et Monster et qui devrait être mise à jour tous les 6 mois : 7,2% des candidats indiquent rechercher dans le secteur des SSII et sociétés de conseils (5e rang des recherches sur le site) et 3,6% dans l'ingénierie et le conseil en ingénierie (9e rang), contre 17,6% dans le commercial, domaine en tête des recherches effectuées sur Monster. Or les entreprises spécialisées en informatique (SSII et sociétés de conseil) sont celles qui recrutent le plus sur le site (avec plus de 20% de réponses), suivies par celles qui se définissent en « conseil et consulting » (15,5%). Cette différence pourrait s'expliquer par des possibilités d'emploi plus importantes dans l'informatique et qui induisent certaines « tensions » sur le marché, ainsi que par les pratiques des SSII qui se mettent en quête de candidats idoines alors même que le marché n'est pas gagné. Elle pourrait aussi s'expliquer par le fait que les informaticiens ont déjà un important réseau de relations (annuaire des anciens, cooptation, CV déposés dans de endroits stratégiques...), les sites d'offres d'emploi ne constituant qu'un moyen parmi d'autres pour parvenir à évoluer. Une raison de départ exprimée : le harcèlement moral Norbert Faure, associé chez Ineum Consulting, analyse le point de vue des 2 500 personnes en recherche d'emploi interrogées et des 149 entreprises en recherche de personnel. « Si les gens quittent majoritairement une entreprise au motif d'une rémunération insuffisante, la relation avec son supérieur hiérarchique et le harcèlement moral sont les invités surprises des raisons de changement. » Sans tomber dans une description apocalyptique des relations au bureau et qui concerne tous les secteurs d'activités, cet aspect souvent indiqué « en off » pour donner des explications au très important turn-over dans les SSII devrait être pris en compte par les recruteurs. Norbert Faure poursuit sur les visions contrastées entre entreprises et candidats : « par une enquête croisée employeur potentiel / personne en recherche de poste, on note une forte incompréhension sur les raisons de changement de poste. Là où l'employeur pense changement de carrière donc sur le long terme, la personne en recherche de poste pense prise de responsabilité, c'est-à-dire à court terme. » Ce peut être une autre explication au turn-over qui accentue les tensions sur certains profils. Moins de recrutements dans l'informatique au premier semestre 2007 De même, la perception de la dynamique du marché du travail est inversée que l'on se place du point de vue des employeurs potentiels ou des candidats. Les premiers sont optimistes : 64% pensent que le contexte de l'emploi est bon... alors que 74% des personnes en recherche d'emploi estiment qu'il y a une diminution de l'offre. La réalité est entre les deux : les recrutements continuent mais baissent. Ainsi, dans le secteur informatique, les DRH pensent recruter 20% de candidats en moins au premier semestre 2007 qu'au deuxième semestre 2006, la fourchette variant entre 5% et 10% dans les autres domaines. Enfin, alors que l'enquête montre que la rémunération est le principal vecteur d'un changement d'emploi, elle montre également que 37,8% des candidats se voient proposer une rémunération équivalente à la précédente tandis que 36% se voient proposer une rémunération en baisse de 5% par rapport à leur dernière rémunération. Seuls 18,6% des candidats voient leur rémunération augmenter d'au moins 5%. Il reste à savoir si cet argument ralentira les velléités de changement ou si, d'autres éléments qualitatifs comme les conditions de travail primeront, dans les mois qui viennent, sur les intentions des candidats en quête d'un nouvel emploi. (...)
(10/05/2007 17:35:16)JavaOne : Intel va porter Java sur l'Itanium
La conférence JavaOne de San Francisco est toujours aussi riche en annonces de toutes sortes. Cette fois, c'est Intel qui affirme qu'il va permettre à Java de tourner sur l'Itanium, le processeur 64 bits développé conjointement avec HP, IBM, Bull et Sun. Sun qui affirme - du moins officiellement - ne plus vouloir utiliser cette puce au passé plutôt chaotique. Jonathan Schwartz, son PDG, avait même été assez critique à son sujet. L'accord signé en janvier avec le fondeur ne prévoit d'ailleurs que la livraison de processeurs Xeon. Cela n'empêche pas Intel de vouloir persévérer. « Ils comprennent qu'Itanium est important pour nous. Cela fait partie de nos relations », a ainsi affirmé Renee James, vice-président et directeur général d'Intel, à propos de Sun. « Nous avons annoncé vouloir nous appuyer sur Xeon lorsque nous avons entamé des discussions avec Intel et c'est ce que nous faisons actuellement », insiste de son côté Bob Brewin, responsable technique logiciel de Sun. Ce dernier reconnaît toutefois discuter avec le fondeur à propos du fameux processeur 64 bits. Quoi qu'il en soit, la migration sur Java Virtual Machine est planifiée pour l'année prochaine. Rappelons que la JVM WebLogic JRockit de BEA est déjà optimisée pour fonctionner avec l'Itanium. Que l'Itanium apparaisse ou non au catalogue Sun, les deux entreprises poursuivront leur collaboration dans Java. « Dès que nous avons commencé à travailler ensemble, nous avons amélioré de 20% les performances de Java », affirme ainsi Renee James. Le jeu d'instructions développé par Intel aurait servi de levier à cette optimisation. Actuellement, les deux entreprises s'attachent à doper Java sur l'ensemble des processeurs multicoeur d'Intel. (...)
(10/05/2007 17:30:27)Rencontre le 14 mai avec Andi Gutmans sur le thème « PHP pour l'entreprise »
Le nom d'Andi Gutmans a dépassé les murs de la communauté Open Source et c'est en tant que co-architecte historique du PHP, co-fondateur de Zend Technologies et initiateur/coordinateur du projet collaboratif Zend Framework, qu'il sera le roi d'une soirée le 14 mai. Celle-ci marque la rencontre du monde de l'entreprise (de nombreux décideurs seront présents) avec celui de la communauté traditionnelle des développeurs PHP. Ouverte à tous, elle est co-organisée par l'Afup (Association française des utilisateurs de PHP), Anaska (formations Open Source) et Zend Technologies (produits et services associés au développement, au déploiement et à la gestion d'applications PHP pour l'entreprise). Le thème « PHP pour l'entreprise » sera abordé lors de ce rendez-vous, avec, au cours de la première partie, une analyse des enjeux stratégiques et la ligne d'évolution directrice du Zend Framework pour le monde de l'entreprise par Andi Gutmans. Il fera aussi le point sur l'état de PHP et les tendances émergentes pour la création d'applications web nouvelle génération, adaptées aux besoins des entreprises. Enfin, il présentera une nouvelle communauté francophone, lancée et animée par des acteurs français. Lors de la deuxième partie du rendez-vous, plusieurs thèmes seront traités par différents acteurs de la sphère PHP, comme le bridge PHP/Java (pour bénéficier de la complémentarité des deux technologies), le cadre applicatif Zend Framework MVC et le lancement de la campagne de certification PHP pour 2007-2008. (...)
(10/05/2007 17:22:52)Indiana, un Solaris au goût de Linux
Parmi les objectifs que s'était fixés Ian Murdock, fondateur du projet Debian, en acceptant le poste de responsable système d'exploitation de Sun, l'introduction de certains éléments clés de Linux au sein de Solaris était une priorité. Désormais, cette priorité a un nom : Indiana. Le but est de rapprocher les deux systèmes d'exploitation dérivés d'Unix pour que les développeurs Linux puissent naviguer plus facilement dans Solaris. In fine, l'idée est, selon Ian Murdock, « de Solaris un meilleur Linux que Linux. » Parmi les éléments à intégrer, le système de packaging, de téléchargement et d'installation de Linux et le protocole d'installation du système d'exploitation. Auparavant, il faudra résoudre un petit problème de droit. Bien qu'existant tous deux dans le monde Open Source, Solaris et Linux n'utilisent pas le même système de licence, ce qui empêche tout partage de code entre les systèmes. (...)
(10/05/2007 17:10:30)Red Hat et IBM s'associent sur les mainframes
IBM et Red Hat ont annoncé un nouveau partenariat dans le but de développer, vendre et supporter techniquement une version de Red Hat Linux sur les mainframes System Z d'IBM. L'usage croissant de Red Hat Linux dans les administrations justifie ce partenariat selon les deux sociétés. Celles-ci veulent développer une offre dédiée aux besoins gouvernementaux d'accéder de manière sécurisé à des documents - confidentiels ou non. Dans son communiqué de presse, IBM rappelle que ses mainframes ont reçu une certification de sécurité EAL 5, et affirme que son partenariat avec Red Hat correspond aux Common Criteria de niveau EAL4+, sans qu'une certification n'ait déjà été effectuée. « Cet environnement d'exploitation donne à nos clients gouvernementaux la plus haute assurance que leurs données sont protégées et que l'accès n'en est autorisé qu'à ceux disposant des bons droits. » Ce partenariat ne changera pas grand chose pour ceux qui ont déjà installé Red Hat Linux sur leurs systèmes Z. Il présente en revanche un plus grand intérêt pour les clients futurs, puisque IBM a promis d'optimiser son matériel pour cette distribution. C'est également une façon pour IBM de remettre les mainframes au goût du jour en signant des accords avec les deux principales distributions Linux : Novell et maintenant Red Hat. (...)
(10/05/2007 17:07:17)Dix technologies d'avenir pour changer les systèmes d'information
« Les directeurs informatiques qui pensent que leur métier n'est que de faire fonctionner la salle de serveurs, s'assurer de la continuité de service et trouver de nouveaux jouets technologiques, ne survivront pas aux prochaines années ». Cet avis brutal est signé Andy Kite, vice-président de Gartner Group. Pour lui, les directeurs informatiques doivent désormais agir comme un conduit entre le business et les technologies. « Ils doivent voir comment les nouvelles technologies peuvent aider à résoudre un problème soulevé par le coeur de métier de leur société. » Dans cette optique, Gartner liste dix technologies d'avenir : - les processeurs multicoeurs; - les interfaces utilisateurs; - les plateformes Web; - les applications hybrides utilisant le contenu de plusieurs sources différents (mash-up); - les architectures Tera; - les réseaux sociaux; - les mondes virtuels à la Second Life; - la vidéo; - la sémantique; - l'intégration des préoccupations environnementales dans la high-tech. Selon Gartner, la pression pour adopter ces technologies viendra moins de la direction que des besoins des employés et des clients de l'entreprise. Et l'adoption d'une ou de l'ensemble de ces technologies ne sera pas une garantie de survie. Pour Andy Kite, « les sociétés devront marcher sur la corde raide pour fournir les nouvelles technologies d'Internet que les clients veulent et gérer les menaces sur la sécurité qu'elles vont apporter. » (...)
(10/05/2007 15:59:47)JavaOne : Java et Netbeans parés pour le temps réel
Sun a présenté à sa conférence JavaOne 2007 à San Francisco les extensions temps réel pour sa plateforme Java et son atelier de développement Netbeans. Java Real-Time System 2.0 (Java RTS) est la première implémentation réalisée par Sun de la spécification JSR 1 définie par le JCP (Java Community Process) en juillet dernier. Java RTS permet de déterminer à l'avance les temps de réponse des instructions du programme ; il s'agit donc bien de temps réel au sens industriel, aussi appelé déterminisme. Le module pour Netbeans permet quant à lui de développer au sein de l'atelier sur tout poste client sans avoir à installer Java RTS, et de déployer sur un serveur équipé de Java RTS. (...)
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